Politique d'emploi.
Publié : 03 avr. 2012
Il y a la politique de l'emploi et la politique de la famille. C'est incontournable, même au stade de la reflexion individuelle. C'est le binaire de la vie : qui et quoi.
le piège de tout ce zinzin (rSa et tutiquanti), c'est de tomber dans l'esclavagisme.
J'entends par là, le contrôle de tous les paramètres essentiels à la vie: santé, logement, ressources, emploi; plus le traitement "familial" des précaires.
Le travail c'est l'exploitation de l'emploi des autres. (avec un contrat de travail on loue l'emploi de ses mains ou de son cerveau).
La famille c'est l'emploi que l'on fait de sa vie.
Sans travail, on s'emploi à trouver des ressources, un logement et à préserver sa santé ; ainsi que pour celle et ceux avec qui on a choisi librement de lier sa vie. Très schèmatiquement si le travail relève de l'usage de ses mains ou de son cerveau, on pourrait dire que la famille relève essentiellement de l'usage de la bite.
Les deux peuvent se rejoindre, mais seulement dans des circonstance que la morale approuve. C'est très bien comme cela.
Donc,
quand la marine prétend verser un revenu à ta meuf pour qu'elle t'incite à l'engrosser, elle fait le même amalgame que toi.
Toi tu le fais pas exprès, elle oui.
Et redonc,
quand tu dois réfléchir alloc's, toujours bien se poser la question de l'origine première : les mains ou la bite.
Les revenus d'activité ou le besoin en ressources ...
Si un mec prétend louer tes mains à faire travailler ta bite ou nourrir ta meuf seulement si elle fait travailler son vagin,
c'est un éleveur de bétail, même pas un proxénète.
Re-redonc,
dans l'attribution d'une allocation il faut toujours se demander si ça concerne la politique de l'emploi ou la politique de la famille et réfléchir en conséquence. C'est simple : ce qui est dans le temps présent de l'un ne peut pas être dans le temps présent de l'autre.
Si l'on voit que des programmes mélangent les deux, c'est qu'il y a embrouille et tentative d'alliènation des libertés individuelles.
le piège de tout ce zinzin (rSa et tutiquanti), c'est de tomber dans l'esclavagisme.
J'entends par là, le contrôle de tous les paramètres essentiels à la vie: santé, logement, ressources, emploi; plus le traitement "familial" des précaires.
Le travail c'est l'exploitation de l'emploi des autres. (avec un contrat de travail on loue l'emploi de ses mains ou de son cerveau).
La famille c'est l'emploi que l'on fait de sa vie.
Sans travail, on s'emploi à trouver des ressources, un logement et à préserver sa santé ; ainsi que pour celle et ceux avec qui on a choisi librement de lier sa vie. Très schèmatiquement si le travail relève de l'usage de ses mains ou de son cerveau, on pourrait dire que la famille relève essentiellement de l'usage de la bite.
Les deux peuvent se rejoindre, mais seulement dans des circonstance que la morale approuve. C'est très bien comme cela.
Donc,
quand la marine prétend verser un revenu à ta meuf pour qu'elle t'incite à l'engrosser, elle fait le même amalgame que toi.
Toi tu le fais pas exprès, elle oui.
Et redonc,
quand tu dois réfléchir alloc's, toujours bien se poser la question de l'origine première : les mains ou la bite.
Les revenus d'activité ou le besoin en ressources ...
Si un mec prétend louer tes mains à faire travailler ta bite ou nourrir ta meuf seulement si elle fait travailler son vagin,
c'est un éleveur de bétail, même pas un proxénète.
Re-redonc,
dans l'attribution d'une allocation il faut toujours se demander si ça concerne la politique de l'emploi ou la politique de la famille et réfléchir en conséquence. C'est simple : ce qui est dans le temps présent de l'un ne peut pas être dans le temps présent de l'autre.
Si l'on voit que des programmes mélangent les deux, c'est qu'il y a embrouille et tentative d'alliènation des libertés individuelles.