Vous voulez dire, je pense, que je fais de la discrimination. Non, je parle des gens de la campagne parce que j'y vis, je les connais assez bien, et que je donnais un exemple que j'ai vécu à la campagne ; il y a aussi un médecin de garde, il y a 20 ans, qui m'a proposé de rédiger mon chèque lui-même...Je trouve un peu hallucinant de faire encore de telles distinctions entre les gens des villes et ceux de la campagne.

Quand je dis campagne, je ne dis pas ville de province ni faubourgs, je parle de la campagne avec les vaches au bout du jardin

Bien sûr qu'il y a les mêmes à la ville. Naïfs, désemparés, intimidés, polis, trop confiants, passagèrement en détresse, peu instruits...