Re: Retour de l’inflation : pouvoir d'achat en baisse.
Publié : 28 août 2018
@Zorro22
Pas de souci.
Pas de souci.
https://forums.actuchomage.org/
La mise en invalidité est liée au monde du travail et attribuée par le medecin conseil de la CPAM.Je ne comprends pas les règles d'attribution de l'AAH et de l'invalidité.
OUI.L'invalidité est à-priori réservée aux personnes ayant exercé une activité professionnelle.
OUI dans les 2 ans précédant la demande d'AAH.L'AAH concerne ceux qui n'ont pas travaillé.
Pas obligatoirement.Pour toute demande d' AAH, il faut avoir eu un refus d'invalidité.
Parce qu'un bénéficiaire de l'ASS n'ayant pas travaillé les années N-1 et N-2 précédant sa demande d'AAH n'a pas à justifier d'un refus de pension d'invalidité par la CPAM.Si cela est exact, pourquoi les personnes en ASS, donc qui ont travaillé auparavant, ont eu une AAH et non une invalidité ?
Oui, j'en suis là actuellement. Demande posée en janvier 2018, comme je le disais. Entre un défaut d'information et une mauvaise orientation de la part des services sociaux, ma perte d'autonomie passée concomitante avec l'urgence passée des situations médicales, puis l'avis des médecins sur mes chances, quasi-inexistantes elon eux, de décrocher quelque chose dans ces dispositifs, tout ceci explique pourquoi ma demande est très en retard (logiquement, elle aurait dû être posée dès 2016).La reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé (RQTH) et l'éventuelle attribution de l'AAH est liée à l'existence d'un handicap et est attribuée par la CDAPH.(ex COTOREP).
Là, j'ai un sourire de crocodile : les médecins me riaient au nez en 2016 quand je leur parlais de demande d'invalidité. En 2016, j'étais mal, pourtant.Cela voudrait dire soit qu'ils n'ont jamais travaillé et donc ne peuvent bénéficier de pensions d'invalidité,soit qu'ils ne sont pas éligibles à l'AAH1 ou l'AAH2 ( taux de 50 à 79% avec restriction durable d’accès à l'emploi. Cela me parait pour le moins surprenant car le RSA concerne les personnes âgées de + de 25 ans et qui ont travaillé un minimum dans leur vie.
Alors là, les services sociaux m'ont dit en février 2018 que je devrais poser une demande d'invalidité si j'accède à la moindreParce qu'un bénéficiaire de l'ASS n'ayant pas travaillé les années N-1 et N-2 précédant sa demande d'AAH n'a pas à justifier
d'un refus de pension d'invalidité par la CPAM.
Ok, je vois, merci. Dire que ce sont des politiciens départementaux qui décident (l'avis médical reste un avis).C'est inexact. L'AAH 2 est attribuée à compter d'un taux d'incapacité de 50% avec restriction durable à l'emploi
Il me semblait bien de mémoire qu'il y avait une astuce patronale pour virer les éclopés.Pole emploi peut demander tout demandeur d'emploi de passer une visite médicale afin de déterminer son aptitude à occuper un emploi
Rions ensemble, @P-O, avec les lecteurs :Une non réponse de la MDPH après un délai de 4 mois équivaut à une demande de rejet. Autrement dit si vous n'avez pas reçu de courrier de leur part hormis celui de réception de votre demande,il est malheureusement à craindre qu'aucune suite ne sera donnée à celle-ci.
Vous pouvez obtenir une RQTH à un taux inférieur à 50%. Par contre un taux d'incapacité de 50 à 79% ne vous donnera l'AAH que si il est accompagné d'une restriction durable et substantielle d'accès à l'emploi.(RDSAE)je risque bien de ne décrocher qu'une RTQH, un taux de 50-80%
non indemnisé,
C'est normal puisque ce n'est pas la MDPH (CDAPH) qui attribue un taux d'invalidité et la pension correspondante mais la CPAM.et aucune invalidité.
OUI c'est une allocation différentielle qui garantit un revenu maximum de 819€ mensuel en 2018. Elle se substitue au RSA pour ceux qui le percevait et le rappel d'AAH pour ceux à qui l'allocation maximum est accordée ne porte que sur la différence entre le montant d'AAH et le montant du RSA perçu.j'ai compris que l'AAH pouvait être partielle ?
OUI pour un cas général.Alors là, les services sociaux m'ont dit en février 2018 que je devrais poser une demande d'invalidité si j'accède à la moindre
indemnisation via l'AAH
Donc la CAF ne vous demandera pas de faire une demande de pension d'invalidité auprès de la CPAM.La CAF regarde les avis d'imposition des années N-1 et N-2 pour voir si les demandeurs d'AAH ont perçu des revenus du travail et suivant le résultat leur envoie ou non un courrier leur précisant que l'AAH ne leur sera versée qu'en cas de refus par la CPAM d'une mise en invalidité.Par contre, je n'ai pas travaillé depuis fin 2014
NON.Une faible pension d'invalidité complétée par l'ASI (allocation supplémentaire d'invalidité) est inférieure au montant de l'AAH. Dans ce cas une AAH différentielle est versée ce qui portera le revenu garanti de la personne handicapée au montant maximum de l'AAH.J'ai lu dans des forums que certains se retrouvent avec une centaine d'euros d'AAH, une centaine d'euros d'invalidité, et ils complètent le reste avec, si je me souviens bien, le RSA.
Exact,le financeur est l'état.Par contre les compléments d'AAH (MVA et PCH) sont financés par les départements.Un Conseil Départemental ne payant pas l'AAH, si j'ai bien compris
En théorie,c'est l'avis de l'équipe pluri-disciplinaire qui compte car c'est suite à cet avis et au taux proposé par celle-ci que la CDAPH attribue ou non l'AAH. En outre les conseillers départementaux ne sont pas majoritaires dans cette commission.Dire que ce sont des politiciens départementaux qui décident (l'avis médical reste un avis).
Ce n'est pas probant car basé sur les déclarations des personnes et se sentir en mauvaise santé ou en très mauvaise santé ne veut pas dire médicalement l'être.avec au moins 40% d'allocataires du RSA en « mauvaise » ou « très mauvaise santé », le RSA sert donc bien d'allocation handicap
NON. 1.090.000 personnes percevant l'AAH ce qui est très différent. Il faut ajouter à cela les handicapés à + de 50% non éligibles à l'AAH car dépassant le plafond de ressources ou n'ayant pas de restriction durable et substantielle à l'emploi,les handicapés avec un taux inférieur à 50% bénéficiant d'une RQTH et tous les invalides.Un petit million d'handicapé seulement en France,
C'est vrai mon frère est ravi du retour de l'inflation, il est dans une grande boite, son salaire suit l'inflation, il a fait un emprunt à 1,90% pour acheter un logement en loi PINEL pour défiscaliser et pour sa résidence principale il a aussi un taux à 1.90%. Le loyer de son locataire de la loi PINEL va suivre l'inflation. Avec l'inflation, il augmente plus rapidement à terme ses plus-values immobilières.Yves a écrit : Enfin, tout le monde chez nous ne s'enfonce pas. Beaucoup restent en surface et même s'élèvent au dessus de la mêlée. Ça aussi ce sera l'effet (la mission) Macron : Mettre plus encore au service de l'élite oligarchique la piétaille précarisée.
J'ai un ami mal-voyant comme toi, qui a l'AAH, alors pourquoi pas toi, ton médecin ne te soutiens pas bien.Zorro22 a écrit :Personnellement, je suis au RSA pour raisons de santé. Selon mes informations, je devrais a priori (on verra) atterir dans la catégorie "handicapés" pour deux à trois ans, au brillant taux de "50 - 80%" (bien entendu, c'est à 81% que c'est indemnisé... enfin, on verra, c'est tellement opaque, j'ai du mal à voir.
Merci pour l'information, information qui en plus de deux ans ne m'a pas été fournie par les services sociaux... Qui pourtant m'ont contrôlé avec assiduité jusqu'à récemment, viaun taux d'incapacité de 50 à 79% ne vous donnera l'AAH que si il est accompagné d'une restriction durable et substantielle d'accès à l'emploi.(RDSAE)
Merci, ça j'en suis tout de même informé à ce stadece n'est pas la MDPH (CDAPH) qui attribue un taux d'invalidité
Ca, par contre, je n'en avais jamais entendu parler jusqu'ici. Merci pour l'information, je verrais alors, le cas échéant.Par contre, je n'ai pas travaillé depuis fin 2014
Donc la CAF ne vous demandera pas de faire une demande de pension d'invalidité auprès de la CPAM.
La marge d'erreur dans ce type de sondage n'est pas énorme, je pense. Et de mémoire, comme dit, j'ai déjà vu des chiffres plus élevés mentionnés.se sentir en mauvaise santé ou en très mauvaise santé ne veut pas dire médicalement l'être.
Et pendant ce temps-là, le français, lui, il croit que tout ronronne dans cet univers de prestations...NON. 1.090.000 personnes percevant l'AAH ce qui est très différent. Il faut ajouter à cela les handicapés à + de 50% non éligibles à l'AAH car dépassant le plafond de ressources ou n'ayant pas de restriction durable et substantielle à l'emploi,les handicapés avec un taux inférieur à 50% bénéficiant d'une RQTH et tous les invalides.
Je n'ai jamais été bénéficiaire du RSA mais j'ai sollicité un temps les services sociaux pour la prise en compte de mes factures d'énergie l'hiver dont la prise en charge est du ressort du FSL(fonds de solidarité logement) après avis de la commission sollicitée par l'assistante sociale de secteur.Merci pour l'information, information qui en plus de deux ans ne m'a pas été fournie par les services sociaux... Qui pourtant m'ont contrôlé avec assiduité jusqu'à récemment, via entretiens et contrats d'engagements réciproques fréquents : 3 mois, 6 mois, ... (plus une commission en 2017). Ca, c'est la réalité du RSA, ça ne me surprend même pas.
Oui un minimum de connaissances (personnes dans la même situation) est nécessaire pour mettre en commun les connaissances. Certaines communautés y arrivent très bien.P-O a écrit : Il est certain que le taux de non recours aux allocations individuelles de solidarité (AIS) doit être important car sans un niveau minimum de connaissances et par conséquent de niveau d'études,il peut être délicat de comprendre les réglementations applicables et donc de faire valoir ses droits.
De fait, ils sont tenus à une obligation d'information, presque à un devoir de conseil, et la jurisprudence n'est, globalement, pas en leur faveur, quand ce moyen (en droit) est soulevéLes services sociaux ne m'ont jamais été d'aucune utilité pour bénéficier des prestations auxquelles je pouvais prétendre en fonction des informations que j'avais cherché préalablement.
cela permet de remplir les écoles privés en informatique à 5000€ l'an !Zorro22 a écrit : Evidemment en France, tout cela n'existe pas, et la fameuse pénurie d'informaticiens n'est que pure propagande actuellement (chômage
des techniciens info à 14% sur la seule catégorie A, et pour les ingénieurs informaticiens, c'est 7 à 8% en catégorie A, ce qui est énorme, pour des cadres).
)
http://www.epitech.eu/prix-tarifs-cout-financement.aspx (histoire de rire, il faut essayer les menus de leur site sous Firefox)cela permet de remplir les écoles privés en informatique à 5000€ l'an !