Pas besoin d'un bonnet d'âne, ce qui est insultant pour cette brave bête.
Un masque de carnaval à l'effigie de certains politiques ou assimilés serait plus parlant...
STRESS ET SUICIDE AU TRAVAIL
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diety
Re: STRESS ET SUICIDE AU TRAVAIL
Humanité - 24 avril 2013
Suicide d’un salarié de Renault: "Tu expliqueras ça à mes filles, Carlos"
Un salarié de Renault s'est suicidé dans la nuit de dimanche à lundi sur son lieu de travail à l'usine de Cléon, en Seine-Maritime. Il a laissé une lettre dans laquelle il explique subir "pression" et "chantage" de la part du groupe depuis qu’il s’est mobilisé contre les accords dits de compétitivité-emploi cet hiver.
Suicide d’un salarié de Renault: "Tu expliqueras ça à mes filles, Carlos"
Un salarié de Renault s'est suicidé dans la nuit de dimanche à lundi sur son lieu de travail à l'usine de Cléon, en Seine-Maritime. Il a laissé une lettre dans laquelle il explique subir "pression" et "chantage" de la part du groupe depuis qu’il s’est mobilisé contre les accords dits de compétitivité-emploi cet hiver.
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pussycat
Re: STRESS ET SUICIDE AU TRAVAIL
Bonjour,
L'enfer est partout, et les syndicats....
j'ai travaillé dans une structure enseignement supérieur et sur un poste toxique. j'ai eu le malheur de rester sur le poste. ne me demandez pas pourquoi. je ne comprends pas des années après ce qui m'est arrivée.
la violence au travail pourtant je n'étais pas à l'"usine à GAz" (bien que l'odeur...) ?!
on avait décidé d'une manière ou d'une autre d'avoir ma peau. ils l'ont eu. je suis vivante, mais ce côté des choses, qui arrivent et vous entraînent dans une voie, que vous ne maîtrisez pas. la violence. pas un syndicat pour les "sous" (les euros) contrats.
bizarre de voir déjà, une séparation des êtres humains par un qualificatif. ça c'est de la m.rde...
ça ça ne dit pas bonjour en réponse... c'est le "cerveau"
ça c'est les larbins... ils font groupe. s'ils ne tombent eux même sous le joug du tordu.
donc faisant partie sans préméditer au moment de postuler, de qualité de sous me.de, malgré mes prétentions humaines, et du grand tout droit du travail et de l'homme..., j'avais les pieds dans le c.ca.
J'ai subi la violence, sous les yeux bienveillants de mon directeur, compatissants, des collègues, faussement scandalisés d'une porte plat du grand manietout, et d'un avalisant aux méthodes, c'est tellement amusant !!
Me défendre ? attention !!
"Ne faites rien de ce qui pourrez nuire à l'image de notre ...
du sang froid !!"
mes rêves étaient devenus des voies sans issues,
mes démarches m'emmenaient vers des précipices sans fond
j'étais murée vivante
des noeuds coulants faisaient apparition dans les images survenant n'importe aux moments qui auraient dus être lâcher prise ??
Cela fait neuf* ans que j'ai quitté en arrêt médical avec le dernier cadeau d'un dol : cdd arrêté à l'initiative du salarié...
et pour finir une masse de béton sur pour bifurquer vers "la vie" ??
J'ai vécu la vie des gens, la pauvreté imposée par le système des contrats aidés pour l'employeur. la vie sans pouvoir venir en aide aux vôtres, aux autres.
faire semblant que tout va. se battre contre tout, pour ne pas suivre le chemin que l'on vous a dédié, la rue, la prostitution, la mendicité...
faire semblant que tout va. et puis, on passe après tout devant l'obligation d'être debout pour les autres.
des années après, sur une simple alerte d'un avocat sur internet, j'ai fait des recherches qui sont restées lettres mortes auprès des syndicats et le reste...
mais des amis internautes, ont fait qu'aujourd'hui, l'affaire est aux prud'hommes.
La violence au travail, la discrimination, l'illégalité, la non égalité !
l'esclavage à changé de nom seulement. le salaire de la peur.
* "vous avez bien attendu neuf ans, alors.... !!" réponse d'un syndicat, à ma demande après mon inquiétude de la lenteur...
L'enfer est partout, et les syndicats....
j'ai travaillé dans une structure enseignement supérieur et sur un poste toxique. j'ai eu le malheur de rester sur le poste. ne me demandez pas pourquoi. je ne comprends pas des années après ce qui m'est arrivée.
la violence au travail pourtant je n'étais pas à l'"usine à GAz" (bien que l'odeur...) ?!
on avait décidé d'une manière ou d'une autre d'avoir ma peau. ils l'ont eu. je suis vivante, mais ce côté des choses, qui arrivent et vous entraînent dans une voie, que vous ne maîtrisez pas. la violence. pas un syndicat pour les "sous" (les euros) contrats.
bizarre de voir déjà, une séparation des êtres humains par un qualificatif. ça c'est de la m.rde...
ça ça ne dit pas bonjour en réponse... c'est le "cerveau"
ça c'est les larbins... ils font groupe. s'ils ne tombent eux même sous le joug du tordu.
donc faisant partie sans préméditer au moment de postuler, de qualité de sous me.de, malgré mes prétentions humaines, et du grand tout droit du travail et de l'homme..., j'avais les pieds dans le c.ca.
J'ai subi la violence, sous les yeux bienveillants de mon directeur, compatissants, des collègues, faussement scandalisés d'une porte plat du grand manietout, et d'un avalisant aux méthodes, c'est tellement amusant !!
Me défendre ? attention !!
"Ne faites rien de ce qui pourrez nuire à l'image de notre ...
du sang froid !!"
mes rêves étaient devenus des voies sans issues,
mes démarches m'emmenaient vers des précipices sans fond
j'étais murée vivante
des noeuds coulants faisaient apparition dans les images survenant n'importe aux moments qui auraient dus être lâcher prise ??
Cela fait neuf* ans que j'ai quitté en arrêt médical avec le dernier cadeau d'un dol : cdd arrêté à l'initiative du salarié...
et pour finir une masse de béton sur pour bifurquer vers "la vie" ??
J'ai vécu la vie des gens, la pauvreté imposée par le système des contrats aidés pour l'employeur. la vie sans pouvoir venir en aide aux vôtres, aux autres.
faire semblant que tout va. se battre contre tout, pour ne pas suivre le chemin que l'on vous a dédié, la rue, la prostitution, la mendicité...
faire semblant que tout va. et puis, on passe après tout devant l'obligation d'être debout pour les autres.
des années après, sur une simple alerte d'un avocat sur internet, j'ai fait des recherches qui sont restées lettres mortes auprès des syndicats et le reste...
mais des amis internautes, ont fait qu'aujourd'hui, l'affaire est aux prud'hommes.
La violence au travail, la discrimination, l'illégalité, la non égalité !
l'esclavage à changé de nom seulement. le salaire de la peur.
* "vous avez bien attendu neuf ans, alors.... !!" réponse d'un syndicat, à ma demande après mon inquiétude de la lenteur...
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pussycat
Re: STRESS ET SUICIDE AU TRAVAIL
On m'annonce. personne avant moi.
j'attends et j'ai le temps de lire les fascicules et surtout une annonce : l'anniversaire de la mort -suicide... un an.
je suis tellement surprise. là aussi ?? le 2ème suicide.
on finit par me recevoir. on m'entend ?? c'est un soliloque ??
je parle de harcèlement de ... rien !! elle est mal, je l'ennui.
Je la force dans ces retranchements puisque mon problème ne semble pas... c'est Badinter !!! c'est contre la peine de mort ?? (gravure de ce grand bonhomme).
J'ai vu pour votre, collègue, vos collègues. le suicide au travail.
la souffrance au travail.
Vous avez l'air malade. soignez vous bien !! c'est de femme à femme.
elle n'en a rien apparemment à faire, elle me raccompagne vers la sortie. pressée et l'air désaxée.
j'attends et j'ai le temps de lire les fascicules et surtout une annonce : l'anniversaire de la mort -suicide... un an.
je suis tellement surprise. là aussi ?? le 2ème suicide.
on finit par me recevoir. on m'entend ?? c'est un soliloque ??
je parle de harcèlement de ... rien !! elle est mal, je l'ennui.
Je la force dans ces retranchements puisque mon problème ne semble pas... c'est Badinter !!! c'est contre la peine de mort ?? (gravure de ce grand bonhomme).
J'ai vu pour votre, collègue, vos collègues. le suicide au travail.
la souffrance au travail.
Vous avez l'air malade. soignez vous bien !! c'est de femme à femme.
elle n'en a rien apparemment à faire, elle me raccompagne vers la sortie. pressée et l'air désaxée.
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naejjm
STRESS ET SUICIDE AU TRAVAIL
Souffrance au travail : origines et symptômes
Les troubles psychosociaux liés à des situations de souffrance au travail sont en constante augmentation en France. Marie Pezé, psychanalyste, est à l’origine de la première consultation « Souffrance au travail » en 1997 à Nanterre. En complément de son interview dans le numéro de Réforme du 20 juin, elle en présente ici les symptômes et revient sur certaines de ses causes.
http://www.reforme.net/une/societe/souf ... -symptomes
Les troubles psychosociaux liés à des situations de souffrance au travail sont en constante augmentation en France. Marie Pezé, psychanalyste, est à l’origine de la première consultation « Souffrance au travail » en 1997 à Nanterre. En complément de son interview dans le numéro de Réforme du 20 juin, elle en présente ici les symptômes et revient sur certaines de ses causes.
http://www.reforme.net/une/societe/souf ... -symptomes