L'Emploi et le Chômage en Débats

Bonsoir,


En effet Aurore, vaut mieux s'en méfier, mais je pousserai le vice très loin en faisant comme si je rentrais dans le jeu : d'une je ne mets ni mon nom ni mon prénom , ensuite je crée un profil basique, avec la dernière expérience professionnelle et citout. Pis je ne sais dans certains domaines, mais dans mon domaine d'activité ça réseaute énormément, donc faut jouer le jeu mais avec plusieurs cartes joker à son arc, pardon à son effectif.
Pour le réseau, on s'en crée un sur le site, on peut demander à n'importe qui de faire partie de son réseau, après tout dépends de la personne, c'est un peu comme FB, soit t'es accepté, soit t'es ignoré.

C'est vrai que je n'apprécierais pas qu'on vienne voir mon profil et constater avec effroi tous les trous de mon cv et la longueur de mon chômage. A part jazzer sur moi, ça m'apporterait quoi. Ca me met mal à l'aise.

Salut,

Perso, je n'ai pas honte de dire que vu le dynamisme de l'emploi n'est actuellement pas flagrant, mon "trou" actuel est juste logique.
Et que j'en profite pour chercher à plein temps, que je me forme avec les ressources que j'ai à ma disposition...

Après, si ma recherche traîne, je reverrai peut être ma méthode

A+

Fred

Bonjour,

Moi aussi, j'ai du aussi justifier des gros trous dans mon CV. Ce que j'ai fait, c'est que j'ai mis en valeur les activités que j'ai eu pendant cette période. J'essaye de mettre bien en valeur les compétences que j'ai pu développer et qui peuvent servir pour mon prochain poste. J'ai trouvé sur ce site pas mal de bonnes astuces pour rédiger mon CV à "trous"
http://www.orientezmoi.com/emploi/comme ... r-trou-cv/

J'espère avoir pu t'aider.
Mazarine

Il avait posté il y a 6 mois...

Une autre solution tentée dans mon entourage : trouver une société en liquidation depuis peu dans laquelle vous auriez très bien pu travailler

Il n'y a plus de distinction depuis longtemps entre un licencié éco et classique au niveau des aides

Et le nouvel employeur ne peut contacter personne dans la société liquidée pour vérifier

Bonjour.

J'ai une approche totalement différente (qui n'est certainement pas la meilleure).

Je suis contre le fait de vouloir se faire plus beau que l'on est et de vouloir maquiller la vérité.

A mon avis, un employeur qui n'est pas capable de comprendre que l'on a pu avoir une certaine période sans emploi, ne vaut pas la peine que l'on s'investisse à travailler pour lui.

De toute manière, mentir ou embellir, ça finit souvent par se voir. Il suffit de poser quelques question "pièges" et on voit vite si la personne ment ou pas.

"Embellir", bcp de gens le font, même au plus haut sommet. On s'attribue des diplômes ou formations qu'on n'a pas. Des politiques sont régulièrement épinglés pour avoir "embelli" leur CV.

Des "chefs de services" qui n'ont que deux ou trois collaborateurs sous leur responsabilité, vont vous dire qu'ils étaient une dizaine.

Un commercial va affirmer qu'il a négocié tel ou tel contrat alors que c'est son collègue.

La vie professionnelle n'est faite que de ça… de gens qui s'attribuent des responsabilités et réalisations qui ne sont pas les leurs (ou en partie seulement).

Mentir, c'est carrément autre chose, c'est un péché ! Il faut se confesser pour se faire pardonner.

Je déconne !

Je connais des menteurs professionnels qui ne se sont jamais fait piqués. Plus c'est gros, plus ça passe.

D'ailleurs, il suffit de voir comment certaines personnalités mènent leur barque pour comprendre que mentir n'a jamais été pour elles un handicap. Au contraire… C'est une posture qui peut leur valoir une certaine reconnaissance. Je pense à un mec comme Tapie par exemple, un bonimenteur de première catégorie que des millions de Français ont adulé.

Je ne fais pas ici l'apologie du mensonge. Perso, malheureusement, je n'y arrive pas. Ce n'est pas dans mon tempérament. Je le regrette !!!

Combler un trou dans le CV n'est pas forcément mentir. Il faut essayer de ne pas passer pour un mou du canapé qui est resté à regarder de la téléréalité du matin au soir, c'est tout.

Je pense qu'il y a des mentions à éviter, par exemple une dépression.

Je rejoins Mazarine : essayer de tirer de son inactivité forcée les choses qu'on a pu développer.

Sam2009 a écrit :Bonjour.

J'ai une approche totalement différente (qui n'est certainement pas la meilleure).

Je suis contre le fait de vouloir se faire plus beau que l'on est et de vouloir maquiller la vérité.

A mon avis, un employeur qui n'est pas capable de comprendre que l'on a pu avoir une certaine période sans emploi, ne vaut pas la peine que l'on s'investisse à travailler pour lui.

3 600 000 en cat A + la difficulté pour avoir un entretien : après coup, difficile de faire en plus le tri au niveau des patrons
Exact pour Tapie : il avait moins de scrupules
Dès que le candidat a un peu d'aplomb, il peut masquer ce qu'il veut

C'est notre héritage judéo-chrétien : si on ment, on culpabilise, on a pris la place d'un autre qui n'a pas menti

Et Cambadelis, c'en est où au niveau de ces diplômes ?

Il passe son bac en juin.