NPA2009 ?

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Modérateurs : superuser, Yves

romain23

Message par romain23 »

OK jean claude, Merci!

Mais à la rubrique un militant NPA entrera en contact avec vous, il n'y a pas de reponse. Ma tronche ne revientpas au militant Npa.local.
J'ai ecrit à montreuil 3 fois, et, à ce jour ,je n'ai aucune reponse ( je sais bien que la poste est longue ici, mais quand meme).

La solution d'aller la chercher dans une ville voisine est envisageable, mais après pour participer au reunion, ça parait compromis.
Jean-Claude

Message par Jean-Claude »

Salut Romain,

Il faut que tu remplisse la parti "contact du site" pour voir avec eux ou côtoyer........un autre militant NPA au besoin .

C'est quoi cette façon de juger les autres au NPA quand écrit "ma tronche ne revient pas au militant NPA local" :evil:
romain23

Message par romain23 »

quand écrit "ma tronche ne revient pas au militant NPA local"(quote)
Ce sont les particularités locales de la ville. Ils n'aiment pas les gens venant du departement voisin. Les mentalités vichystes ou staliniennes ont du mal avec celles humanistes de la region voisine. Des conflits qui datent . Pendant la derniere guerre , ici, c'etait collabo et vichyste et a à peine 60 km c'était des terres de resistances.
Il doit y avoir d'autres trucs que je n'ai pas compris.



J'ai envoyé un mail direct en demandant un paiement direct depuis Paris, j'attends la reponse.

Heureusement que tu as mis ce post sur actu parce que je n'avais meme pas le contact à paris.

Je pense que localement , il fonctionne entre eux, et, puis, je pense qu'ils ne souhaitent pas de chomeurs pauvres dans leur comité. je dis cela par rapport à quelques reflexions entendues.

Bon, l'essentiel serait d'arriver à obtenir 2 cartes ( 1 pour mon fils et une pour moi) :wink:ET MERCI.

( on pourra pas dire que je suis pas motivée, se battre pour 2 cartes!)
Dernière modification par romain23 le 06 déc. 2008, modifié 1 fois.
Jean-Claude

Message par Jean-Claude »

Pour ce qui concerne la LCR c'est vrais qu'il fallait d'abord prendre contact avec un militant ou responsable départemental , pour le NPA c'est pareil apparament .

Je me suis inscrit a la LCR il y a déjà trois ans j'étais au rmi et cela n'a pas poser de problème particulier , mais c'est suivant les endroit peut etre je sait pas enfin ça serait un comble quand même ....

Enfin rassure toi la LCR ou le NPA c'est pas Lutte Ouvrière non plus ! (et heureusement) le fonctionnement n'y est pas sectaire et j'assume mes propos en ce qui concerne LO (malgré ma sympathie pour Arlette laguiller) .
tristesir

Message par tristesir »

je pense qu'ils ne souhaitent pas de chomeurs pauvres dans leur comité. je dis cela par rapport à quelques reflexions entendues.
Ils préfèrent sans doute des actionnaires avec un gros portefeuille d'actions? 8)? Tu ne confonds pas avec l'UMP ou le Modem? :lol:

Si tu veux obtenir un contact local hors de ta ville tu peux essayer de laisser un message sur le forum du NPA
tristesir

Message par tristesir »

Un texte que je trouve intéressant:


C’est la crise ! Mais, si on y réfléchit un instant, c’est tout le temps la crise ! Avons-nous connu depuis 30 ans des périodes où ce n’était pas la crise ?

Et même avant. Je suis né au début de ce qu’on a appelé « les Trente glorieuses ». Mais elles étaient glorieuses pour qui ? Pour les mineurs dont on fermait les charbonnages ? Pour les ouvriers de la sidérurgie dont on fermait les usines ? Pour tous les autres qui ont du attendre le plus grand mouvement social de l’après guerre, Mai 68, pour recevoir enfin quelques miettes des profits engrangés par le patronat ?

Et même quand, soi-disant, ce n’est pas la crise. Quand les taux de croissance montent. Quand les entreprises font des profits. C’est quand même la crise pour celles et ceux qui subissent les fusions-acquisitions, les restructurations, les délocalisations, les dérégulations, les suppressions d’emplois dans des boites qui font pourtant des bénéfices.

Et enfin, pour des millions de gens qui, quand ils ont payé leurs charges, n’ont que 50 euros par mois pour se nourrir, n’est-ce pas, et depuis longtemps, la crise tous les jours ?

La vérité, c’est que le capitalisme, c’est la crise. C’est un système qui génère les crises. Il y a des crises financières, des crises économiques, des crises sociales, des crises alimentaires, des crises sanitaires, des crises écologiques. Et chaque fois, au nom de ces crises, le capitalisme impose ses solutions, des solutions qui maintiennent les inégalités, des solutions qui entretiennent l’exploitation, des solutions qui protègent l’accumulation des profits par un petit nombre. Et quand la crise ne suffit pas, il fait la guerre. Rappelez-vous ce que disait Jaurès : « Le capitalisme porte en lui la guerre comme la nuée porte l’orage ». Là où le capitalisme ne peut exploiter en toute liberté, il provoque la guerre. Bien des guerres en Afrique qu’on nous présente comme des guerres civiles ou tribales sont en fait des guerres provoquées par le capitalisme. La guerre en Irak est une guerre du capitalisme.

En 1991, lors de l’effondrement de l’empire soviétique, le discours dominant a consacré l’échec du communisme. Nul ne peut nier que le capitalisme d’Etat, bureaucratique et policier, a échoué à réaliser l’idéal communiste. Mais cet échec nous condamne-t-il à nous résigner au capitalisme ?

N’est-ce pas le moment de dire haut et fort aux capitalistes : quel est votre bilan ? Quels sont, pour le plus grand nombre, les résultats du capitalisme ?

Quand près de trois milliards d’humains n’ont pas accès au savoir, aux nouvelles technologies et aux nouveaux savoir-faire qui pourraient améliorer leur niveau de vie, quand deux milliards de personnes n’ont pas accès aux médicaments essentiels, quand un milliard et demi de gens vivent avec quatre-vingt dix centimes d’euro par jour, quand un milliard de personnes souffrent de la famine, quand un milliard d’adultes dont deux tiers sont des femmes sont analphabètes, quand plus de 150 millions d’enfants n’ont pas accès à l’école primaire, dont la moitié sont des filles, quand 44% de la jeunesse du monde en âge de travailler sont au chômage, quand, dans une Europe si riche, il y a 50 millions de pauvres et 18 millions de chômeurs, n’est-on pas en droit de demander : capitalistes où est votre succès ?

Le capitalisme a bénéficié, avec les dérégulations massives décidées au niveau mondial comme au niveau européen, d’une liberté comme jamais il n’en avait connu depuis le 19e siècle. Et voilà son bilan. Certains vous diront. : « Vous vous trompez. Regardez en Chine, depuis qu’ils sont passés à l’économie de marché, 400 millions de Chinois sont sortis de la pauvreté ». Ils oublient de dire qu’un milliard de Chinois sont restés dans la pauvreté. Parce que, fondamentalement, c’est cela le capitalisme : c’est l’organisation de l’inégalité ; c’est l’exploitation de la majorité par un petit nombre.

Face à cette réalité, on observe deux comportements. Il y a ceux qui considèrent que le capitalisme fait partie de l’ordre naturel des choses et que la crise d’aujourd’hui n’est qu’un dérapage de mauvais capitalistes qu’il faut punir pour revenir au bon capitalisme, que la démocratie libérale et l’économie de marché, sont le moins mauvais de tous les systèmes, comme le disait avant hier soir sur France 2 le ministre des finances de Belgique.

Ceux-là, on les trouve à droite, bien entendu, au centre évidemment, mais également, à gauche. Ce sont en effet des sociaux-démocrates qui, à partir des années 80, en France comme dans le reste de l’Europe, ont accompagné et très souvent initié ce qu’on appelle la mondialisation, cette transformation du monde en un marché global où la puissance publique s’efface devant les acteurs économiques et financiers, où les humains sont traités comme des marchandises soumis aux lois d’une concurrence qui doit être libre et non faussée. La loi de déréglementation financière est une loi du PS. L’Acte unique européen et le traité de Maastricht, proposés par Jacques Delors, sont l’œuvre des sociaux-démocrates. La gauche plurielle partage avec onze autres gouvernements sociaux-démocrates la responsabilité de la stratégie de Lisbonne et des décisions de Barcelone sans lesquelles le démantèlement des services publics et du droit du travail n’aurait pas été possible. Et on a trouvé à la direction du PS les plus ardents défenseurs du traité constitutionnel européen préparé sous la direction de Giscard d’Estaing. Les mêmes souhaitent aujourd’hui ardemment qu’entre en vigueur ce copié collé du TCE qu’est le traité de Lisbonne pourtant rejeté par le seul peuple qui ait pu s’exprimer, les Irlandais.

Face à ces libéraux de droite et de gauche auxquels s’ajoutent ceux qui les suivent pour ne pas perdre les mandats que leur accorde l’alliance avec le PS, il y a ceux qui sont convaincus que le capitalisme n’est pas l’horizon indépassable de l’humanité. Ceux qui ne se résignent pas à voir le drapeau de la révolte tomber des mains de Rosa Luxemburg dans celles de Ségolène Royal.

On les trouve parmi celles et ceux qui ont fait campagne et ont soutenu le non de gauche au TCE. On en trouve parmi celles et ceux qui ont soutenu l’un ou l’autre des cinq candidats à la gauche du PS lors des présidentielles de l’an passé. Et on en trouve même, je tiens à le dire tout de suite, parmi les femmes et les hommes qui ont apporté leur voix au PS ou aux Verts. Faute de mieux à leurs yeux. Et au-delà de celles et ceux qui accompagnent ou soutiennent un parti politique, on en trouve parmi ces dizaines de milliers de gens qu’on appelle parfois des non encartés, altermondialistes, anti-nucléaires, écologistes, décroissants, faucheurs volontaires, militants des droits humains dont le grand rassemblement du Larzac, en août 2003, fut pour beaucoup, un moment fondateur.

C’est à ces femmes et ces hommes qui ne se résignent pas au capitalisme que la LCR offre une perspective. Moi qui ne suis pas membre de la LCR, qui n’appartient pas à la culture politique née de 1917, - ma culture politique, elle puise dans 1793 et 1871 et chez l’homme massacré en août 1914, au Café du Croissant à Paris - qui suis un de ces non encartés, je tiens à le souligner ici avec force : la décision de la LCR de se dissoudre pour se fondre dans un mouvement politique qui la dépasse, qui embrasse à la fois la question sociale et la question écologique et qui s’ouvre à toutes celles et ceux qui partagent ce projet écosocialiste, c’est une décision sans précédent dans l’histoire du mouvement ouvrier français.

Nous sommes, j’en suis convaincu, des millions à rêver d’une gauche qui ne se renierait pas chaque fois qu’elle arrive au pouvoir, d’une gauche qui affirmerait sans complexe : « oui, il y a eu et il y a encore des exploiteurs et des exploités », d’une gauche qui reconnaît la réalité de la lutte des classes même si la composition des classes et les formes de la lutte ont changé. Nous sommes des millions qui n’acceptons pas le capitalisme comme une fatalité. Nous sommes des millions à vouloir une alternative. Cette alternative, si nous le voulons tous ensemble, avec le NPA, elle est maintenant possible.

Nous sommes à la tâche. Et nous sommes nombreux. Nous sommes riches de nos diversités, de nos cultures politiques respectives, de nos expériences et aussi de la fraîcheur et de la créativité de celles et de ceux qui n’ont pas d’expérience, si ce n’est celle de leurs premiers pas dans la vie et de leurs premières confrontations avec le capitalisme.

J’ai qualifié le projet que nous portons d’une expression nouvelle dans le vocabulaire politique : écosocialisme. Qu’entendons-nous par là ?

On part d’un constat : le capitalisme exploite les humains et la terre. Il est à l’origine de la question sociale et de la question écologique. Comme l’a si bien observé François Chesnais, Marx déjà constatait que « la production capitaliste ne se développe qu’en épuisant les deux sources d’où jaillit toute richesse : la terre et le travailleur » (Le Capital, p.182). Et Chesnais a très justement déploré que « la pensée critique se réclamant du marxisme a été terriblement déficiente sur le plan des rapports à la nature ».

Une approche écosocialiste, cela signifie satisfaire les besoins sociaux de manière écologique. Et la satisfaction écologique des besoins sociaux ne peut se réaliser ni par des voies autoritaires, ni par des voies fiscales.

Seule la délibération démocratique peut présider à la définition des choix. Ce qui implique de revisiter la démocratie pour en faire ce que, déjà, Jaurès appelait de ses vœux : un outil révolutionnaire.

Mais le danger immédiat qui nous guette, c’est le traitement capitaliste des problèmes écologiques. Un capitalisme vert est en cours d’élaboration. On en a vu des prémisses avec le Grenelle de l’Environnement et les multiples taxes envisagées par le gouvernement. C’est faire payer par le plus grand nombre le coût des dégâts écologiques provoqués par les profits de quelques-uns. Ce sont les solutions avancées par la droite, mais aussi par les sociaux-libéraux, par les Verts et par tous ceux qui refusent d’accepter que la course au profit est à l’origine de la destruction de l’environnement avec ses conséquences pour la santé, pour la préservation de la biodiversité, pour le maintien des grands équilibres et pour la survie même de la planète dans l’état où les générations précédentes nous l’ont léguée.

C’est un immense chantier qui s’ouvre devant nous. C’est notre volonté de saisir à bras le corps le double impact social et écologique du capitalisme. Aucune solution n’est durable si elle se contente d’aménager le système. C’est bien là que se trouve la justification de notre démarche anticapitaliste. Au regard de ce que nous voulons entreprendre, nous pouvons faire beaucoup plus que de la politique. Nous pouvons écrire une page d’histoire.

Raoul Marc Jennar est membre d’un comité des Pyrénées orientales et animateur du mouvement altermondialiste. (Intervention faite au meeting NPA 66, à Perpignan, le 18 octobre 2008)
romain23

Message par romain23 »

Ils préfèrent sans doute des actionnaires avec un gros portefeuille d'actions? ? Tu ne confonds pas avec l'UMP ou le Modem?(quote triste sir)

J'ai dejà expliqué qu'il s'agissait d'un groupe n'ayant jamais fait de politique qui se sont présentés entre copains sur une liste alternative de gauche, sans partis, pour les municipales et les cantonales. 24h avant la fermeture du scrutin du 2° tour, la tete de liste a retiré sa candidature, et, sa liste ,et, les bulletins de vote n'etaient meme pas retirés dans le bureau de vote.
Donc, ils se sont ensuite trouvés avec des problèmes de fric, suite à cette campagne.
Donc, ils se mit ensuite NPA juste après.
Mais, j'ai bien vu senti et entendu qu'ils prefèrent des candidats " plus riches"
Jusqu'à la femme du responsable local me demandant " comment le parti des travailleurs finançaient sa campagne?"
Comme si j'avais a y voir quelque chose.
C'est sur qu'une chomeuse longue durée , sans voiture, seule et isolée avec un enfant , c'est pas interessant pour eux.
J'ai l'impression qu'ils ont besoin de renflouer les caisses.
tristesir

Message par tristesir »

C'est sur qu'une chomeuse longue durée , sans voiture, seule et isolée avec un enfant , c'est pas interessant pour eux.
J'ai l'impression qu'ils ont besoin de renflouer les caisses.
Pourquoi te déprécier de cette façon? Il faut être "productif" pour adhérer à un mouvement politique?

Et tu crois qu'ils vont "renflouer" les caisses (de qui?) avec 10 euros? (c'est le "tarif" pour les chômeurs et précaires).
romain23

Message par romain23 »

Pourquoi te déprécier de cette façon? Il faut être "productif" pour adhérer à un mouvement politique(quote triste sir)

Ce sont les "reflexions entendues":
du style, il faut payer l'essence , tu ne pourras peut etre pas payer l'essence,ou
_les cartouches d'encre pour faire les tracts, c'est cher, tu pourras pas les payer.
( j'ai meme proposé une collecte pour acheter un scanner collectif)
ou du style, c'est bien quand on a des militants qui travaille à EDF ou à L'education Nationale, ils peuvent nous faire des photocopies, tandis que toi , tu ne vas pas pouvoir en faire etc.....
ou du style, tu vas faire comment pour aller prospecter sans voiture?

Donc, effectivement, je ne suis pas productive! J'ai meme proposer d'envoyer mon fils les aider à coller, mais prefère rester à 2 entre eux!
Alors, où j'ai ma carte depuis Paris ou chateauroux ou Tant PIs.
Je ne voterai plus.

Et tu crois qu'ils vont "renflouer" les caisses (de qui?) avec 10 euros? (c'est le "tarif" pour les chômeurs et précaires

Il n'y a pas de chomeurs dans ce petit comité. des retraités de L'education Nationale, des cadres d'EDF , des cadres hospitaliers, du moins ceux de la 1° rencontre. Après , je ne saispas.
Je sais qu'ils ont demander des subventions après les municipales pour renflouer.Et autre bizarrerie, ils siègent au Conseil D'administration de L'ophlm , alors qu'ils sont arrivées à 1, 73 % au 1 er tour des municipales.( alors que normalement cela doit etre la liste qui suit le gagnant.me semble-t-il)Bizarre , bizarre!
Dernière modification par romain23 le 06 déc. 2008, modifié 1 fois.
tristesir

Message par tristesir »

les cartouches d'encre pour faire les tracts, c'est cher, tu pourras pas les payer.
Je doute que les militants paient les tracts en général que cela soit aussi bien le papier que l'encre.

L'argent collecté auprès des militants sous forme de cotisations mensuelles ne sert pas à boursicoter sauf erreur 8)
Dernière modification par tristesir le 06 déc. 2008, modifié 1 fois.
tristesir

Message par tristesir »

Alors, où j'ai ma carte depuis Paris ou chateauroux ou Tant PIs.
Je ne voterai plus.
Personnellement, je m'en moque de la carte. Je ne suis pas pour un parti d'adhérents mais pour un parti de militants (tout en militant à son rythme et son emploi du temps, ses envies, bien entendu).

Il me semble que beaucoup de comités ont un rythme de réunion au plan local d'une tous les quinze jours. Ce n'est pas un rythme infernal.

(je vais passer pour sectaire ;), encore qu'une secte le problème n'est jamais d'y entrer mais d'en sortir)

Mais la carte permet de concrétiser un engagement, de compter les militants, de financer un peu le NPA (qui vit principalement avec l'argent des cotisations des seuls adhérents LCR) et de prendre part au processus de vote en 2009.
mabulle

Message par mabulle »

moi j'y suis au npa. c'est mon chéri qui va aux réunions, moi j'ai encore du mal à sortir de chez moi.
il y a meme un rassemblement de conseillers anpe. je peux envoyer :

RAS LE POLE
Bulletin des salariés de l’ANPE pour un Nouveau Parti Anticapitaliste – n° 1 – Nov. 2008

à ceux qui le veulent.
faites moi un mp avec votre adresse mail et je fais suivre.
Invité

Message par Invité »

[quote="mabulle"]moi j'y suis au npa. c'est mon chéri qui va aux réunions, moi j'ai encore du mal à sortir de chez moi.
il y a meme un rassemblement de conseillers anpe. je peux envoyer :

RAS LE POLE
Bulletin des salariés de l’ANPE pour un Nouveau Parti Anticapitaliste – n° 1 – Nov. 2008

je l'ai vu sur le site npa me semble t il même titre RAS LE POLE.
tristesir

Message par tristesir »

J'ai eu entre les mains ce bulletin, à la réunion organisée par "l'appel et la pioche" mais je ne parviens pas à trouver une version électronique.
(mais je ne crois pas l'avoir gardé après l'avoir lu :( )

Il existe un comité NPA ANPE dans le département 92 :)
(tous les comités ne sont pas reliés à des villes, certains sont des comités d'entreprises)

PS:
Vous pouvez trouver la liste des comités déjà existants, classés par département ici.
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