ha là là , Mon pauvre ami!Je suis pour la fin des privilèges et contre la grève de ces nantis de fonctionnaires
MmouaisJe suis pour la fin des privilèges et contre la grève de ces nantis de fonctionnaires
Là, je serais prudente...
C'est vrai, vous avez raison! Que pensez vous de ça !superuser a écrit :Un jour, le vent tourne et tout finit par se savoir...
«Libération» raconte les coulisses d’un conflit durant lequel le gouvernement a davantage tenté de diviser les syndicats que d’engager les négociations.
Dans la police, en tous les cas, même si le boulot ne m'intéresse pas, ils sont très bien loti. Retraite à 55 à taux plein.maguy a écrit :MmouaisJe suis pour la fin des privilèges et contre la grève de ces nantis de fonctionnaires
Récemment à la poste, je faisais la queue comme tout le monde et un type devant moi, me prenant à témoin, pestait contre ces f.. fonctionnaires.
Je lui ai simplement demandé s'il savait combien de CDD ou de précaires travaillaient dans ce bureau pour un salaire de misère, avec des horaires impossibles (ce bureau ferme à 19h) et en se faisant eng... en prime !
Et si c'était les salariés du privé qui s'étaient laissés b... dans les grandes largeurs sans protester ?
Un exemple : mon oncle (77 ans) a fait toute sa carrière comme facteur. Il a fait pas mal d'années en vélo dans les Vosges, et crois-moi en hiver on se pèle, avant d'avoir une voiture et après y avoir laissé sa santé.
Il touche moins de retraite que sa femme, qui a moins cotisé pour élever les enfants et a souvent travaillé à mi-temps.
Alors, avant de regarder dans l'assiette du voisin pour voir si elle est mieux garnie, on devrait peut-être se poser les bonnes questions.
Ceci dit, si tu parles de hauts fonctionnaires, je suis d'accord
Les fonctionnaires sont un peu comme les livres d'une bibliothèque. Ce sont les plus hauts placés qui servent le moins.
G. Clemenceau
Dans les années 70-80, dans une manifestation il y'avait toujours des "casseurs professionnels" payés pour provoquer des troubles à l'ordre public suffisants pour que la police puisse intervenir avec motif.C'est vrai, vous avez raison! Que pensez vous de ça !
Les flics et les enseignants sont si bien lotis que je crois qu'ils battent les records de suicides par corporation.Dans la police, en tous les cas, même si le boulot ne m'intéresse pas, ils sont très bien loti. Retraite à 55 à taux plein.
Les enseignants, faut pas trop qu'on les plaignent non plus.
Les cheminots, conducteurs... il y a pire que ces métiers là.
S....ds de SDF à qui on donne une tente toute neuve gratuitement et en outre ils peuvent aller la planter même dans le 16ème arrondissement et habiter dans un quartier bourgeois, ou au bord de l'eau. Ce sont vraiment des privilégiés ces gensC'est au niveau du smicard qui jalouse le RMIste, qui peut-être va jalouser le SDF qui n'a pas à payer de loyer, lui
Surtout ceux qu'on estime que les autres ont.Je suis pour la fin des privilèges et contre la grève de ces nantis de fonctionnaires
Des sabotages à la SNCF alourdissent le climat des négociations
Des actions concertées de sabotage ont eu lieu, mercredi 21 novembre en début de matinée, sur le réseau des trains à grande vitesse. Entre quatre et six heures du matin, une série de dégradations "ponctuelles" mais "très ciblées", selon le ministère de l'intérieur, ont fortement perturbé la circulation des TGV. Ces actes de malveillance, intervenus quelques heures avant le début des négociations sur les régimes spéciaux à la SNCF et à la RATP, témoignent, selon le ministère de l'intérieur, des risques de radicalisation venant de "petits groupes".
Sur la ligne Est, un incendie volontaire d'artères de câbles au kilomètre 28 a empêché la circulation normale des trains à partir de 6 h 10. Sur les lignes Nord et Sud-Est, des commutateurs de signalisation ont été fermés alors que d'autres incendies ponctuels étaient signalés. Ces dégradations ont entraîné des retards d'une à quatre heures selon les réseaux. Sur la ligne Atlantique, un incendie très important touchant aussi des artères de câbles a endommagé le réseau de signalisation sur une trentaine de kilomètres, bloquant totalement la circulation des trains. Les TGV ont dû être détournés sur des lignes classiques. La SNCF souligne que l'endroit choisi, Courtalin, ne relève pas du hasard puisque c'est précisément l'endroit ou le réseau se sépare en deux entre le Sud-Ouest et la Bretagne.
Le ministère de l'intérieur note que les cibles visées témoignent d'"une connaissance des installations" par "les auteurs des faits". Des incidents avaient déjà été signalés ces derniers jours mais étaient restés "isolés" selon la police. La SNCF avait ainsi déjà condamné à deux reprises, le 16 et le 19 novembre, des "actes de malveillance menés à l'initiative de certains personnels en grève". L'entreprise publique avait fait état d'"exactions" (mise en place d'obstacles sur les voies, détériorations de matériels, dépôt de ballast sur les aiguillages, etc.) notamment à Toulouse, Paris Saint-Lazare ou Lille.
La SNCF a porté plainte pour chaque exaction. Pour Guillaume Pepy, directeur général exécutif de la SNCF, "ces actes qui sont commis au moment où vont débuter les premières négociations le sont à dessein pour faire échouer et essayer de contrer la négociation". Pour le directeur général de la SNCF, ces "actes trahissent les valeurs du monde cheminot, des valeurs basées sur la sécurité, le travail et l'outil de travail".
La condamnation de ces actes a été unanime : Didier Le Reste, secrétaire général de la fédération CGT-Cheminots, a vivement condamné "ces opérations de commandos qui mettent en cause la sécurité des personnes", évoquant "des opérations menées par des lâches". Le secrétaire d'Etat aux transports, Dominique Bussereau, a condamné ces "exactions graves et apparemment cordonnées qui mettent en péril la sécurité des personnes".
Ces actes de malveillance interviennent alors qu'ont débuté, mercredi, les négociations sur les régimes spéciaux à la SNCF et à la RATP. La veille, Nicolas Sarkozy était remonté en première ligne. En déclarant devant l'Association des maires de France qu'"il faut savoir terminer une grève", le chef de l'Etat a indiqué quelles étaient les limites à ne pas franchir. Sans attendre les résultats des deux réunions tripartites à la RATP et à la SNCF, M. Sarkozy a signifié qu'une reprise significative du travail, après huit jours de grève, était attendue.
Après les manifestations, la CGT, en première ligne dans le conflit et dans la négociation, a dessiné le cadre d'une suspension possible du mouvement. Dans un communiqué, mardi soir, la confédération déclarait "apprécier positivement l'ouverture de négociations tripartites". Inquiète de connaître des débordements sur sa gauche, la CGT a mis en garde explicitement contre "la prétention de certains responsables politiques à vouloir conduire un mouvement dont le caractère doit rester revendicatif, syndical et social".
Le syndicat, en constatant "l'évolution du taux de grévistes", à la baisse, "recommande aux assemblées générales d'avoir le souci du rassemblement le plus large du personnel (...) et de préserver les capacités d'intervention des salariés dans l'unité pendant la période de négociation, prévue sur plusieurs semaines".
La CGT dessine ainsi le scénario d'une reprise du travail dans les tout prochains jours, tout en s'engageant à "consulter les personnels concernés". Responsable du dossier retraites à la CGT, Jean-Christophe Le Duigou explique : "Il y a des sujets difficiles qui ne seront pas réglés avant fin décembre, on ne va pas faire grève pendant un mois."
tristesir a écrit :Il faut croire qu'ils n'aiment pas les Chérèque en blanc
Sait-on où Denis Gautier-Sauvagnac s'est trouvé ces derniers jours?Pili a écrit :Chéréque recadré !
Oui, Chéréque, lorsqu’il s’est pointé à 14h00 au point fixe à hauteur du métro Gobelin, lieu du départ de la longue marche des cortèges ouverte par les Cheminots, s’est fait huer par nous tous : « Chéréque Trahison, Chéréque , vendu, l traite" ! Et a fini par ce défilé en courant !