Est ce que la réponse à cette question peut justifier qu'on tabasse mon frère? La violence peut toucher tout le monde. Cette question c'est comme si tu justifiais les actes de l'agresseur...pour ramener un équilibre...slarbi a écrit :connaisez vous combien y -a -t-il de cas , mais dans l'autre sens ?
donnez moi des raisons pour ne pas devenir raciste
moi je suis raciste envers les cons tout simplement :
un môme dans une banlieue n'est pas obligé de casser des bagnoles, de tabasser un type, de violer une gamine...
un arabe n'est pas forcément un voleur. j'ai des amis arabes et d'autres que je ne peux pas voir.
je travaille avec des "blancs", des "ritals", des "espagnols", et je suis "jaune"
ma compagne est 25% allemande, 25% suédoise, 50% française (encore que si on cherche doit bien y avoir de l'espagnol là dedans)
Je n'aime pas les politiques et le système qui fait que certains vont en taule pour certains délits et que d'autres sont relâchés illico au motif que faut pas jeter de l'huile sur le feu et mettre le feu aux cités. Bientôt on va arriver à une impunité totale pour certains au motif que si on y touche, c'est la guerre civile?
je n'aime pas mon voisin con qui ne me dit pas bonjour (un blanc) et j'aime bien mon autre voisin qui est bronzé
mon seul racisme c'est vers la race des cons. Les gens fréquentables, il y en a dans tous les milieux toutes les classes sociales de toutes origines, les cons aussi. pour moi ils n'ont pas de couleur, ils sont juste.... cons.
un môme dans une banlieue n'est pas obligé de casser des bagnoles, de tabasser un type, de violer une gamine...
un arabe n'est pas forcément un voleur. j'ai des amis arabes et d'autres que je ne peux pas voir.
je travaille avec des "blancs", des "ritals", des "espagnols", et je suis "jaune"
ma compagne est 25% allemande, 25% suédoise, 50% française (encore que si on cherche doit bien y avoir de l'espagnol là dedans)
Je n'aime pas les politiques et le système qui fait que certains vont en taule pour certains délits et que d'autres sont relâchés illico au motif que faut pas jeter de l'huile sur le feu et mettre le feu aux cités. Bientôt on va arriver à une impunité totale pour certains au motif que si on y touche, c'est la guerre civile?
je n'aime pas mon voisin con qui ne me dit pas bonjour (un blanc) et j'aime bien mon autre voisin qui est bronzé
mon seul racisme c'est vers la race des cons. Les gens fréquentables, il y en a dans tous les milieux toutes les classes sociales de toutes origines, les cons aussi. pour moi ils n'ont pas de couleur, ils sont juste.... cons.
"Est ce que la réponse à cette question peut justifier qu'on tabasse mon frère? La violence peut toucher tout le monde. Cette question c'est comme si tu justifiais les actes de l'agresseur...pour ramener un équilibre..."
Ma reponse à ta question est Non ,, tu la deja donner à ma place:
La violence peut toucher tout le monde.
la violence, elle n'est pas discriminatoire , contrairement à l'homme
Ma reponse à ta question est Non ,, tu la deja donner à ma place:
La violence peut toucher tout le monde.
la violence, elle n'est pas discriminatoire , contrairement à l'homme
Je rectifie : je suis raciste envers la violence quelque soit son aspect ( morale,physique, sexuelle ...), quelque soit sa victime ... Moi même j'ai été victime de violences donc je sais ce que l'on ressent...c'est peut être pour cela que ça reveille en moi la colère parce que je sais que je suis impuissante face à cette violence qui marque un certain temps si ce n'est à vie la personne victime ...
Bonjour,
Donc vous n'êtes pas raciste ce qui est de bon sens parceque la violence n'est pas une race.
Quelles raisons pour ne pas céder à des envies de "racisme" quand on ressent ces "sentiments légitimes qui apparaissent quand des actes dépassent notre entendement et que domine un impérieux besoin de réponse pour ne pas sombrer dans l'irraisonable".
Il n'y a pas de raison de ne pas céder,
mais il n'y a pas de raison de céder.
C'est un choix de vie.
Tout dépend de vos convictions, connaissances, apprentissages, (innés ou acquis) etc...?
Quel est le bon sens pour ce choix?
Je ne sais pas.
Cependant,
j'observe que
quand j'ai un bouton sur le nez,
je ne me badigeonne pas le visage de mercurochrome.
et je ne demande pas qu'on me donne une bonne raison pour ne pas le faire.
Ce simple bon sens là me plait bien.
Et je m'y soumet en attendant de trouver une compréhension, une réponse à "la violence aveugle",
sujet réellement problématique qui ne saurait se satisfaire d'une analyse aussi simpliste que l'apparence physique ou la classe sociale.
Ce que vous appelez racisme est une réponse simpliste aux sentiments contradictoires que vous éprouvez.
Cette réponse est faussée car pour être raciste, il vous faut pratiquer des actes racistes, tenir des propos, militer en quelque sorte. Ce que vous ne faites pas.
En fait, vous cherchez une réponse acceptable à "l'acte incompréhensible qui défie votre raisonnement". Cette recherche est légitime parceque sans cette réponse, votre équilibre devient instable. (pourquoi alors ne pas user soi-même de violence pour résoudre ses difficultés?) et à l'extrème vous risquez de devenir suicidaire (et alors pourquoi ne pas se détruire en même temps que l'on détruit ce qui nous défie). Cette spécificité de notre psychisme est utilisée par nombre de prophètes en besoin de martyrs.
De plus il est impossible de vivre dans l'alarme permanente et, à un sentiment de danger il est nécessaire d'apporter une identification sous peine de basculer dans la terreur. L'identification par l'origine permet une réponse qui visualise simplement et permet les réactions rassurantes mais ne résoud en rien le questionnement de la violence. (Pour preuve, que pendant qu'on se garde de "l'étranger", il n'est pas rare que "le proche de confiance" s'acharne sur la petite).
Ainsi, loin du racisme et du fait de donner apparence à ce qu'on ne voit pas, le pire de la violence serait bien que ses porteurs soit "invisibles".
Et si, heureusement, ce n'est pas le cas,
la violence, malheureusement, quand elle n'est pas primaire,
maîtrise parfaitement l'art du camouflage .
Donc vous n'êtes pas raciste ce qui est de bon sens parceque la violence n'est pas une race.
Quelles raisons pour ne pas céder à des envies de "racisme" quand on ressent ces "sentiments légitimes qui apparaissent quand des actes dépassent notre entendement et que domine un impérieux besoin de réponse pour ne pas sombrer dans l'irraisonable".
Il n'y a pas de raison de ne pas céder,
mais il n'y a pas de raison de céder.
C'est un choix de vie.
Tout dépend de vos convictions, connaissances, apprentissages, (innés ou acquis) etc...?
Quel est le bon sens pour ce choix?
Je ne sais pas.
Cependant,
j'observe que
quand j'ai un bouton sur le nez,
je ne me badigeonne pas le visage de mercurochrome.
et je ne demande pas qu'on me donne une bonne raison pour ne pas le faire.
Ce simple bon sens là me plait bien.

Et je m'y soumet en attendant de trouver une compréhension, une réponse à "la violence aveugle",
sujet réellement problématique qui ne saurait se satisfaire d'une analyse aussi simpliste que l'apparence physique ou la classe sociale.
Ce que vous appelez racisme est une réponse simpliste aux sentiments contradictoires que vous éprouvez.
Cette réponse est faussée car pour être raciste, il vous faut pratiquer des actes racistes, tenir des propos, militer en quelque sorte. Ce que vous ne faites pas.
En fait, vous cherchez une réponse acceptable à "l'acte incompréhensible qui défie votre raisonnement". Cette recherche est légitime parceque sans cette réponse, votre équilibre devient instable. (pourquoi alors ne pas user soi-même de violence pour résoudre ses difficultés?) et à l'extrème vous risquez de devenir suicidaire (et alors pourquoi ne pas se détruire en même temps que l'on détruit ce qui nous défie). Cette spécificité de notre psychisme est utilisée par nombre de prophètes en besoin de martyrs.
De plus il est impossible de vivre dans l'alarme permanente et, à un sentiment de danger il est nécessaire d'apporter une identification sous peine de basculer dans la terreur. L'identification par l'origine permet une réponse qui visualise simplement et permet les réactions rassurantes mais ne résoud en rien le questionnement de la violence. (Pour preuve, que pendant qu'on se garde de "l'étranger", il n'est pas rare que "le proche de confiance" s'acharne sur la petite).
Ainsi, loin du racisme et du fait de donner apparence à ce qu'on ne voit pas, le pire de la violence serait bien que ses porteurs soit "invisibles".
Et si, heureusement, ce n'est pas le cas,
la violence, malheureusement, quand elle n'est pas primaire,
maîtrise parfaitement l'art du camouflage .
Décidement, j'adore le texte ci dessous. 3éme fois que je le colle. Mais il a tant enrichi ma réflexion que je n'hésite pas, une fois de plus.Si vous trouvez que je radote, n'hésitez pas non plus à me le dire.
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Citation:
commentaires.com - Boris Cyrulnik
jeudi 20 janvier 2005
[ Boris Cyrulnik, psychiatre et écrivain, n’était qu’un enfant quand ses parents ont été raflés à Bordeaux. Ils ont disparu à Auschwitz. Lui-même arrêté, il a réussi à s’enfuir. Soixante ans après, cette expérience continue de nourrir sa réflexion sur le nazisme. Et sur la nature humaine... ]
J’avais 6 ans et demi quand, une nuit, j’ai été arrêté par des inspecteurs français portant des lunettes noires. Les policiers m’ont poussé vers la porte où des soldats allemands constituaient avec leurs fusils une haie qui orientait vers des camions. La rue était barrée. Le silence et l’ordre régnaient. Un inspecteur a dit qu’il fallait m’éliminer parce que plus tard je deviendrais un ennemi de la société. J’ai appris cette nuit-là que j’étais destiné à commettre une faute qui méritait une mise à mort préventive.
Soixante ans plus tard, je pense que ce policier a dû éprouver un merveilleux sentiment d’ange exterminateur. En participant avec tant de compétence à une série de coups de filet qui ont tué 1645 adultes et 239 enfants sur les 240 raflés, il a obéi à un ordre moral. On peut tuer des innocents sans éprouver de culpabilité quand l’obéissance est sacralisée par la culture. La soumission déresponsabilise le tueur puisqu’il ne fait que s’inscrire dans un système social où l’assujettissement permet le bon fonctionnement. Ce qui compte dans ce cas, c’est l’objectif et non pas la relation. Et même le mot «obéissance» désigne des sentiments différents selon le contexte où il est prononcé. Quand deux personnes s’affrontent, celui qui obéit éprouve un sentiment de défaite. Tandis que le simple fait d’appartenir à un groupe ennoblit l’obéissance, puisque celui qui se soumet donne le pouvoir à sa communauté grâce à sa subordination. Quand l’âme du groupe, un dieu, un demi-dieu, un chef ou un philosophe, propose un merveilleux projet d’épuration, c’est au nom de l’humanité que la personne obéissante participe au crime contre l’humanité.
Dès l’âge de 6 ans, il m’a fallu comprendre que ce qui gouverne un groupe ne correspond pas toujours à ce qui gouverne les individus qui composent ce groupe. Chaque soir, dans la synagogue de Bordeaux transformée en prison, un soldat venait s’asseoir près de moi pour me montrer une photo de sa famille. Je ne comprenais pas ses mots mais je sentais clairement qu’il avait besoin de parler de ses proches et de son petit garçon qui, d’après ses gestes, avait mon âge et me ressemblait. Plus tard, j’ai vu ce gentil papa frapper à coups de crosse les enfants qui ne se dirigeaient pas assez vite vers les wagons à bestiaux de la gare Saint-Jean. Quand cet homme venait, le soir, me parler de son fils, il répondait à un besoin d’affection. Quand ce soldat poussait les enfants vers les wagons scellés, il obéissait à une représentation théorique qui récitait les slogans du demi-dieu que sa collectivité vénérait.
Depuis ce jour, la récitation des certitudes m’alarme et la vulnérabilité des hommes m’attendrit. Dès l’âge de 6 ans, il m’a fallu comprendre que mes geôliers se soumettaient avec ravissement, afin de participer à un triomphe.
Aujourd’hui, je pense que peu de personnalités sont capables d’échapper à une pression culturelle qui apporte tant de bénéfices: l’affection des siens, l’estime de soi, la griserie de l’appartenance et la noblesse d’un projet moral épurateur fondé sur une croyance en une surhumanité. C’est délicieux d’être gouverné par un demi-dieu, ça déresponsabilise, ça supprime l’angoisse. Quand le «moi» est fragile, le «nous» sert de prothèse et les hommes d’appareil aiment grimper l’échelle des valeurs qui leur sont imposées. Leur facilité à apprendre les récitations, leur aptitude à faire marcher le système et leur art de la relation les placent rapidement en haut de l’échelle, quelle qu’elle soit. Ce qui compte pour eux et provoque leur bonheur, c’est de grimper. Le moindre doute briserait leur rêve d’une société épurée. Seul un traître peut remettre en cause un si beau projet.
Cette heureuse affiliation engage les personnalités conformistes dans une relation perverse, où l’emprise sur l’autre et sa disparition se programment au nom du Bien. Dans tout génocide, le tueur se sent innocent puisqu’il transcende le massacre et, en cas de défaite, explique qu’il n’a fait qu’obéir. Le soumis-triomphant ne se pense pas comme une personne, mais comme un rouage, ce qui provoque sa fierté.
A la Libération, de Gaulle a été accueilli au Grand Hôtel à Bordeaux. On m’a demandé de lui offrir un bouquet de fleurs. La nuit, un milicien s’est infiltré afin d’assassiner le Général. L’homme a été attrapé et lentement lynché, un coup de poing par-ci, un coup de crosse par-là. Il est mort, tué par mes libérateurs, des hommes que j’admirais. Ce jour-là, il m’a fallu comprendre que l’ambivalence est au cœur de la condition humaine et que la vengeance aussi est une soumission au passé.
Le processus qui permet d’exterminer un peuple sans éprouver de sentiment de crime est toujours le même. En voici la recette: d’abord, il faut le désocialiser afin de le rendre vulnérable. Personne n’a protesté quand une des premières lois de Pétain a décrété la réquisition des vélos des avocats juifs. Ce n’est pas grave, entendait-on, tant qu’on respecte les personnes. Mais dans une société dépourvue d’essence et de voiture, un homme sans vélo ne peut plus travailler. Puis il convient de parler de ce groupe humain en employant des métaphores animales: «des rats qui polluent notre société», «des vipères qui mordent le sein qui les a nourries»… Quand on arrive enfin à la démarche administrative signée par un représentant du demi-dieu ou énoncée à la radio par un porte-parole du maître, il devient possible de mettre à mort ce peuple sans éprouver de culpabilité car «ce n’est pas un crime tout de même d’éliminer des rats»!
Surhommes dérisoires soumis à des demi-dieux absurdes, les nazis ont provoqué une déflagration mondiale, un massacre inouï pour une bagatelle idéologique, une théorie navrante. Ils ont cru à une représentation incroyable, ils ont récité des fables riquiqui où ils se sont donné un rôle grandiose. Le panurgisme de ces moutons intellectuels leur a offert une brève illusion de grandeur. Ils avaient besoin de haine pour légitimer et exalter leur programme délirant, car dans le quotidien c’est la banalité et la soumission qui caractérisaient leur projet.
Mais, n’y a-t-il que les nazis pour fonctionner ainsi?
Copyright Le Nouvel Observateur
Appuie-leur un pistolet sur la tempe pour voir s'ils n'ont vraiment peur de rien. Et si vraiment ils n'ont peur de rien, ben, appuie effectivement sur la gâchette pour voir l'effet que ça fait ! Avec les cons, il n'y a pas à discuter. Et les cons, il y en a partout, ce n'est le monopole de personne : jeunes, vieux, blancs, noirs, femmes, hommes, ouvriers, cadres, riches, pauvres, etc, etc. Mais, il y a des catégories de métiers où le pourcentage est plus élevé qu'ailleurs. Mais, ça c'est subjectif.gaia a écrit :...
Le problème c'est que ces mecs sont déjà des caïds qui n'ont peur de rien.
la connerie n'est pas une race !
Et on est toujours le con de quelqu'un : c'est ce que nous avons tous en commun.
Non au racisme
Je t'avoue que ta reaction est franchement...stupide!
1) Parce que dans le tas, ya pas que des etrangers, ya aussi des francais.
2) c'est bien des reactions de francais ca: "ah ma bagnole, c horrible!!!! qu'est ce que je vais devenir????"
Et ce que ces pauvres jeunes ressentent, cette haine que la société leur inspire (ya de quoi!!!), car ils sont rejetés en permanence alors qu'ils vivent dans des conditions abominables. Ils sont victimes de racisme sans arret de la part des francais, les rejetent du monde dy travail et les ecarte de tout, car ceux ci, en majorité fermés d'esprit, n'acceptent pas la différence sociale, a tel point que si t'as pas la peau blanche comme eux, tu degages. Bande de primates va!
ca prouve bien une chose: c'est que les blancs passent leur temps a se regarder le nombril, et ne voient pas la detresse des autres qui les entoure (les etrangers, mais pas qu'eux)
J'ai été ecoeuré de voir a la télé tous ces gens crier au scandale car ces jeunes se revoltaient. Et franchement ils ont raison!!! Merde en France rien ne bouge, tout s'aggrave, les gens ne font rien et en plus se soucient que de leur petite personne. vous volez que je vous dise: "vous etes lamentables, pour ne pas voir toute cette detresse et vous soucier uniquement de vos biens superficiels".
Merci!!!
1) Parce que dans le tas, ya pas que des etrangers, ya aussi des francais.
2) c'est bien des reactions de francais ca: "ah ma bagnole, c horrible!!!! qu'est ce que je vais devenir????"
Et ce que ces pauvres jeunes ressentent, cette haine que la société leur inspire (ya de quoi!!!), car ils sont rejetés en permanence alors qu'ils vivent dans des conditions abominables. Ils sont victimes de racisme sans arret de la part des francais, les rejetent du monde dy travail et les ecarte de tout, car ceux ci, en majorité fermés d'esprit, n'acceptent pas la différence sociale, a tel point que si t'as pas la peau blanche comme eux, tu degages. Bande de primates va!
ca prouve bien une chose: c'est que les blancs passent leur temps a se regarder le nombril, et ne voient pas la detresse des autres qui les entoure (les etrangers, mais pas qu'eux)
J'ai été ecoeuré de voir a la télé tous ces gens crier au scandale car ces jeunes se revoltaient. Et franchement ils ont raison!!! Merde en France rien ne bouge, tout s'aggrave, les gens ne font rien et en plus se soucient que de leur petite personne. vous volez que je vous dise: "vous etes lamentables, pour ne pas voir toute cette detresse et vous soucier uniquement de vos biens superficiels".
Merci!!!
Non au racisme
De quoi tu parles, tu n'as pas du tout lire, je pense. Déjà vu que c'est moi qui est lancé le débat, je ne parle même pas d'émeutiers mais de violences répétées (violence physique tu sais celle qui laisse des traces sur la peau et moralement) qui concerne ma famille. Je crois avoir le droit de me plaindre, d'être en colère... Si tu veux t'adresser à quelqu'un adresse toi aux racistes au lieu de t'en prendre à moi et aux autres intervenants parce que jusqu'a ton intervention personne quelque soit son origine n'a commencé à traiter l'autre de primate... (quoiqu' on a tous pour origine un primate ) ensuite JE NE SUIS PAS RACISTE ET JE PENSE QUE TOUS LES AUTRES INTERVENANTS NE LE SONT PAS NON PLUSObituary a écrit :Je t'avoue que ta reaction est franchement...stupide!
1) Parce que dans le tas, ya pas que des etrangers, ya aussi des francais.
2) c'est bien des reactions de francais ca: "ah ma bagnole, c horrible!!!! qu'est ce que je vais devenir????"
Et ce que ces pauvres jeunes ressentent, cette haine que la société leur inspire (ya de quoi!!!), car ils sont rejetés en permanence alors qu'ils vivent dans des conditions abominables. Ils sont victimes de racisme sans arret de la part des francais, les rejetent du monde dy travail et les ecarte de tout, car ceux ci, en majorité fermés d'esprit, n'acceptent pas la différence sociale, a tel point que si t'as pas la peau blanche comme eux, tu degages. Bande de primates va!
ca prouve bien une chose: c'est que les blancs passent leur temps a se regarder le nombril, et ne voient pas la detresse des autres qui les entoure (les etrangers, mais pas qu'eux)
J'ai été ecoeuré de voir a la télé tous ces gens crier au scandale car ces jeunes se revoltaient. Et franchement ils ont raison!!! Merde en France rien ne bouge, tout s'aggrave, les gens ne font rien et en plus se soucient que de leur petite personne. vous volez que je vous dise: "vous etes lamentables, pour ne pas voir toute cette detresse et vous soucier uniquement de vos biens superficiels".
Merci!!!
Pour être clair j'ai lancé le sujet alors que j'étais encore émue de ce qui venait d'arriver et en colère. Si tu juges que ce n'est pas humain alors tant pis ...
Tu parles de haine des jeunes et bien je dirais un truc s'ils veulent se défouler qu'ils se défoulent sur quelqu'un d'autre parce ma famille et moi on vit sans emmerder personne. Et tu sais quoi on est six enfants trois sont au chomage. Le chomage touche tout le monde :vieux, jeune ... Ensuite je ne suis pas blanche je suis un être humain. Enfin le racisme n'a pas de couleurs.
La différence entre ceux qui frappent sans raison et moi c'est que moi j'ai des valeurs qui me disent : si tu t'en prends à quelqu'un tu fais du mal.ylenorm a écrit :Appuie-leur un pistolet sur la tempe pour voir s'ils n'ont vraiment peur de rien. Et si vraiment ils n'ont peur de rien, ben, appuie effectivement sur la gâchette pour voir l'effet que ça fait ! Avec les cons, il n'y a pas à discuter.
Réponse à "Obituary"
Je ne crois pas avoir déjà vu ton pseudo sur ce site, alors je crois utile de t'expliquer un petit truc.
Le "jeu" (à supposer que c'en soit un) ne consiste pas à se pointer ici pour insulter les lecteurs et les contributeurs des forums.
De ce point de vue, lorsque tu écris (faute d'orthographe comprise ; un conseil : utilises la prévisualisation...) : "vous volez que je vous dise: 'vous etes lamentables, pour ne pas voir toute cette detresse et vous soucier uniquement de vos biens superficiels' " , tu es sérieusement en dehors du coup !!!
Pour ce qui me concerne, non, je ne veux pas que tu me dises !
A bon entendeur...
Le "jeu" (à supposer que c'en soit un) ne consiste pas à se pointer ici pour insulter les lecteurs et les contributeurs des forums.
De ce point de vue, lorsque tu écris (faute d'orthographe comprise ; un conseil : utilises la prévisualisation...) : "vous volez que je vous dise: 'vous etes lamentables, pour ne pas voir toute cette detresse et vous soucier uniquement de vos biens superficiels' " , tu es sérieusement en dehors du coup !!!
Pour ce qui me concerne, non, je ne veux pas que tu me dises !
A bon entendeur...
Non au racisme
Je voulais te demander Obituary de réfléchir sur tes propres mots je ne veux pas donner de leçon mais si ta vision de la société est celle là : cad mettre TOUS les blancs dans le même sac, s'imaginer qu'aucun blanc n'est dans la détresse ou qu'aucun blanc ne voit la détresse des autres ... n'est ce pas de l'aveuglement ou pire .... Tu crois que ceux qui "survivent" dans notre belle société sont tous des "non blancs".Obituary a écrit : ca prouve bien une chose: c'est que les blancs passent leur temps a se regarder le nombril, et ne voient pas la detresse des autres qui les entoure (les etrangers, mais pas qu'eux)
Merci!!!