Montebourg/Rénover Maintenant, le fil d'info
Montebourg/Rénover Maintenant, le fil d'info
Arnaud Montebourg (un de nos invités du mois), co-fondateur du NPS (Nouveau Parti Socialiste), a au moins une qualité : ce n'est pas une girouette !
Fervent défenseur de la VIe République (qui, selon lui, peut sortir la France du malaise social et démocratique que nous connaissons), Montebourg n'a pas voté la "synthèse" sortie du dernier congrès du PS.
Pour notre part - APNÉE/Actuchomage - nous ne sommes ni adhérents ni sympathisants du NPS, mais nous partageons l'analyse de Montebourg sur la nécessité d'un changement en profondeur.
Mais visiblement le PS considère que nos institutions fonctionnent bien, que les Français sont bien représentés notamment à l’Assemblée nationale, que la Ve République n'est pas désuète…
Initiée en 1958, sous Charles de Gaulle, la Ve a encore quelques belles décennies devant elle… surtout avec Nicolas Sarkozy comme Président de "droit divin".
Ça promet !
Yves - Un animateur du site
…/…
Montebourg n'a pas voté la synthèse
NOUVELOBS.COM | 21.11.05 | 09:09
Isolé, le co-fondateur du courant NPS juge que la synthèse n'aura "pas de pérennité", "n'est pas efficace" et a "peu de crédibilité".
Co-fondateur du courant NPS, le député Arnaud Montebourg a refusé de participer dimanche 20 novembre au Mans au vote sur la synthèse entre les courants du Parti socialiste. Le député de Saône-et-Loire a considéré que cette synthèse n'aura "pas de pérennité", "n'est pas efficace" et a "peu de crédibilité".
Arnaud Montebourg défendait ardemment un projet de VIe République qui a été refusé par la motion majoritaire du Parti socialiste. Un refus qui l’a poussé à adopter "une position de réserve".
La synthèse entre les courants du PS a été voté dans la nuit de samedi à dimanche après six heures de négociations.
"Nous avons, par loyauté pour le parti, laissé les camarades qui voulaient faire la synthèse la faire, mais nous n'avons pas voulu prêter notre concours", a déclaré Arnaud Montebourg.
Il juge que la synthèse est "insuffisante, car le PS a encore besoin de se transformer". "Nous aurions pu parvenir à un meilleur accord", "faire unité et rénovation", a-t-il estimé.
Fervent défenseur de la VIe République (qui, selon lui, peut sortir la France du malaise social et démocratique que nous connaissons), Montebourg n'a pas voté la "synthèse" sortie du dernier congrès du PS.
Pour notre part - APNÉE/Actuchomage - nous ne sommes ni adhérents ni sympathisants du NPS, mais nous partageons l'analyse de Montebourg sur la nécessité d'un changement en profondeur.
Mais visiblement le PS considère que nos institutions fonctionnent bien, que les Français sont bien représentés notamment à l’Assemblée nationale, que la Ve République n'est pas désuète…
Initiée en 1958, sous Charles de Gaulle, la Ve a encore quelques belles décennies devant elle… surtout avec Nicolas Sarkozy comme Président de "droit divin".
Ça promet !
Yves - Un animateur du site
…/…
Montebourg n'a pas voté la synthèse
NOUVELOBS.COM | 21.11.05 | 09:09
Isolé, le co-fondateur du courant NPS juge que la synthèse n'aura "pas de pérennité", "n'est pas efficace" et a "peu de crédibilité".
Co-fondateur du courant NPS, le député Arnaud Montebourg a refusé de participer dimanche 20 novembre au Mans au vote sur la synthèse entre les courants du Parti socialiste. Le député de Saône-et-Loire a considéré que cette synthèse n'aura "pas de pérennité", "n'est pas efficace" et a "peu de crédibilité".
Arnaud Montebourg défendait ardemment un projet de VIe République qui a été refusé par la motion majoritaire du Parti socialiste. Un refus qui l’a poussé à adopter "une position de réserve".
La synthèse entre les courants du PS a été voté dans la nuit de samedi à dimanche après six heures de négociations.
"Nous avons, par loyauté pour le parti, laissé les camarades qui voulaient faire la synthèse la faire, mais nous n'avons pas voulu prêter notre concours", a déclaré Arnaud Montebourg.
Il juge que la synthèse est "insuffisante, car le PS a encore besoin de se transformer". "Nous aurions pu parvenir à un meilleur accord", "faire unité et rénovation", a-t-il estimé.
Dernière modification par Yves le 19 avr. 2006, modifié 1 fois.
l'Histoire attend plus de Monsieur Arnaud Montebourg
Nul doute qu'il a l'intime conviction que sans un changement profond des Institutions de la République, rien, absolument rien ne pourra sortir la France de la crise grave qu'elle traverse depuis des décennies (appelée fracture sociale).
J'ai lu la machine à trahir, puis le projet commenté de la constitution de la 6ème république, j'ai adhéré à la C6R et je suis le premier à voter pour lui. Croyez-moi plusieurs personnes que je connais veulent du concret pour que ça change : mettre le bulletin de vote libérateur le jour J. Cela est plus efficace que mille et une pétitions sans effet.
Mais il faut que Monsieur A. MONTEBOURG fasse vite car d'autres se sont mis très tôt en campagne c'est à dire des mois voire une ou deux années à l'avance avec "l'héroïsme" qu'on sait.
Oui je sais aussi que ces personnes ont toute une "artillerie très très lourde" "une main cachée trop puissante" derriére elles qui les soutient dont entre autres les Etats Unis d'Amérique dont elles vantent les mérites à chaque fois que l'occasion leur est donnée. Et c'est ça qui explique pourquoi elles sont si sûres d'elles dans leurs attaques face à des moustiques comme a dit un chef de parti bien connu.
Mais vous, Monsieur Arnaud Montebourg qui avait osé dire NON, vous aurez tous les Français qui veulent vraiment que cela change enfin et sans replâtrage permanent. Replâtrage dont on a connu tout récemment l'un des effets néfastes sur notre environnement immédiat. Ces évènements ne sont que l'arbre qui cache la forêt et plus la CAPACITE D'ECOUTE de nos dirigeants est NULLE plus le pays risque de plonger dans des situations encore plus graves voire dramatiques. Puis on dira "Tiens on a rien vu venir !"
Mais où va la France comme ça?
Monsieur A. Montebourg doit à mon avis éviter les demi-mesures qui n'aboutiront à rien. Il doit s'il veut bousculer comme il dit l'Histoire créer sans délai son propre parti ( le PPS : Parti du Progrès et du Socialisme par exemple ) pour que tous ceux qui ne se reconnaissent plus dans le Parti Socialiste tel qu'il est maintenant votent pour lui mais aussi ceux moins utopistes qui ne voteront pas LCR, PCF ou autres partis de gauche sachant que ces partis par définition n'accèderont jamais à l'Autorité Suprême du pays.
Le PS tous les français le connaissent...Il a dirigé la France depuis 14ans +5 années Jospin sous Chirac et il a contribué à sa façon à la crise que traverse la France actuellement.
Que peut-il apporter de neuf si ce n'est la rénovation totale et absolue des Institutions si réellement les Socialistes veulent revenir au Pouvoir, or dans leur congrès ils ont rejeté en grande partie le principe de la 6ème République. Il n'y a donc absolument rien à attendre d'une Equipe qui avait 19 ans pour faire ses preuves et qui n'a pas réussi à mettre pour de bon le Pays sur les rails.
On voit les mêmes têtes qui ne cachent plus leur ambition à diriger le pays comme s'ils ont fait preuve de compétences hors du commun. Pour ma part, Monsieur Lambda, j'hallucine quand j'entends leurs prétentions!
Bref, à présent je crois ou il faut réformer les institutions ou laisser le champ libre aux populistes de tous bords occuper éhontément les lieux et enfoncer la France dans des situations inextricables. Par la même occasion et par honnêteté intellectuelle, j'exclus de mon approche Monsieur Dominique de Villepin qui me paraît représenter l'unique alternative comme futur Président de la République (de par même sa personnalité et sa modération de langage) dans le cas où personne ne veut de la Réforme proposée par Monsieur Arnaud Montebourg que je soutiens du fond du coeur.
Ceux qui jugeraient mon idée farfelue et que je rabâche depuis le NON du 29 mai 2005 n'ont qu'à prendre l'exemple tout récent d'Ariel Sharon qui annonce dans le même temps sa démission du poste de Premier Ministre, des élections législatives anticipées et la création d'un nouveau parti situé au Centre en quittant le parti du Likoud qu'il a lui même crée ( Shimon Péres donne des coups de pieds pour faire équipe avec lui mais Sharon sûr de son coup l'y invite mais froidement).
J'ai signé par principe la pétition proposée dans le sens de la réforme des institutions mais je n'ai pas l'ombre d'un doute qu'elle n'aura aucun effet. Les personnalités concernées sont en fin de carrière et calendrier électoral oblige, il serait imprudent de leur part de s'attaquer à un dossier aussi lourd que celui de la réforme des institutions. Il n'y a pas d'alternatives que d'imposer cette réforme par un vote massif au sein d'un Parti au sens propre du terme et non d'une association ou collectif ....
Oui, je suis intimement convaincu que seul un nouveau parti ( comme l'a fait Jacques Chirac pour le RPR) à même de réunir tous ceux qui sont mis sur la touche peut créer la surprise et représenter la véritable alternative pour sauver ce Pays.
Un pays plein de gens de bonne foi qui l'adorent et qui ne sont pas prêts de le quitter pour rien au monde quoi qu'en disent ceux qui sèment la haine, la discrimination bref le poison de la Nation comme l'a dit Monsieur le Président de la République dans son discours oh combien précieux mais que rares sont ceux qui ont apprécié la distillation des mots et leur portée profonde...
Oui, Monsieur A. MONTEBOURG, l'occasion est singulière, il faut aller jusqu'au bout de vos convictions qui sont extrêmement bonnes pour le Peuple français de tous bords (sauf ceux qui ont un fonds de commerce politique qui rapporte gros, l'immigration entre autres) et donc bonne pour La France.
Oui, Il est temps que le poste de Président de la République cesse d'être la convoitise d'hommes et de femmes prêts à tout sauf à servir et à aimer véritablement leur pays.
Il suffit d'avoir pour cela le courage de couper le cordon ombilical selon un dicton qui dit : Fais ce que doit advienne que pourra.
Bonne chance, Monsieur Arnaud Montebourg car je sais que vous êtes sincère dans votre démarche sauf qu'il faut prendre le "risque" d'aller plus loin.
J'ai lu la machine à trahir, puis le projet commenté de la constitution de la 6ème république, j'ai adhéré à la C6R et je suis le premier à voter pour lui. Croyez-moi plusieurs personnes que je connais veulent du concret pour que ça change : mettre le bulletin de vote libérateur le jour J. Cela est plus efficace que mille et une pétitions sans effet.
Mais il faut que Monsieur A. MONTEBOURG fasse vite car d'autres se sont mis très tôt en campagne c'est à dire des mois voire une ou deux années à l'avance avec "l'héroïsme" qu'on sait.
Oui je sais aussi que ces personnes ont toute une "artillerie très très lourde" "une main cachée trop puissante" derriére elles qui les soutient dont entre autres les Etats Unis d'Amérique dont elles vantent les mérites à chaque fois que l'occasion leur est donnée. Et c'est ça qui explique pourquoi elles sont si sûres d'elles dans leurs attaques face à des moustiques comme a dit un chef de parti bien connu.
Mais vous, Monsieur Arnaud Montebourg qui avait osé dire NON, vous aurez tous les Français qui veulent vraiment que cela change enfin et sans replâtrage permanent. Replâtrage dont on a connu tout récemment l'un des effets néfastes sur notre environnement immédiat. Ces évènements ne sont que l'arbre qui cache la forêt et plus la CAPACITE D'ECOUTE de nos dirigeants est NULLE plus le pays risque de plonger dans des situations encore plus graves voire dramatiques. Puis on dira "Tiens on a rien vu venir !"
Mais où va la France comme ça?
Monsieur A. Montebourg doit à mon avis éviter les demi-mesures qui n'aboutiront à rien. Il doit s'il veut bousculer comme il dit l'Histoire créer sans délai son propre parti ( le PPS : Parti du Progrès et du Socialisme par exemple ) pour que tous ceux qui ne se reconnaissent plus dans le Parti Socialiste tel qu'il est maintenant votent pour lui mais aussi ceux moins utopistes qui ne voteront pas LCR, PCF ou autres partis de gauche sachant que ces partis par définition n'accèderont jamais à l'Autorité Suprême du pays.
Le PS tous les français le connaissent...Il a dirigé la France depuis 14ans +5 années Jospin sous Chirac et il a contribué à sa façon à la crise que traverse la France actuellement.
Que peut-il apporter de neuf si ce n'est la rénovation totale et absolue des Institutions si réellement les Socialistes veulent revenir au Pouvoir, or dans leur congrès ils ont rejeté en grande partie le principe de la 6ème République. Il n'y a donc absolument rien à attendre d'une Equipe qui avait 19 ans pour faire ses preuves et qui n'a pas réussi à mettre pour de bon le Pays sur les rails.
On voit les mêmes têtes qui ne cachent plus leur ambition à diriger le pays comme s'ils ont fait preuve de compétences hors du commun. Pour ma part, Monsieur Lambda, j'hallucine quand j'entends leurs prétentions!
Bref, à présent je crois ou il faut réformer les institutions ou laisser le champ libre aux populistes de tous bords occuper éhontément les lieux et enfoncer la France dans des situations inextricables. Par la même occasion et par honnêteté intellectuelle, j'exclus de mon approche Monsieur Dominique de Villepin qui me paraît représenter l'unique alternative comme futur Président de la République (de par même sa personnalité et sa modération de langage) dans le cas où personne ne veut de la Réforme proposée par Monsieur Arnaud Montebourg que je soutiens du fond du coeur.
Ceux qui jugeraient mon idée farfelue et que je rabâche depuis le NON du 29 mai 2005 n'ont qu'à prendre l'exemple tout récent d'Ariel Sharon qui annonce dans le même temps sa démission du poste de Premier Ministre, des élections législatives anticipées et la création d'un nouveau parti situé au Centre en quittant le parti du Likoud qu'il a lui même crée ( Shimon Péres donne des coups de pieds pour faire équipe avec lui mais Sharon sûr de son coup l'y invite mais froidement).
J'ai signé par principe la pétition proposée dans le sens de la réforme des institutions mais je n'ai pas l'ombre d'un doute qu'elle n'aura aucun effet. Les personnalités concernées sont en fin de carrière et calendrier électoral oblige, il serait imprudent de leur part de s'attaquer à un dossier aussi lourd que celui de la réforme des institutions. Il n'y a pas d'alternatives que d'imposer cette réforme par un vote massif au sein d'un Parti au sens propre du terme et non d'une association ou collectif ....
Oui, je suis intimement convaincu que seul un nouveau parti ( comme l'a fait Jacques Chirac pour le RPR) à même de réunir tous ceux qui sont mis sur la touche peut créer la surprise et représenter la véritable alternative pour sauver ce Pays.
Un pays plein de gens de bonne foi qui l'adorent et qui ne sont pas prêts de le quitter pour rien au monde quoi qu'en disent ceux qui sèment la haine, la discrimination bref le poison de la Nation comme l'a dit Monsieur le Président de la République dans son discours oh combien précieux mais que rares sont ceux qui ont apprécié la distillation des mots et leur portée profonde...
Oui, Monsieur A. MONTEBOURG, l'occasion est singulière, il faut aller jusqu'au bout de vos convictions qui sont extrêmement bonnes pour le Peuple français de tous bords (sauf ceux qui ont un fonds de commerce politique qui rapporte gros, l'immigration entre autres) et donc bonne pour La France.
Oui, Il est temps que le poste de Président de la République cesse d'être la convoitise d'hommes et de femmes prêts à tout sauf à servir et à aimer véritablement leur pays.
Il suffit d'avoir pour cela le courage de couper le cordon ombilical selon un dicton qui dit : Fais ce que doit advienne que pourra.
Bonne chance, Monsieur Arnaud Montebourg car je sais que vous êtes sincère dans votre démarche sauf qu'il faut prendre le "risque" d'aller plus loin.
Dernière modification par pps le 23 nov. 2005, modifié 4 fois.
Ben, dis donc !!!
Voilà un membre fraîchement inscrit - PPS - qui nous fait partager ses convictions.
Le poids de l'establishment politique français semble impossible à soulever même pour des types comme Montebourg, pourtant avocat, député PS et chef de fil d'un courant important (le NPS).
L'establishment politique se satisfait d'une situation (la Ve République) qui sert ses intérêts depuis près de 50 ans.
D'abord celles du "grand Charles"… de Gaulle.
Puis celles du plus petit… Pompidou.
Du plus petit encore… Giscard.
(longue parenthèse Mitterrand).
Puis, du plus petit encore… Chirac.
Avant le minuscule… Sarko ?
Quel déclin !!!
…/…
Que le PS ne tienne pas à sortir de ce schéma est… absurde… mais logique.
Pas plus que l'UMP et l'UDF, le PS ne tient à "partager" le pouvoir en laissant d'autres formations politiques émerger.
Le régime présidentiel de la Ve République et le système parlementaire actuel (scrutin majoritaire) favorisent le fonctionnement monolithique de la France contemporaine avec son lot de dégâts collatéraux que nous dénonçons dans notre «Appel pour une rénovation démocratique» (voir page d’accueil).
Montebourg est un des rares hommes politiques à proposer une vraie alternative (alternance, renouveau ?) avec sa VIe République (que l’on adhère ou non à ses thèses).
Il est à craindre qu'il ne soit pas entendu, comme nous le sommes nous-mêmes, chômeurs, précaires, intermittents du travail.
Nous partageons cette "exclusion" avec lui.
Yves - Un animateur du site
Le poids de l'establishment politique français semble impossible à soulever même pour des types comme Montebourg, pourtant avocat, député PS et chef de fil d'un courant important (le NPS).
L'establishment politique se satisfait d'une situation (la Ve République) qui sert ses intérêts depuis près de 50 ans.
D'abord celles du "grand Charles"… de Gaulle.
Puis celles du plus petit… Pompidou.
Du plus petit encore… Giscard.
(longue parenthèse Mitterrand).
Puis, du plus petit encore… Chirac.
Avant le minuscule… Sarko ?
Quel déclin !!!
…/…
Que le PS ne tienne pas à sortir de ce schéma est… absurde… mais logique.
Pas plus que l'UMP et l'UDF, le PS ne tient à "partager" le pouvoir en laissant d'autres formations politiques émerger.
Le régime présidentiel de la Ve République et le système parlementaire actuel (scrutin majoritaire) favorisent le fonctionnement monolithique de la France contemporaine avec son lot de dégâts collatéraux que nous dénonçons dans notre «Appel pour une rénovation démocratique» (voir page d’accueil).
Montebourg est un des rares hommes politiques à proposer une vraie alternative (alternance, renouveau ?) avec sa VIe République (que l’on adhère ou non à ses thèses).
Il est à craindre qu'il ne soit pas entendu, comme nous le sommes nous-mêmes, chômeurs, précaires, intermittents du travail.
Nous partageons cette "exclusion" avec lui.
Yves - Un animateur du site
Montebourg pense rallier tous les militants NPS
NOUVELOBS.COM | 09.12.05 | 10:28
Le cofondateur du courant "Nouveau parti socialiste", qu'il a quitté, assure que la plupart des militants vont le rejoindre.
Le co-fondateur de courant Nouveau parti socialiste (NPS) Arnaud Montebourg affirme, dans une interview au Parisien-Aujourd'hui en France publiée vendredi 9 décembre, que "la plupart des militants" du NPS, qu'il a quitté, s'apprêtent à le "rejoindre". "L'âme de la rénovation ne peut plus vivre dans ce NPS qui s'est fourvoyé", affirme le député de Saône-et-Loire en repoussant toute idée de retour au sein de Nouveau parti socialiste comme le lui a proposé son cofondateur Vincent Peillon.
"Je ne suis pas une mascotte, ni une amulette", "un objet qu'on met à la poubelle un jour, qu'on remet sur l'étagère le lendemain", ajoute le député.
Le député accuse la synthèse socialiste effectuée au congrès du Mans avec le NPS "jette un voile d'insincérité sur les convictions des socialistes", dit-il en réaffirmant que "le NPS est mort, il a été bradé en pièces détachées", un "crève-cœur" pour lui.
Mais ajoute Arnaud Montebourg, "c'est avec les échecs qu'on fait les victoires". Il veut "lancer un mouvement de rénovation pleinement installé dans le PS, s'adressant aux militants de toutes les motions".
Interrogé sur l'inventaire auquel Lionel Jospin a invité les socialistes, Arnaud Montebourg répond : "cet inventaire a trois ans de retard. Il fallait l'exercer au congrès de Dijon (en 2003), cela aurait permis à tous les socialistes d'avancer beaucoup plus, et plus vite".
Le cofondateur du courant "Nouveau parti socialiste", qu'il a quitté, assure que la plupart des militants vont le rejoindre.
Le co-fondateur de courant Nouveau parti socialiste (NPS) Arnaud Montebourg affirme, dans une interview au Parisien-Aujourd'hui en France publiée vendredi 9 décembre, que "la plupart des militants" du NPS, qu'il a quitté, s'apprêtent à le "rejoindre". "L'âme de la rénovation ne peut plus vivre dans ce NPS qui s'est fourvoyé", affirme le député de Saône-et-Loire en repoussant toute idée de retour au sein de Nouveau parti socialiste comme le lui a proposé son cofondateur Vincent Peillon.
"Je ne suis pas une mascotte, ni une amulette", "un objet qu'on met à la poubelle un jour, qu'on remet sur l'étagère le lendemain", ajoute le député.
Le député accuse la synthèse socialiste effectuée au congrès du Mans avec le NPS "jette un voile d'insincérité sur les convictions des socialistes", dit-il en réaffirmant que "le NPS est mort, il a été bradé en pièces détachées", un "crève-cœur" pour lui.
Mais ajoute Arnaud Montebourg, "c'est avec les échecs qu'on fait les victoires". Il veut "lancer un mouvement de rénovation pleinement installé dans le PS, s'adressant aux militants de toutes les motions".
Interrogé sur l'inventaire auquel Lionel Jospin a invité les socialistes, Arnaud Montebourg répond : "cet inventaire a trois ans de retard. Il fallait l'exercer au congrès de Dijon (en 2003), cela aurait permis à tous les socialistes d'avancer beaucoup plus, et plus vite".
APPEL POUR DES CANDIDATURES UNITAIRES EN 2007 et 2008.
Appel à des élections primaires et que le meilleur gagne !
La situation que traverse actuellement la France exige une réponse unie des forces de gauche anti-libérales et altermondialistes, opposées aux politiques de régression, de ségrégation sociale et d’atteintes graves aux libertés publiques. Ce texte appelle à la construction d’une alternative commune, en rupture avec les politiques menées depuis plus de vingt ans, qui permette d’éviter la dispersion des candidatures aux prochaines élections en 2007 et 2008 et la division des forces dans les luttes sociales actuelles.
Le référendum du 29 mai l’a montré : un refus net du libéralisme économique peut produire un mouvement majoritaire à gauche et, dans ces conditions, l’ensemble des citoyens retrouve le goût de la politique. Cette victoire de la volonté de transformation sociale sur le discours de l’impuissance a été rendue possible par la campagne unitaire menée par celles et ceux qui, au sein des mouvements, des partis, des associations citoyennes, bousculent depuis dix ans le consensus néolibéral et appellent à de profondes ruptures. C’est pour contrer cette dynamique que le gouvernement pratique une politique ouverte de réaction sociale et d’atteintes aux libertés publiques. C’est pour n’avoir pas pris en compte ces attentes et avoir cédé au social-libéralisme pour les uns, ou s’y être convertis pour les autres, que les gouvernements de gauche ont échoué.
Le 29 mai a ouvert une possibilité. Elle ne se concrétisera pas si, d’ici 2007, le « chacun pour soi » succède au « tous ensemble ». Face à une droite arrogante, rien ne serait pire que la dispersion des sensibilités qui préfèrent l’alternative franche à l’alternance molle qui domine la scène politique depuis vingt ans. Beaucoup se sont regroupés autour du Non pour dire cette préférence ; mais beaucoup d’autres partagent cette critique d’un projet de société soumis aux seules logiques économiques et financières. L’aspiration à rassembler est très forte et s’exprime dans les collectifs existants, dans les divers rencontres et forums. Pourtant, les risques d’éparpillement existent, notamment à l’occasion des prochaines échéances électorales.
Sans mobilisation populaire, sans dynamique citoyenne, aucune alternative ne s’imposera. Il nous faudra agir ensemble et nous mobiliser dans les luttes, en menant avec force le débat avec toutes celles et ceux qui cherchent les voies d’une transformation sociale profonde. En s’appuyant sur l’expérience des collectifs nés de la campagne référendaire et sur les propositions portées par les mobilisations collectives, il est possible d’organiser une vraie co-élaboration associant syndicalistes, politiques, associatifs, chercheurs, animateurs de lieux et revues culturels, citoyennes et citoyens. Ce travail doit être ouvert à tous, structures organisées et individus. Toutes les formes : forums, rencontres, assises, espaces de luttes, mais aussi manifestations festives et culturelles qui ponctueront ce débat sont bonnes à prendre dès l’instant où elles participent d’une mise en commun.
Appartenant à tous sans être la propriété de personne, ce débat devra être porteur d’une logique alternative globale en rupture avec le capitalisme libéral et l’ensemble des mesures anti-sociales promulguées par la droite. C’est à cette tâche d’élaboration programmatique commune qu’il faut maintenant nous atteler : renforcer les services publics contre la logique de privatisations qui prévaut depuis vingt ans. Mettre en oeuvre des politiques capables de répondre à la mondialisation capitaliste. Légiférer pour interdire les licenciements boursiers, garantir un véritable droit à l’emploi, au salaire, à un revenu pour vivre et à la formation pour toutes et tous, contre les logiques de précarisation et les délocalisations. Pour répondre à la crise écologique, mettre en question nos modes de consommation et de production, profondément inégalitaire, souvent destructeurs de la planète et ne répondant qu’imparfaitement aux besoins sociaux. Affirmer la volonté de protection des biens communs en faisant de l’eau, l’énergie, les transports, les communications, la santé… des services publics. Réquisitionner les logements vides et, pour promouvoir une réelle politique du logement social, mettre en place un service public national du logement. Mettre un terme à la stigmatisation des populations d’origine étrangère, à toutes les discriminations, et promouvoir l’égalité des droits pour toutes et tous. Faire prévaloir une réelle égalité entre les hommes et les femmes. Régulariser massivement les sans papiers. En finir avec le tout-sécuritaire. Mettre la démocratie au coeur du projet et engager, dans ce cadre, un processus de rupture avec les institutions de la Vème République. Faire le choix d’une politique de solidarité et de co-développement avec les peuples du Sud et de l’Est. Faire du désarmement une priorité, s’inscrire en dehors du cadre de l’OTAN et entamer la reconversion des moyens militaires au service de la satisfaction des besoins sociaux. Enclencher un authentique processus constituant d’une autre Europe, au service des peuples et des citoyens
Seul un tel rassemblement permettra d’imposer une logique alternative globale à gauche, rompant avec le projet régressif de société et les politiques mises en oeuvre par tous les gouvernements depuis plus de vingt ans. Ces choix, et les propositions permettant de les concrétiser, seront ceux d’un gouvernement soucieux de répondre aux attentes populaires, de faire renaître un espoir à gauche. Ils sont incompatibles avec la participation à un gouvernement placé sous la domination d’une orientation et d’une politique sociales-libérales qui ont conduit aux échecs du passé.
Dans cette perspective, nous travaillerons à tout mettre en oeuvre pour éviter la multiplication des candidatures aux prochaines échéances de 2007 et 2008. Nous faisons le pari que, si nous nous engageons ensemble dans cette dynamique, ce qui nous rapproche l’emportera sur ce qui nous sépare dans les luttes d’aujourd’hui et les élections de demain. Rien n’est plus urgent que d’enclencher ce processus. Alors engageons-le dès maintenant.
Comment ?
Tous derrière le courant socialiste A.Montebourg : son projet : concilier les Français avec la Démocratie et leurs élus. Il le dit et redit dans sa "machine à trahir" et son projet de 6ème Répubilque ( à lire impérativement pour devenir conscient d'une candidature unique à gauche élue en PRIMAIRE comme en Italie)
Mais cela n'est pas suffisant, il faut aussi concilier les français entre eux. Mais cet objectif est très lointain tant une majorité de français a du mal à croire qu'une nouvelle spiritualité peut nous unir tous car rappelons-le les différences religieuses sont à l'origine de tous les maux et de toutes les haines. La Loi sur la laïcité qui fête ses 100 ans doit aller plus loin encore dans une réflexion profonde aux vus des changements intervenus depuis.
Pour avoir plus de détails et signer éventuellement la pétition visitez le site suivant
http://www.alternativeunitaire2007.org/ ... hp/Accueil
l'UNION FAIT LA FORCE
La situation que traverse actuellement la France exige une réponse unie des forces de gauche anti-libérales et altermondialistes, opposées aux politiques de régression, de ségrégation sociale et d’atteintes graves aux libertés publiques. Ce texte appelle à la construction d’une alternative commune, en rupture avec les politiques menées depuis plus de vingt ans, qui permette d’éviter la dispersion des candidatures aux prochaines élections en 2007 et 2008 et la division des forces dans les luttes sociales actuelles.
Le référendum du 29 mai l’a montré : un refus net du libéralisme économique peut produire un mouvement majoritaire à gauche et, dans ces conditions, l’ensemble des citoyens retrouve le goût de la politique. Cette victoire de la volonté de transformation sociale sur le discours de l’impuissance a été rendue possible par la campagne unitaire menée par celles et ceux qui, au sein des mouvements, des partis, des associations citoyennes, bousculent depuis dix ans le consensus néolibéral et appellent à de profondes ruptures. C’est pour contrer cette dynamique que le gouvernement pratique une politique ouverte de réaction sociale et d’atteintes aux libertés publiques. C’est pour n’avoir pas pris en compte ces attentes et avoir cédé au social-libéralisme pour les uns, ou s’y être convertis pour les autres, que les gouvernements de gauche ont échoué.
Le 29 mai a ouvert une possibilité. Elle ne se concrétisera pas si, d’ici 2007, le « chacun pour soi » succède au « tous ensemble ». Face à une droite arrogante, rien ne serait pire que la dispersion des sensibilités qui préfèrent l’alternative franche à l’alternance molle qui domine la scène politique depuis vingt ans. Beaucoup se sont regroupés autour du Non pour dire cette préférence ; mais beaucoup d’autres partagent cette critique d’un projet de société soumis aux seules logiques économiques et financières. L’aspiration à rassembler est très forte et s’exprime dans les collectifs existants, dans les divers rencontres et forums. Pourtant, les risques d’éparpillement existent, notamment à l’occasion des prochaines échéances électorales.
Sans mobilisation populaire, sans dynamique citoyenne, aucune alternative ne s’imposera. Il nous faudra agir ensemble et nous mobiliser dans les luttes, en menant avec force le débat avec toutes celles et ceux qui cherchent les voies d’une transformation sociale profonde. En s’appuyant sur l’expérience des collectifs nés de la campagne référendaire et sur les propositions portées par les mobilisations collectives, il est possible d’organiser une vraie co-élaboration associant syndicalistes, politiques, associatifs, chercheurs, animateurs de lieux et revues culturels, citoyennes et citoyens. Ce travail doit être ouvert à tous, structures organisées et individus. Toutes les formes : forums, rencontres, assises, espaces de luttes, mais aussi manifestations festives et culturelles qui ponctueront ce débat sont bonnes à prendre dès l’instant où elles participent d’une mise en commun.
Appartenant à tous sans être la propriété de personne, ce débat devra être porteur d’une logique alternative globale en rupture avec le capitalisme libéral et l’ensemble des mesures anti-sociales promulguées par la droite. C’est à cette tâche d’élaboration programmatique commune qu’il faut maintenant nous atteler : renforcer les services publics contre la logique de privatisations qui prévaut depuis vingt ans. Mettre en oeuvre des politiques capables de répondre à la mondialisation capitaliste. Légiférer pour interdire les licenciements boursiers, garantir un véritable droit à l’emploi, au salaire, à un revenu pour vivre et à la formation pour toutes et tous, contre les logiques de précarisation et les délocalisations. Pour répondre à la crise écologique, mettre en question nos modes de consommation et de production, profondément inégalitaire, souvent destructeurs de la planète et ne répondant qu’imparfaitement aux besoins sociaux. Affirmer la volonté de protection des biens communs en faisant de l’eau, l’énergie, les transports, les communications, la santé… des services publics. Réquisitionner les logements vides et, pour promouvoir une réelle politique du logement social, mettre en place un service public national du logement. Mettre un terme à la stigmatisation des populations d’origine étrangère, à toutes les discriminations, et promouvoir l’égalité des droits pour toutes et tous. Faire prévaloir une réelle égalité entre les hommes et les femmes. Régulariser massivement les sans papiers. En finir avec le tout-sécuritaire. Mettre la démocratie au coeur du projet et engager, dans ce cadre, un processus de rupture avec les institutions de la Vème République. Faire le choix d’une politique de solidarité et de co-développement avec les peuples du Sud et de l’Est. Faire du désarmement une priorité, s’inscrire en dehors du cadre de l’OTAN et entamer la reconversion des moyens militaires au service de la satisfaction des besoins sociaux. Enclencher un authentique processus constituant d’une autre Europe, au service des peuples et des citoyens
Seul un tel rassemblement permettra d’imposer une logique alternative globale à gauche, rompant avec le projet régressif de société et les politiques mises en oeuvre par tous les gouvernements depuis plus de vingt ans. Ces choix, et les propositions permettant de les concrétiser, seront ceux d’un gouvernement soucieux de répondre aux attentes populaires, de faire renaître un espoir à gauche. Ils sont incompatibles avec la participation à un gouvernement placé sous la domination d’une orientation et d’une politique sociales-libérales qui ont conduit aux échecs du passé.
Dans cette perspective, nous travaillerons à tout mettre en oeuvre pour éviter la multiplication des candidatures aux prochaines échéances de 2007 et 2008. Nous faisons le pari que, si nous nous engageons ensemble dans cette dynamique, ce qui nous rapproche l’emportera sur ce qui nous sépare dans les luttes d’aujourd’hui et les élections de demain. Rien n’est plus urgent que d’enclencher ce processus. Alors engageons-le dès maintenant.
Comment ?
Tous derrière le courant socialiste A.Montebourg : son projet : concilier les Français avec la Démocratie et leurs élus. Il le dit et redit dans sa "machine à trahir" et son projet de 6ème Répubilque ( à lire impérativement pour devenir conscient d'une candidature unique à gauche élue en PRIMAIRE comme en Italie)
Mais cela n'est pas suffisant, il faut aussi concilier les français entre eux. Mais cet objectif est très lointain tant une majorité de français a du mal à croire qu'une nouvelle spiritualité peut nous unir tous car rappelons-le les différences religieuses sont à l'origine de tous les maux et de toutes les haines. La Loi sur la laïcité qui fête ses 100 ans doit aller plus loin encore dans une réflexion profonde aux vus des changements intervenus depuis.
Pour avoir plus de détails et signer éventuellement la pétition visitez le site suivant
http://www.alternativeunitaire2007.org/ ... hp/Accueil
l'UNION FAIT LA FORCE
La VIe République, une idée qui fait son chemin...
Bayrou propose une VIe République avec un président en première ligne
2005-12-16 19:42:50
PARIS (AFP)
François Bayrou s'est prononcé vendredi pour "une VIe République" renforçant les responsabilités du président de la République, introduisant une dose de proportionnelle aux législatives et interdisant le cumul de mandats pour un député.
"Les vices de cette Ve République sont tels que la France a besoin d'une République nouvelle", a affirmé le président de l'UDF en clôturant un colloque sur les institutions organisé par son parti à l'Assemblée nationale. Il a brossé un tableau sévère de la Ve République, où "la concentration des pouvoirs va aujourd'hui de pair avec l'impuissance du pouvoir", et où "la représentation du peuple n'est pas assurée".
"Tout le monde a voté pour le président de la République, pourtant il se tient en retrait, éloigné des défis, dans le silence pendant des mois. Et personne n'a voté pour le Premier ministre, qui est chargé de gouverner", a-t-il regretté, parlant de "principes monarchiques". C'est pourquoi il faut renforcer les responsabilités du président, qui resterait élu au suffrage universel mais serait chargé, à la place du gouvernement, de "déterminer et de conduire la politique de la nation", a-t-il proposé. Le gouvernement mettrait en oeuvre cette politique.
Il reviendrait aussi au président de "nommer les ministres et de mettre fin à leurs fonctions".
M. Bayrou ne propose pas pour autant la suppression du poste de Premier ministre. Il a estimé "utile" qu'il y en ait en France "un coordinateur, un entraîneur". Mais "le Premier ministre doit redevenir le premier des ministres. Le chef du gouvernement, c'est le Président de la République", a-t-il précisé.
Pour que les Français soient "équitablement" représentés au Parlement, M. Bayrou a renouvelé sa demande de l'introduction d'une dose de proportionnelle aux législatives. "Tous les courants principaux, au-dessus de 5% des voix, doivent être représentés par des élus à l'Assemblée nationale", quitte à voir les extrêmes y entrer, a-t-il dit. "Je préfère combattre des idées, à visage découvert, à l'Assemblée, plutôt que de les voir progresser à bas bruit". Il s'est prononcé pour "la représentation égale entre les territoires et les opinions, la représentation proportionnelle : 50/50".
Pour lutter contre l'absentéisme des parlementaires, le député des Pyrénées-Atlantiques a proposé que la VIe République adopte le principe du "mandat unique" pour les députés.
Pour assurer les "sorties de crise", il existe le référendum et, "arme ultime", la dissolution, a-t-il souligné. Pour que la dissolution ne soit pas "dénaturée" comme en 1997, il a proposé de "confier son exercice au Conseil Constitutionnel, sur proposition du président de la République". Il veut aussi donner aux simples "citoyens" le droit de saisir des institutions telles que Conseil Constitutionnel ou CSA.
Et pour garantir "l'indépendance et l'impartialité" des autorités indépendantes, il propose de faire confirmer la nomination de leurs dirigeants par un vote du Parlement, "à une majorité qualifiée, après audition du candidat proposé".
"En tournant la page sur une forme usée de la République, nous allons donner à la France la démocratie dont elle a besoin pour que s'affirme l'esprit de renaissance", a conclu M. Bayrou.
.../...
La VIe République selon la C6R est différente :
2005-12-16 19:42:50
PARIS (AFP)
François Bayrou s'est prononcé vendredi pour "une VIe République" renforçant les responsabilités du président de la République, introduisant une dose de proportionnelle aux législatives et interdisant le cumul de mandats pour un député.
"Les vices de cette Ve République sont tels que la France a besoin d'une République nouvelle", a affirmé le président de l'UDF en clôturant un colloque sur les institutions organisé par son parti à l'Assemblée nationale. Il a brossé un tableau sévère de la Ve République, où "la concentration des pouvoirs va aujourd'hui de pair avec l'impuissance du pouvoir", et où "la représentation du peuple n'est pas assurée".
"Tout le monde a voté pour le président de la République, pourtant il se tient en retrait, éloigné des défis, dans le silence pendant des mois. Et personne n'a voté pour le Premier ministre, qui est chargé de gouverner", a-t-il regretté, parlant de "principes monarchiques". C'est pourquoi il faut renforcer les responsabilités du président, qui resterait élu au suffrage universel mais serait chargé, à la place du gouvernement, de "déterminer et de conduire la politique de la nation", a-t-il proposé. Le gouvernement mettrait en oeuvre cette politique.
Il reviendrait aussi au président de "nommer les ministres et de mettre fin à leurs fonctions".
M. Bayrou ne propose pas pour autant la suppression du poste de Premier ministre. Il a estimé "utile" qu'il y en ait en France "un coordinateur, un entraîneur". Mais "le Premier ministre doit redevenir le premier des ministres. Le chef du gouvernement, c'est le Président de la République", a-t-il précisé.
Pour que les Français soient "équitablement" représentés au Parlement, M. Bayrou a renouvelé sa demande de l'introduction d'une dose de proportionnelle aux législatives. "Tous les courants principaux, au-dessus de 5% des voix, doivent être représentés par des élus à l'Assemblée nationale", quitte à voir les extrêmes y entrer, a-t-il dit. "Je préfère combattre des idées, à visage découvert, à l'Assemblée, plutôt que de les voir progresser à bas bruit". Il s'est prononcé pour "la représentation égale entre les territoires et les opinions, la représentation proportionnelle : 50/50".
Pour lutter contre l'absentéisme des parlementaires, le député des Pyrénées-Atlantiques a proposé que la VIe République adopte le principe du "mandat unique" pour les députés.
Pour assurer les "sorties de crise", il existe le référendum et, "arme ultime", la dissolution, a-t-il souligné. Pour que la dissolution ne soit pas "dénaturée" comme en 1997, il a proposé de "confier son exercice au Conseil Constitutionnel, sur proposition du président de la République". Il veut aussi donner aux simples "citoyens" le droit de saisir des institutions telles que Conseil Constitutionnel ou CSA.
Et pour garantir "l'indépendance et l'impartialité" des autorités indépendantes, il propose de faire confirmer la nomination de leurs dirigeants par un vote du Parlement, "à une majorité qualifiée, après audition du candidat proposé".
"En tournant la page sur une forme usée de la République, nous allons donner à la France la démocratie dont elle a besoin pour que s'affirme l'esprit de renaissance", a conclu M. Bayrou.
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La VIe République selon la C6R est différente :
Arnaud Montebourg a écrit :D'abord, ce serait une république parlementaire et non plus présidentielle. Parlementaire, cela signifie que, comme dans toute démocratie normalement constituée - c'est le cas dans toute Europe -, il sera enfin possible d'obtenir des comptes et que s'exerce une fonction qui est vitale en démocratie et qui s'appelle la responsabilité. Où tous ceux qui ont le pouvoir de décider rendent des comptes : ça, c'est la première exigence !
Ensuite, nous souhaitons réhabiliter le politique en redonnant du pouvoir aux élus. Pouvoir qu'ils ont perdu, car aujourd'hui nous sommes dans une démocratie exécutive où l'administration a une légitimité plus forte de par le pouvoir de la science, de la technique, de l'expertise… c'est la technocratie qui s'est imposée. Le déséquilibre entre exécutif et parlement est tel qu'aujourd'hui le parlement n'est plus qu'une assemblée de potiches inutiles qui peuvent faire tout le bruit qu'elles veulent, soulever la poussière, taper sur des casseroles, cela ne changera rien car les vraies décisions se prennent ailleurs.
De ce point de vue est également indispensable la réinstallation d'un rapport entre les citoyens et leurs élus grâce au mandat unique... Ou vous êtes député, ou vous êtes dans la gestion communale : c'est aussi un beau mandat, mais c'est un autre métier ! On a besoin de députés à plein temps qui contrôlent le gouvernement et les administrations, qui évaluent l'impact de la loi, mesurent leurs décisions, contrôlent l'exécution des lois, mesurent leur application sur le terrain, contrôlent la diplomatie, la défense et les finances publiques ! Car nous avons besoin dans le pays de contrôler l'usage des fonds publics de manière à faire adhérer les Français à la nécessité de l'impôt. Aujourd'hui, tout le monde pense qu'on gaspille l'argent public - ce qui est parfois vrai - mais encore faudrait-il que nous ayons des instruments démocratiques pour y remédier, ce qui n'est pas le cas actuellement. Je suis moi-même député à plein temps en mandat unique, et j'y mets un point d'honneur.
Il s'agit de marier la stabilité à la démocratie. Pour cela, nous proposons deux chambres. L'une, comme l'Assemblée nationale, sera une chambre qui dégage une majorité et organise le gouvernement autour d'un contrat de majorité, assurant ainsi la stabilité du système. L'autre sera une chambre d'opinions qui garantira la représentation intégrale des sensibilités politiques de la nation, comme un Sénat démocratique élu à la proportionnelle, au suffrage universel direct, et dans un cadre régional. Elle aura le pouvoir de contrôler le gouvernement, de faire des majorités sur des idées et de participer à la discussion législative, mais elle n'aura pas le dernier mot car on ne peut pas livrer un système politique à l'absence de majorité : ce serait là le retour extrêmement néfaste à la IVe République, et à ce qu'on a vécu dans certaines régions élues à la proportionnelle.
Alternative unitaire ......tu parle !
Bonjour,
Moi cela me fait doucement rire d'entendre de plus en plus parler "d'alternative unitaire" ou encore de "candidature unitaire"
Perso je suis a la LCR et en tant que simple militant je me refuse a une aliance avec ces clows du PS qui ne sont que des sociaux-liberaux .
Avec des gens comme ça (montebourg compris) le monde ouvrier (et même ceux qui ne le sont pas ! ) on tout a y perdre , ce sont les premier a faire des déclaration "sociale" mais aussitot élus il s'empresse de faire exactement l'inverse de ce qu'il on auparavent dit !
Même si etre de gauche ou de droite ce n'est pas la même chose ( ideologiquement parlant) dans les faits soutenir le PS ou l'UMP je ne voit pas la différence .
Donc je vais faire un peut de prosélitisme (desoler yves et sophie) en vous conseillant (pour ceux et celle que cela interesse) de nous rejoindre en vu de 2007 et de bien d'autre chose a voir et analysé avant :
http://www.lcr-rouge.org/
http://www.lcr-rouge.org/questce.html
http://www.lcr-rouge.org/adresse.php3
Merci de m'avoir lu
jean-claude
Moi cela me fait doucement rire d'entendre de plus en plus parler "d'alternative unitaire" ou encore de "candidature unitaire"

Perso je suis a la LCR et en tant que simple militant je me refuse a une aliance avec ces clows du PS qui ne sont que des sociaux-liberaux .
Avec des gens comme ça (montebourg compris) le monde ouvrier (et même ceux qui ne le sont pas ! ) on tout a y perdre , ce sont les premier a faire des déclaration "sociale" mais aussitot élus il s'empresse de faire exactement l'inverse de ce qu'il on auparavent dit !
Même si etre de gauche ou de droite ce n'est pas la même chose ( ideologiquement parlant) dans les faits soutenir le PS ou l'UMP je ne voit pas la différence .
Donc je vais faire un peut de prosélitisme (desoler yves et sophie) en vous conseillant (pour ceux et celle que cela interesse) de nous rejoindre en vu de 2007 et de bien d'autre chose a voir et analysé avant :
http://www.lcr-rouge.org/
http://www.lcr-rouge.org/questce.html
http://www.lcr-rouge.org/adresse.php3
Merci de m'avoir lu
jean-claude
Montebourg et Royal
LIBERATION
mercredi 19 avril 2006
Propos recueillis Didier HASSOUX
Questions à... Arnaud Montebourg, député socialiste de Saône-et-Loire
Dirigeant du courant Rénover maintenant, il plaide pour «un candidat vraiment de gauche».
Libé : Rejoignez-vous les nouveaux amis de Ségolène Royal ?
Montebourg : Il est difficile de parler de soutien ou de ralliement à Ségolène Royal : elle n'est pas candidate. Et, si d'aventure elle l'était, nous ne savons toujours pas ce qu'elle veut faire. Le candidat des rénovateurs reste le projet. La presse a décidé de porter médiatiquement la candidature de Ségolène Royal. Ce n'est ni à la presse ni à la droite de choisir le candidat des socialistes. C'est à chacun des militants de se prononcer en conscience. Sa candidature aurait un avantage : elle bouscule les frontières habituelles du PS et empêche le retour de quelques dinosaures. Cela étant, ses déclarations élogieuses à l'égard du blairisme nous inquiètent. Car cette doctrine qui prétend réconcilier socialisme et libéralisme a fait exploser les inégalités, s'est appuyée sur le refus de l'Europe et de l'euro. En 2007, la gauche devra vraiment être de gauche et novatrice. Prendre le risque de ressembler à la droite serait la même erreur qu'en 2002.
Libé : Contrairement à vous, Ségolène Royal semble se contenter des institutions de la Ve République...
Montebourg : Si elle nous propose un virage blairiste avec les outils archaïques de la Ve République, le courant rénovateur s'opposera à sa candidature. En revanche, si sa recherche de démocratie participative va jusqu'à organiser la VIe République, nous disposons d'un projet et d'un scénario de transition que nous pourrons défendre ensemble.
Libé : Le candidat de 2007 doit-il, comme vous, avoir voté non à la Constitution européenne ?
Montebourg : Les socialistes doivent dépasser le clivage oui-non du 29 mai. Dépasser, ce n'est pas oublier. Le candidat socialiste ne peut pas se contenter de l'actuel statu quo européen construit sur une économie exclusivement financière. Il doit porter une part de refus de la mondialisation dérégulée.
mercredi 19 avril 2006
Propos recueillis Didier HASSOUX
Questions à... Arnaud Montebourg, député socialiste de Saône-et-Loire
Dirigeant du courant Rénover maintenant, il plaide pour «un candidat vraiment de gauche».
Libé : Rejoignez-vous les nouveaux amis de Ségolène Royal ?
Montebourg : Il est difficile de parler de soutien ou de ralliement à Ségolène Royal : elle n'est pas candidate. Et, si d'aventure elle l'était, nous ne savons toujours pas ce qu'elle veut faire. Le candidat des rénovateurs reste le projet. La presse a décidé de porter médiatiquement la candidature de Ségolène Royal. Ce n'est ni à la presse ni à la droite de choisir le candidat des socialistes. C'est à chacun des militants de se prononcer en conscience. Sa candidature aurait un avantage : elle bouscule les frontières habituelles du PS et empêche le retour de quelques dinosaures. Cela étant, ses déclarations élogieuses à l'égard du blairisme nous inquiètent. Car cette doctrine qui prétend réconcilier socialisme et libéralisme a fait exploser les inégalités, s'est appuyée sur le refus de l'Europe et de l'euro. En 2007, la gauche devra vraiment être de gauche et novatrice. Prendre le risque de ressembler à la droite serait la même erreur qu'en 2002.
Libé : Contrairement à vous, Ségolène Royal semble se contenter des institutions de la Ve République...
Montebourg : Si elle nous propose un virage blairiste avec les outils archaïques de la Ve République, le courant rénovateur s'opposera à sa candidature. En revanche, si sa recherche de démocratie participative va jusqu'à organiser la VIe République, nous disposons d'un projet et d'un scénario de transition que nous pourrons défendre ensemble.
Libé : Le candidat de 2007 doit-il, comme vous, avoir voté non à la Constitution européenne ?
Montebourg : Les socialistes doivent dépasser le clivage oui-non du 29 mai. Dépasser, ce n'est pas oublier. Le candidat socialiste ne peut pas se contenter de l'actuel statu quo européen construit sur une économie exclusivement financière. Il doit porter une part de refus de la mondialisation dérégulée.
puisque le tiercé va etre sarko- sego
sortir de ce schema risque d'etre desagreablement illusoire ,au moins a cet effet personne ne pourra reprocher aux animateurs d'actu de s'etre cantonnés a l'instar des gauches dures ,....dans un role de contestataires sans propositions ,dans l'opposition systematique
montebourg est en effet plus qu'interessant dans son role momentané de trublion ,reste a savoir quel poids il peut peser dans une coalition de gauche socialiste telle que celle qui devrait pointer le nez a l'aube de 2007 .
est ce que quelqu'un sait , combien pese la C6R a ce jour lorsqu'on sait que vu le peu de moyens finaciers et mediatiques ,elle ne peut se developper que par le bais d'internet principalement et quel est son lobbysme effectif au seing du PS actuel ??????
et de poser la meme question a jean claude ,sans mechanceté aucune d'ailleurs mais plutot tres sincerement et cordialement mais empreint de la gravité du probleme ,combien peut esperer peser la LCR ?????
des fois ,je me demande ,hors le contexe , si l'on n'en est pas revenu a la problematique de ..jaurés pour ce qui est du parti socialiste francais

sortir de ce schema risque d'etre desagreablement illusoire ,au moins a cet effet personne ne pourra reprocher aux animateurs d'actu de s'etre cantonnés a l'instar des gauches dures ,....dans un role de contestataires sans propositions ,dans l'opposition systematique

montebourg est en effet plus qu'interessant dans son role momentané de trublion ,reste a savoir quel poids il peut peser dans une coalition de gauche socialiste telle que celle qui devrait pointer le nez a l'aube de 2007 .
est ce que quelqu'un sait , combien pese la C6R a ce jour lorsqu'on sait que vu le peu de moyens finaciers et mediatiques ,elle ne peut se developper que par le bais d'internet principalement et quel est son lobbysme effectif au seing du PS actuel ??????
et de poser la meme question a jean claude ,sans mechanceté aucune d'ailleurs mais plutot tres sincerement et cordialement mais empreint de la gravité du probleme ,combien peut esperer peser la LCR ?????
des fois ,je me demande ,hors le contexe , si l'on n'en est pas revenu a la problematique de ..jaurés pour ce qui est du parti socialiste francais

risible parenthèse
Rappelons que c'est la commission d’enquête parlementaire Peillon-Montebourg (respectivement président et rapporteur de la mission parlementaire française sur le blanchiment et la délinquance financière en Europe) qui s'est saisie de l’affaire Clearstream en 2001... Aujourd'hui :Arnaud Montebourg a écrit :On a besoin de députés à plein temps qui contrôlent le gouvernement et les administrations, qui évaluent l'impact de la loi, mesurent leurs décisions, contrôlent l'exécution des lois, mesurent leur application sur le terrain, contrôlent la diplomatie, la défense et les finances publiques ! (source)
L'affaire Clearstream, un "scandale" qui "fait rire l'Europe entière"
Le député européen PS Vincent Peillon a estimé mercredi que l'affaire Clearstream, une vaste manipulation contre des personnalités du monde politique et économique, constitue "un scandale" qui "fait rire l'Europe entière".
"C'est un scandale de voir que nous avons un ministre de l'Intérieur partie civile, un ministre de la Défense qui se voit perquisitionné, le patron des services secrets français perquisitionné à son domicile privé à Paris et puis dans sa maison de campagne, et le procureur de la République de Paris qui se plaint de l'enquête des juges", a déclaré M. Peillon sur France Inter.
"C'est une guerre entre ministres ? C'est une guerre entre officines ? C'est une guerre au sein de la justice ?", a demandé le député, qui avait présidé de 1999 à 2002 une mission parlementaire française sur le blanchiment d'argent. "Est-ce que c'est une affaire interne à ce gouvernement ? Est-ce que c'est encore la bagarre, on l'a eue sur le CPE, on l'a sur tous les sujets, entre Villepin et Sarkozy ? Qui instrumentalise qui ?", a-t-il poursuivi.
"C'est une affaire d'Etat, parce que ce qui est en jeu (...) ce sont les services secrets de l'Etat français, ce sont nos grandes industries, et maintenant c'est visiblement notre justice", a souligné le chef de file du Nouveau Parti socialiste (NPS).
"Ca arriverait dans une République, je ne sais pas quoi, africaine, on ne s'étonnerait pas, mais que ce soit en France ça fait rire l'Europe entière", a-t-il estimé.
Des personnalités, hommes politiques, grands patrons, responsables policiers, sont accusés par un corbeau, que la justice cherche à identifier, d'avoir des comptes occultes à l'étranger, via la société financière Clearstream, accusée d'être un centre de dissimulation de transactions financières.
mumh ,suis sceptique sur cette vision simpliste et combien arrangeante pour tout le monde ,en particulier le grand duché !
on en est rendu au pet de lapin habituel des commissions d'enquetes .
de pas oublier que le journaliste d'investigation qui avait porté la discrete banque au grand jour , pour une toute autre histoire au depart se retrouve aujourd'hui poursuivi par la banque et pas pret de s'en sortir .
l'affaire d'aujourd'hui est peut etre effectivement une manip ,imaginant mal des politiques de la trempe de sarkozy assez con pour ouvrir un compte a leur nom de famille ,ya des societes pour ca ,avec les pretes noms qui faut
mais alors pourquoi clearstream a ..lavée son systeme informatique de fond en comble a l'epoque ,ca doit etre le respect du client
pas triste
on en est rendu au pet de lapin habituel des commissions d'enquetes .
de pas oublier que le journaliste d'investigation qui avait porté la discrete banque au grand jour , pour une toute autre histoire au depart se retrouve aujourd'hui poursuivi par la banque et pas pret de s'en sortir .
l'affaire d'aujourd'hui est peut etre effectivement une manip ,imaginant mal des politiques de la trempe de sarkozy assez con pour ouvrir un compte a leur nom de famille ,ya des societes pour ca ,avec les pretes noms qui faut

mais alors pourquoi clearstream a ..lavée son systeme informatique de fond en comble a l'epoque ,ca doit etre le respect du client

pas triste
