.../...c'était plutôt le Japon qui me faisait rêver.
Sauf peut-être pour les jeunes de banlieues qui ont une appétence pour les USA qui m'a toujours laissé perplexe.
Pour Chicago ou pour Wisteria Lane ?
Moi ça ne me surprend pas : tous les jours la télé propose essentiellement des programmes américains de police, de violence, tout en noir et bleu avec gyrophares et wouiii-wouiiii-wouiiii. De l'action face à l'ennui soporifique des banlieues. C'est pour les garçons ; pour les filles y a les "secret stories" et autres merdes infâmes.
J'ai encore loupe ca... Faut vraiment que je me recupere une tele... Histoire de me decider entre la bagnole de Magnum et celle de Columbo...
Pour le reve americain, je crois qu'il ne cesse de decroitre depuis ses debuts... si certains jeunes sont assez betes pour prendre ces series debiles pour argent comptant' je n'ose imaginer les deceptions qui les attendent, ici ou la-bas...
La Californie a rejeté, mardi 6 novembre, par voie référendaire l'étiquetage des produits contenant des OGM, ont annoncé les autorités après le dépouillement de près de trois quarts des bulletins. Le non à la "Proposition 37", qui visait à imposer un étiquetage spécial pour les produits alimentaires contenant des OGM, l'a emporté avec 54 % des suffrages, selon le ministère de l'intérieur californien.
Son adoption aurait fait de la Californie le premier Etat américain à imposer l'étiquetage des OGM. Un projet auquel s'opposaient farouchement les géants de l'agrochimie et de l'agroalimentaire, qui ont dépensé près de 40 millions de dollars – essentiellement en messages télévisés – pour contrer le texte.
(...)
Vous connaissez America America ?
Le lien de l'épisode 3 du reportage : ça parle du chômage en France et de bien d'autres choses... https://www.youtube.com/watch?v=KdnjL3CO99Y
En gros c'est un reportage sur des français émigrés en Amérique où c'est tellement mieux. Je ris comme une bossue en regardant ça.
serabeth a écrit :Vous connaissez America America ?
Le lien de l'épisode 3 du reportage : ça parle du chômage en France et de bien d'autres choses... https://www.youtube.com/watch?v=KdnjL3CO99Y
En gros c'est un reportage sur des français émigrés en Amérique où c'est tellement mieux. Je ris comme une bossue en regardant ça.
J'ai eu tort de te faire confiance... Je me suis fade les 56 minutes et je ne me suis pas marre. Je les ai surtout trouve cons, avec un peu d'indulgence pour le restaurateur. Si le fric rend les gens comme ca, ce n'est pas la peine de se crever a essayer d'en gagner, je peux retourner me coucher... (Ma baraque est petite, mais il y a longtemps qu'elle est finie de payer...)
C'est justement leur abyssale connerie, leur fatuité, qui me font rire, je n'ai d'indulgence pour aucun d'entre eux. Le restaurateur est infect avec son personnel, la Chantal on a envie de lui mettre des claques...
Oui le fric rend les gens comme ça, incapables de voir autre chose qu'eux-mêmes, agités du matin au soir dans des activités qui n'ont aucun sens, avec plein de relations et pas un seul ami, plein de bavardages mais aucune chaleur humaine.
Ces gens-là sont actionnaires des boîtes dans lesquelles le monde entier trime, c'est intéressant de voir leur tête, je trouve.
Le restaurateur n'a pas l'air tendre avec son staff, mais je crois que dans la restauration il n'est pas pire que les autres... J'ai admire son accent apres trente neuf ans aux zetazunis, c'est dingue, au bout de tout ce temps il n'a meme pas besoin d'ouvrir la bouche pour que toute l'amerique sache qu'il est Francais...
Avantage : Je pige tout ce qu'il dit avec mon anglais a deux balles...
Chantal est sans interet, ni belle ni moche, ni sympatique ni antipathique,(quoique des fois un peu quand meme) sans la moindre chaleur humaine, bref transparente...
« Etre syndiqué serait un rêve », confie Raymond Lopez, manager à McDonald’s depuis deux ans et demi. Il deviendra peut-être, à la suite d’un mouvement social sans précédent à l’échelle de la ville, une réalité. Quelques semaines après la grève historique des travailleurs de Walmart, les employés de McDonald’s, Burger King, Wendy’s, Taco Bell, KFC, Pizza Hut et Domino’s pizza ont eux aussi trouvé le courage de faire grève le 29 novembre et le 6 décembre. Ils réclament un salaire horaire à 15 dollars et le droit de se syndiquer. Dans une industrie où temps partiels et contrats très courts font le jeu des employeurs, tous les efforts des années précédentes ont échoué. Mais la fronde actuelle, pourrait par son ampleur aboutir à des résultats encore jamais vus : droit de se syndiquer, hausse des salaires, amélioration de leurs conditions de travail.
Payés 7,25 dollars (5 euros) net par heure, les employés des fast food new-yorkais ne peuvent même pas se payer les hamburgers qu’ils servent ou confectionnent. Leur salaire ne comprend aucune couverture sociale, les obligeant à s’endetter en cas de maladie ou maternité. Alors que trois quarts d’entre eux vit sous le seuil de pauvreté selon une étude de l’Economic Policy Institute, ils vivent souvent des « food stamps », des tickets repas fournis aux pauvres par la ville.
(...)
Si le taux de chômage US est tombé à 7,7%, son plus faible niveau depuis décembre 2008...
Le taux d'emploi est à son plus bas niveau depuis 30 ans,
le taux d'activité est à son plus bas niveau depuis 32 ans,
il y a 3 millions d'emplois salariés de moins qu'il y a 5 ans,
et il manque 9 millions d'emplois.
"La semaine dernière, la Bourse de Wall Street a "touché son plus haut absolu" avec un indice Dow Jones autour de 14.000 points. Bizarrement, si les boursicoteurs du monde entier ont salué l'évènement, les dirigeants américains, en revanche, se sont abstenus de triompher.
Et pour cause : ils ont calculé le "coût social des coupes budgétaires" (le Monde 9/3). Selon les experts de l'administration Obama le blocage de 85 milliards de dollars de crédits imposé par les républicains privera notamment 100.000 familles de leur aide au logement, les allocations versées à 3,8 millions de chômeurs de longue durée seront réduites de 11% et 600.000 femmes enceintes dans le besoin risquent d'être privées d'aide alimentaire. Enfin 750.000 emplois sont compromis.
Ou comment retourner les pratiques bancaires aux bénéfices des personnes endettées, en rachetant leurs créances dépréciées pour tout simplement les annuler. Une initiative intéressante, mais une goutte d’espoir dans un océan de dettes !