Les populations superflues : par Dimitris Vergetis
Les populations superflues : par Dimitris Vergetis
Actuellement sur médiapart vous trouverez un sujet traitant de l'austérité, de la compétitivité et de leurs conséquences sociales et politiques. Âmes sensible s'abstenir...
http://blogs.mediapart.fr/edition/les-i ... superflues
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Re: Les populations superflues : par Dimitris Vergetis
Le capitalisme, c'est comme la télé : tout le monde trouve le programme mauvais mais personne ne veut le changer...
On n'a que ce qu'on mérite !
On n'a que ce qu'on mérite !

Re: Les populations superflues : par Dimitris Vergetis
Qu'est ce que l'argent? Une invention humaine.
Qu'est ce que l'économie? Une invention humaine.
Qu'est ce que le capitalisme? Une invention humaine.
Toute invention humaine n'a corps que parce que tout le monde y adhère. Si la majorité refuse d'utiliser la monnaie de singe qu'on lui impose, refuse l'économie tel qu'elle existe, refuse de suivre les lois capitalistes... Alors il n'y aura plus de cette oppression d'une infime partie de la population sur les autres, mais il y aura le chaos. Par contre, si s'organisait une nouvelle façon de fonctionner et que du jour au lendemain la majorité ne respecte plus les règles absurdes de leur tortionnaires, pour respecter d'autres règles plus justes. Alors ceux qui étaient riches ne seraient plus rien, et ce qui ont le pouvoir, ne commanderaient qu'eux même.
Qu'est ce que l'économie? Une invention humaine.
Qu'est ce que le capitalisme? Une invention humaine.
Toute invention humaine n'a corps que parce que tout le monde y adhère. Si la majorité refuse d'utiliser la monnaie de singe qu'on lui impose, refuse l'économie tel qu'elle existe, refuse de suivre les lois capitalistes... Alors il n'y aura plus de cette oppression d'une infime partie de la population sur les autres, mais il y aura le chaos. Par contre, si s'organisait une nouvelle façon de fonctionner et que du jour au lendemain la majorité ne respecte plus les règles absurdes de leur tortionnaires, pour respecter d'autres règles plus justes. Alors ceux qui étaient riches ne seraient plus rien, et ce qui ont le pouvoir, ne commanderaient qu'eux même.
Re: Les populations superflues : par Dimitris Vergetis
Une réponse en musique:Par contre, si s'organisait une nouvelle façon de fonctionner et que du jour au lendemain la majorité ne respecte plus les règles absurdes de leur tortionnaires
(pardon pour la répétition)
http://www.youtube.com/watch?v=83Uyym4Vhqc
Re: Les populations superflues : par Dimitris Vergetis
Ironique à ce que je vois...
Je sais c'est utopique... On ne se sortira jamais de cette façon de fonctionner. Et ça va aller de pire en pire. Autant rester dans mon canapé (comme le dis si bien la chanson)... à dormir.
Je sais c'est utopique... On ne se sortira jamais de cette façon de fonctionner. Et ça va aller de pire en pire. Autant rester dans mon canapé (comme le dis si bien la chanson)... à dormir.
Re: Les populations superflues : par Dimitris Vergetis
Ceci dit, il existe des gens qui se bougent. J'en connais quelques uns autour de chez moi.
D'autres inventent des alternatives intéressantes:
http://www.monnaiesendebat.org/spip.php?rubrique3
... Par exemple.
D'autres inventent des alternatives intéressantes:
http://www.monnaiesendebat.org/spip.php?rubrique3
... Par exemple.
Re: Les populations superflues : par Dimitris Vergetis
Moi aussi, j'en connais mais nous ne sommes pas une majorité et je pense que nous n'allons pas tous dans le même sens, la même direction.Ceci dit, il existe des gens qui se bougent.
PS:
La question reste entière quant à savoir comment on devient une majorité.

Re: Les populations superflues : par Dimitris Vergetis
Exclues, les nouvelles classes populaires s'organisent en "contre-société"
Le malaise français ne serait donc qu'un bégaiement de l'histoire, un processus connu qui, en temps de crise, conduit inexorablement les classes populaires vers le populisme, la xénophobie, le repli sur soi, la demande d'autorité. Cette analyse occulte l'essentiel : le durcissement de l'opinion est d'abord le fruit d'une mise à distance radicale des classes populaires. En effet, pour la première fois dans l'histoire, les classes populaires ne sont pas intégrées au projet économique et social des classes dirigeantes. La nouvelle géographie sociale permet de révéler ce bouleversement. Après trois décennies de recomposition économique et sociale du territoire, le constat est redoutable. Contrairement à ce qui a toujours prévalu, les classes populaires ne résident plus "là où se crée la richesse" mais dans une "France périphérique" où s'édifie, à bas bruit, une "contre-société".
http://www.lemonde.fr/idees/article/201 ... _3232.html
Le malaise français ne serait donc qu'un bégaiement de l'histoire, un processus connu qui, en temps de crise, conduit inexorablement les classes populaires vers le populisme, la xénophobie, le repli sur soi, la demande d'autorité. Cette analyse occulte l'essentiel : le durcissement de l'opinion est d'abord le fruit d'une mise à distance radicale des classes populaires. En effet, pour la première fois dans l'histoire, les classes populaires ne sont pas intégrées au projet économique et social des classes dirigeantes. La nouvelle géographie sociale permet de révéler ce bouleversement. Après trois décennies de recomposition économique et sociale du territoire, le constat est redoutable. Contrairement à ce qui a toujours prévalu, les classes populaires ne résident plus "là où se crée la richesse" mais dans une "France périphérique" où s'édifie, à bas bruit, une "contre-société".
http://www.lemonde.fr/idees/article/201 ... _3232.html
Re: Les populations superflues : par Dimitris Vergetis
Pour ce que je sache, dans cette société-ci, les lobbies industriels se font ériger des lois en leur faveur, lois qui faussent la concurrence ou qui mercantilisent tout à outrance. Par exemple, le fait de certaines mesures d'hygiènes draconiennes ne sont t'elles pas des mesures qui font mettre la clé sous la porte aux petites entreprises au profit des grosses? Ou imposer l'achat de produits industriels?
Beaucoup de nos libertés sont limités ainsi. Les libertés des petites entreprises au profit des grosses. Les libertés des particuliers aux profit de certaines entreprises.
D'autre part, le partage non équitable des richesses induit que des personnes n'ont rien à elles. Pas de terrain, par de maison... Qu'elles sont obligés de compter sur une "aumône" sociétal pour survivre, qu'elles ne peuvent PAS travailler car ayant quémandé un travail sans l'obtenir.
Je pense aux Grecs qui face à la crise de leur pays se sont, pour certains, repliés vers les zones rurales avec l'idée, de faire des économies en faisant leur jardin, élevant des poules... Pour au moins avoir quelque chose dans leurs assiettes. Alors, la "contre-société" n' est elle pas une façon, peut-être, d'éviter une misère plus grande, n'est t'elle pas une façon de s'organiser pour survivre. Une façon de faire face aux travers d'un système orienté cupidité.
Beaucoup de nos libertés sont limités ainsi. Les libertés des petites entreprises au profit des grosses. Les libertés des particuliers aux profit de certaines entreprises.
D'autre part, le partage non équitable des richesses induit que des personnes n'ont rien à elles. Pas de terrain, par de maison... Qu'elles sont obligés de compter sur une "aumône" sociétal pour survivre, qu'elles ne peuvent PAS travailler car ayant quémandé un travail sans l'obtenir.
Je pense aux Grecs qui face à la crise de leur pays se sont, pour certains, repliés vers les zones rurales avec l'idée, de faire des économies en faisant leur jardin, élevant des poules... Pour au moins avoir quelque chose dans leurs assiettes. Alors, la "contre-société" n' est elle pas une façon, peut-être, d'éviter une misère plus grande, n'est t'elle pas une façon de s'organiser pour survivre. Une façon de faire face aux travers d'un système orienté cupidité.