)Je suis contente de te voir dans cet état d'esprit, sincèrement et je t'en félicite. Pour l'avoir vécu à maintes reprises, je connais le harcèlement plus ou moins larvé. Monter les collègues contre toi (avec menaces plus ou moins précises), te laisser sans rien faire pendant des jours entiers, dénigrer tout et n'importe quoi... J'ai tout connu.Je suis vos conseils avec soin: discrétion, silence, note des faits, prise de contact avec conseiller du salarié, adhésion à un syndicat.
Je vais attendre le commencement des hostilités, et j'éprouve une impatience malsaine d'en découdre. Je sais que le sentiment de toute puissance et de monopole de l'intelligence de la gérante, jouera en ma faveur...mes contre-attaques seront réfléchies, coordonnées et mécaniquement violentes.
Résister, faire preuve de présence surtout si tu pointes (faire des copies de pointage si possible), anticiper calmement, ta gérante s'apercevra assez tôt que ses intimidations ne fonctionnent pas. La colère froide et calculée est infiniment plus dangereuse.
Une seule chose compte à présent puisque "les carottes sont cuites" t'en tirer sans trop de bobos et dans les règles siouplait.. parce-qu'il en existe encore !
Par contre, essaie de copier toutes les preuves de non-capacité d'effectuer ton travail correctement, le jour où tu es dehors c'est trop tard, ne compte sur personne.
Sauf si, comme cela m'est arrivé, j'ai trouvé, grâce aux filles en place, une ex-collègue que je n'avais pas connue, victime comme moi de sal...ies qui a accepté de témoigner.
Bravo encore pour ton sang-froid, je te souhaite bon courage !
(sauf bénévolat ce qui n'est pas le cas 
)
aux ASSEDIC ...???