Les plans sociaux au coin du bois
Re: Les plans sociaux au coin du bois
C'est le tour des magasins "game"
http://www.gameblog.fr/news/33046-game- ... -a-plus-de
Cherchez pas des infos là dessus dans la presse, de gauche à droite, la presse ne va pas se salir les mains à parler de jeux vidéos.
http://www.gameblog.fr/news/33046-game- ... -a-plus-de
Cherchez pas des infos là dessus dans la presse, de gauche à droite, la presse ne va pas se salir les mains à parler de jeux vidéos.
Re: Les plans sociaux au coin du bois
http://alpes.france3.fr/2013/01/08/liqu ... 76447.htmlRedressement judiciaire pour la société R2R à Pont-Evêque (Isère)
(...)
Soulagement relatif, bien sûr, pour les 68 salariés de l'entreprise de Pont-Evêque spécialisée dans l'emballage.
Devant le tribunal, l'actionnaire italien a finalement accepté de mettre la main au portefeuille pour débourser 1 million 600 mille euros pour les salariés qui seront licenciés mais avec des indemnités supra légales, au prorata de l'ancienneté.
Artificiellement, le tribunal a prononcé le redressement judiciaire avec une période d'observation de trois mois, pour permettre à l'actionnaire de 'solder' ses comptes avec les salariés.
A l'origine, un plan social était bien en cours de négociation mais l'accord avait été remis en cause, faisant craindre aux salariés de tout perdre.
(...)
+68 !
Re: Les plans sociaux au coin du bois
http://www.lanouvellerepublique.fr/Loir ... judiciaireLe tribunal de commerce de Blois a prononcé hier l'ouverture d'une procédure de redressement judiciaire à l'encontre de la société Chambord Prestige. Le traiteur de La Chaussée-Saint-Victor, dirigé depuis mars 2012 par Michel Varache, emploie 18 salariés.
Ont également été placées en redressement judiciaire : BRM, ravalement à Chitenay, Philippe Rasteiro, ravalement à Vineuil, et Kaiss Chaouch, intermédiaire du commerce en bois et matériel de construction, à Oucques.
Ont été placées en liquidation judiciaire : CJC, communication à Blois, et Courtage Travaux Sologne à Loreux.
Re: Les plans sociaux au coin du bois
http://www.usinenouvelle.com/article/la ... re.N189061Spécialisée dans la maintenance et la réparation d'avions, la société Latécoère Aeroservices (filiale à 30 % de l’équipementier aéronautique toulousain Latécoère et à 70 % de la société Pierre Latécoère Technologies), qui faisait l’objet d’une procédure de sauvegarde depuis le 6 août dernier, vient d’être mise en redressement judiciaire par le Tribunal de commerce de Toulouse. La société, dont le siège est à Cornebarrieu, dans l’agglomération toulousaine (Haute-Garonne), emploie actuellement 146 salariés, dont 62 sur un établissement secondaire implanté à Mauguio (Hérault), sur la zone aéroportuaire de Montpellier Méditerranée.
Re: Les plans sociaux au coin du bois
31/12/12L’imprimerie IGPM (42) est en liquidation judiciaire
IGPM a trente ans et figurait parmi les gros imprimeurs de Saint-Etienne…et pourtant il lui faut mettre la clé sous la porte, avec ses 70 salariés.
http://www.graphiline.com/article/15992 ... judiciaire
+70 !
La cas Renault
Arnaud Montebourg, le ministre du redressement productif, a tenu à saluer le plan de restructuration de Renault en ce qu'il ne prévoit ni licenciement ni fermeture d'usine, "deux lignes rouges" qui n'ont "pas été franchies", selon lui.
Pourtant, 7.500 postes vont être supprimés d'ici 2016, soit 14% des ses effectifs. Des "départs naturels à la retraite qui ne seront pas remplacés" (5.700), et 1.800 personnes qui pourraient être concernées par une prolongation et un renforcement des dispositifs GPEC.
http://lexpansion.lexpress.fr/entrepris ... 68880.html
On est dans le moins-disant social au nom de "l'emploi à tout prix"... Lamentable !
«On paie la mauvaise performance de nos patrons»
«7.500 suppressions, c'est l'usine de Flins plus la moitié de l'usine de Sandouville», relève un délégué syndical. «Il y a un problème de compétitivité chez Renault comme chez Peugeot alors que Volkswagen marche très bien. Nos véhicules ne sont pas au niveau», estime un salarié.
Pour Christophe Delaine, délégué syndical Sud, cette annonce relève de la «manipulation» alors qu'un accord est en discussion entre l'entreprise et les syndicats : «Cette annonce est faite pour créer un choc chez les salariés en leur disant Renault va très mal, et mettre la pression sur les syndicats pour les forcer à signer l'accord». Dès le début des négociations en novembre, alors qu'un accord sur la compétitivité était signé en Espagne, la direction avait mis la pression sur les syndicats : pas de fermeture de site si un accord était trouvé avec eux. Depuis, la direction déroule ses propositions (alignement du temps de travail pour tous les sites, mobilité obligatoire, «mutualisation» d'activités) tout en évoquant la possible venue de partenaires, comme Nissan et Daimler, dans des usines françaises.
«On nous demande de signer un accord sans savoir la stratégie de l'entreprise». Sud prévoit de proposer «des actions» aux salariés mais au Technocentre, «ce n'est pas une population qui manifeste sa révolte. Soit ils se taisent, soit ils démissionnent».
http://www.20minutes.fr/economie/108103 ... ce-patrons

Pourtant, 7.500 postes vont être supprimés d'ici 2016, soit 14% des ses effectifs. Des "départs naturels à la retraite qui ne seront pas remplacés" (5.700), et 1.800 personnes qui pourraient être concernées par une prolongation et un renforcement des dispositifs GPEC.
http://lexpansion.lexpress.fr/entrepris ... 68880.html
On est dans le moins-disant social au nom de "l'emploi à tout prix"... Lamentable !

«On paie la mauvaise performance de nos patrons»
«7.500 suppressions, c'est l'usine de Flins plus la moitié de l'usine de Sandouville», relève un délégué syndical. «Il y a un problème de compétitivité chez Renault comme chez Peugeot alors que Volkswagen marche très bien. Nos véhicules ne sont pas au niveau», estime un salarié.
Pour Christophe Delaine, délégué syndical Sud, cette annonce relève de la «manipulation» alors qu'un accord est en discussion entre l'entreprise et les syndicats : «Cette annonce est faite pour créer un choc chez les salariés en leur disant Renault va très mal, et mettre la pression sur les syndicats pour les forcer à signer l'accord». Dès le début des négociations en novembre, alors qu'un accord sur la compétitivité était signé en Espagne, la direction avait mis la pression sur les syndicats : pas de fermeture de site si un accord était trouvé avec eux. Depuis, la direction déroule ses propositions (alignement du temps de travail pour tous les sites, mobilité obligatoire, «mutualisation» d'activités) tout en évoquant la possible venue de partenaires, comme Nissan et Daimler, dans des usines françaises.
«On nous demande de signer un accord sans savoir la stratégie de l'entreprise». Sud prévoit de proposer «des actions» aux salariés mais au Technocentre, «ce n'est pas une population qui manifeste sa révolte. Soit ils se taisent, soit ils démissionnent».
http://www.20minutes.fr/economie/108103 ... ce-patrons
Re: Les plans sociaux au coin du bois
toit_de_chôme a écrit :quelqu'un a a un site de recencement de création d'emplois en Europe ? C'est juste au cas où il n'en reste plus en France à part épicier de quartier ou service à la personne !
Mais c'est pas bête comme idée ça ; au lieu de recenser les chômeurs, on va recenser les offres d'emploi disponibles


Re: Les plans sociaux au coin du bois
Il y a un site qui fait ça très bien, je pense que tu en as déjà entendu parlé: www.pole-emploi.frMais c'est pas bête comme idée ça ; au lieu de recenser les chômeurs, on va recenser les offres d'emploi disponibles
Re: Les plans sociaux au coin du bois
La plupart des chômeurs ne le deviennent pas suite à une liquidation judiciaire ou un plan de licenciement.au lieu de recenser les chômeurs
En additionnant toutes les suppressions d'emplois recensées dans cette file de messages on n'arrive même pas au nombre de chômeurs supplémentaires sur le mois de décembre seulement.
Re: Les plans sociaux au coin du bois
Oui je saistristesir a écrit :Il y a un site qui fait ça très bien, je pense que tu en as déjà entendu parlé: http://www.pole-emploi.frMais c'est pas bête comme idée ça ; au lieu de recenser les chômeurs, on va recenser les offres d'emploi disponibles


Classe laborieuse, classe dangereuse
Les grévistes de PSA feraient "régner la terreur" à Aulnay
http://www.latribune.fr/entreprises-fin ... ulnay.html
Voir cette vidéo de la "Marche pour l'emploi dans le 93" qui a eu lieu jeudi dernier à Aulnay :
http://www.dailymotion.com/video/xwudr9 ... -ikea_news
Un fort appel à l'unification des luttes... Si tous les futurs chômeurs du moment foutaient le bazar ensemble, ça aurait de la gueule.



http://www.latribune.fr/entreprises-fin ... ulnay.html
Voir cette vidéo de la "Marche pour l'emploi dans le 93" qui a eu lieu jeudi dernier à Aulnay :
http://www.dailymotion.com/video/xwudr9 ... -ikea_news
Un fort appel à l'unification des luttes... Si tous les futurs chômeurs du moment foutaient le bazar ensemble, ça aurait de la gueule.
Re: Les plans sociaux au coin du bois
Tu as lu les commentaires après l'article de la Tribune ?????
C'est vrai quoi, ces stalinistes, trotzkistes ou je ne sais quoi qui détruisent leur outil de travail... après on s'étonne des 10 millions de chômeurs !
Quels fichus connards. Tiens, je n'ai pas pensé à mettre un coup de barre à mine sur mon ordi quand on m'a virée la dernière fois

C'est vrai quoi, ces stalinistes, trotzkistes ou je ne sais quoi qui détruisent leur outil de travail... après on s'étonne des 10 millions de chômeurs !
Quels fichus connards. Tiens, je n'ai pas pensé à mettre un coup de barre à mine sur mon ordi quand on m'a virée la dernière fois

Re: Classe laborieuse, classe dangereuse
Qui fait régner la terreur?Le syndicat affirme que "le gouvernement doit sortir de son silence face à de telles méthodes". Il a d'ailleurs fait parvenir à la presse des photos censées représenter des "groupes de cadres soutenus par des vigiles qui interdisent l'entrée du parking à tous les salariés".
On se croirait revenu dans les années 70.
Cela me rappelle ça:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Overney
J'espère que cela n'ira pas jusqu'à là.

Re: Les plans sociaux au coin du bois
Renault menace le site de fermer deux usines en France
La direction du constructeur automobile Renault a menacé mardi de fermer deux sites en France si aucun accord de compétitivité n'était trouvé avec les organisations syndicales. | AFP/Thomas Samson Réagir
L'annonce fait trembler les organisations syndicales de Renault. Ce mardi après-midi, à l'issue d'une réunion, elles ont rapporté que la direction du constructeur automobile avait menacé de fermer deux sites en France si aucun accord de compétitivité n'était trouvé. «La direction nous a prévenus: "si vous ne signez pas, il se pourrait que deux sites ferment"», s'est indigné Laurent Smolnik, délégué central FO.
Peu avant, la direction avait fait savoir que l'accord de compétitivité comprenait notamment le gel des salaires pour 2013.
Depuis le début des discussions sur la compétitivité, Renault conditionnait la «non fermeture de site» à la signature de l'accord par au moins 30% des syndicats représentatifs. Mais «aujourd'hui, elle nous a répondu que s'il n'y a pas d'accord, c'est au minimum deux sites qui fermeraient», s'est inquiété Dominique Chauvin, délégué central CFE-CGC, ajoutant qu' «elle a aussi parlé du non engagement d'affectations de produits pour l'instant prévus en France».
«Flins (Yvelines) est en première ligne, et pour des gammes normalement prévues en 2014 pour Douai par exemple, la direction pourrait très bien envisager de les expatrier. Le plus dur c'est de concevoir le produit. Après, quand on l'a industrialisé, on peut déplacer les moyens. C'est malheureusement la réalité des faits», a souligné le délégué syndical.
La direction égrène depuis des semaines ses propositions pour gagner en compétitivité dans ses sites français. Elle prévoit notamment la suppression de 8 260 postes d'ici fin 2016, une harmonisation du temps de travail, et un gel des salaires pour 2013.
Source : Le Parisien.fr
La direction du constructeur automobile Renault a menacé mardi de fermer deux sites en France si aucun accord de compétitivité n'était trouvé avec les organisations syndicales. | AFP/Thomas Samson Réagir
L'annonce fait trembler les organisations syndicales de Renault. Ce mardi après-midi, à l'issue d'une réunion, elles ont rapporté que la direction du constructeur automobile avait menacé de fermer deux sites en France si aucun accord de compétitivité n'était trouvé. «La direction nous a prévenus: "si vous ne signez pas, il se pourrait que deux sites ferment"», s'est indigné Laurent Smolnik, délégué central FO.
Peu avant, la direction avait fait savoir que l'accord de compétitivité comprenait notamment le gel des salaires pour 2013.
Depuis le début des discussions sur la compétitivité, Renault conditionnait la «non fermeture de site» à la signature de l'accord par au moins 30% des syndicats représentatifs. Mais «aujourd'hui, elle nous a répondu que s'il n'y a pas d'accord, c'est au minimum deux sites qui fermeraient», s'est inquiété Dominique Chauvin, délégué central CFE-CGC, ajoutant qu' «elle a aussi parlé du non engagement d'affectations de produits pour l'instant prévus en France».
«Flins (Yvelines) est en première ligne, et pour des gammes normalement prévues en 2014 pour Douai par exemple, la direction pourrait très bien envisager de les expatrier. Le plus dur c'est de concevoir le produit. Après, quand on l'a industrialisé, on peut déplacer les moyens. C'est malheureusement la réalité des faits», a souligné le délégué syndical.
La direction égrène depuis des semaines ses propositions pour gagner en compétitivité dans ses sites français. Elle prévoit notamment la suppression de 8 260 postes d'ici fin 2016, une harmonisation du temps de travail, et un gel des salaires pour 2013.
Source : Le Parisien.fr
Re: Les plans sociaux au coin du bois
Tiens, ça me rappelle quelque chose....C'est malheureusement la réalité des faits...
Les financiers prennent les salarié(e)s en otage, je dirai même plus, ils leur ont déclaré la guerre. C'est pour cette raison qu'il ne s'agit pas de faire des constats et de s'aplatir. Il faut agir, lutter, entrer en résistance. Mesdames, Messieurs les représentant(e)s syndicaux(ales) vous savez ce qu'ils vous restent à faire.
La réponse est : À qui profite le crime ?Qui fait régner la terreur ?