Appel pour l'interdiction des licenciements
Appel pour l'interdiction des licenciements
Appel pour une marche unie sur Paris pour l'interdiction des licenciements :
http://humeur.unblog.fr/files/2008/12/appel122008.pdf
Conférence de Presse du Bureau National du Parti Ouvrier Indépendant se prononçant pour une marche sur Paris afin de stopper la politique destructrice initiée par Bruxelles et relayée par Sarkozy :
http://www.dailymotion.com/Parti-Ouvrie ... de-pr_news
http://humeur.unblog.fr/files/2008/12/appel122008.pdf
Conférence de Presse du Bureau National du Parti Ouvrier Indépendant se prononçant pour une marche sur Paris afin de stopper la politique destructrice initiée par Bruxelles et relayée par Sarkozy :
http://www.dailymotion.com/Parti-Ouvrie ... de-pr_news
On voit qu'ils sont 5 pelés et 3 tondus à cette conférence 
Le groupusculaire POI,
ex PT (parti des travailleurs),
ex MPPT (mouvement pour un parti des travailleurs)
et ex PCI (parti communiste internationaliste).
Je me souviens d'une époque où le PCI passait plus de temps à taper sur ses collègues trostkystes LO et la LCR que sur la droite... Mais bon. Ce qu'ils disent ici est juste.

Le groupusculaire POI,
ex PT (parti des travailleurs),
ex MPPT (mouvement pour un parti des travailleurs)
et ex PCI (parti communiste internationaliste).
Je me souviens d'une époque où le PCI passait plus de temps à taper sur ses collègues trostkystes LO et la LCR que sur la droite... Mais bon. Ce qu'ils disent ici est juste.
Juste… en effet
Ce qu'ils disent est juste.
La "seule relance économique" possible, c'est d'interdire les licenciements et de nationaliser les entreprises qui licencient massivement en ce moment.
Sur le fond, ça coule de source.
Comment envisager un seul instant une relance économique (à la quelle je ne crois pas à titre personnel) alors que le chômage va considérablement augmenter dans les prochains mois (donc les capacités de consommation diminuer).
Il y a quand même quelque chose de stupéfiant dans les propos des "4 pelés et 3 tondus" du POI : Je ne crois pas avoir entendu une seule fois le mot "chômeurs" (mais peut-être que j’ai les portugaises ensablées), quand le mot "ouvriers" est prononcé à toutes les sauces.
Voilà encore des gens qui manquent singulièrement de jugeote.
Aucune mobilisation LÉGITIME en faveur de l'emploi ne pourra se faire dans ce pays sans en appeler aux "chômeurs".
"Chômeurs", un mot tabou, y compris pour les ouvriers, comme nous l'avait précisé en son temps Claire Villiers qui, se rendant dans des entreprises, s'était faite rembarrée par des ouvrières :
"Nous ne sommes pas des chômeuses, nous madame, nous sommes LICENCIÉES !!!" (anecdote vraie)
ELLE EST PAS BONNE CELLE-LÀ ?
La "seule relance économique" possible, c'est d'interdire les licenciements et de nationaliser les entreprises qui licencient massivement en ce moment.
Sur le fond, ça coule de source.
Comment envisager un seul instant une relance économique (à la quelle je ne crois pas à titre personnel) alors que le chômage va considérablement augmenter dans les prochains mois (donc les capacités de consommation diminuer).
Il y a quand même quelque chose de stupéfiant dans les propos des "4 pelés et 3 tondus" du POI : Je ne crois pas avoir entendu une seule fois le mot "chômeurs" (mais peut-être que j’ai les portugaises ensablées), quand le mot "ouvriers" est prononcé à toutes les sauces.
Voilà encore des gens qui manquent singulièrement de jugeote.
Aucune mobilisation LÉGITIME en faveur de l'emploi ne pourra se faire dans ce pays sans en appeler aux "chômeurs".
"Chômeurs", un mot tabou, y compris pour les ouvriers, comme nous l'avait précisé en son temps Claire Villiers qui, se rendant dans des entreprises, s'était faite rembarrée par des ouvrières :
"Nous ne sommes pas des chômeuses, nous madame, nous sommes LICENCIÉES !!!" (anecdote vraie)
ELLE EST PAS BONNE CELLE-LÀ ?

Même si on peux comprendre les motivations, je ne suis pas sûre que l'interdiction des licenciement soit bonne, ni les nationalisation des entreprises en faillite d'ailleurs.
Pas de licienciement, mais comment on se débarassererait on des personnes qu'on ne veux/peut plus payer : harcellement moral !
Nationalisation : mais c'est nous tous qui payons dans ce cas avec nos impots, nos taxes sur ceci, cela etc ....
Et les chômeurs ? Car il en restera, certains completement affaiblis par leur dernier passage dans le monde du travail .... ben comme le licentiement est interdit et les entreprises nationalisée ils seront bien plus marginalisés qu'aujourd'hui. L'insulte "fainéant" pourraient même devenir la plus gentille.
voila en gros de ce que j'en pense ....
Pas de licienciement, mais comment on se débarassererait on des personnes qu'on ne veux/peut plus payer : harcellement moral !
Nationalisation : mais c'est nous tous qui payons dans ce cas avec nos impots, nos taxes sur ceci, cela etc ....
Et les chômeurs ? Car il en restera, certains completement affaiblis par leur dernier passage dans le monde du travail .... ben comme le licentiement est interdit et les entreprises nationalisée ils seront bien plus marginalisés qu'aujourd'hui. L'insulte "fainéant" pourraient même devenir la plus gentille.
voila en gros de ce que j'en pense ....
Mais on paye même quand les entreprises n'ont pas un euro de l'Etat dans leur capital.Nationalisation : mais c'est nous tous qui payons dans ce cas avec nos impots, nos taxes sur ceci, cela etc ....
Les milliards prêtés/donnés par Nicolas Sarkozy aux banques vont leur permettre de ne pas couler, parait-il: privatisation des bénéfices, mutualisation des pertes. C'est le principe directeur de ces gens.
Dans le monde capitaliste (notre monde) quand l'Etat est actionnaire, il empoche des dividendes. C'est cela qui est insupportable aux partisans du tout libéral: de l'argent qui ne va pas directement dans leur poche.
Et si les licenciements sont interdits, à priori le chômage n'augmente pas.
Et son coût se stabilise.
Les employeurs et leurs amis financiers sont les vrais bénéficiaires du chômage à eux d'en assumer la charge financière.
D'accord sur le fait que l'Etat aide des entreprisestristesir a écrit : Mais on paye même quand les entreprises n'ont pas un euro de l'Etat dans leur capital.
Les milliards prêtés/donnés par Nicolas Sarkozy aux banques vont leur permettre de ne pas couler, parait-il: privatisation des bénéfices, mutualisation des pertes. C'est le principe directeur de ces gens.
Qui dit prêts dit intérerêts et contreparties pour l'entreprise.
Cela ne me choque pas que l'Etat touche des dividendes comme n'importe quel actionnaire .... ou prends ses responsabilités en cas de pertes. Les partisans du tout libéral souhaitent surtout que si l'Etat est actionnaire, qu'il ne demeure qu'un actionnaire parmis les autres, sans passes droits particuliers liés à son statut d'Etat.Dans le monde capitaliste (notre monde) quand l'Etat est actionnaire, il empoche des dividendes. C'est cela qui est insupportable aux partisans du tout libéral: de l'argent qui ne va pas directement dans leur poche.
Parole de Bisounours ! restera quand meme celles et ceux qui ont du partir car harcelé ou employé en dessous/ dessus de leur qualification ou parce que dans un placard, parfois poussé à la faute et ... virés pour faute ! Ah oui, ils ne seront pour la plupart pas au chômage car pas d'indemnitées .... le chômage baissera ou sera négligeable ... dans les statistiques ....Et si les licenciements sont interdits, à priori le chômage n'augmente pas.
Et son coût se stabilise.
Là je suis d'accord cf le dumping social sur les salaires. Sauf qu'un patron n'est pas forcément tres riche, la plupart dans les PME, PMI s'octroient juste un petit salaire guère plus grand que celui de la moyenne des employés. Typiquement, le boulanger et ses vendeuses, le boucher et ses vendeurs. Ce sont des entreprises artisanalles.Les employeurs et leurs amis financiers sont les vrais bénéficiaires du chômage à eux d'en assumer la charge financière.
Petit salaire pour petit patron
Petit salaire pour petit patron ?
Cela reste à démontrer.
Petit salaire, peut-être, mais gros avantages (remboursement de frais professionnels ou non, véhicule professionnel, essence, ordinateur, téléphone, frais de bouche… et divers).
Petit salaire, peut-être, mais intéressements aux bénéfices et marges nettes.
Un "patron" travaille rarement à perte (ce qui est normal) et beaucoup de "petits patrons" vivent bien, très bien même.
Je n'ai rien contre les petits patrons, mais je connais bien aussi les ficelles du "métier" pour avoir été gérant de société (petite) pendant 10 ans.
Moins le salaire direct est important, plus les impôts sont faibles.
Donc un "patron" (petit ou grand) a tout intérêt à "gonfler" sa rémunération avec du non imposable (comme le remboursement de frais professionnels réels, gonflés… et même fictifs).
Ainsi, peut-on s'accorder un salaire de 2.000 euros nets (imposables) et l'équivalent en remboursement de frais (non imposables).
+++++++++++++++
Pour revenir à l'interdiction des licenciements, elle serait alors temporaire, le temps de ça passe (la crise).
Les aides de l'état (plans de relance) doivent servir avant tout à préserver l'emploi (donc le pouvoir d'achat). Si une partie de ces aides est détournée (vers la rémunération du capital et des patrons), c'est peine perdue.
Et, je ne crois pas au sens des responsabilités des patrons petits ou grands. L'appât du gain facile est - hélas - monnaie courante.
Actuellement, le gros problème, c'est que beaucoup de patrons ne veulent pas s'endetter car ils craignent le dépôt de bilan dans 1 ou 2 ans. Et ils ne veulent pas s'engager sur leurs biens propres.
Moralité, l'effet "plan de relance", notamment sur les PME/PMI, sera limité.
En cette période, mieux vaut soutenir l'emploi et le pouvoir d'achat des salariés, qu'aider les entreprises (qui utilisent leurs fonds à leur convenance et sans aucun contrôle).
C'est d'ailleurs la GRANDE inquiétude de Sarkozy qui ne peut que "menacer" les patrons qui ne joueraient pas le jeu.
Mais les patrons (petits ou grands) jouent avant tout LEUR JEU.
C'est un des fondamentaux de l'entreprenariat.
Cela reste à démontrer.
Petit salaire, peut-être, mais gros avantages (remboursement de frais professionnels ou non, véhicule professionnel, essence, ordinateur, téléphone, frais de bouche… et divers).
Petit salaire, peut-être, mais intéressements aux bénéfices et marges nettes.
Un "patron" travaille rarement à perte (ce qui est normal) et beaucoup de "petits patrons" vivent bien, très bien même.
Je n'ai rien contre les petits patrons, mais je connais bien aussi les ficelles du "métier" pour avoir été gérant de société (petite) pendant 10 ans.
Moins le salaire direct est important, plus les impôts sont faibles.
Donc un "patron" (petit ou grand) a tout intérêt à "gonfler" sa rémunération avec du non imposable (comme le remboursement de frais professionnels réels, gonflés… et même fictifs).
Ainsi, peut-on s'accorder un salaire de 2.000 euros nets (imposables) et l'équivalent en remboursement de frais (non imposables).
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Pour revenir à l'interdiction des licenciements, elle serait alors temporaire, le temps de ça passe (la crise).
Les aides de l'état (plans de relance) doivent servir avant tout à préserver l'emploi (donc le pouvoir d'achat). Si une partie de ces aides est détournée (vers la rémunération du capital et des patrons), c'est peine perdue.
Et, je ne crois pas au sens des responsabilités des patrons petits ou grands. L'appât du gain facile est - hélas - monnaie courante.
Actuellement, le gros problème, c'est que beaucoup de patrons ne veulent pas s'endetter car ils craignent le dépôt de bilan dans 1 ou 2 ans. Et ils ne veulent pas s'engager sur leurs biens propres.
Moralité, l'effet "plan de relance", notamment sur les PME/PMI, sera limité.
En cette période, mieux vaut soutenir l'emploi et le pouvoir d'achat des salariés, qu'aider les entreprises (qui utilisent leurs fonds à leur convenance et sans aucun contrôle).
C'est d'ailleurs la GRANDE inquiétude de Sarkozy qui ne peut que "menacer" les patrons qui ne joueraient pas le jeu.
Mais les patrons (petits ou grands) jouent avant tout LEUR JEU.
C'est un des fondamentaux de l'entreprenariat.
Ce qui est tout de même admirable c'est que l'argent du chômage (Unedic - 24 milliards d'allocs par an sur un budget total de 30), alimenté par les cotisations salariales et patronales de ceux qui travaillent - même pas par l'Etat ! -, on demande aux chômeurs de ne pas le considérer comme une rente, on leur dit qu'ils ont des droits et surtout des devoirs, donc qu'on leur verse des sous (qu'ils ont contribué à verser) oui, mais avec contreparties...
Les banques, elles, vont se voir verser pour la seconde fois 10,5 milliards d'€ par l'Etat (donc le contribuable) sans contreparties !!!
Les banques, elles, vont se voir verser pour la seconde fois 10,5 milliards d'€ par l'Etat (donc le contribuable) sans contreparties !!!
Renoncer au Bonus annuel ? les patrons de deux grandes banques aidées par l’Etat disent non à Sarkozy
Midi Libre – 18/01/09
Le directeur général de Crédit Agricole SA a confirmé implicitement dimanche qu'il ne renoncerait pas de son propre fait à son bonus 2008, arguant que la détermination de cette rémunération variable ne dépendait pas de lui mais du comité des rémunérations et du CA de la banque.
Dans un communiqué, le directeur général de CASA Georges Pauget explique que sa rémunération est décidée "en application des lois et règlements en vigueur" par "des instances spécifiques représentant les actionnaires - comité des rémunérations et Conseil d'Administration" et qu'il "se conformera" à la décision de ces instances. Mais il n'annonce pas, comme l'on fait les dirigeants de BNP Paribas, qu'il renonce de lui-même à ce bonus.
Le Journal du Dimanche avait affirmé que M. Pauget ainsi que Frédéric
Oudéa, directeur général de la Société Générale, avaient répondu non à la demande de Nicolas Sarkozy aux dirigeants des banques de renoncer ces rémunérations variables pour 2008.
"Aucune polémique ne saurait exister sur ce sujet" avec l'Elysée, précise-t-on sur le communiqué en réaction à la formulation du JDD. Joint par l'AFP, le service de presse de la Société Générale n'a pas fait de commentaire.
Jeudi, le président de la République a demandé aux dirigeants des banques françaises de suspendre cette année la "part variable" de leurs rémunérations sur les résultats de 2008, en contrepartie de l'aide financière que l'Etat leur a apporté, estimant même que ce serait "la moindre des choses".
Le communiqué du Crédit Agricole précise que "le comité des rémunérations prend bien évidemment en compte le contexte général de l'entreprise et les recommandations des pouvoirs publics."
Ce comité "formulera une recommandation sur les bonus 2008 versés en 2009 début février, conformément au calendrier initialement prévu, pour présentation au conseil d'administration du 4 mars 2009", ajoute le communiqué.
De leur côté, le président et le directeur général de BNP Paribas, Michel Pébereau et Baudoin Prot, avaient annoncé samedi leur décision de renoncer à leur rémunération variable pour 2008, soit respectivement 875.000 et 2,27 millions d'euros, selon une porte-parole de la banque.
L'Etat a accordé aux banques françaises en décembre une première tranche de prêts de 10,5 milliards d'euros.
Le ministère des Finances a précisé cette semaine que les banques pourraient bénéficier d'un nouveau prêt de l'Etat de 10,5 milliards d'euros d'ici la fin du premier trimestre, ce qui porterait l'aide publique à 21 milliards d'euros.
Six grandes banques françaises avaient bénéficié de la première tranche de fonds débloqués par l'Etat: Crédit Agricole, BNP Paribas, Société Générale, Crédit Mutuel, Caisse d'Epargne et Banque Populaire.
Tant de vaines menaces de la part du chef de l’Etat et du Medef ne font pas peur aux grands patrons français... qui empochent les aident sans aucune contrepartie !
pourquoi, on se gênerait !
source
Et je vous laisse "admirer" la photo !
Midi Libre – 18/01/09
Le directeur général de Crédit Agricole SA a confirmé implicitement dimanche qu'il ne renoncerait pas de son propre fait à son bonus 2008, arguant que la détermination de cette rémunération variable ne dépendait pas de lui mais du comité des rémunérations et du CA de la banque.
Dans un communiqué, le directeur général de CASA Georges Pauget explique que sa rémunération est décidée "en application des lois et règlements en vigueur" par "des instances spécifiques représentant les actionnaires - comité des rémunérations et Conseil d'Administration" et qu'il "se conformera" à la décision de ces instances. Mais il n'annonce pas, comme l'on fait les dirigeants de BNP Paribas, qu'il renonce de lui-même à ce bonus.
Le Journal du Dimanche avait affirmé que M. Pauget ainsi que Frédéric
Oudéa, directeur général de la Société Générale, avaient répondu non à la demande de Nicolas Sarkozy aux dirigeants des banques de renoncer ces rémunérations variables pour 2008.
"Aucune polémique ne saurait exister sur ce sujet" avec l'Elysée, précise-t-on sur le communiqué en réaction à la formulation du JDD. Joint par l'AFP, le service de presse de la Société Générale n'a pas fait de commentaire.
Jeudi, le président de la République a demandé aux dirigeants des banques françaises de suspendre cette année la "part variable" de leurs rémunérations sur les résultats de 2008, en contrepartie de l'aide financière que l'Etat leur a apporté, estimant même que ce serait "la moindre des choses".
Le communiqué du Crédit Agricole précise que "le comité des rémunérations prend bien évidemment en compte le contexte général de l'entreprise et les recommandations des pouvoirs publics."
Ce comité "formulera une recommandation sur les bonus 2008 versés en 2009 début février, conformément au calendrier initialement prévu, pour présentation au conseil d'administration du 4 mars 2009", ajoute le communiqué.
De leur côté, le président et le directeur général de BNP Paribas, Michel Pébereau et Baudoin Prot, avaient annoncé samedi leur décision de renoncer à leur rémunération variable pour 2008, soit respectivement 875.000 et 2,27 millions d'euros, selon une porte-parole de la banque.
L'Etat a accordé aux banques françaises en décembre une première tranche de prêts de 10,5 milliards d'euros.
Le ministère des Finances a précisé cette semaine que les banques pourraient bénéficier d'un nouveau prêt de l'Etat de 10,5 milliards d'euros d'ici la fin du premier trimestre, ce qui porterait l'aide publique à 21 milliards d'euros.
Six grandes banques françaises avaient bénéficié de la première tranche de fonds débloqués par l'Etat: Crédit Agricole, BNP Paribas, Société Générale, Crédit Mutuel, Caisse d'Epargne et Banque Populaire.
Tant de vaines menaces de la part du chef de l’Etat et du Medef ne font pas peur aux grands patrons français... qui empochent les aident sans aucune contrepartie !
Ben, voila Sophie tu as la réponseLes banques, elles, vont se voir verser pour la seconde fois 10,5 milliards d'€ par l'Etat (donc le contribuable) sans contreparties !!!

source
Et je vous laisse "admirer" la photo !
Chaque minute qui passe, il y a un chômeur de plus dans ce p
Lettre du POI au PCF, PS, PG, NPA, LO, du 9 février 2009 :
http://www.parti-ouvrier-independant.co ... article194
Toutes ces organisations vont à mon avis se faire un malin plaisir de ne pas répondre à cette lettre, au détriment des chômeurs. Pour ceux qui ici fréquentent ces partis, comptez-vous en parler à vos camarades ?
Enfin il serait bon de reprendre l'expression "Chaque minute qui passe, il y a un chômeur de plus dans ce pays."
http://www.parti-ouvrier-independant.co ... article194
Toutes ces organisations vont à mon avis se faire un malin plaisir de ne pas répondre à cette lettre, au détriment des chômeurs. Pour ceux qui ici fréquentent ces partis, comptez-vous en parler à vos camarades ?
Enfin il serait bon de reprendre l'expression "Chaque minute qui passe, il y a un chômeur de plus dans ce pays."
pourquoi faire la leçon aux partis de gauche ?
Ah !!! Notre ami Renaud21 a choisi le POI.
Alerter les organisations de gauche sur le fait que "Chaque minute qui passe, il y a un chômeur de plus dans ce pays", c'est prêcher dans le désert car ELLES LE SAVENT.
Le POI ne devrait-il pas plutôt faire pression sur l'UMP, le NC, le CAC40 et le Medef ??? Interpeller les copains en les suspectant d'indifférence, c'est ridicule. On sait très bien que c'est le capitalisme qui a besoin du chômage pour engraisser, pas la gauche anticapitaliste !

Bien sûr : je suis au NPA en tant que CHÔMEUSE Actuchomiste, et pas honteuse de l'être. Et personne ne me fuit. J'apporte ma pierre à l'édifice, point.Pour ceux qui ici fréquentent ces partis (PCF, PG, NPA, LO…), comptez-vous en parler à vos camarades ?
Alerter les organisations de gauche sur le fait que "Chaque minute qui passe, il y a un chômeur de plus dans ce pays", c'est prêcher dans le désert car ELLES LE SAVENT.
Le POI ne devrait-il pas plutôt faire pression sur l'UMP, le NC, le CAC40 et le Medef ??? Interpeller les copains en les suspectant d'indifférence, c'est ridicule. On sait très bien que c'est le capitalisme qui a besoin du chômage pour engraisser, pas la gauche anticapitaliste !


