Malgré l'envolée du nombre de chômeurs, ni le Premier ministre ni le chef de l'Etat n'ont annoncé de mesures nouvelles. Pourtant, les propositions d'experts abondent. Challenges en détaille quatre.
Un article du journal Challenges, préparer votre sac pour vomir.
<<La lutte contre le chômage manque de volontarisme>
«En France, les plans de relance par la consommation en 1974 et en 1981 ont tous mené à des plans de rigueur», rappelle Raymond Soubie.
La rigueur, ça fait déjà 25 ans qu'elle existe !!! Elle a pris racine dans le siphonnage progressif des revenus du travail au profit du capital et de sa bulle financière (qui, d'ailleurs, ont besoin du chômage pour prospérer).
La rigueur, ça fait déjà 25 ans qu'elle existe !!! Elle a pris racine dans le siphonnage progressif des revenus du travail au profit du capital et de sa bulle financière (qui, d'ailleurs, ont besoin du chômage pour prospérer).
1. Confier le placement d'une partie des chômeurs aux entreprises d'intérim
(...)
4. Inciter les entreprises à éviter les licenciements
Plutôt que d'aligner les plans sociaux, Sophie Uettwiller, avocate en droit social, propose à ses clients des astuces pour éviter de licencier. Des solutions assez explosives, car elles aboutissent, la plupart du temps, à rogner des acquis sociaux.(...)
On sait pourquoi il y a du chômage en France, parce que les salaires et le SMIC sont trop élevés, bien évidemment.
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4. Inciter les entreprises à éviter les licenciements
Plutôt que d'aligner les plans sociaux, Sophie Uettwiller, avocate en droit social, propose à ses clients des astuces pour éviter de licencier. Des solutions assez explosives, car elles aboutissent, la plupart du temps, à rogner des acquis sociaux.(...)
On sait pourquoi il y a du chômage en France, parce que les salaires et le SMIC sont trop élevés, bien évidemment.
J'explique ici pourquoi le gouvernement ne lutte pas contre le chômage mais contre les chômeurs.
D'un côté, il est l'ami du patronat, dont le rôle n'est pas de créer des emplois mais de faire de l'argent. De l'autre, c'est tout de même l'Etat qui assume financièrement les dégâts du chômage (Unedic, collectivités locales, Sécu, etc). Mais comme l'Etat il s'en fout et cherche même à le mettre à genoux, comme il a choisi son camp (le capitalisme, inévitable n'est-ce pas ?) et ne veut pas renoncer à ce fabuleux outil économique qu'est le chômage, il détourne les responsabilités… contre les victimes.
D'un côté, il est l'ami du patronat, dont le rôle n'est pas de créer des emplois mais de faire de l'argent. De l'autre, c'est tout de même l'Etat qui assume financièrement les dégâts du chômage (Unedic, collectivités locales, Sécu, etc). Mais comme l'Etat il s'en fout et cherche même à le mettre à genoux, comme il a choisi son camp (le capitalisme, inévitable n'est-ce pas ?) et ne veut pas renoncer à ce fabuleux outil économique qu'est le chômage, il détourne les responsabilités… contre les victimes.