ah oui j'avais même pas fait attention à cela !! ahahah j'y suis allée et cela était pas mal dans l'ensemble ! j'ai laissé des CVs on verra bien et remplie fiches contacts + une conférence intéressante, j'ai de la lecture maintenant à voir avec les brochures rapportées + trouver s le net des dates d'autres salon pour formation voilà
Vivre sans argent : à la conquête des villages abandonnés…
30 octobre 2012
Posté par benji sous Réflexion
7 commentaires
Enfin une belle idée pour sortir du système!!! Enfin un projet intéressant!!! Maintenant, si des personnes connaissent des lieux abandonnés qui ne demandent qu’à revivre, on attend vos propositions!
Mahamo : Qui n’a jamais eu envie de tout plaquer et de partir loin ? seriez vous prêts à franchir le pas? Vivre en Harmonie avec la nature, retrouver les vraies valeurs loin du stress et de la pollution . Qu’en pensez vous? peut on vraiment sortir du système ?
Mahamo : Qui n’a jamais eu envie de tout plaquer et de partir loin ? seriez vous prêts à franchir le pas? Vivre en Harmonie avec la nature, retrouver les vraies valeurs loin du stress et de la pollution . Qu’en pensez vous? peut on vraiment sortir du système ?
Ca me fait toujours marrer... Meme les ruines les plus pourries appartiennent a quelqu'un... Voire a l'etat qui ne verra pas ton projet d'un bon oeil, vu que tu pourrais etre bien plus taxable ailleurs... Ensuite, pour restaurer une vraie ruine, j'espere que tu es jeune, fort et motive, surtout sans thunes et si tu dois faire un jardin pour te nourrir a cote...
Pour repondre a ta derniere question : Non, on ne peut pas sortir du systeme, du moins pas en France. Et pour aller plus loin je dirais qu'on n'a pas interet a sortir du systeme, il faut veiller a toujours avoir un statut, ne serait-ce qu'en cas d'accident ou de maladie.
Je suis en train de regarder le site des moutons enragés.
et relèvent chaque jour le pari fou de redonner vit à un village abandonné.
Hé hé... on s'embête pas dans les Pyrénées espagnoles.
Il ne s'agit pas pour eux de vivre en autonomie complète ni de rejeter complètement la société. Ils ne partent pas de rien et réinvestissent des terres abandonnées par l'exode rural.
Si je comprends bien c'est plutôt un désir d'être paysan, de vivre près de la nature et de se servir de ses mains.
Je ne suis pas attirée par les communautés, mais à part ça je trouve la démarche bonne. Il y en a un peu partout des gens qui quittent la ville pour vivre un peu comme ça.
Moi qui ai toujours vecu a la cambrousse, (a part quand j'etais a Montreal) les projets de ce type commencent par me faire sourire, mais pourquoi pas ?
On a tous pris des chemins sans issues avant de trouver la bonne voie, pour ca il n'y a pas de GPS... Bonne chance a ces gens-la, c'est parfois l'adieu au stress mais ce n'est jamais la facilite.
Je me méfie des regroupements, des communautés qui ont ce genre de projet parce qu'il y a pas mal de récupération plus ou moins sectaire, des types qui font un peu les gourous et font du fric avec la naïveté des citadins en mal de fleurettes et d'abeilles.
Mais individuellement à la campagne pas mal de gens essaient d'avoir un peu d'autonomie alimentaire (ce qui est la vie normale d'un paysan traditionnel : ma voisine produit tous ses légumes de l'année, des poulets, des lapins, partage un porc ou un veau avec quelques voisins), font de la récup', bricolent leur maison...
Donc vivre en province, oui. Travailler en province c'est moins sûr... faut prendre ce qu'il y a quand il y en a, mais la nièce ou le filleul du patron passe avant.