POLITIQUE
Un gouvernement complètement nul
Depuis le temps que le parti socialiste attendait de revenir au pouvoir, on aurait pu croire qu'il aurait peaufiné sa stratégie. Que nenni !
Entre l'attentisme, les revirements, les "couacs" et les textes retoqués, ça commence à bien faire...
Dernier exemple en date, la loi Brottes sur les tarifs de l'énergie, rejetée par le Sénat :
http://www.humanite.fr/politique/pourqu ... tee-507571
Je n'aime pas reprendre bêtement les arguments de la droite mais là, vraiment, ils font preuve d'un amateurisme pathétique !
Entre l'attentisme, les revirements, les "couacs" et les textes retoqués, ça commence à bien faire...
Dernier exemple en date, la loi Brottes sur les tarifs de l'énergie, rejetée par le Sénat :
http://www.humanite.fr/politique/pourqu ... tee-507571
Je n'aime pas reprendre bêtement les arguments de la droite mais là, vraiment, ils font preuve d'un amateurisme pathétique !

Re: Un gouvernement complètement nul
Oui la loi n'est pas passé, à cause des sénateurs PCF 

Re: POLITIQUE
Parce que c'était une usine à gaz !!! Lis l'article de L'Huma et tu comprendras.
Au lieu de faire simple et droit au but, comme en matière fiscale, ils font compliqué et à peine moins inégalitaire. Et après, ils s'étonnent de se prendre une veste. C'est du n'importe quoi !
Au lieu de faire simple et droit au but, comme en matière fiscale, ils font compliqué et à peine moins inégalitaire. Et après, ils s'étonnent de se prendre une veste. C'est du n'importe quoi !
La loi de programmation budgétaire 2012-2017 rejetée
Même topo : la droite et la vraie gauche votent contre le gouvernement (mais pas du tout pour les mêmes raisons, bien sûr…).
Maintenant, le TSCG a bonne mine...
La commission des finances du Sénat a rejeté, mercredi 31 octobre, le projet de loi de programmation budgétaire pour les cinq années à venir, a annoncé son président Philippe Marini (UMP).
L'UMP, les centristes et les communistes ont unis leurs voix pour voter contre ce texte (23 voix contre, 18 pour, 1 abstention) qui fixe notamment les objectifs du gouvernement sur la durée de la législature, en particulier un déficit limité à 3% du produit intérieur brut en 2013.
"C'est un vote d'opposition politique. Nous sommes les uns et les autres opposés à la politique annoncée par le gouvernement", a déclaré M. Marini.
TENSIONS AU SEIN DE LA GAUCHE
Le projet de loi déjà adopté par l'Assemblée nationale doit être examiné par le Sénat en séance publique à partir du 7 novembre. Comme le redoutait le gouvernement, ce revers fait monter d'un cran la tension entre les composantes de la gauche.
A l'Assemblée nationale, le 23 octobre, les députés communistes et du Parti de gauche se sont abstenus sur la première partie du projet de loi de finances, portant sur les recettes. En votant contre le projet de loi mercredi 31 octobre, les sénateurs communistes ont provoqué le rejet en commission au Sénat qui, dès lors, ne peut plus examiner la seconde partie consacrée aux crédits.
Les sénateurs du groupe CRC (communistes) indiquent que leur vote contre est motivé par le fait que ce texte "s'inscrit dans la perspective du pacte budgétaire européen" auquel ils sont opposés. "Ce n'est pas le projet de budget mais une loi de programmation", font-ils valoir. "Nos propositions sont des propositions réalistes", a souligné le secrétaire national du PCF et sénateur Pierre Laurent, qui évoque la création d'une tranche d'impôt sur le revenu (IR) à 50%, le dégel du barème de l'IR et demande au gouvernement de "revenir sur les concessions faites aux ‘pigeons’".
"Après la censure de la loi sur le logement par le Conseil constitutionnel la semaine dernière, le rejet du texte énergie au Sénat cette nuit, le naufrage législatif du gouvernement se poursuit, se heurtant aux écueils de sa majorité profondément divisée", a réagi dans un communiqué Jean-Claude Gaudin, chef de file des sénateurs UMP.
http://www.lemonde.fr/politique/article ... 23448.html
Maintenant, le TSCG a bonne mine...



La commission des finances du Sénat a rejeté, mercredi 31 octobre, le projet de loi de programmation budgétaire pour les cinq années à venir, a annoncé son président Philippe Marini (UMP).
L'UMP, les centristes et les communistes ont unis leurs voix pour voter contre ce texte (23 voix contre, 18 pour, 1 abstention) qui fixe notamment les objectifs du gouvernement sur la durée de la législature, en particulier un déficit limité à 3% du produit intérieur brut en 2013.
"C'est un vote d'opposition politique. Nous sommes les uns et les autres opposés à la politique annoncée par le gouvernement", a déclaré M. Marini.
TENSIONS AU SEIN DE LA GAUCHE
Le projet de loi déjà adopté par l'Assemblée nationale doit être examiné par le Sénat en séance publique à partir du 7 novembre. Comme le redoutait le gouvernement, ce revers fait monter d'un cran la tension entre les composantes de la gauche.
A l'Assemblée nationale, le 23 octobre, les députés communistes et du Parti de gauche se sont abstenus sur la première partie du projet de loi de finances, portant sur les recettes. En votant contre le projet de loi mercredi 31 octobre, les sénateurs communistes ont provoqué le rejet en commission au Sénat qui, dès lors, ne peut plus examiner la seconde partie consacrée aux crédits.
Les sénateurs du groupe CRC (communistes) indiquent que leur vote contre est motivé par le fait que ce texte "s'inscrit dans la perspective du pacte budgétaire européen" auquel ils sont opposés. "Ce n'est pas le projet de budget mais une loi de programmation", font-ils valoir. "Nos propositions sont des propositions réalistes", a souligné le secrétaire national du PCF et sénateur Pierre Laurent, qui évoque la création d'une tranche d'impôt sur le revenu (IR) à 50%, le dégel du barème de l'IR et demande au gouvernement de "revenir sur les concessions faites aux ‘pigeons’".
"Après la censure de la loi sur le logement par le Conseil constitutionnel la semaine dernière, le rejet du texte énergie au Sénat cette nuit, le naufrage législatif du gouvernement se poursuit, se heurtant aux écueils de sa majorité profondément divisée", a réagi dans un communiqué Jean-Claude Gaudin, chef de file des sénateurs UMP.
http://www.lemonde.fr/politique/article ... 23448.html
Re: POLITIQUE
superuser a écrit :Parce que c'était une usine à gaz !!! Lis l'article de L'Huma et tu comprendras.
Au lieu de faire simple et droit au but, comme en matière fiscale, ils font compliqué et à peine moins inégalitaire. Et après, ils s'étonnent de se prendre une veste. C'est du n'importe quoi !
Donc ça n'a pas de rapport avec un couac comme vous le disiez dans votre post précédent.
Après quand un texte est rejeté par le sénat, il retourne à l'assemblé nationale et si ce dernier valide une seconde fois le texte, il passe.
Re: POLITIQUE
J'ai écrit : Entre l'attentisme, les revirements, les "couacs" et les textes retoqués, ça commence à bien faire...
Mettez vous lunettes, que diantre !
Mettez vous lunettes, que diantre !
Valls pire que Guéant?
http://www.lemonde.fr/societe/article/2 ... _3224.htmlLa militante basque française Aurore Martin, membre de Batasuna, a été interpellée jeudi 1er novembre à Mauléon (Pyrénées-Atlantiques) en exécution d'un mandat d'arrêt européen émis par l'Espagne, plus d'un an après une première tentative avortée à Bayonne, ont annoncé la gendarmerie et le parquet.
(...)
"Ce que Guéant", ministre de l'intérieur de Nicolas Sarkozy, "n'avait pas osé faire, le ministre Valls vient de le commettre. Quelle honte !", s'indigne dans un communiqué Olivier Dartigolles, porte-parole du PCF des Pyrénées-Atlantiques. "Le gouvernement Ayrault vient d'écrire une page déshonorante pour notre pays", fustige le conseiller municipal à Pau, jugeant "insupportable et indigne" qu'une ressortissante française, "militante d'un parti autorisé en France, soit extradée pour des faits (...) non punissables dans notre pays". "Les parlementaires communistes interpelleront le gouvernement pour connaître les conditions réelles de l'arrestation et de l'extradition" d'Aurore Martin, prévient-il.
Dans un communiqué intitulé "Que cherche Manuel Valls ?", EELV Pays basque s'est dit "choqué par l'attitude" du ministre "concernant le Pays basque et s'inquiète de voir pratiquer une répression que rien ne justifie dans le climat actuel". "Alors que les élus de tous bords (...) et la société civile s'allient à la fois pour travailler à l'avenir du territoire et pour rendre pérenne la paix rendue possible par le dépôt des armes de ETA, M. Valls semble vouloir créer la discorde en entretenant sciemment l'amalgame et la confusion", selon le communiqué.
Re: Valls pire que Guéant?
Valls pire que Guéant, je ne sais pas. Ce que l’on peut dire c’est que l’ETA, dans la situation actuelle, a montré sa volonté de privilégier une solution politique. Valls est un provocateur en se rangeant aux cotés de Rajoy dont la politique ultra répressive de son Parti Populaire se rapproche dangereusement du Franquisme. Valls ne cherche en aucun cas à résoudre le conflit basque. Valls qui se dit de gôche dans un gouvernement qui se dit socialiste n’a plus rien à y faire. Qu’il dégage !
Re: POLITIQUE
Valls est en charge de faire place nette pour la construction de "L’Ayrault-port de la Honte":
http://www.agoravox.fr/actualites/socie ... nte-125159
Ce truc est en train de devenir le Larzac du XXIème siècle.
http://www.agoravox.fr/actualites/socie ... nte-125159
Ce truc est en train de devenir le Larzac du XXIème siècle.
Re: POLITIQUE
Sur l'expulsion d'Aurore Martin, un article qui me semble intéressant.
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/ar ... tin-125210
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/ar ... tin-125210
Re: POLITIQUE et BUSINESS
Lundi soir, c'était les BFM-Awards, «un évènement qui s'est imposé comme une référence, à l'image du succès de BFM Business»...
«En présence de plus de mille décideurs économiques et dirigeants d’entreprise, ces "trophées de l’économie" ont distingué ce lundi 12 novembre, au théâtre Marigny, la réussite des entreprises françaises et de leurs patrons qui contribuent chaque jour au dynamisme et à l’attractivité de notre pays.»
Voici les lauréats de cette 8e édition : http://www.bfmtv.com/economie/8eme-edit ... 77672.html
On note que Jean-Charles Naouri, le PDG de Casino, a gagné le "grand prix manager"...
Et devinez qui animait cette soirée patronale et privée ???
Fleur «je ne crois pas à la lutte des classes» Pellerin et Jérôme Cahuzac.
Ils étaient déjà dix ministres à lécher les doigts de pied du Medef le 30 août à son "université d'été". En voilà encore deux qui confirment pour quel camp le PS a choisi de travailler.
«En présence de plus de mille décideurs économiques et dirigeants d’entreprise, ces "trophées de l’économie" ont distingué ce lundi 12 novembre, au théâtre Marigny, la réussite des entreprises françaises et de leurs patrons qui contribuent chaque jour au dynamisme et à l’attractivité de notre pays.»
Voici les lauréats de cette 8e édition : http://www.bfmtv.com/economie/8eme-edit ... 77672.html
On note que Jean-Charles Naouri, le PDG de Casino, a gagné le "grand prix manager"...

Et devinez qui animait cette soirée patronale et privée ???
Fleur «je ne crois pas à la lutte des classes» Pellerin et Jérôme Cahuzac.

Ils étaient déjà dix ministres à lécher les doigts de pied du Medef le 30 août à son "université d'été". En voilà encore deux qui confirment pour quel camp le PS a choisi de travailler.
Re: POLITIQUE
Hollande reviendra-t-il à gauche ?
Vendredi, Arrêt sur Images a invité le démographe et historien Emmanuel Todd, proche de Montebourg :
http://www.arretsurimages.net/contenu.php?id=5356 (abonnés)
Il a prédit que Hollande allait être obligé de faire du "Mitterrand à l'envers" (élu en 1981, Mitterrand avait d'abord fait une vraie politique de gauche, puis viré "libéral" à partir de 1983). Todd estime que Hollande fera l'inverse : d'abord une politique vaguement "libérale", puis un retour aux fondements de gauche. Non seulement par obligation économique mais aussi sous la pression populaire parce que sinon, il ne sera pas réélu en 2017...
Moi, je n'y crois pas...
Vendredi, Arrêt sur Images a invité le démographe et historien Emmanuel Todd, proche de Montebourg :
http://www.arretsurimages.net/contenu.php?id=5356 (abonnés)
Il a prédit que Hollande allait être obligé de faire du "Mitterrand à l'envers" (élu en 1981, Mitterrand avait d'abord fait une vraie politique de gauche, puis viré "libéral" à partir de 1983). Todd estime que Hollande fera l'inverse : d'abord une politique vaguement "libérale", puis un retour aux fondements de gauche. Non seulement par obligation économique mais aussi sous la pression populaire parce que sinon, il ne sera pas réélu en 2017...

Moi, je n'y crois pas...
Re: POLITIQUE
C dépend de la suite des évènements, si dans un an ou deux ans, les marchés attaquent la France, Hollande mettra en place une politique de rigueur.
Par contre si les taux d'intérêts reste bas, il redonnera un petit coup de barre à gauche pour réduire la porté des critiques sur sa gauche dans la perspective du premier tour.
Dans tout les cas, l'UMP revient en 2017 de toute façon.
Par contre si les taux d'intérêts reste bas, il redonnera un petit coup de barre à gauche pour réduire la porté des critiques sur sa gauche dans la perspective du premier tour.
Dans tout les cas, l'UMP revient en 2017 de toute façon.