Et pendant ce temps là en Grèce
Re: Et pendant ce temps là en Grèce
oui vu au jt, au moins ils réagissent, si j'ai bien compris point de départ un policier a tué un jeune,
au jt de la deux, s'est dit, que le climat social est très mauvais, taux de chomage très important pour les jeunes.
au jt de la deux, s'est dit, que le climat social est très mauvais, taux de chomage très important pour les jeunes.
Mercredi prochain, grève générale en Gréce (entendu sur le jt de France 2).
Et dire, qu'en France, malgré la forte dégradation sociale, les leaders syndicaux, en sont encore à discuté le bien-fondé d'une grève... interprofessionnelle (comme ils disent).
Faut croire que l'on a les leaders syndicaux les plus bêtes ou plus corrompues d'Europe !
Et dire, qu'en France, malgré la forte dégradation sociale, les leaders syndicaux, en sont encore à discuté le bien-fondé d'une grève... interprofessionnelle (comme ils disent).
Faut croire que l'on a les leaders syndicaux les plus bêtes ou plus corrompues d'Europe !
Aux jts, on ment par omission. Ils ont tu le fait que les lycéens et étudiants grecs étaient dans le rue depuis plusieurs jours, idem en Espagne et en Italie, mais qui en parle ? Il aura fallu malheureusement qu’un jeune soit mort pour que nos médias s’y intéressent.
Mais bon, bref, les évènements en Grèce ne date pas d’aujourd’hui, en voici la preuve :
mercredi 21 juin 2006 (11h10)
Pourquoi le silence (ndr : déjà) sur ce qui se passe en Grêce ?
de Raoul-Marc Jennar chercheur altermondialiste
Rien ne s’écrit, rien ne se dit, rien ne se montre sur ce qui se passe en Grèce depuis cinq semaines. Les journaux, les stations de radio, les chaînes de télévision nous privent du droit à une information majeure : depuis cinq semaines, 354 départements académiques sont occupés ; des milliers d’étudiants manifestent régulièrement ; la manière dont la police a réprimé la manifestation du 8 juin rappelle à bien des égards les heures noires de la dictature des colonels (une personne dans le coma). Dans un pays de l’Union européenne ! Et nous n’en savons rien.
La suite sur :Pourquoi le silence sur ce qui se passe en Grêce ?
Mais bon, bref, les évènements en Grèce ne date pas d’aujourd’hui, en voici la preuve :
mercredi 21 juin 2006 (11h10)
Pourquoi le silence (ndr : déjà) sur ce qui se passe en Grêce ?
de Raoul-Marc Jennar chercheur altermondialiste
Rien ne s’écrit, rien ne se dit, rien ne se montre sur ce qui se passe en Grèce depuis cinq semaines. Les journaux, les stations de radio, les chaînes de télévision nous privent du droit à une information majeure : depuis cinq semaines, 354 départements académiques sont occupés ; des milliers d’étudiants manifestent régulièrement ; la manière dont la police a réprimé la manifestation du 8 juin rappelle à bien des égards les heures noires de la dictature des colonels (une personne dans le coma). Dans un pays de l’Union européenne ! Et nous n’en savons rien.
La suite sur :Pourquoi le silence sur ce qui se passe en Grêce ?
Les émeutes en Grèce préoccupent les politiques français
La crise en Grèce, qui se poursuivait hier avec une grève générale et de nouvelles violences, est suivie de près par les politiques français, l'opposition y voyant un « avertissement » et Nicolas Sarkozy s'inquiétant, tandis que l'UMP met en garde contre un « amalgame ». La situation à Athènes a été évoquée hier au Conseil des ministres, mais le gouvernement est encore réticent à la commenter. François Fillon « suit la situation avec attention » mais appelle à « se garder des comparaisons hasardeuses ». Plus disert, un proche du chef du gouvernement juge qu'en France aussi, « les gens ont le sentiment d'une paupérisation globale, de l'arrivée d'une vague de pauvreté dans le pays ». « Avec un tel sentiment, l'idée de la révolte peut venir assez vite. »
Selon un invité au déjeuner des députés hier à l'Elysée, Nicolas Sarkozy aurait exprimé à propos de la Grèce « un souci de prévenir ce genre de situation dans notre pays ». Interrogé sur une éventuelle amnistie fiscale, le président se serait dit « pas assez dingue pour proposer » un tel projet. « Les Français adorent quand je suis avec Carla dans le carrosse », aurait-il ajouté, « mais en même temps ils ont guillotiné le roi (Louis XVI, ndlr). C'est un pays régicide. Au nom d'une mesure symbolique, ils peuvent renverser le pays, regardez ce qui se passe en Grèce ».
Pour l'heure, l'UMP met en garde contre un « amalgame » entre les manifestations grecques et les mouvements lycéens et étudiants en France. « En Grèce, les émeutes remettent en cause la société verticale, une corruption endémique, l'absence de perspectives d'avenir, et l'immobilisme », selon Chantal Brunel, une porte-parole du parti. « En France, les syndicats protestent contre le changement et la volonté de réformer. »
A gauche, en revanche, le socialiste Jean-Christophe Cambadélis, d'origine grecque, voit « un avertissement » dans les rues d'Athènes, et souligne qu'en France, « la précarisation des jeunes et des étudiants n'est plus à démontrer ».
SOURCE
Selon un invité au déjeuner des députés hier à l'Elysée, Nicolas Sarkozy aurait exprimé à propos de la Grèce « un souci de prévenir ce genre de situation dans notre pays ». Interrogé sur une éventuelle amnistie fiscale, le président se serait dit « pas assez dingue pour proposer » un tel projet. « Les Français adorent quand je suis avec Carla dans le carrosse », aurait-il ajouté, « mais en même temps ils ont guillotiné le roi (Louis XVI, ndlr). C'est un pays régicide. Au nom d'une mesure symbolique, ils peuvent renverser le pays, regardez ce qui se passe en Grèce ».
Pour l'heure, l'UMP met en garde contre un « amalgame » entre les manifestations grecques et les mouvements lycéens et étudiants en France. « En Grèce, les émeutes remettent en cause la société verticale, une corruption endémique, l'absence de perspectives d'avenir, et l'immobilisme », selon Chantal Brunel, une porte-parole du parti. « En France, les syndicats protestent contre le changement et la volonté de réformer. »
A gauche, en revanche, le socialiste Jean-Christophe Cambadélis, d'origine grecque, voit « un avertissement » dans les rues d'Athènes, et souligne qu'en France, « la précarisation des jeunes et des étudiants n'est plus à démontrer ».
SOURCE
SUR SITE NPA
Manifestation à Paris en solidarité avec la "génération 600 euros" en Grèce
PARIS, 12 déc 2008 (AFP) - Quelque 300 personnes ont manifesté vendredi soir à Paris à proximité de l'ambassade de Grèce en solidarité avec la "génération 600 euros", a constaté une journaliste de l'AFP.
Rassemblées à l'appel d'organisations de l'Education et de gauche (le syndicat étudiant Unef, les syndicats lycéens FIDL et, UNL, le MJS, les JCR ...), elles se sont massées dans la rue Auguste-Vacquerie (XVIe), à quelques centaines de mètres de l'Arc de Triomphe et à proximité de l'ambassade, dont les forces de l'ordre leur barraient l'accès.
Les manifestants ont tenté d'avancer vers la place de l'Etoile, mais ont été repoussés sans ménagement par les CRS. Ils ont ensuite descendu l'avenue Marceau, où ils ont installé des barrières, rapidement dégagées par la police. Ils ont alors fait irruption sur les Champs-Elysées, qu'ils ont bloqués au moyen de barrières de chantier et en formant une chaîne humaine. La circulation a partiellement repris sur l'avenue à la suite du départ des manifestants, talonnés par les forces de l'ordre. Certains démontaient des petits feux tricolores sur leur passage. Deux ont été interpellés et menottés, a constaté une journaliste de l'AFP.
Le porte-parole de la LCR Olivier Besancenot et le sénateur Jean-Luc Mélenchon, fondateur du Parti de Gauche (PG), participaient au rassemblement.
"Au-delà de l'indignation légitime de ce qui se passe en Grèce, on souhaitait faire entendre l'inquiétude des jeunes en France. Sans faire de parallèle douteux entre les situations politiques en France et en Grèce, la génération 600 euros de Grèce a bien des similitudes avec la génération CPE", a déclaré à la presse le président de l'Unef Jean-Baptiste Prévost. "On attend des réponses politiques, et pas que le gouvernement méprise les inquiétudes de la jeunesse", a-t-il dit, citant les difficultés à accéder au marché de l'emploi, les conditions de vie pendant les études, et le chômage qui frappe plus les jeunes que le reste de la population. Les "600 euros" sont une référence au salaire mensuel de jeunes actifs grecs.
Des militants du Nouveau parti anticapitaliste (NPA) qui doit voir officiellement le jour en janvier brandissaient une pancarte sur laquelle on pouvait lire : "A bas le terrorisme d'Etat en Grèce et vive le peuple grec en lutte".
Manifestation à Paris en solidarité avec la "génération 600 euros" en Grèce
PARIS, 12 déc 2008 (AFP) - Quelque 300 personnes ont manifesté vendredi soir à Paris à proximité de l'ambassade de Grèce en solidarité avec la "génération 600 euros", a constaté une journaliste de l'AFP.
Rassemblées à l'appel d'organisations de l'Education et de gauche (le syndicat étudiant Unef, les syndicats lycéens FIDL et, UNL, le MJS, les JCR ...), elles se sont massées dans la rue Auguste-Vacquerie (XVIe), à quelques centaines de mètres de l'Arc de Triomphe et à proximité de l'ambassade, dont les forces de l'ordre leur barraient l'accès.
Les manifestants ont tenté d'avancer vers la place de l'Etoile, mais ont été repoussés sans ménagement par les CRS. Ils ont ensuite descendu l'avenue Marceau, où ils ont installé des barrières, rapidement dégagées par la police. Ils ont alors fait irruption sur les Champs-Elysées, qu'ils ont bloqués au moyen de barrières de chantier et en formant une chaîne humaine. La circulation a partiellement repris sur l'avenue à la suite du départ des manifestants, talonnés par les forces de l'ordre. Certains démontaient des petits feux tricolores sur leur passage. Deux ont été interpellés et menottés, a constaté une journaliste de l'AFP.
Le porte-parole de la LCR Olivier Besancenot et le sénateur Jean-Luc Mélenchon, fondateur du Parti de Gauche (PG), participaient au rassemblement.
"Au-delà de l'indignation légitime de ce qui se passe en Grèce, on souhaitait faire entendre l'inquiétude des jeunes en France. Sans faire de parallèle douteux entre les situations politiques en France et en Grèce, la génération 600 euros de Grèce a bien des similitudes avec la génération CPE", a déclaré à la presse le président de l'Unef Jean-Baptiste Prévost. "On attend des réponses politiques, et pas que le gouvernement méprise les inquiétudes de la jeunesse", a-t-il dit, citant les difficultés à accéder au marché de l'emploi, les conditions de vie pendant les études, et le chômage qui frappe plus les jeunes que le reste de la population. Les "600 euros" sont une référence au salaire mensuel de jeunes actifs grecs.
Des militants du Nouveau parti anticapitaliste (NPA) qui doit voir officiellement le jour en janvier brandissaient une pancarte sur laquelle on pouvait lire : "A bas le terrorisme d'Etat en Grèce et vive le peuple grec en lutte".
Lire dans L'ExpressATHENES - En Grèce, c'est la "Génération 700" (pour 700 euros), en Espagne les "mileuristas" (pour 1.000 euros), en Allemagne la "Generation Praktikum" (stage) et en France la "génération précaire"...
Lire dans Le MondeL'explosion de colère sans précédent de la jeunesse grecque traduit un malaise profond, tant dans le secteur inadapté de l'éducation que dans le monde du travail, où les inégalités se sont creusées ces vingt dernières années...
Et pendant ce temps là en FRANCE
Un témoignage sur les récents blocages de Lycées:
Jeudi 18 décembre à 7h30, je monte au lycée Jacques Monod, pour aider à la mobilisation contre la réforme Darcos et les suppressions de postes dans les lycées./
/Un blocage est organisé et comme les lycéens restaient sur la route et que la police ne régule pas la circulation (le jeudi précédent le même cas s'est présenté) nous décidons donc de barrer la rue du fort au moins à un bout pour limiter le transit de voitures, afin d'éviter des débordements automobilistes-lycéens…/
/Nous allons donc au bout de la rue et commençons à réguler la circulation./
/La plupart des automobilistes sont plutôt calmes, mais nous nous rendons qu'il faudrait un objet visible par les automobilistes pour barrer la route et que ceux-ci ne s'y engagent pas. Adel (//un lycéen mobilisé//) et moi-même décidons donc d'aller chercher des barrières présentes le long de la D906./
/Nous nous apercevons que les barrières servent à avertir d'un danger (plaque d'égouts mal fermée)./
/Nous décidons donc d'en laisser sur place. (//3 sur 6//) et prenons un plot de chantier en plus./
/Nous repartons vers le bout de la rue et en traversant au niveau de la location de voiture, une voiture de police s'arrête brutalement./
/En sortent deux policiers. Une jeune policière, pas très grande aux cheveux mi longs bruns apparemment pas gradée et un policier plutôt grand d'aspect costaud avec le crâne chauve ou rasé et apparemment plus gradé./
/Ils nous disent : "qu'est-ce que vous croyez que vous faites ?" et nous demandent nos papiers./
/Nous sortons donc nos papiers et expliquons la situation à la jeune policière./
/Elle prend nos noms et nos numéros de téléphone afin de pouvoir rester en contact pour la suite des évènements. /
/Pendant ce temps, le policier parle au talkie-walkie et nous ordonne de les suivre au poste./
/La policière porte les barrières qui sont encore au milieu du trottoir jusque derrière les grilles de la location de voiture./
/Je demande s'ils veulent que nous les rapportions d'où elles viennent sous leur surveillance s'ils le souhaitent./
/Je n'obtiens aucune réponse./
/Le policier nous dit donc ensuite qu'il va nous mettre les menottes et nous emmener au commissariat./
/Je fais calmement remarquer que, dans la loi, il est interdit de menotter quelqu'un sans raison. (//article 803 du code de procédure pénal) /
/Nous n'avions opposé aucune résistance et voulions bien nous entretenir avec un officier./
/Le policier, à la suite de mes paroles, me dit : "C'est moi qui fais la loi !"/
/Je rétorque : "Non ce n'est pas vous qui faites la loi, vous la faites respecter, certes."/
/Le policier commence à s'énerver et à vouloir me menotter de force./
/J'éloigne mes poignets calmement en lui disant qu'il n'a pas le droit./
/Il s'énerve et me dit qu'il va me plaquer au sol pour me menotter et que je vais comprendre./
/Alors qu'il me tire violemment, je reprend mon équilibre afin d'éviter de tomber./
/Il me plaque donc contre le grillage juste à côté et me met son coude au niveau de la gorge afin de me contrôler et attrape mon poignet droit pour y mettre les menottes./
/Pendant tout ce temps la policière me dit que cela ne sert à rien, que je devrais accepter et que c'est de la rébellion./
/A un moment, le policier appuie tellement fort sur mon cou que je n'arrive plus à respirer et que je lui dis : "mais arrêtez, je n'arrive plus à respirer…"/
/Adel intervient en ma faveur en disant : "mais écoutez ce qu'il dit" et en me disant "mec laisse toi faire"/
/Le policier arrive finalement à me menotter le poignet droit, car je finis par me laisser faire par peur pour ma santé…/
/Il me pousse violemment dans la voiture et dit : "tu feras moins le malin au poste toi"/
/Ensuite, Adel rentre de lui-même dans la voiture après s'être laissé menotter par la policière./
/Ils démarrent sans avoir attaché nos ceintures de sécurité, nous mettant donc en danger et nous conduisent au commissariat de Clamart./
/Une fois sur place, je souffre de la main droite, tellement les menottes sont serrées./
/Il me sort violemment du véhicule et m'emmène dans le commissariat où il me pousse violemment sur le banc du commissariat./
/Puis il parle à plusieurs policiers, et revient vers moi pour m'enlever les menottes./
/Il me fait me lever et me fouille, puis me repousse violemment sur le banc et m'y attache./
/Ensuite, les policiers fouillent toutes mes affaires./
/Le policier m'ayant interpellé m'oblige violemment à me taire à coups de : "ta gueule" "tais-toi" "tu parles pas"…/
/Ayant peur qu'il revienne vers moi, je finis par me taire./
/M'ayant déjà menacé de garde à vue dans la voiture, il recommence plusieurs fois dans le commissariat./
/Enfin, il repart en s'exclamant : " de toute façon je suis physionomiste, alors je te reconnaîtrai, on se reverra"/
/Nous sommes finalement relâchés vers 9h30-10h sans aucune poursuite./
/Nous remontons donc au lycée où la rue a entre temps été barrée par la police./
/Plus tard, vers 12h30, de nombreux policiers sont présents au lycée pour escorter le cortège qui doit se rendre à la gare de Clamart./
/Le policier m'ayant interpellé me voit et s'écrie : "toi, on se reverra, on se reverra"/
Et pendant ce temps-là en Europe
Les Ecossais se pèlent le jonc pendant que les fournisseurs de fuel se font des couilles en or, les Espagnols s'enfoncent dans la misère après "un miracle économique qui n'était qu'un mirage", et la jeunesse grecque ne désarme pas :
3 reportages de Zoom Europa à visionner sur le site d'Arte dans les 7 jours...
Idem en Allemagne où la pauvreté a explosé (avec un bel exposé sur Hartz4 et les jobs à 1€) :
http://www.lcpan.fr/emission/66548/video
3 reportages de Zoom Europa à visionner sur le site d'Arte dans les 7 jours...
Idem en Allemagne où la pauvreté a explosé (avec un bel exposé sur Hartz4 et les jobs à 1€) :
http://www.lcpan.fr/emission/66548/video
Dernière modification par superuser le 22 déc. 2008, modifié 1 fois.
Merci Sophie, j'ai bien rigolé, surtout avec le prêtre qui en est encore aux 3 K (Kinder, Kirche, Küche = enfants, église, cuisine)
naaan c'est vrai, beaucoup de femmes font de longues études et devraient se contenter des couches et que dire des divorcées ou veuves
J'ai "bien" aimé aussi la réaction du papy devant la veste avec la devise "Arbeit macht frei", alors qu'il doit coûter un max à la société et dépenser son fric dans les vacances à l'étranger.
C'est vraiment de l'esclavage, travail obligatoire pour peanuts


J'ai "bien" aimé aussi la réaction du papy devant la veste avec la devise "Arbeit macht frei", alors qu'il doit coûter un max à la société et dépenser son fric dans les vacances à l'étranger.
C'est vraiment de l'esclavage, travail obligatoire pour peanuts

Surtout quand, comme l'explique le syndicaliste interrogé par Maya Neskovic (ex Arrêt sur images), ces employeurs (du service public devenus privés) ont licencié du personnel pour les reprendre un an après à ce tarif. A gerber.
Pour rappel : La libéralisation des services publics en Allemagne a coûté 600.000 emplois
Pour rappel : La libéralisation des services publics en Allemagne a coûté 600.000 emplois
Dernière modification par superuser le 23 déc. 2008, modifié 1 fois.