Stagiaires exploités, loyers trop chers, marché de l'emploi bloqué : la crise plonge les plus jeunes dans la galère. Aujourd'hui en France, un étudiant sur cinq doit abandonner ses études pour des raisons financières et 100 000 jeunes vivent sous le seuil de pauvreté. Réquisition d'immeubles, dénonciation d'employeurs indélicats, les solutions apportées au problème sont parfois extrêmes : certains jeunes gens vont jusqu'à se prostituer pour financer leurs études. Qui sont ces jeunes qui subissent un système dont ils sont pourtant censés incarner l'avenir ? Comment s'en sortent-ils ? Qui profite de cette «génération galère» que la précarité a rendue si vulnérable ? Christophe Pallée et Matthias Favron ont enquêté.
Mardi 02 décembre 2008
23h40 à 01h05
Durée : 85 min
Et le même jour, un peu plus tôt, sur Arte:
Alors que la mondialisation est censée être synonyme de croissance, le monde se trouve dans une situation qu'il n'a plus connue depuis trente ans : les stocks de céréales n'assurent plus que 37 jours de nourriture à la population mondiale. C'est bien en-deçà du niveau officiel de la sécurité alimentaire, fixé à soixante jours. Le monde risque d'être plongé dans une crise très grave. Les statistiques indiquent que les récoltes de 2008 seront insuffisantes pour nourrir tous les habitants de la planète, pour la septième fois en huit ans. Au moment même où la demande chinoise en céréales s'est brusquement accélérée, les biocarburants ont commencé à redessiner la carte de l'agriculture mondiale. Aux Etats-Unis, la production d'éthanol à base de maïs engloutit le tiers des récoltes du pays.
Mardi 02 décembre 2008
21h00 à 22h20
Durée : 80 min
TV:TF1:mardi 2 décembre: les jeunes et la crise.
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maguy
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maguy
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tristesir
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maguy
J'ai vu la moitié côté fin. C'était pas mal. Le collectif Génération précaire était au centre des reportages.
On y a pointé les entreprises stagiophages (le Crédit Lyonnais était cité en exemple, avec un stagiaire abusé qui a porté plainte contre eux) ainsi que la (ou plutôt l'ir)responsabilité des écoles de commerce qui envoient leurs élèves faire leur stage à l'étranger sans suivi ni précautions aucunes.
La charge était bonne (exploitation, esclavagisme, absence de statut), y compris jusqu'au vide juridique.
Ensuite, on suivait un jeune diplômé obligé de faire livreur de courses à domicile malgré son master d'ingénieur. Son prénom : Mohamed...
Franchement, c'était honnête.
On y a pointé les entreprises stagiophages (le Crédit Lyonnais était cité en exemple, avec un stagiaire abusé qui a porté plainte contre eux) ainsi que la (ou plutôt l'ir)responsabilité des écoles de commerce qui envoient leurs élèves faire leur stage à l'étranger sans suivi ni précautions aucunes.
La charge était bonne (exploitation, esclavagisme, absence de statut), y compris jusqu'au vide juridique.
Ensuite, on suivait un jeune diplômé obligé de faire livreur de courses à domicile malgré son master d'ingénieur. Son prénom : Mohamed...
Franchement, c'était honnête.
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maguy
Tant mieux, dommage que ce soit si tard.Franchement, c'était honnête.
C'est ignoble. Le CL a été mon premier employeur quand j'étais au lycée, pendant le mois d'août. Je faisais la petite main, aucune formation, informatique balbutiante et j'ai été payée pour mon mois... le smic!le Crédit Lyonnais était cité en exemple, avec un stagiaire abusé qui a porté plainte contre eux)
Aujourd'hui, ils ont trouvé le filon, ils ont des jeunes formés, motivés à qui ils donnent un pourboire après 3 mois
Carton rouge !!!!!!!
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romain23
J'ai vu la moitié côté fin. C'était pas mal. Le collectif Génération précaire était au centre des reportages. (quote)
Un peu avant, le reportage montrait un tas de jeunes filles, à montpellier et dans differents coins de France, qui faisaient "escort girl" pour se payer leurs etudes. Elles recrutaient sur internet et allaient à l'hotel.
Le journaliste suivait une jeune fille qui donnait rendez vous dansun bar et elle, elle refusait le " client " parce qu'il voulait aller chez lui. Elle expliquait qu'elle ne prenait que les hommes mariés pour ne pas etre en difficulté. La police des moeurs expliquait que ce phénomène s'amplifiait et, que du fait d'internet c'etait difficile d'intervenir, d'autant plus que la prostitution n'etait pas illegale en france, les filles etant surtout considérés comme " victimes".Les "escort girl" se sur ajouteraient aux 20 000 prostituées françaises dejà decomptées par les pouvoirs publics en France.
Ce qui était expliqué dans les temoignages, c'etait ensuite la difficulté de s'arreter. comme la dernière interrogée qui expliquait qu'elle avait repris un client ou deux pour terminer son année de Fac et qu'ensuite elle va continuer, car on s'habitue vite avec l'argent facile.
Très tard l'emission , dommage!
Un peu avant, le reportage montrait un tas de jeunes filles, à montpellier et dans differents coins de France, qui faisaient "escort girl" pour se payer leurs etudes. Elles recrutaient sur internet et allaient à l'hotel.
Le journaliste suivait une jeune fille qui donnait rendez vous dansun bar et elle, elle refusait le " client " parce qu'il voulait aller chez lui. Elle expliquait qu'elle ne prenait que les hommes mariés pour ne pas etre en difficulté. La police des moeurs expliquait que ce phénomène s'amplifiait et, que du fait d'internet c'etait difficile d'intervenir, d'autant plus que la prostitution n'etait pas illegale en france, les filles etant surtout considérés comme " victimes".Les "escort girl" se sur ajouteraient aux 20 000 prostituées françaises dejà decomptées par les pouvoirs publics en France.
Ce qui était expliqué dans les temoignages, c'etait ensuite la difficulté de s'arreter. comme la dernière interrogée qui expliquait qu'elle avait repris un client ou deux pour terminer son année de Fac et qu'ensuite elle va continuer, car on s'habitue vite avec l'argent facile.
Très tard l'emission , dommage!
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Bassalère
