Bécassine is back
Bécassine is back
et Mélenchon se casse !
Yo!
Bah quelle semaine !
J’espère que Mélenchon va récupérer Hamon , ses 19% et une partie de la vraie gauche, ça pourrait faire du bien.
Mais, pauvre PS, tout se casse la gueule dans ce parti, quelle catastrophe !
Bon week end
Yo !
did
Yo!
Bah quelle semaine !
J’espère que Mélenchon va récupérer Hamon , ses 19% et une partie de la vraie gauche, ça pourrait faire du bien.
Mais, pauvre PS, tout se casse la gueule dans ce parti, quelle catastrophe !
Bon week end
Yo !
did
Quel malin notre president!superuser a écrit :Le "coup du siècle" du président
Devrait etre au NPA, on a besoin d'homme de gauche comme lui !:)
Serieusement, il a tout du Talleyrant, il ne se souci que de politique politicienne, la France et les Français il s'en fout completement !
cdt
did
C'était pas Carla
Vu sur le portail orange
Crise: l'UE veut un 2e sommet international à partir de fin février
Les dirigeants européens proposent un nouveau sommet mondial sur la réforme du système financier "100 jours" après celui déjà prévu le 15 novembre à Washington, soit à partir de fin février, selon un texte agréé vendredi lors de leur sommet à Bruxelles.
"Une période de 100 jours devrait être mise à profit à partir du 15 novembre pour préparer les mesures d'application des principes" de réforme du système, notamment de transparence et de meilleure régulation des marchés financiers, que l'Europe entend défendre au sommet du G20 de Washington, selon ce document.
"A l'issue de cette période, nous proposerons qu'un nouveau sommet se réunisse" avec en particulier à l'ordre du jour "un rapport sur la mise en oeuvre des premières mesures qui auront été arrêtées le 15 novembre", précise le texte.
La période de 100 jours à partir de mi-novembre implique un nouveau sommet à partir du 23 février. Le président américain élu Barack Obama doit entrer en fonction le 20 janvier.
Serait-ce que les Européens voudraient avoir une autre présidence que l'actuelle ? Je suis mauvaise langue, je sais



Vu sur le portail orange
Crise: l'UE veut un 2e sommet international à partir de fin février
Les dirigeants européens proposent un nouveau sommet mondial sur la réforme du système financier "100 jours" après celui déjà prévu le 15 novembre à Washington, soit à partir de fin février, selon un texte agréé vendredi lors de leur sommet à Bruxelles.
"Une période de 100 jours devrait être mise à profit à partir du 15 novembre pour préparer les mesures d'application des principes" de réforme du système, notamment de transparence et de meilleure régulation des marchés financiers, que l'Europe entend défendre au sommet du G20 de Washington, selon ce document.
"A l'issue de cette période, nous proposerons qu'un nouveau sommet se réunisse" avec en particulier à l'ordre du jour "un rapport sur la mise en oeuvre des premières mesures qui auront été arrêtées le 15 novembre", précise le texte.
La période de 100 jours à partir de mi-novembre implique un nouveau sommet à partir du 23 février. Le président américain élu Barack Obama doit entrer en fonction le 20 janvier.
Serait-ce que les Européens voudraient avoir une autre présidence que l'actuelle ? Je suis mauvaise langue, je sais


Pas d'accord. Talleyrand a vécu vieux et a connu, la royauté, la révolution, l'empire, 1ère et 2ème restaurations. Bien que représentant un pays vaincu qui avait fait peur à l'Europe entière, il a su éviter le démembrement de la France. L'histoire "conventionnelle" lui a taillé un beau costard après, mais c'était sans doute le plus grand diplomate qu'ait connu notre pays. D'accord, il aimait les femmes bien qu'évêque et alors ? Il n'avait pu devenir militaire en raison de son handicap.Serieusement, il a tout du Talleyrant, il ne se souci que de politique politicienne, la France et les Français il s'en fout completement
Désolée pour l'aparté

Tout est juste, mais il a fait tout cela pour se placer et se sauver!maguy a écrit :Pas d'accord. Talleyrand a vécu vieux et a connu, la royauté, la révolution, l'empire, 1ère et 2ème restaurations. Bien que représentant un pays vaincu qui avait fait peur à l'Europe entière, il a su éviter le démembrement de la France. L'histoire "conventionnelle" lui a taillé un beau costard après, mais c'était sans doute le plus grand diplomate qu'ait connu notre pays. D'accord, il aimait les femmes bien qu'évêque et alors ? Il n'avait pu devenir militaire en raison de son handicap.Serieusement, il a tout du Talleyrant, il ne se souci que de politique politicienne, la France et les Français il s'en fout completement
Désolée pour l'aparté
Il savait bien quel camp choisir pour ne pas perdre sa tete, c'est bien de la politique politicienne.
Sarkozy s'essaie aussi à la diplomatie et on verra bien où cela nous menera, mais c'est aussi pour se placer et je pense serieusement qu'il veut devenir le premier president de l'UE.
Ce n'est pas pour la France qu'il gesticule mais pour ses amis patrons et plein de frics européens et americains.
Tant que l'UE ne lui sert pas, il est pleinement president des Français, mais dès qu'il le pourra, il nous lachera pour bien mieux!
Un vrai partenariat entre les grands de ce monde ne pourra pas se faire a partir de la France. Trop petite, trop vieille, trop coincée, mais a partir de l'UE.
Les autres dirigeants européens l'ont bien compris, notre president est en train de montrer qu'il est capable pour le job. Ce qui agace les Allemands et les Anglais, le reste de l'europe ne compte pas. Actuellement, aucun dirigeant n'est aussi fort que lui.
Il s'est pourtant pris une tole avec les Russes mais ça ne fait rien, il continue. Il existe là où les autres se trainent. Il est fort!
Talleyrant et Sarkozy ont bien des points commun, par contre il n'a rien d'un De Gaulle ni d'un Bonaparte!
Merci pour l'aparté
Pour revenir à sainte Becasse, les PS va imploser, du moins je l'espere.
cdt
did
T'es pas sérieux, lànotre president est en train de montrer qu'il est capable pour le job. Ce qui agace les Allemands et les Anglais, le reste de l'europe ne compte pas. Actuellement, aucun dirigeant n'est aussi fort que lui.

A part s'aplatir devant les dirigeants des grands pays et souvent en pure perte (USA Chine Russie) personne ne le prend au sérieux. Il est fort à gonfler les baudruches et pfffff de l'air, même sans épingle vaudou

Talleyrand a essayé de réparer les dommages d'un Bonaparte que je n'admire pas spécialementTalleyrant et Sarkozy ont bien des points commun, par contre il n'a rien d'un De Gaulle ni d'un Bonaparte!

L'Histoire a été réécrite après pour l'éducation des jeunes générations, "grâce" à J. Ferry avec l'aide de mauvaises langues comme Michelet.
Tu paries qu'ils renaîtront, tels le Phoenix, sous un autre nom, ou retourneront leurs vestes ou pantalons ou jupesPour revenir à sainte Becasse, les PS va imploser, du moins je l'espere.

Talleyrand ("de la merde dans un bas de soie" selon Napoléon - 28 janvier 1809 -)...
Sarkozy...
J'aime assez ce rapprochement (toutes proportions gardées)...
... surtout en regardant Talleyrand avec l'oeil de Chateaubriand !
Nous voilà bien loin de Bécassine. Quoique...
Sarkozy...
J'aime assez ce rapprochement (toutes proportions gardées)...
... surtout en regardant Talleyrand avec l'oeil de Chateaubriand !

sourceQuoi qu'il en soit de ces empêchements à la lumière, M. de Talleyrand n'est pas de taille à créer une illusion durable, il n'a pas en lui assez de facultés de croissance pour tourner les mensonges en rehaussements de stature. Il a été vu de trop près ; il ne vivra pas, parce que sa vie ne se rattache ni à une idée nationale restée après lui, ni à une action célèbre, ni à un talent hors de pair, ni à une découverte utile, ni à une conception faisant époque. L'existence par la vertu lui est interdite ; les périls n'ont pas même daigné honorer ses jours ; il a passé le règne de la Terreur hors de son pays, il n'y est rentré que quand le forum s'est transformé en antichambre.
Les monuments diplomatiques prouvent la médiocrité relative de Talleyrand : vous ne pourriez citer un fait de quelque estime qui lui appartienne. Sous Bonaparte, restreint à l'exécution des ordres impériaux, aucune négociation importante n'est de lui ; quand il a été libre d'agir seul, il a laissé échapper les occasions et gâté ce qu'il touchait. Il est bien avéré qu'il a été cause de la mort du duc d'Enghien ; cette tache de sang ne peut s'effacer...
Nous voilà bien loin de Bécassine. Quoique...
Dernière modification par gérard le 08 nov. 2008, modifié 1 fois.
Pour les comparaisons, merci Inventerre
Nicolas Sarkozy en Europe : le tout à l'ego
LE MONDE
Par Pierre Moscovici, député (PS) du Doubs ;
Karine Berger, économiste, membre du Conseil national du PS ;
Valérie Rabault, économiste, secrétaire de section.
Suis-je devenu socialiste ? Peut-être." Cette déclaration devant le Parlement européen du président de la République française et du président, hautement temporaire, de l'Union européenne pourrait faire éclater de rire si la situation n'était pas si grave.
Certes, Nicolas Sarkozy ne revendique pas d'être socialiste français, ce qui en dit long sur sa conception très particulière de l'"unité nationale" : même en temps de présidence européenne, le chef de l'UMP ne peut s'empêcher de continuer à faire un peu de politique politicienne.
Le président français est-il vraiment devenu un socialiste européen ? S'est-il par exemple rendu à la grande réunion du Parti socialiste européen qui rassemblait en juillet à Vienne les militants des partis socio-démocrates et socialistes de toute l'Europe ? Nous ne l'y avons pas vu. A moins que nous ne l'ayons pas reconnu dans la foule des camarades britanniques, autrichiens, italiens, hollandais, hongrois... tout autant que luxembourgeois, tchèques et suédois ?
Qu'auraient d'ailleurs dit ces socialistes venus de toute l'Europe pour travailler ensemble à un programme commun pour les prochaines élections européennes de 2009 s'ils avaient su que ce même Nicolas Sarkozy estimait - d'après son entourage - que la République tchèque et la Suède n'étaient pas au niveau pour présider l'Union européenne l'année prochaine et qu'il était donc irresponsable de leur laisser seules cette tâche ?
Qu'il était nécessaire de doubler les futures présidences thèque et suédoise de l'Union d'un Conseil des chefs d'Etat et de gouvernement de la zone euro ?
Que l'utilité de Jean-Claude Juncker, le premier ministre luxembourgeois, qui préside l'Eurogroupe, se volatilisait en l'espace d'un discours ? Qu'il fallait, par la force si nécessaire, imposer à tous nos partenaires européens que la France assume cette présidence pour douze mois supplémentaires ? Qu'il n'y avait à vrai dire que Nicolas Sarkozy en personne, et nul autre, à être de taille à sauver l'Europe ?
Que la seule rivalité que notre président voulait bien accepter en la matière était la compétence britannique, sans doute parce que contraint d'admettre que son plan de sauvetage n'était qu'une copie de celui imaginé par Gordon Brown. Et que, malgré quarante années d'efforts diplomatiques, le secrétaire d'Etat français aux affaires européennes pouvait d'un revers de main balayer la légitimité de deux nations sans que cela s'apparente à un putsch ?
Pour poursuivre son rêve de se comporter en maître du monde - de l'Europe en tout cas -, Nicolas Sarkozy n'hésite pas à montrer son mépris des "petites" nations européennes, son peu d'estime pour les institutions européennes, il néglige une fois de plus l'Allemagne, il ose inventer une instance qui n'existe pas pour prolonger l'expérience enivrante qu'il vit à travers la présidence de l'Union européenne.
Nos camarades tchèques et suédois auraient été scandalisés s'ils avaient découvert un tel socialiste européen dans leurs rangs. A vrai dire, c'est l'ensemble des Européens qui peut l'être. Car la suffisance française a toujours agacé, mais n'avait pas encore atteint ce point, qui déstabiliserait le travail commun. Les incohérences de notre président n'avaient, jusque-là, fait qu'activer quelques plumes acerbes, notamment outre-Rhin ou outre-Manche.
COLÈRE OU COMMISÉRATION
Mais face à un tel déni de reconnaissance mutuelle, face à un tel narcissisme, la réponse sera celle de la colère... ou de la commisération. La présidence française de l'Europe ne manque pas d'énergie - même si elle n'a pas brillé par sa rigueur.
Plutôt que de laisser libre cours à sa mégalomanie, M. Sarkozy ferait mieux de penser à faire avancer les dossiers de fond - à commencer par le développement durable, l'énergie, le redémarrage de l'Europe politique - et de préparer la nécessaire relance européenne face à la récession qui nous touche.
Une présidence de l'Union européenne est toujours un maillon dans une chaîne, elle hérite du travail de ceux qui l'ont précédée et passe le relais à ceux qui lui succèdent : le président français devrait être moins préoccupé de son ego, et davantage de la cause de l'Europe.
Non, M. Sarkozy, vous n'êtes pas devenu un socialiste européen, vous n'êtes pas même réellement un Européen conséquent. Un Européen sait dire en face à ses partenaires s'il est en désaccord avec telle ou telle politique. Mais aucun Européen ne se permettrait d'évincer un pays de l'Union, ou de penser que seul le président français serait au niveau pour présider aux destinées de l'Europe.
Un socialiste européen se bat contre le repli sur soi, comme François Mitterrand nous y avait exhortés en 1995 devant le Parlement européen, afin de construire une Europe qui nous éloigne des "politiques aventureuses du chacun pour soi et de l'isolationnisme". Quand, en 1984, ce même François Mitterrand saisit la main d'Helmut Kohl à Douaumont, il ne le fit pas pour lui, il le fit pour l'histoire de deux peuples et le devenir de l'Europe. Quelle main européenne jugez-vous encore digne d'être saisie par vous, M. Sarkozy ?
source
Sens politique, mouarf
sens du ridicule 
Nicolas Sarkozy en Europe : le tout à l'ego
LE MONDE
Par Pierre Moscovici, député (PS) du Doubs ;
Karine Berger, économiste, membre du Conseil national du PS ;
Valérie Rabault, économiste, secrétaire de section.
Suis-je devenu socialiste ? Peut-être." Cette déclaration devant le Parlement européen du président de la République française et du président, hautement temporaire, de l'Union européenne pourrait faire éclater de rire si la situation n'était pas si grave.
Certes, Nicolas Sarkozy ne revendique pas d'être socialiste français, ce qui en dit long sur sa conception très particulière de l'"unité nationale" : même en temps de présidence européenne, le chef de l'UMP ne peut s'empêcher de continuer à faire un peu de politique politicienne.
Le président français est-il vraiment devenu un socialiste européen ? S'est-il par exemple rendu à la grande réunion du Parti socialiste européen qui rassemblait en juillet à Vienne les militants des partis socio-démocrates et socialistes de toute l'Europe ? Nous ne l'y avons pas vu. A moins que nous ne l'ayons pas reconnu dans la foule des camarades britanniques, autrichiens, italiens, hollandais, hongrois... tout autant que luxembourgeois, tchèques et suédois ?
Qu'auraient d'ailleurs dit ces socialistes venus de toute l'Europe pour travailler ensemble à un programme commun pour les prochaines élections européennes de 2009 s'ils avaient su que ce même Nicolas Sarkozy estimait - d'après son entourage - que la République tchèque et la Suède n'étaient pas au niveau pour présider l'Union européenne l'année prochaine et qu'il était donc irresponsable de leur laisser seules cette tâche ?
Qu'il était nécessaire de doubler les futures présidences thèque et suédoise de l'Union d'un Conseil des chefs d'Etat et de gouvernement de la zone euro ?
Que l'utilité de Jean-Claude Juncker, le premier ministre luxembourgeois, qui préside l'Eurogroupe, se volatilisait en l'espace d'un discours ? Qu'il fallait, par la force si nécessaire, imposer à tous nos partenaires européens que la France assume cette présidence pour douze mois supplémentaires ? Qu'il n'y avait à vrai dire que Nicolas Sarkozy en personne, et nul autre, à être de taille à sauver l'Europe ?
Que la seule rivalité que notre président voulait bien accepter en la matière était la compétence britannique, sans doute parce que contraint d'admettre que son plan de sauvetage n'était qu'une copie de celui imaginé par Gordon Brown. Et que, malgré quarante années d'efforts diplomatiques, le secrétaire d'Etat français aux affaires européennes pouvait d'un revers de main balayer la légitimité de deux nations sans que cela s'apparente à un putsch ?
Pour poursuivre son rêve de se comporter en maître du monde - de l'Europe en tout cas -, Nicolas Sarkozy n'hésite pas à montrer son mépris des "petites" nations européennes, son peu d'estime pour les institutions européennes, il néglige une fois de plus l'Allemagne, il ose inventer une instance qui n'existe pas pour prolonger l'expérience enivrante qu'il vit à travers la présidence de l'Union européenne.
Nos camarades tchèques et suédois auraient été scandalisés s'ils avaient découvert un tel socialiste européen dans leurs rangs. A vrai dire, c'est l'ensemble des Européens qui peut l'être. Car la suffisance française a toujours agacé, mais n'avait pas encore atteint ce point, qui déstabiliserait le travail commun. Les incohérences de notre président n'avaient, jusque-là, fait qu'activer quelques plumes acerbes, notamment outre-Rhin ou outre-Manche.
COLÈRE OU COMMISÉRATION
Mais face à un tel déni de reconnaissance mutuelle, face à un tel narcissisme, la réponse sera celle de la colère... ou de la commisération. La présidence française de l'Europe ne manque pas d'énergie - même si elle n'a pas brillé par sa rigueur.
Plutôt que de laisser libre cours à sa mégalomanie, M. Sarkozy ferait mieux de penser à faire avancer les dossiers de fond - à commencer par le développement durable, l'énergie, le redémarrage de l'Europe politique - et de préparer la nécessaire relance européenne face à la récession qui nous touche.
Une présidence de l'Union européenne est toujours un maillon dans une chaîne, elle hérite du travail de ceux qui l'ont précédée et passe le relais à ceux qui lui succèdent : le président français devrait être moins préoccupé de son ego, et davantage de la cause de l'Europe.
Non, M. Sarkozy, vous n'êtes pas devenu un socialiste européen, vous n'êtes pas même réellement un Européen conséquent. Un Européen sait dire en face à ses partenaires s'il est en désaccord avec telle ou telle politique. Mais aucun Européen ne se permettrait d'évincer un pays de l'Union, ou de penser que seul le président français serait au niveau pour présider aux destinées de l'Europe.
Un socialiste européen se bat contre le repli sur soi, comme François Mitterrand nous y avait exhortés en 1995 devant le Parlement européen, afin de construire une Europe qui nous éloigne des "politiques aventureuses du chacun pour soi et de l'isolationnisme". Quand, en 1984, ce même François Mitterrand saisit la main d'Helmut Kohl à Douaumont, il ne le fit pas pour lui, il le fit pour l'histoire de deux peuples et le devenir de l'Europe. Quelle main européenne jugez-vous encore digne d'être saisie par vous, M. Sarkozy ?
source
Sens politique, mouarf



je ne fume pas !
Je n'ai pas dit qu'il allait réussir, j'ai dit que ce qu'il visait était la présidence de l'UE.
Sarko s'interesse à l'europe que si l'UE soutien le point de vue français, tout comme Merkel n'aime que le point de vue allemand et etc.
Sinon, tous se foutent de l'UE sauf si c'est dans leurs interets.
Pour le moment, Sarko fait son show et se ridiculise. Une sorte de Berlusconi à la française quoi!
Le PS est mal en point là et si Sego gagne c'est foutu!
Perso je ne pense pas qu'elle puisse gagner, ou alors c'est la LCR qui va tout rafler.
Ou alors je change de pays!
Je n'ai pas dit qu'il allait réussir, j'ai dit que ce qu'il visait était la présidence de l'UE.
Sarko s'interesse à l'europe que si l'UE soutien le point de vue français, tout comme Merkel n'aime que le point de vue allemand et etc.
Sinon, tous se foutent de l'UE sauf si c'est dans leurs interets.
Pour le moment, Sarko fait son show et se ridiculise. Une sorte de Berlusconi à la française quoi!
Le PS est mal en point là et si Sego gagne c'est foutu!
Perso je ne pense pas qu'elle puisse gagner, ou alors c'est la LCR qui va tout rafler.
Ou alors je change de pays!
C'est exact, et ce matin son porte parole le dénommé Peillon a dit qu'il préférait une alliance avec le Modem qu'avec la gauche de la gauchetristesir a écrit :Mme Royal c'est la personne qui, après avoir défendu pendant la campagne à l'élection présidentielle, le SMIC à 1500 euros (sans donner de délai ce qui en limitait largement son intérêt) et qui avait déclaré après l'élection de Mr Sarkozy qu'elle n'avait jamais cru à cette mesure, sauf erreur.

si avec de tels propos ils mettent Royal ou Delanoë comme chef de ligne, ce sera une nouvelle défaite pour eux en 2012 !!!

Je souhaite pour ma part un bon départ pour J.L.Mélenchon, qui lui est sincère dans ses propos, qui de plus sait de quoi il parle (pas comme la bécassine) et qui a un débit à couper le sifflet aux journaleux pro-sarkozistes (et ils le sont à 99 % !!!!)!!!
et certainement avec un futur rassemblement avec le NPA.....le PS est cuit !
