J'ai fait un courrier, il y'a 2 semaines.Inspection du travail ????
"Vous n'êtes pas rentable"
Cela ressemble à un début de harcèlement moral.J'avoue que la phrase "vous n'êtes pas rentable....", m'a totalement démotivé.
Parce que dire à un salarié <<vous n'êtes pas rentable>> devrait être suivi d'une discussion pour savoir comment le devenir ou alors cette phrase est prononcée dans un entretien préalable de licenciement.
Autrement, cela me semble être purement et simplement du harcèlement moral.
Quand j'étais emplois jeune, au début nous avions le même soucis ...
Alors j'ai pris ma plus belle plume et j'ai écrit au rectorat ... Qui s'en fichait pas mal ...
J'en ai parlé au directeur ... QUi ne pouvait pas me voir et s'en foutait pas mal ...
J'ai fini par apporter mon réchaud et commencer à faire à manger pile à 11H30 quand les parents venaient chercher leurs enfants ...
J'ai reçu un courrier du rectorat me disant que je mettais en danger les locaux (j'étais dehors) ...
Je n'ai jamais eu de salle pour manger (contrat de 5ans et demi) ...
Je squattais une salle de classe désertée car construite beaucoup trop petite ... Mais je n'ai jamais rendu de service à qui que ce soit pendant ma pause ... Pause que je rallongeais pas mal selon les jours ...
Seule la nouvelle directrice nommée la dernière année a mis un micro onde dans une salle qu'elle a fait aménager pour qu'on puisse manger ... Ah elle je lui rendais tous les services qu'elle voulait
En contrats aidés on est vraiment de la merde .......... (Selon que vous serez puissant ou misérable ...)
Alors j'ai pris ma plus belle plume et j'ai écrit au rectorat ... Qui s'en fichait pas mal ...
J'en ai parlé au directeur ... QUi ne pouvait pas me voir et s'en foutait pas mal ...
J'ai fini par apporter mon réchaud et commencer à faire à manger pile à 11H30 quand les parents venaient chercher leurs enfants ...
J'ai reçu un courrier du rectorat me disant que je mettais en danger les locaux (j'étais dehors) ...
Je n'ai jamais eu de salle pour manger (contrat de 5ans et demi) ...
Je squattais une salle de classe désertée car construite beaucoup trop petite ... Mais je n'ai jamais rendu de service à qui que ce soit pendant ma pause ... Pause que je rallongeais pas mal selon les jours ...
Seule la nouvelle directrice nommée la dernière année a mis un micro onde dans une salle qu'elle a fait aménager pour qu'on puisse manger ... Ah elle je lui rendais tous les services qu'elle voulait


En contrats aidés on est vraiment de la merde .......... (Selon que vous serez puissant ou misérable ...)
Ni pour les salariés non plus... mais eux avaient l'habitude de la misère.Pas de travail, pas de pognon, ni pour les patrons, ni pour les actionnaires. C'est cette réalité concrète qu'il faut rappeler
J'ai vaguement regardé hier soir "Jaurès" où on voyait des mineurs en grève. Des grèves très dures contre lesquelles on envoyait carrément la troupe qui tirait sur eux.
Ma mère a connu ce genre de grèves quand elle était petite et son père recommandait toujours à sa mère d'enfermer les gosses, toujours curieux de voir la maréchaussée à cheval, pour ne pas qu'ils soient bousculés ou pire par les chevaux qui chargeaient.
Evidemment, les actionnaires faisaient la tronche car leurs clients auraient été obligés de se fournir en Angleterre.
Ce n'est que dans l'union sacrée qu'ils ont réussi à se faire entendre, le jour où ils ont compris qu'ils étaient la richesse des riches. Ils en feraient quoi, hein, de leurs mines ou de leurs machines s'il n'y avait pas des esclaves pour les faire marcher ? Faire venir des jaunes encore plus miséreux ?
Aujourd'hui, où le droit de grève est de plus en plus menacé, il faudrait payer pléthore de vigiles, le Taser a remplacé les troupes et le fichage sauvage la suppression du "carnet jaune" d'ouvrier sans lequel il ne pouvait travailler ailleurs.
Finalement, rien n'a changé

Finalement, rien n'a changé (quote Maguy)
Sauf qu'on vient juste de faire entrer une femme communiste au Sénat!
Comme quoi, ici, après avoir eu une droite revancharde et dure, les gens se réveilleraient-ils?
Je ne dis pas que j'ai confiance dans la sénatrice qui vient d'etre élue au Sénat. Je dis que pour un département Vichyste comme le mien, je trouve une évolution pour élire une femme au Sénat ( traditionnellement machiste) de surcroit une femme communiste ( sénat traditionnellement à droite)et encore plus pour représenter un département aussi ringard et vieille france que celui où j'habite!
Cela au moins commence à changer!
Sauf qu'on vient juste de faire entrer une femme communiste au Sénat!
Comme quoi, ici, après avoir eu une droite revancharde et dure, les gens se réveilleraient-ils?
Je ne dis pas que j'ai confiance dans la sénatrice qui vient d'etre élue au Sénat. Je dis que pour un département Vichyste comme le mien, je trouve une évolution pour élire une femme au Sénat ( traditionnellement machiste) de surcroit une femme communiste ( sénat traditionnellement à droite)et encore plus pour représenter un département aussi ringard et vieille france que celui où j'habite!
Cela au moins commence à changer!
J'avoue que la phrase "vous n'êtes pas rentable....", m'a totalement démotivé(Carl)
Tiens, un petit texte de remotivation que j'ai trouvé sur les forum d'AC.
Petit traité de manipulation à l'usage des gens malhonnêtes.
http://www.survitualisme.org/
Le bureau du patron c'était le numéro 1 au troisième étage. Celui de la
secrétaire le numéro 2 au premier. Le comptable calculait dans le
numéro 4 au cinquième.
Cette boite était un véritable guépier pour les
employés. Tous les nouveaux échaffaudaient des théories sur les raisons
de cette disposition alors que les anciens, eux, n'y pensaient plus.
Markus se disait que c'était peut-être pour faire face à l'incursion de
visiteurs indésirables. Moi ce que j'en savais c'est qu'il fallait pas
trop se palucher les neurones parce que c'était justement l'objectif des
vicelards qui avaient mis ça au point. Plus on se casse la tête sur des
questions comme celle là, moins on pense aux questions essentielles.
Et, ces choses là elles sont au nombre de trois : la photocopieuse, la
machine à café et la queue à la cantine. Tout le reste est futile.
Ma longue expérience dans le domaine professionnel m'a appris qu'un
bureau sans machine à café est amputé d'un de ses membres. On
s'inquiéte, on gigotte, on trépigne du pied, on tapote des doigts. On
désire si fort sa présence qu'il devent impossible de se concentrer.
Si on passe son temps à faire la queue à la cantine les dossiers
s'accumulent. Quand on rentre au bureau on est sur les nerfs. On a du
mal à se supporter les uns les autres et la machine à café n'est
toujours pas réparée.
La photocopieuse pour rendre service au cousin Marc qui a besoin d'une
copie de ses papiers sans rien débourser. Si on ne lui rend pas ce petit
service il appelle tous les soirs jusque vers minuit et les pannes
d'oreiller se succèdent les une les autres au moment de partir au
boulot. On arrive au boulot ensommeillé et la machine à café n'est
toujours pas réparée.
Parfois je voyais Markus tourner autour de sa pile de dossier, emporté
dans une réflexion qui devait tourner en rond autour de son travail à
venir. Rapidement il se remettait dérrière son bureau et attrapait un
des dossiers pour s'y plonger. Pendant ce temps, je prenais la peine de
faire mine de travailler dur. Je me prenait tellement à mon jeu que je
finissait par devoir faire des éfforts. Je m'inquiétais un petit peu de
ce que ma seur pourrait nuire à mon état de santé. Les travailleurs qui
triment comme des stakanovistes ne finissent jamais très vieux.
J'interpelait Markus l'air de vouloir causer boulot et je tentais de lui
faire comprendre discrètement qu'il était trop jeune pour se mettre au
péril d'un infarctus du myope. Il me répondait le plus sérieusement du
monde que les compte de la compagnie étaient au beau fixe et. qu'on
pouvait espérer que les investissements à venir pourraient accroitre
notre productivité. Je trouvais son incapacité à saisir les tenants et
les aboutissants véritables de cette situation presque aussi fatigante
que ma petite comédie de celui qui bosse. Le soir venu je rentrais chez
moi, je me jetais dans les bras e Morphée et commençait à faire des
cauchemards.
Markus, à force de se distinguer avait fini par devenir dangeueux. Je le
voyais un après midi se lever de sa chaise après s'être peinturluré le
visage de camouflage, avec une mitrailleuse dans chaque main et un
couteau attaché au mollet gauche. Le trailli urbain avec lequel il
s'était camouflé ne le faisait pas vraiment passer inaperçu. Il hurlait
en chantant sur un air militaire qu'on lui avait demandé de
désincseciser les locaux le compagnie et qu'il turait jusqu'à la
dernière mouche. Il ouvrait la porte du bureau d'un coup de feu dans la
serure puis partait barbouser dans les couloirs. Les coups de pétard
fusaient au milieu de l'affolement général. On entendait les gens crier
et les mouches tomber sur le parquet. Je me réveillais en seur au milieu
de la nuit et je n'osais pas me rendormir de peur de sombrer dans un
nouveau cauchemard.
Le matin j'arrivais épuisé au boulot mais heureusement j'avais fait
réparer la machine à café. On se rassemblait à quelques uns chaque
matin, pour siroter notre jus noir. Et bien entendu les plus jeunes
d'entre nous ne pouvaient pas parler d'autre chose que du boulot. Ces
gens là, ils donnaient l'air de dormir avec une pile de dossiers en
attente à la place de l'oreiller, pour pouvoir bosser dessus pendant
leurs rêves. Je me demandais quel manque dans leur vie avait pu les en
amener là. Les jeunes se brulaient les lèvres pour terminer leur café et
jettaient précipitemment leur tasse en s'exclament « au boulot ! »,
alors que nous les anciens nous prenions notre temps en prétextant avoir
des affaires urgentes à discuter. Tout de même, il était vrai qu'il
devenait des plus en plus urgent que nous nous entrenions au sujet du
fayotage des nouveaux. Les conditions de travail dans la boite
devenaient insupportables à cause de ces petits malins qui voulaient en
faire plus que les autres et travailler plus pour gagner beaucoup plus.
Comme si c'était donné à tout le monde de gagner au loto, parce que je
sais depuis que je bosse c'est qu'il y a autant de chance d'être
récompensé pour sa sueur que de gagner le gros lot à la loterie, c'est à
dire quasiment macache ! Mais il faut toujours voir arriver une tête
bien pleine qui s'imagine avoir le bulletin gagnant. Alors nous avons
décidé de former un comité d'action clandestine, c'est pourquoi ce récit
s'arrête là...
par Léopold Fidel Privares publié dans : Diverses diversions communauté
: Survitualisme
http://www.survitualisme.org/
( Désolé, toujours pas moyen de faire un copier coller correct. Je remets le texte en forme, et, quand je l'envoies, il se met de cette manière.Les informaticiens peuvent_ils me dire si c'est un probleme de format,ou ,comment faire, merci!)
Tiens, un petit texte de remotivation que j'ai trouvé sur les forum d'AC.
Petit traité de manipulation à l'usage des gens malhonnêtes.
http://www.survitualisme.org/
Le bureau du patron c'était le numéro 1 au troisième étage. Celui de la
secrétaire le numéro 2 au premier. Le comptable calculait dans le
numéro 4 au cinquième.
Cette boite était un véritable guépier pour les
employés. Tous les nouveaux échaffaudaient des théories sur les raisons
de cette disposition alors que les anciens, eux, n'y pensaient plus.
Markus se disait que c'était peut-être pour faire face à l'incursion de
visiteurs indésirables. Moi ce que j'en savais c'est qu'il fallait pas
trop se palucher les neurones parce que c'était justement l'objectif des
vicelards qui avaient mis ça au point. Plus on se casse la tête sur des
questions comme celle là, moins on pense aux questions essentielles.
Et, ces choses là elles sont au nombre de trois : la photocopieuse, la
machine à café et la queue à la cantine. Tout le reste est futile.
Ma longue expérience dans le domaine professionnel m'a appris qu'un
bureau sans machine à café est amputé d'un de ses membres. On
s'inquiéte, on gigotte, on trépigne du pied, on tapote des doigts. On
désire si fort sa présence qu'il devent impossible de se concentrer.
Si on passe son temps à faire la queue à la cantine les dossiers
s'accumulent. Quand on rentre au bureau on est sur les nerfs. On a du
mal à se supporter les uns les autres et la machine à café n'est
toujours pas réparée.
La photocopieuse pour rendre service au cousin Marc qui a besoin d'une
copie de ses papiers sans rien débourser. Si on ne lui rend pas ce petit
service il appelle tous les soirs jusque vers minuit et les pannes
d'oreiller se succèdent les une les autres au moment de partir au
boulot. On arrive au boulot ensommeillé et la machine à café n'est
toujours pas réparée.
Parfois je voyais Markus tourner autour de sa pile de dossier, emporté
dans une réflexion qui devait tourner en rond autour de son travail à
venir. Rapidement il se remettait dérrière son bureau et attrapait un
des dossiers pour s'y plonger. Pendant ce temps, je prenais la peine de
faire mine de travailler dur. Je me prenait tellement à mon jeu que je
finissait par devoir faire des éfforts. Je m'inquiétais un petit peu de
ce que ma seur pourrait nuire à mon état de santé. Les travailleurs qui
triment comme des stakanovistes ne finissent jamais très vieux.
J'interpelait Markus l'air de vouloir causer boulot et je tentais de lui
faire comprendre discrètement qu'il était trop jeune pour se mettre au
péril d'un infarctus du myope. Il me répondait le plus sérieusement du
monde que les compte de la compagnie étaient au beau fixe et. qu'on
pouvait espérer que les investissements à venir pourraient accroitre
notre productivité. Je trouvais son incapacité à saisir les tenants et
les aboutissants véritables de cette situation presque aussi fatigante
que ma petite comédie de celui qui bosse. Le soir venu je rentrais chez
moi, je me jetais dans les bras e Morphée et commençait à faire des
cauchemards.
Markus, à force de se distinguer avait fini par devenir dangeueux. Je le
voyais un après midi se lever de sa chaise après s'être peinturluré le
visage de camouflage, avec une mitrailleuse dans chaque main et un
couteau attaché au mollet gauche. Le trailli urbain avec lequel il
s'était camouflé ne le faisait pas vraiment passer inaperçu. Il hurlait
en chantant sur un air militaire qu'on lui avait demandé de
désincseciser les locaux le compagnie et qu'il turait jusqu'à la
dernière mouche. Il ouvrait la porte du bureau d'un coup de feu dans la
serure puis partait barbouser dans les couloirs. Les coups de pétard
fusaient au milieu de l'affolement général. On entendait les gens crier
et les mouches tomber sur le parquet. Je me réveillais en seur au milieu
de la nuit et je n'osais pas me rendormir de peur de sombrer dans un
nouveau cauchemard.
Le matin j'arrivais épuisé au boulot mais heureusement j'avais fait
réparer la machine à café. On se rassemblait à quelques uns chaque
matin, pour siroter notre jus noir. Et bien entendu les plus jeunes
d'entre nous ne pouvaient pas parler d'autre chose que du boulot. Ces
gens là, ils donnaient l'air de dormir avec une pile de dossiers en
attente à la place de l'oreiller, pour pouvoir bosser dessus pendant
leurs rêves. Je me demandais quel manque dans leur vie avait pu les en
amener là. Les jeunes se brulaient les lèvres pour terminer leur café et
jettaient précipitemment leur tasse en s'exclament « au boulot ! »,
alors que nous les anciens nous prenions notre temps en prétextant avoir
des affaires urgentes à discuter. Tout de même, il était vrai qu'il
devenait des plus en plus urgent que nous nous entrenions au sujet du
fayotage des nouveaux. Les conditions de travail dans la boite
devenaient insupportables à cause de ces petits malins qui voulaient en
faire plus que les autres et travailler plus pour gagner beaucoup plus.
Comme si c'était donné à tout le monde de gagner au loto, parce que je
sais depuis que je bosse c'est qu'il y a autant de chance d'être
récompensé pour sa sueur que de gagner le gros lot à la loterie, c'est à
dire quasiment macache ! Mais il faut toujours voir arriver une tête
bien pleine qui s'imagine avoir le bulletin gagnant. Alors nous avons
décidé de former un comité d'action clandestine, c'est pourquoi ce récit
s'arrête là...
par Léopold Fidel Privares publié dans : Diverses diversions communauté
: Survitualisme
http://www.survitualisme.org/
( Désolé, toujours pas moyen de faire un copier coller correct. Je remets le texte en forme, et, quand je l'envoies, il se met de cette manière.Les informaticiens peuvent_ils me dire si c'est un probleme de format,ou ,comment faire, merci!)
Des nouvelles.
J'ai enfin crever l'abcès !
En effet, ce matin, j'ai rencontré le directeur et j'ai exprimé mon dégout face aux propos qui l'a tenu à mon égard. Bien sur, monsieur à commencé à nié en me disant qu'il n'avait jamais tenu ses propos. Histoir de dire, que j'étais le menteur.
Cependant, comme il à vu, que j'en démordais pas, il à changé de stratégie et à avoué à demi-mot qu'il avait bien tenu les propos en question.
En tout cas, cela fait du bien de retrouver sa dignité et peu importe les "dommages collatéraux" qe cela aura sur ma "carriére" chez eux !
J'ai enfin crever l'abcès !
En effet, ce matin, j'ai rencontré le directeur et j'ai exprimé mon dégout face aux propos qui l'a tenu à mon égard. Bien sur, monsieur à commencé à nié en me disant qu'il n'avait jamais tenu ses propos. Histoir de dire, que j'étais le menteur.
Cependant, comme il à vu, que j'en démordais pas, il à changé de stratégie et à avoué à demi-mot qu'il avait bien tenu les propos en question.
En tout cas, cela fait du bien de retrouver sa dignité et peu importe les "dommages collatéraux" qe cela aura sur ma "carriére" chez eux !

Bonsoir Carl,
je te crois sur parole que ça fait du bien, bravo, il en faut du courage pour ce que tu as fait !
Ton directeur a fait l'expérience que son statut ne le protège pas d'être mis face à sa responsabilité d'homme tout court.
Si maintenant il veut saper ta "carrière" pour se venger, il se ridiculiserait encore plus, sachant qu'il pourra rencontrer de nouveau ta franchise.
Tiens-nous au courant comment il réagit. Peut-être il préfère oublier au plus vite l'incident.
je te crois sur parole que ça fait du bien, bravo, il en faut du courage pour ce que tu as fait !
Ton directeur a fait l'expérience que son statut ne le protège pas d'être mis face à sa responsabilité d'homme tout court.
Si maintenant il veut saper ta "carrière" pour se venger, il se ridiculiserait encore plus, sachant qu'il pourra rencontrer de nouveau ta franchise.
Tiens-nous au courant comment il réagit. Peut-être il préfère oublier au plus vite l'incident.
C'est clair que ça ma fait du bien !
Surtout, que j'ai lui est sortie des vérités du genre " que c'était les salariés qui faisaient marcher la boite et que l'on avait pas besoin de lui
A la fin de l'entretien je lui dit que "c'était pas la peine de prendre des mesures de représailles à mon encontre "
Le lendemain je le revois, il me dit un grand bonjour mr.... Je lui serré la main avec un regard noir. Je l'ai sentie inquiet.
Surtout, que j'ai lui est sortie des vérités du genre " que c'était les salariés qui faisaient marcher la boite et que l'on avait pas besoin de lui
A la fin de l'entretien je lui dit que "c'était pas la peine de prendre des mesures de représailles à mon encontre "
Le lendemain je le revois, il me dit un grand bonjour mr.... Je lui serré la main avec un regard noir. Je l'ai sentie inquiet.