je pense pas que des politicard etaient sur place. ils recuperent juste l'information
connaitre leur prix reel "coutant" aurait ete interessant
legumes pas cher pour parisiens....
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Idgie
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romain23
qu'une vague faction prétendûment de gauche tout en étant arrimée à la pourriture extrêmedroitiste.(idgie)
Qui ça? Pas le facteur, j'espère!
Tu parles du Correzien et de sa clique?
N'empeche que les uns ou les autres, legumes ou pas legumes , les lois oppressant les chomeurs sont passées, le RSA va passer, le PPAE est passé, les residences pour " bobos " sur l'argent du RSU , et tuuti quantti et
TOUS LES PARTIS S'EN FOUTENT....... Les """Poooovres n'ont qu' A crever, sont pas rentables!
(J'ai fini le temps ou j'allais payer tous les mois , sur mes modestes assedics ,un timbre de 10€pour aller engraisser des permanents ,qui se faisait mousser et ne defendait en rien mes droits, mais utiliser mes competences et connaissances pour s'en servir dans les congrès et y acquérir du pouvoir!)
Qui ça? Pas le facteur, j'espère!
Tu parles du Correzien et de sa clique?
N'empeche que les uns ou les autres, legumes ou pas legumes , les lois oppressant les chomeurs sont passées, le RSA va passer, le PPAE est passé, les residences pour " bobos " sur l'argent du RSU , et tuuti quantti et
TOUS LES PARTIS S'EN FOUTENT....... Les """Poooovres n'ont qu' A crever, sont pas rentables!
(J'ai fini le temps ou j'allais payer tous les mois , sur mes modestes assedics ,un timbre de 10€pour aller engraisser des permanents ,qui se faisait mousser et ne defendait en rien mes droits, mais utiliser mes competences et connaissances pour s'en servir dans les congrès et y acquérir du pouvoir!)
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Idgie
Non non pas Besancenot...l'essentiel, je pense, c'est que les gens ait pu acheter des produits au quasi prix coutant et qu'ils aient pu discuter avec les producteurs. On s'était renseigné ici auprès d'une AMAP mais franchement les prix pratiqués, laisse tomber! (là oui le concept est méga bobo).
Dans notre coin, on achète de la farine (T110 et T150) et du fromage directement chez le producteur et les prix sont effectivement abordables étant donnée la qualité.
Dans notre coin, on achète de la farine (T110 et T150) et du fromage directement chez le producteur et les prix sont effectivement abordables étant donnée la qualité.
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maguy
Un buffet... pour bouffer, mouarf non pas taper je sorsL'essentiel n'est pas que Buffet ait été présente ou pas...
Ce qui m'agace dans ce genre d'opérations qui est souvent fait (merde, s'accorde avec genre ou opérations
) d'après les média, est le discours moralisateur "vous voyez, nous aussi on souffre, on a une perte de pouvoir d'achat, blabla"...Si j'étais agriculteur, au moins moi et ma famille, nous mangerions sain. La pire misère est celle des villes, il n'y a rien sans argent, ni pour manger, ni pour cultiver, ni pour se chauffer. On revient à la révolution industrielle du 19è, sauf qu'on a évolué et que les "pauvres" sales et analphabèthes ont souvent fait place à une classe cultivée.
Ils auraient proposé leur opération comme un coup de pouce aux citadins, j'aurais apprécié, mais en fait ce truc me parait être une opération pour mettre en exergue leurs propres difficultés, assortie d'une opération de charité.
Leur message est au minimum pas clair, j'ai parfois l'impression qu'on vend des invendus aux pauvres. Le côté judeo-chrétien, un peu maso en sorte... il faut souffrir beaucoup sur cette terre pour avoir le bienfait ailleurs, ben voyons !
Pourquoi les producteurs se sont laissés avoir par des grands groupes ? Bénéfices immédiats ? Ils se sont laissés avoir comme les autres, vivent des subventions de Bruxelles ou des Dikats des groupes ?
Ils n'ont rien vu venir, à part leur bénéfice immédiat ?
Ils ont laissé péricliter leur héritage (au sens large) pour des lendemains dorés et viennent se plaindre ?
J'ai un peu la même colère que celle des patrons qui viennent pleurer leurs pertes et prier qu'on les mettent à la charge de l'état et qui se sobergent quand tous les Français se trouvent en plus, redondants, à vanter leurs bénéfices.
Alors, messieurs les agriculteurs, lorsqu'il ne s'agissait pas d'une subvention, que proposais-tu aux pauvres ?????
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foufouille
le MODEF (www.modef.fr), se difinit comme des exploitations "familiale"........
existe depuis 1959....
jamais entendu parler avant et peu d'infos sur leur site
existe depuis 1959....
jamais entendu parler avant et peu d'infos sur leur site
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foufouille
PCF : une autre manière de vendre des salades
Organisateur dans quarante villes de marchés à prix coûtant, le PCF lutte contre l'invisibilité médiatique en se reconvertissant dans le service commercial. Une évolution révélatrice de sa difficulté à exister à gauche.
Pendant que l'UMP fini sa tournée des plages, le PCF fait les marchés. «Dans quarante villes, des ventes directes au juste prix», titrait jeudi 21 août L'Humanité pour promouvoir la vente annuelle organisée le jour même par les communistes et le syndicat agricole Modef.
Un acheteur au marché du PCF
Place de la Bastille, dès 7h30, une poignée de cadres et de militants échangent avec des centaines de Parisiens quelques kilos de prunes du Lot-et-Garonne (vendues 5 € les 8 kilos, une affaire) contre un peu d'écoute de leur argumentaire militant. Arrivée à 8h15, Marie-George Buffet parcourt les longues files d'attentes en sollicitant des témoignages vécus et en les agrémentant d'attaques contre la grande distribution. En cette rentrée politique, les stands du PCF ressemblent curieusement à ceux des Restos du cœur. On savait les militants communistes experts dans l'art de vendre du muguet. On découvre aujourd'hui d'autres dimensions de leurs talents commerciaux.
«Service militant»
«Pour suivre la recommandation de l'OMS de cinq fruits et légumes par jour, j'ai calculé, ça coûte 12% d'un Smig ! [sic !]», répète la secrétaire nationale, insiste-t-elle face aux caméras. Mais, elle cherche surtout le contact avec le public, ce qui fait d'ailleurs partie de cette opération de communication, sans parler de la propagande avec la distribution d'exemplaires gratuits de L'Humanité. Certaines personnes, venues pour profiter des prix, ignorent même que le PCF est à l'initiative. Tous les acheteurs de ce marché-manif reconnaissent que le parti «fait quelque chose» pour eux. Quelques-uns se réjouissent de faire «d'une pierre deux coups» : une bonne affaire ET un acte politique. Le PC leur rend un «service-militant», résume un trentenaire avant de partir avec ses melons et ses abricots.
Du parti-syndicat à l'épicerie sociale
Selon l'expression de Marie-George Buffet elle-même, le parti «expérimente» la vente directe pour mettre en lumière les difficultés des consommateurs et celles des producteurs. Le PCF n'en finit pas de redéfinir son rôle politique au fur et à mesure de son déclin. Il y a quelques décennies, il se fixait une mission historique, celle de faire la Révolution. Puis le PCF est devenu une sorte de «super-syndicat», soutien du mouvement social aux côtés de la CGT. Aujourd'hui, le voici devenu un parti modestement dévoué à l'aide concrète de ses concitoyens. Qu'on se le dise, les nouveaux communistes défendent les Français des villes et des champs, victimes des abus du gouvernement et de la grande distribution. «Plus que les mots du «Président du pouvoir d'achat», une action concrète», clame le communiqué annonçant le marché du 21 août.
Cette attitude, les militants et les élus du PC la justifient par l'attitude du reste de la gauche : pour eux, Besancenot n'existe pas car il «n'assume pas ses responsabilités» (comprendre : s'écarte du jeu des alliances) et les socialistes ne parlent pas assez de la vie concrète. Dotés d'un sens éprouve de l'organisation, les communistes ont toujours su proposer avec succès la plus grande fête populaire de France Fête de L'Huma ou marchés à prix coûtant. Jusqu'où ira la mue du PCF ? «Le Parti communiste et le gouvernement organisent des ventes à prix cassé», titre curieusement Le Monde. Et L'Humanité de ce jour consacre un article pour attaquer les prix élevés des centres Leclerc. Un nouveau concurrent pour la place du Colonel-Fabien ?
Yves Dimicoli, membre du bureau national du PCF
Mise à jour de l'article à 17h45 : ajout des vidéos.
pas mal politique quand meme, mais le prix faible avait l'air d'etre reel
Organisateur dans quarante villes de marchés à prix coûtant, le PCF lutte contre l'invisibilité médiatique en se reconvertissant dans le service commercial. Une évolution révélatrice de sa difficulté à exister à gauche.
Pendant que l'UMP fini sa tournée des plages, le PCF fait les marchés. «Dans quarante villes, des ventes directes au juste prix», titrait jeudi 21 août L'Humanité pour promouvoir la vente annuelle organisée le jour même par les communistes et le syndicat agricole Modef.
Un acheteur au marché du PCF
Place de la Bastille, dès 7h30, une poignée de cadres et de militants échangent avec des centaines de Parisiens quelques kilos de prunes du Lot-et-Garonne (vendues 5 € les 8 kilos, une affaire) contre un peu d'écoute de leur argumentaire militant. Arrivée à 8h15, Marie-George Buffet parcourt les longues files d'attentes en sollicitant des témoignages vécus et en les agrémentant d'attaques contre la grande distribution. En cette rentrée politique, les stands du PCF ressemblent curieusement à ceux des Restos du cœur. On savait les militants communistes experts dans l'art de vendre du muguet. On découvre aujourd'hui d'autres dimensions de leurs talents commerciaux.
«Service militant»
«Pour suivre la recommandation de l'OMS de cinq fruits et légumes par jour, j'ai calculé, ça coûte 12% d'un Smig ! [sic !]», répète la secrétaire nationale, insiste-t-elle face aux caméras. Mais, elle cherche surtout le contact avec le public, ce qui fait d'ailleurs partie de cette opération de communication, sans parler de la propagande avec la distribution d'exemplaires gratuits de L'Humanité. Certaines personnes, venues pour profiter des prix, ignorent même que le PCF est à l'initiative. Tous les acheteurs de ce marché-manif reconnaissent que le parti «fait quelque chose» pour eux. Quelques-uns se réjouissent de faire «d'une pierre deux coups» : une bonne affaire ET un acte politique. Le PC leur rend un «service-militant», résume un trentenaire avant de partir avec ses melons et ses abricots.
Du parti-syndicat à l'épicerie sociale
Selon l'expression de Marie-George Buffet elle-même, le parti «expérimente» la vente directe pour mettre en lumière les difficultés des consommateurs et celles des producteurs. Le PCF n'en finit pas de redéfinir son rôle politique au fur et à mesure de son déclin. Il y a quelques décennies, il se fixait une mission historique, celle de faire la Révolution. Puis le PCF est devenu une sorte de «super-syndicat», soutien du mouvement social aux côtés de la CGT. Aujourd'hui, le voici devenu un parti modestement dévoué à l'aide concrète de ses concitoyens. Qu'on se le dise, les nouveaux communistes défendent les Français des villes et des champs, victimes des abus du gouvernement et de la grande distribution. «Plus que les mots du «Président du pouvoir d'achat», une action concrète», clame le communiqué annonçant le marché du 21 août.
Cette attitude, les militants et les élus du PC la justifient par l'attitude du reste de la gauche : pour eux, Besancenot n'existe pas car il «n'assume pas ses responsabilités» (comprendre : s'écarte du jeu des alliances) et les socialistes ne parlent pas assez de la vie concrète. Dotés d'un sens éprouve de l'organisation, les communistes ont toujours su proposer avec succès la plus grande fête populaire de France Fête de L'Huma ou marchés à prix coûtant. Jusqu'où ira la mue du PCF ? «Le Parti communiste et le gouvernement organisent des ventes à prix cassé», titre curieusement Le Monde. Et L'Humanité de ce jour consacre un article pour attaquer les prix élevés des centres Leclerc. Un nouveau concurrent pour la place du Colonel-Fabien ?
Yves Dimicoli, membre du bureau national du PCF
Mise à jour de l'article à 17h45 : ajout des vidéos.
pas mal politique quand meme, mais le prix faible avait l'air d'etre reel