Salauds de CMUistes!
Salauds de CMUistes!
Dans une circulaire en date du 30 juin, le patron de la Caisse Nationale d’Assurance Maladie (CNAM) précise les « nouvelles missions confiées aux conciliateurs » de l’assurance maladie pour le traitement des plaintes de bénéficiaires de la CMU victimes de refus de soins, mais aussi - là est le nouveau scandale - pour la prise en compte des « réclamations portées par des professionnels de santé à l’encontre des bénéficiaires de la CMU ».
Sortez vos tomates pourries!
Sortez vos tomates pourries!
Et on rajoute une couche dans l'ignoble
Rappel à l'ordre des bénéficiaires de la CMU
Publié le 11/08/2008 par Angela Corrigan – Continental news
Les médecins qui défendant l’accès de tous aux soins dénoncent une discrimination sur la Couverture Maladie Universelle (CMU). Ils ont saisi la Halde après avoir appris que la Caisse nationale d’Assurance Maladie (CNAM) envisageait un "rappel à l'ordre" des bénéficiaires de la CCMU dès lors qu’ils ratent un rendez-vous, arrivent en retard ou ne suivent pas un traitement.
C'est L’Humanité qui révèle le grand complot.
L'Humanité diffuse une information dévoilant le plan de la CNAM visant un "rappel à l'ordre" des bénéficiaires de la CMU qui manqueraient un rendez-vous, arriveraient en retard ou ne suivraient pas leur traitement par exemple. Les médecins sont déçus, voire embarrassés, par de tels mesures. Ils ont saisi la Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations et pour l'égalité dans ce dossier.
"Le démantèlement de la couverture maladie universelle"
Si les graves problèmes de refus de soins semblent enfin provoquer une bien tardive réaction des pouvoirs publics, c’est bien la droite qui, depuis 2002, s’attaque directement à la Couverture maladie universelle (CMU), plus ou moins insidieusement.
La CMU est l’une des grandes avancées sociales du gouvernement Jospin. Avec cette réforme, le droit aux soins de chacun est enfin pleinement garanti en France.
1/ L’attitude du gouvernement face à la CMU est très ambiguë :
- D’une part, c’est une réforme intouchable parce qu’elle marche assez correctement et qu’elle répond à un vrai besoin d’accès aux soins des personnes démunies.
- Mais de l’autre, cette réforme est insupportable parce que c’est un héritage de la gauche et qu’elle concerne des populations modestes. Autour de la CMU (et l’aide médicale d’Etat –AME-) se développe une intense thématique sécuritaire : la CMU attire les étrangers qui viennent profiter de notre système de soins, le tiers payant encourage le trafic de médicaments des toxicos dealers (subutex) ou en direction de l’étranger (filières Vietnam, Côte d’Ivoire, Russie, etc.). Sont aussi visés les ressortissants européens qui profitent de notre système de soins en organisant leur insolvabilité (anglais, hollandais).
- Par ailleurs le thème récurrent de l’abus de soins est permanent, largement entretenu par le milieu médical. Or la CMU couvre un certain nombre de patients souffrant de pathologies extrêmement lourdes : le taux d’affections longue durée des bénéficiaires de la CMU à âge et sexe comparable est entre 2 et 3 fois supérieur à celui de la population hors CMU. D’ailleurs, 10 % des bénéficiaires CMU consomment 60 % de la totalité des soins du reste de la population bénéficiaire de la CMU.
2/ Or, la CMU est plus que jamais un indispensable bouclier social
La CMU couvre en priorité des familles qui ont les pratiques habituelles des milieux populaires en matière d’accès aux soins : 45 % des bénéficiaires ont moins de 20 ans. La CMU est d’ailleurs un révélateur de la pauvreté des enfants : alors qu’elle ne concerne que 7 % de la population, 17 % des enfants de moins de 10 ans du régime général vivent dans un foyer CMU.
Ces dénonciations de la fraude et des abus peuvent être prises pour ce qu’elles sont : une gesticulation plus ou moins dérisoire pour occuper le champ politique et faire des signaux à une partie de l’électorat qui se rassure en haïssant la population encore plus précarisée.
Mais il est à craindre que ces dénonciations aient des effets beaucoup plus graves en matière d’accès aux soins : à travers un renversement des principes et diverses mesures techniques on rend l’accès à la couverture sociale de nouveau très compliquée.
3/ Un véritable travail de sape est en cours
Diverses mesures d’aspect technique réintroduisent dans les pratiques des caisses et des professionnels de santé une culture de la complexité qui repousse sans ménagement toutes les populations fragiles, désarmées face au monde administratif :
- Remise en cause de la déclaration sur l’honneur. Cette procédure permet d’ouvrir les droits sans délais des personnes qui manquent de certains justificatifs de ressources, tout en laissant la possibilité de procéder à des contrôles a posteriori. Cette disposition est indispensable si on veut éviter de renvoyer les demandeurs dans des démarches interminables, particulièrement dommageables quand il s’agit de permettre l’accès aux soins. L’administration explique cette mesure par les abus supposés de quelques résidents anglais vivant de leurs rentes en Dordogne, dans de somptueux manoirs : cet argument est absurde, puisque la législation permet toute enquête sur présomption de fausse déclaration. La loi CMU est très explicite sur le sujet.
- Introduction de subjectivité dans l’évaluation des éléments concernant le patrimoine ou le train de vie : l’argument vise toujours « les riches propriétaires terriens anglais ». En fait il introduit dans une procédure d’ouverture de droits que la loi CMU essayait de rendre relativement objective et simple un élément d’appréciation totalement aléatoire. Cette tentative a un précédent : lors d’une des diverses tentatives du ministère de l’intérieur pour empêcher l’accès à l’aide médicale, un projet de circulaire a pris en compte dans les ressources la valorisation des aliments et de l’hébergement des étrangers en situation irrégulière. Le projet a été abandonné avec le constat que plus personne ne pouvait rentrer dans le critère ressources !
- Restriction de la durée de validité de l’affiliation à la sécurité sociale : un décret de la loi CMU avait étendu à 4 ans la période de validité des droits à la sécurité sociale. Là encore, l’idée était qu’il était totalement inutile de vérifier tous les ans les conditions d’ouverture des droits de la totalité de la population qui a, par définition, des droits valides… Le gouvernement justifie cette mesure par la nécessité d’interrompre les droits à la CMU des personnes qui ne remplissent plus la condition de régularité de résidence (par exemple des déboutés du droit restant sur le territoire), ou ne résidant plus sur le territoire de façon permanente Cette mesure va surtout empoisonner la vie des personnes qui ne sont pas dans une situation sociale et salariale parfaitement stable : jeunes en situation d’insertion, personnes marginalisées, veuves, divorcées pensionnées, salariés précaires, stagiaires, …
- Au delà de la CMU, on peut aussi s’interroger sur les textes en préparation concernant la nouvelle carte VITALE. Ils ne concernent pas simplement l’ajout d’une photo et de quelques informations de santé. Cette carte et la procédure de certification de l’immatriculation visent en fait à la constituer comme une seconde carte d’identité. Cette procédure est naturellement une difficulté supplémentaire pour les populations les plus marginales ou les plus exclues.
Le cumul de ces différentes mesures brouille de plus en plus le contour d’une prestation qui avait le mérite d’une grande lisibilité, pour tous les acteurs : usagers, agents administratifs, professionnels de santé. Les associations enregistrent d’ailleurs dans leurs permanences une remontée de demandeurs qui ne savent plus comment faire valoir leurs droits. Il y a donc urgence à en restaurer les fondamentaux.
source
Ce qui me fait le plus bondir est la phrase que j'ai mise en gras. Des médecins dénoncent l'abus de soins
Est-ce que par hasard, ils oublieraient de se faire payer par la secu ? NON, bien sûr.
Si les CMU vont chez le toubib plus que les autres, c'est sans doute qu'ils sont restés longtemps sans soin faute de moyens.
Alors, pourquoi les reçoivent-ils ?
Avant que la secu soit généralisée, les médecins, chirurgiens des hôpitaux offraient une journée pour les pauvres.
Maintenant, ôh horreur, ils doivent recevoir les pauvres, ramassent le fric de la secu et viennent s'en plaindre ? Qui fait les ordonnances, les malades ?
En plus, ils nous prennent de haut
Je me fais toujours un plaisir de leur rappeler (avec des degrés selon celui en face de moi) qu'il n'est qu'un prestataire de services comme un garagiste ou un coiffeur. Qu'il soit payé 100% secu ou une partie mutuelle, ce ne sont pas ses affaires.
Ce qui me console un peu, est qu'avec toutes les franchises et les augmentations des mutuelles, ils feront bientôt moins la fine bouche, les CMU seront un jour les seuls solvables dans les quartiers populaires.
Comme dit mon dentiste "je préfère un CMU à un chèque en bois".
Publié le 11/08/2008 par Angela Corrigan – Continental news
Les médecins qui défendant l’accès de tous aux soins dénoncent une discrimination sur la Couverture Maladie Universelle (CMU). Ils ont saisi la Halde après avoir appris que la Caisse nationale d’Assurance Maladie (CNAM) envisageait un "rappel à l'ordre" des bénéficiaires de la CCMU dès lors qu’ils ratent un rendez-vous, arrivent en retard ou ne suivent pas un traitement.
C'est L’Humanité qui révèle le grand complot.
L'Humanité diffuse une information dévoilant le plan de la CNAM visant un "rappel à l'ordre" des bénéficiaires de la CMU qui manqueraient un rendez-vous, arriveraient en retard ou ne suivraient pas leur traitement par exemple. Les médecins sont déçus, voire embarrassés, par de tels mesures. Ils ont saisi la Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations et pour l'égalité dans ce dossier.
"Le démantèlement de la couverture maladie universelle"
Si les graves problèmes de refus de soins semblent enfin provoquer une bien tardive réaction des pouvoirs publics, c’est bien la droite qui, depuis 2002, s’attaque directement à la Couverture maladie universelle (CMU), plus ou moins insidieusement.
La CMU est l’une des grandes avancées sociales du gouvernement Jospin. Avec cette réforme, le droit aux soins de chacun est enfin pleinement garanti en France.
1/ L’attitude du gouvernement face à la CMU est très ambiguë :
- D’une part, c’est une réforme intouchable parce qu’elle marche assez correctement et qu’elle répond à un vrai besoin d’accès aux soins des personnes démunies.
- Mais de l’autre, cette réforme est insupportable parce que c’est un héritage de la gauche et qu’elle concerne des populations modestes. Autour de la CMU (et l’aide médicale d’Etat –AME-) se développe une intense thématique sécuritaire : la CMU attire les étrangers qui viennent profiter de notre système de soins, le tiers payant encourage le trafic de médicaments des toxicos dealers (subutex) ou en direction de l’étranger (filières Vietnam, Côte d’Ivoire, Russie, etc.). Sont aussi visés les ressortissants européens qui profitent de notre système de soins en organisant leur insolvabilité (anglais, hollandais).
- Par ailleurs le thème récurrent de l’abus de soins est permanent, largement entretenu par le milieu médical. Or la CMU couvre un certain nombre de patients souffrant de pathologies extrêmement lourdes : le taux d’affections longue durée des bénéficiaires de la CMU à âge et sexe comparable est entre 2 et 3 fois supérieur à celui de la population hors CMU. D’ailleurs, 10 % des bénéficiaires CMU consomment 60 % de la totalité des soins du reste de la population bénéficiaire de la CMU.
2/ Or, la CMU est plus que jamais un indispensable bouclier social
La CMU couvre en priorité des familles qui ont les pratiques habituelles des milieux populaires en matière d’accès aux soins : 45 % des bénéficiaires ont moins de 20 ans. La CMU est d’ailleurs un révélateur de la pauvreté des enfants : alors qu’elle ne concerne que 7 % de la population, 17 % des enfants de moins de 10 ans du régime général vivent dans un foyer CMU.
Ces dénonciations de la fraude et des abus peuvent être prises pour ce qu’elles sont : une gesticulation plus ou moins dérisoire pour occuper le champ politique et faire des signaux à une partie de l’électorat qui se rassure en haïssant la population encore plus précarisée.
Mais il est à craindre que ces dénonciations aient des effets beaucoup plus graves en matière d’accès aux soins : à travers un renversement des principes et diverses mesures techniques on rend l’accès à la couverture sociale de nouveau très compliquée.
3/ Un véritable travail de sape est en cours
Diverses mesures d’aspect technique réintroduisent dans les pratiques des caisses et des professionnels de santé une culture de la complexité qui repousse sans ménagement toutes les populations fragiles, désarmées face au monde administratif :
- Remise en cause de la déclaration sur l’honneur. Cette procédure permet d’ouvrir les droits sans délais des personnes qui manquent de certains justificatifs de ressources, tout en laissant la possibilité de procéder à des contrôles a posteriori. Cette disposition est indispensable si on veut éviter de renvoyer les demandeurs dans des démarches interminables, particulièrement dommageables quand il s’agit de permettre l’accès aux soins. L’administration explique cette mesure par les abus supposés de quelques résidents anglais vivant de leurs rentes en Dordogne, dans de somptueux manoirs : cet argument est absurde, puisque la législation permet toute enquête sur présomption de fausse déclaration. La loi CMU est très explicite sur le sujet.
- Introduction de subjectivité dans l’évaluation des éléments concernant le patrimoine ou le train de vie : l’argument vise toujours « les riches propriétaires terriens anglais ». En fait il introduit dans une procédure d’ouverture de droits que la loi CMU essayait de rendre relativement objective et simple un élément d’appréciation totalement aléatoire. Cette tentative a un précédent : lors d’une des diverses tentatives du ministère de l’intérieur pour empêcher l’accès à l’aide médicale, un projet de circulaire a pris en compte dans les ressources la valorisation des aliments et de l’hébergement des étrangers en situation irrégulière. Le projet a été abandonné avec le constat que plus personne ne pouvait rentrer dans le critère ressources !
- Restriction de la durée de validité de l’affiliation à la sécurité sociale : un décret de la loi CMU avait étendu à 4 ans la période de validité des droits à la sécurité sociale. Là encore, l’idée était qu’il était totalement inutile de vérifier tous les ans les conditions d’ouverture des droits de la totalité de la population qui a, par définition, des droits valides… Le gouvernement justifie cette mesure par la nécessité d’interrompre les droits à la CMU des personnes qui ne remplissent plus la condition de régularité de résidence (par exemple des déboutés du droit restant sur le territoire), ou ne résidant plus sur le territoire de façon permanente Cette mesure va surtout empoisonner la vie des personnes qui ne sont pas dans une situation sociale et salariale parfaitement stable : jeunes en situation d’insertion, personnes marginalisées, veuves, divorcées pensionnées, salariés précaires, stagiaires, …
- Au delà de la CMU, on peut aussi s’interroger sur les textes en préparation concernant la nouvelle carte VITALE. Ils ne concernent pas simplement l’ajout d’une photo et de quelques informations de santé. Cette carte et la procédure de certification de l’immatriculation visent en fait à la constituer comme une seconde carte d’identité. Cette procédure est naturellement une difficulté supplémentaire pour les populations les plus marginales ou les plus exclues.
Le cumul de ces différentes mesures brouille de plus en plus le contour d’une prestation qui avait le mérite d’une grande lisibilité, pour tous les acteurs : usagers, agents administratifs, professionnels de santé. Les associations enregistrent d’ailleurs dans leurs permanences une remontée de demandeurs qui ne savent plus comment faire valoir leurs droits. Il y a donc urgence à en restaurer les fondamentaux.
source
Ce qui me fait le plus bondir est la phrase que j'ai mise en gras. Des médecins dénoncent l'abus de soins

Est-ce que par hasard, ils oublieraient de se faire payer par la secu ? NON, bien sûr.
Si les CMU vont chez le toubib plus que les autres, c'est sans doute qu'ils sont restés longtemps sans soin faute de moyens.
Alors, pourquoi les reçoivent-ils ?
Avant que la secu soit généralisée, les médecins, chirurgiens des hôpitaux offraient une journée pour les pauvres.
Maintenant, ôh horreur, ils doivent recevoir les pauvres, ramassent le fric de la secu et viennent s'en plaindre ? Qui fait les ordonnances, les malades ?
En plus, ils nous prennent de haut

Je me fais toujours un plaisir de leur rappeler (avec des degrés selon celui en face de moi) qu'il n'est qu'un prestataire de services comme un garagiste ou un coiffeur. Qu'il soit payé 100% secu ou une partie mutuelle, ce ne sont pas ses affaires.
Ce qui me console un peu, est qu'avec toutes les franchises et les augmentations des mutuelles, ils feront bientôt moins la fine bouche, les CMU seront un jour les seuls solvables dans les quartiers populaires.
Comme dit mon dentiste "je préfère un CMU à un chèque en bois".

Ce qui me console un peu, est qu'avec toutes les franchises et les augmentations des mutuelles, ils feront bientôt moins la fine bouche, les CMU seront un jour les seuls solvables dans les quartiers populaires. (quote Maguy)
Sans oublier que dans certaines regions desertifiées ( comme le massif central, Creuse ou Lozere,par exem) s'il n'y avait pas la cmu pour faire vivre quelques opticiens ou Kiné , ils pourraient demenager. Ici, les riches vont à Vichy, ça fait plus classe! Et, les riches ne se font pas soigner par des medecins de campagnes ou autre " basse classe" ,ils ont leur specialiste .Quand aux pharmacies, sans la CMu , elles pourraient vendre des carottes!
Sans oublier que dans certaines regions desertifiées ( comme le massif central, Creuse ou Lozere,par exem) s'il n'y avait pas la cmu pour faire vivre quelques opticiens ou Kiné , ils pourraient demenager. Ici, les riches vont à Vichy, ça fait plus classe! Et, les riches ne se font pas soigner par des medecins de campagnes ou autre " basse classe" ,ils ont leur specialiste .Quand aux pharmacies, sans la CMu , elles pourraient vendre des carottes!
Bonjour,
Au delà de la CMU, on peut aussi s’interroger sur les textes en préparation concernant la nouvelle carte VITALE. Ils ne concernent pas simplement l’ajout d’une photo et de quelques informations de santé.
Cette carte et la procédure de certification de l’immatriculation visent en fait à la constituer comme une seconde carte d’identité.
Au delà de la CMU, on peut aussi s’interroger sur les textes en préparation concernant la nouvelle carte VITALE. Ils ne concernent pas simplement l’ajout d’une photo et de quelques informations de santé.
Cette carte et la procédure de certification de l’immatriculation visent en fait à la constituer comme une seconde carte d’identité.
Je ne comprends pas bien St-Dum
Sur la carte Vitale, il y a le nom, date de naissance, lieu de naissance etc.
Ce qui me gêne beaucoup sont les renseignements médicaux. En quoi mon dentiste serait intéressé si je souffre d'un cancer ou de diabète ?
Pour les familles nombreuses, on peut coller combien de photos
Les enfants grandissent et changent, les adultes aussi.
c'est pourtant déjà assez compliqué d'avoir une carte d'identité.
Pourquoi ne pas nous innoculer une puce non plus, comme pour les chiens et les chats
Heuuuu qui va payer la photo ? Et il faudra se rendre en rang d'oignon à la secu pour que l'employé vérifie bien que c'est notre bobine ? Avec tous les enfants aussi ???
'tain, l'usine à gaz, si quelqu'un veut frauder, ça ne les empêchera pas.
On peut nous endormir avec la sécurité médicale, ça me rappelle il y a quelques années le fameux carnet médical qu'aucun médecin ne demande jamais ou même vérifie, pfffff

Sur la carte Vitale, il y a le nom, date de naissance, lieu de naissance etc.
Ce qui me gêne beaucoup sont les renseignements médicaux. En quoi mon dentiste serait intéressé si je souffre d'un cancer ou de diabète ?
Pour les familles nombreuses, on peut coller combien de photos

Les enfants grandissent et changent, les adultes aussi.
procédure de certification de l’immatriculation

Pourquoi ne pas nous innoculer une puce non plus, comme pour les chiens et les chats

Heuuuu qui va payer la photo ? Et il faudra se rendre en rang d'oignon à la secu pour que l'employé vérifie bien que c'est notre bobine ? Avec tous les enfants aussi ???
'tain, l'usine à gaz, si quelqu'un veut frauder, ça ne les empêchera pas.
On peut nous endormir avec la sécurité médicale, ça me rappelle il y a quelques années le fameux carnet médical qu'aucun médecin ne demande jamais ou même vérifie, pfffff
On va pouvoir se venger des indélicats
Les tarifs des médecins bientôt accessibles en ligne
Dès cet été, le site de la Sécurité sociale affichera les tarifs moyens pratiqués par les professionnels libéraux de santé. Le but : lutter contre les dépassements d'honoraires abusifs.
Plus de transparence sur les honoraires des médecins, c'est ce que souhaite la Sécurité sociale.
A partir du mois de juillet prochain, en principe, la Caisse nationale d'assurance maladie indiquera sur son site Internet, Ameli.fr, les tarifs moyens pratiqués par chaque praticien, de façon nominative, qu'il soit conventionné (secteur 1) ou non (secteur 2).
L'organisme souhaite surtout palier le défaut d'information des médecins libéraux du secteur 2 qui peuvent dépasser les honoraires et de fixer leurs propres tarifs, qu'ils doivent afficher dans leur salle d'attente. Mais dans les faits, cette obligation n'est que rarement respectée. La Direction générale de la concurrence de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) avait révélé en mai 2007 que la moitié des médecins libéraux inspectés s'affranchissaient de ce devoir.
En pratique, la Sécurité sociale indiquera sur Internet, comme elle le fait déjà au téléphone depuis 2007, la fourchette des honoraires des professionnels de santé. « En plus des honoraires des médecins, nous indiquerons les tarifs des soins pratiqués par les dentistes, puis, ceux des principaux actes techniques [chirurgie, NDRL] », indique t-on à la Cnam
Du côté du Conseil national de l'ordre des médecins, l'enthousiasme est mesuré. « Afficher les prix moyens des consultations et des soins sur Internet peut être une bonne chose, dans la mesure où cela évite au patient la démarche inconfortable de demander aux professionnels de santé leurs tarifs.
Nous regrettons toutefois que l'Assurance maladie ne précise pas le nombre d'actes effectués de manière gratuite, ni celui où aucun dépassement n'est facturé par le médecin », commente André Deseur, vice-président de la branche professionnelle de l'organisation.
13 % de Français ont déjà dû renoncer à des soins
Dès cet été, les patients devraient donc être mieux armés pour choisir leur médecin. Le Collectif inter-associatif sur la santé (Ciss) qui regroupe l'Union nationale des associations familiales et diverses associations de patients vient de tirer la sonnette d'alarme. Selon un sondage qu'il a effectué en septembre 2007, 13 % des Français ont déjà dû renoncer à des soins en raison du prix de la consultation chez un spécialiste.
Et pour cause les dépassements d'honoraires, qui ne sont pas remboursés par le Sécurité sociale, et plus ou moins par les mutuelles, explosent. Ils se seraient montés en 2006 à un total de 6 milliards d'euros dont 4 milliards rien que pour le secteur dentaire.
Le Ciss s'inquiète également d'une disparité de facturation à l'intérieur d'une même spécialité. Ainsi pour la moitié des chirurgiens du secteur 2, le taux de dépassement serait de 49 % maximum. Et 10 % d'entre eux pratiqueraient un dépassement de 229 % par rapport au tarif de la Sécurité sociale !
Le docteur André Deseur tempère : « En grande majorité, les dépassements d'honoraires sont effectués dans les limites du raisonnable. Dans de rares cas, ils peuvent être monstrueux. Ces professionnels abusifs s'exposent alors à des sanctions disciplinaires pouvant aller du simple avertissement à l'interdiction d'exercer ».
Un décret en cours d'examen au Conseil d'Etat va sanctionner le défaut d'information, mais aussi obliger les médecins à établir un devis pour tout acte supérieur à 80 euros. Mais l'Assurance maladie estime pour sa part ce seuil trop élevé.
La pression se fait de plus en plus forte sur les medecins qui estiment que « les dépassements d'honoraires proviennent en partie des tarifs de base de la Sécurité sociale. Le prix d'une consultation est le même que celui d'une coupe de cheveux ! »
source
La coupe de cheveux, n'importe quoi, d'ailleurs il y a plus de 8 ans que mes ciseaux s'en occupent !
Evidemment, si on a un spécialiste tous les 100 km, ça va être duraille, mais en ville, ce sera possible.
Par contre, notre indignité de CMUiste est indiqué sur la carte, donc avant paiement
Dès cet été, le site de la Sécurité sociale affichera les tarifs moyens pratiqués par les professionnels libéraux de santé. Le but : lutter contre les dépassements d'honoraires abusifs.
Plus de transparence sur les honoraires des médecins, c'est ce que souhaite la Sécurité sociale.
A partir du mois de juillet prochain, en principe, la Caisse nationale d'assurance maladie indiquera sur son site Internet, Ameli.fr, les tarifs moyens pratiqués par chaque praticien, de façon nominative, qu'il soit conventionné (secteur 1) ou non (secteur 2).
L'organisme souhaite surtout palier le défaut d'information des médecins libéraux du secteur 2 qui peuvent dépasser les honoraires et de fixer leurs propres tarifs, qu'ils doivent afficher dans leur salle d'attente. Mais dans les faits, cette obligation n'est que rarement respectée. La Direction générale de la concurrence de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) avait révélé en mai 2007 que la moitié des médecins libéraux inspectés s'affranchissaient de ce devoir.
En pratique, la Sécurité sociale indiquera sur Internet, comme elle le fait déjà au téléphone depuis 2007, la fourchette des honoraires des professionnels de santé. « En plus des honoraires des médecins, nous indiquerons les tarifs des soins pratiqués par les dentistes, puis, ceux des principaux actes techniques [chirurgie, NDRL] », indique t-on à la Cnam
Du côté du Conseil national de l'ordre des médecins, l'enthousiasme est mesuré. « Afficher les prix moyens des consultations et des soins sur Internet peut être une bonne chose, dans la mesure où cela évite au patient la démarche inconfortable de demander aux professionnels de santé leurs tarifs.
Nous regrettons toutefois que l'Assurance maladie ne précise pas le nombre d'actes effectués de manière gratuite, ni celui où aucun dépassement n'est facturé par le médecin », commente André Deseur, vice-président de la branche professionnelle de l'organisation.
13 % de Français ont déjà dû renoncer à des soins
Dès cet été, les patients devraient donc être mieux armés pour choisir leur médecin. Le Collectif inter-associatif sur la santé (Ciss) qui regroupe l'Union nationale des associations familiales et diverses associations de patients vient de tirer la sonnette d'alarme. Selon un sondage qu'il a effectué en septembre 2007, 13 % des Français ont déjà dû renoncer à des soins en raison du prix de la consultation chez un spécialiste.
Et pour cause les dépassements d'honoraires, qui ne sont pas remboursés par le Sécurité sociale, et plus ou moins par les mutuelles, explosent. Ils se seraient montés en 2006 à un total de 6 milliards d'euros dont 4 milliards rien que pour le secteur dentaire.
Le Ciss s'inquiète également d'une disparité de facturation à l'intérieur d'une même spécialité. Ainsi pour la moitié des chirurgiens du secteur 2, le taux de dépassement serait de 49 % maximum. Et 10 % d'entre eux pratiqueraient un dépassement de 229 % par rapport au tarif de la Sécurité sociale !
Le docteur André Deseur tempère : « En grande majorité, les dépassements d'honoraires sont effectués dans les limites du raisonnable. Dans de rares cas, ils peuvent être monstrueux. Ces professionnels abusifs s'exposent alors à des sanctions disciplinaires pouvant aller du simple avertissement à l'interdiction d'exercer ».
Un décret en cours d'examen au Conseil d'Etat va sanctionner le défaut d'information, mais aussi obliger les médecins à établir un devis pour tout acte supérieur à 80 euros. Mais l'Assurance maladie estime pour sa part ce seuil trop élevé.
La pression se fait de plus en plus forte sur les medecins qui estiment que « les dépassements d'honoraires proviennent en partie des tarifs de base de la Sécurité sociale. Le prix d'une consultation est le même que celui d'une coupe de cheveux ! »
source
La coupe de cheveux, n'importe quoi, d'ailleurs il y a plus de 8 ans que mes ciseaux s'en occupent !
Evidemment, si on a un spécialiste tous les 100 km, ça va être duraille, mais en ville, ce sera possible.
Par contre, notre indignité de CMUiste est indiqué sur la carte, donc avant paiement

Bonjour,
Pourquoi ne pas nous innoculer une puce non plus, comme pour les chiens et les chats
C'est prévu.
Cela existe.
Cela commence à être vendu.
Pour les nouveaux nés avec l'assentiment de leurs parents.
Le biais utilisé dans cette manipulation mentale est la peur de l'enlèvement.
En éclaireurs discrets, vous avez déjà les traceurs GPS pour les téléphones portables des enfants.
Pourquoi ne pas nous innoculer une puce non plus, comme pour les chiens et les chats
C'est prévu.
Cela existe.
Cela commence à être vendu.
Pour les nouveaux nés avec l'assentiment de leurs parents.
Le biais utilisé dans cette manipulation mentale est la peur de l'enlèvement.
En éclaireurs discrets, vous avez déjà les traceurs GPS pour les téléphones portables des enfants.
J'avais vu une famille américaine qui expérimentait le truc, et très fière d'elle en plus, sont fous ces Américains.Cela existe.
Cela commence à être vendu
Donc, en cas d'accident quand les flics ramassent les gens ou les pompiers on verra tout de suite si cela vaut la peine de réanimer ou pas, c'est ça ?Votre identité sera votre santé,
votre santé sera votre identité
Faudrait aussi qu'ils vérifient la solvabilité

Je désapprouve les portables pour enfants (déjà pour les grandsEn éclaireurs discrets, vous avez déjà les traceurs GPS pour les téléphones portables des enfants

Elle va être belle la vie

Bonjour,
Donc, en cas d'accident quand les flics ramassent les gens ou les pompiers on verra tout de suite si cela vaut la peine de réanimer ou pas, c'est ça ?
Non c'est pas ça !
On verra tout de suite
combien on peut le refourguer en pièce détachées.
Il est frais il est frais mon machabé. Garanti bonne santé 15 ans mutualisé 100 % attesté Carte Vittal.
Donc, en cas d'accident quand les flics ramassent les gens ou les pompiers on verra tout de suite si cela vaut la peine de réanimer ou pas, c'est ça ?
Non c'est pas ça !
On verra tout de suite
combien on peut le refourguer en pièce détachées.
Il est frais il est frais mon machabé. Garanti bonne santé 15 ans mutualisé 100 % attesté Carte Vittal.
En grande majorité, les dépassements d'honoraires sont effectués dans les limites du raisonnable. Dans de rares cas, ils peuvent être monstrueux. Ces professionnels abusifs s'exposent alors à des sanctions
J'ai connu l'époque " glorieuse" où l'on pratiquait plus souvent des " electrochocs" que des traitements medicamenteux, parce qu'ils rapportaient plus, idem pour les cesariennes, cela rapporte plus qu'un accouchement normal. A tel point que dans certains endroits ,la sécu y a mis son veto. Donc, il ne leur suffit pas de pratiquer le depassement d'honoraires, il surbooke le diagnostic et le tour est joué.
N'oublions pas, qu'il y a eu beaucoup de medecins à L'Assemblée Nationale, parmis nos deputés!
Bon, aujourd'hui, ce sont des avocats, ce qui explique peut_etre mieux le fichage par la carte vitale.
Quand à la réanimation, on réanime moins souvent les prématurés de chomeurs que les autres! C'est juste une question de cout de prix de journée d'un service de neo natalogie. La technicité coute cher et souvent pas pris en charge par la CMU.
Pourquoi ne pas nous innoculer une puce non plus, comme pour les chiens et les chats (quote)
L'experimentation est en route avec le bracelet electronique. Les prisonniers servent de " cobayes" , après ce sera le tour des chomeurs entre l'ANPE et le discount alimentaire,
" T"as mis ton bracelet pour reclamer tes prestations, eh, pas de prestations!"
J'ai connu l'époque " glorieuse" où l'on pratiquait plus souvent des " electrochocs" que des traitements medicamenteux, parce qu'ils rapportaient plus, idem pour les cesariennes, cela rapporte plus qu'un accouchement normal. A tel point que dans certains endroits ,la sécu y a mis son veto. Donc, il ne leur suffit pas de pratiquer le depassement d'honoraires, il surbooke le diagnostic et le tour est joué.
N'oublions pas, qu'il y a eu beaucoup de medecins à L'Assemblée Nationale, parmis nos deputés!
Bon, aujourd'hui, ce sont des avocats, ce qui explique peut_etre mieux le fichage par la carte vitale.
Quand à la réanimation, on réanime moins souvent les prématurés de chomeurs que les autres! C'est juste une question de cout de prix de journée d'un service de neo natalogie. La technicité coute cher et souvent pas pris en charge par la CMU.
Pourquoi ne pas nous innoculer une puce non plus, comme pour les chiens et les chats (quote)
L'experimentation est en route avec le bracelet electronique. Les prisonniers servent de " cobayes" , après ce sera le tour des chomeurs entre l'ANPE et le discount alimentaire,
" T"as mis ton bracelet pour reclamer tes prestations, eh, pas de prestations!"
Bonjour,
L\'Agence nationale des titres sécurisés (ANTS) a été créée par un décret du 22 février 2007. C'est un établissement public national à caractère administratif, placé sous la tutelle du ministre de l'Intérieur.
Souhaitée par Nicolas SARKOZY, alors Ministre de l\'Intérieur lors de sa venue dans les Ardennes le 18 décembre 2006, elle doit permettre un renforcement de la sécurisation électronique des titres (passeports, cartes d'identité, titres de séjour ), et lutter contre la fraude.
Source
La sécurisation des titres est la première mission de l'ANTS, elle doit être au cœur de la stratégie du conseil d'administration.
C'est une obligation majeure en matière d'ordre publique, de lutte contre le terrorisme et de suivi des flux migratoires.
... / ...
Utiliser la biométrie permet de traiter deux difficultés :
- empêcher, au moment de la création du titre, les identités multiples par la constitution d'une base de données centralisée.
- authentifier, à chaque présentation, le titre d'identité du porteur en vérifiant que ses données biométriques sont celles qui correspondent à celles stockées dans la carte au moment de sa création.
... / ...
C'est cette garantie de l'identité des personnes qui facilitera la liberté de circuler.
... / ...
L'agence, vous le savez, a vocation à traiter tous les titres sécurisés de l'Etat.
Mercredi dernier, le Président de la République l'a confirmé et a annoncé un premier train de mesures dans le cadre de la révision générale des politiques publiques ; les processus de délivrance des titres aux particuliers tient une place de choix dans ces réformes.
Source :
Intervention de Mme Michèle Alliot-Marie devant le conseil d'administration de l'Agence Nationale des Titres Sécurisés à Charleville-Mézières le lundi 17 décembre 2007
L\'Agence nationale des titres sécurisés (ANTS) a été créée par un décret du 22 février 2007. C'est un établissement public national à caractère administratif, placé sous la tutelle du ministre de l'Intérieur.
Souhaitée par Nicolas SARKOZY, alors Ministre de l\'Intérieur lors de sa venue dans les Ardennes le 18 décembre 2006, elle doit permettre un renforcement de la sécurisation électronique des titres (passeports, cartes d'identité, titres de séjour ), et lutter contre la fraude.
Source
La sécurisation des titres est la première mission de l'ANTS, elle doit être au cœur de la stratégie du conseil d'administration.
C'est une obligation majeure en matière d'ordre publique, de lutte contre le terrorisme et de suivi des flux migratoires.
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Utiliser la biométrie permet de traiter deux difficultés :
- empêcher, au moment de la création du titre, les identités multiples par la constitution d'une base de données centralisée.
- authentifier, à chaque présentation, le titre d'identité du porteur en vérifiant que ses données biométriques sont celles qui correspondent à celles stockées dans la carte au moment de sa création.
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C'est cette garantie de l'identité des personnes qui facilitera la liberté de circuler.
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L'agence, vous le savez, a vocation à traiter tous les titres sécurisés de l'Etat.
Mercredi dernier, le Président de la République l'a confirmé et a annoncé un premier train de mesures dans le cadre de la révision générale des politiques publiques ; les processus de délivrance des titres aux particuliers tient une place de choix dans ces réformes.
Source :
Intervention de Mme Michèle Alliot-Marie devant le conseil d'administration de l'Agence Nationale des Titres Sécurisés à Charleville-Mézières le lundi 17 décembre 2007