L'assistance des pauvres est à l'ordre du jour tout en critiquant et le rôle de l'assisté et le rôle de l'assistant suivant le bord politique qu'on choisit. Mais quand il s'agit de rendre autonomes ces mêmes personnes, là il n'y a plus personne ni aucune politique. (quote Jean Marc)
De toute façon, il n'y a pas que le probleme des communautés Emmaus!
Il y a aussi celui des centres d'hebergement. Dans les années 90, c'est à qui mieux mieux ouvrirait son centre d'hebergement. Après, peu importe qui encadrait, le but etant celui de toucher les subventions et de remplir au maximun. Ensuite est venu le temps des projets bidons, permettant à qui monterait une magouille avec la commune, du style recyclage des dechets ou nettoyage des poubelles, subventions de la commune qui elle , touchaient le pot de vin, en utilisant les " hebergés du centre d'hebergement" qui, eux payaient leur hebergement en travaillant gratos, pendant que le dit centre d'hebergement ,lui touchaient le prix de journée!
Les derives du social hélas, ne sont jamais controlées. Les Directeurs s'engraissent alleluia sur la misere de leurs hebergés, et, sous couvert de discours salvateurs de reinsertion sociale et d'autonomie du resident!
En realité le but est de les maintenir le plus possible dans la structure
pour la faire tourner et remplir le taux d'occupation à l'appui. Quand à l'accompagnement social, c'est un gros mot qu'il ne faut surtout pas prononcer!
Que peuvent bien faire ceux qui ont besoin d'un toit , d'un lit , et d'une soupe chaude!
De plus, la plupart des centres d'hebergement ne sont meme pas gerer par la loi d'equipement des structures medico sociales de 1975!
c'est jurer, demain si je gagne au loto, j'ouvres un centre d'hebergement pour les actuchomistes, et, je demande des subventions pour leur reinsertion sociale
