Bonjour,
Pour gagner de l'argent avec le chômage,
il suffit
d'investir dans des PME émergentes
qui échappaient jusqu'alors aux profits financiers.
Accessoirement, vous déduisez de l'ISF à hauteur de 75 %.
Simple (apparement) et
socialement responsable (parait-il) :
Achetez un chômeur et son kit emploi/allocation !
Souscrire au capital initial ou aux augmentations de capital de PME absentes d'un marché réglementé, et notamment au capital d’entreprises d’insertion, d’entreprises de travail temporaire d’insertion ou d’entreprises adaptées.
Gagner vraiment de l'argent avec le chômage
Vivivi, on nous reconnait enfin une utilité socialeAchetez un chômeur et son kit emploi/allocation !

Ce genre d'info devrait être relayée auprès des agents de l'ANPE, qui réfléchiraient peut-être à deux fois avant de nous obliger à accepter n'importe quel "stage de remotivation" ou autre débilité et qui eux ne doivent pas payer l'ISF.
Certains grands patrons vont continuer à licencier les gens et continuer à les retrouver dans les structures qu'ils auront eux-mêmes financés pour échapper à l'impôt et ils appellent cela "socialement responsable", pffff
Quand je pense que ces entreprises qui utilisent comme "matière première" du chômeur pour faire du profit participent à la croissance du PIB cela ne cesse de m'indigner du cynisme de ce système.
Il y a un gisement de chômeurs-matière-première encore largement inexploité, les érémistes non-inscrits à l'ANPE. Leur exploitation devrait constituer une manne pour ces entreprises.
Il y a un gisement de chômeurs-matière-première encore largement inexploité, les érémistes non-inscrits à l'ANPE. Leur exploitation devrait constituer une manne pour ces entreprises.
Certains grands patrons vont continuer à licencier les gens et continuer à les retrouver dans les structures qu'ils auront eux-mêmes financés pour échapper à l'impôt et ils appellent cela "socialement responsable", pffff
Ce principe était dejà utiliser dans le social à petite échelle, avec les entreprises d'insertion, avec les Centres d'aide par le travail, et idem , des ateliers de travail dans les prisons, appartenant a certaines PME. J'ai ainsi travaillé dans Un Centre d'hebergement et de Reinsertion Sociale qui appartenait en sous-traitance à St Gobain. Inutile de dire que la plupart des personnes étaient sous contrat Emploi Solidarité de L'epoque et que le gestionnaire percevait des subventions pour faire travailler les " hebergés".
Sans dire que je suis d'accord, parce que je suis assez rentré dans " le lard" de ce genre de structures, ce qui m'inquiètes, c'est que jusqu'à présent, a petite echelle, personne ne s'en inquiétait, et, que maintenant que cela prend une tournure mondialiste, on decouvre cette supercherie!
Ce principe était dejà utiliser dans le social à petite échelle, avec les entreprises d'insertion, avec les Centres d'aide par le travail, et idem , des ateliers de travail dans les prisons, appartenant a certaines PME. J'ai ainsi travaillé dans Un Centre d'hebergement et de Reinsertion Sociale qui appartenait en sous-traitance à St Gobain. Inutile de dire que la plupart des personnes étaient sous contrat Emploi Solidarité de L'epoque et que le gestionnaire percevait des subventions pour faire travailler les " hebergés".
Sans dire que je suis d'accord, parce que je suis assez rentré dans " le lard" de ce genre de structures, ce qui m'inquiètes, c'est que jusqu'à présent, a petite echelle, personne ne s'en inquiétait, et, que maintenant que cela prend une tournure mondialiste, on decouvre cette supercherie!
C'est bientôt chose faite !!!Tristesir a écrit :Il y a un gisement de chômeurs-matière-première encore largement inexploité, les érémistes non-inscrits à l'ANPE. Leur exploitation devrait constituer une manne pour ces entreprises.
Le capitalisme c'est aussi: vendre des cigarettes qui produisent des profits faramineux. Ces ventes alimentent le PIB et les ventes de médicaments, services pour soigner les gens malades d'avoir trop fumés, aussi. Gagnant sur tous les tableaux.
Tout est bon dans le chômeur. Maltraité, il sert d'exemple pour que les autres salariés tremblent et se soumettent aux exigences de plus en plus délirantes du patronat. En même temps, le chômeur est une matière première inépuisable pour faire des profits.
Tout est bon dans le chômeur. Maltraité, il sert d'exemple pour que les autres salariés tremblent et se soumettent aux exigences de plus en plus délirantes du patronat. En même temps, le chômeur est une matière première inépuisable pour faire des profits.