Propositions pour "protéger" le retour à l'emploi
Propositions pour "protéger" le retour à l'emploi
Après une longue période de chômage, le retour à l'emploi n'est pas gagné d'avance. En fait le plus dur est devant soi : conserver cet emploi alors que vous vivez des moments au quotidien très durs.
Voir sur ce site, nos propositions
http://www.lebleuetlerouge.net/RSA1.html
Faites nous savoir ce que vous en pensez !
Voir sur ce site, nos propositions
http://www.lebleuetlerouge.net/RSA1.html
Faites nous savoir ce que vous en pensez !
Bonjour,
Vous plaisantez je pense .... ??? .... Citation :
Alors, une première idée vient à l'esprit, pourquoi ne pas favoriser la création d'associations dont la vocation serait justement d'accompagner ce " retour à l'emploi ". Que l'on se comprenne bien, il ne s'agit pas d'envisager la nieme création d'associations oeuvrant pour retrouver un emploi à un chômeur, mais d'intervenir quand ce chômeur a retrouvé un emploi !
Les associations sont nombreuses et sont habilités pour oeuvrer dans un domaine précis.
Un chômeur sera accompagné dans sa recherche d'emploi mais un travailleur est un homme libre que la société ne prive pas d'emploi.
S'il faut continuer à se faire fliquer même quand on n'est pas victime, autant se faire tatouer le code barre tout de suite.
Cela n'empèche pas que des travailleurs soient bien dans la merde, beaucoup pour des problèmes de logement inaccessibles.
cela concerne les nombreuses associations traitant de l'aide à l'accès au logement (dont, donc, Don Quichotte).
mais pas l'emploi.
Ne pas tout mélanger SVP.
Je sais que la CAF est friante de la sexualité de ses allocataires,
.... mais quand même :
Quand je fais réparer ma bagnole,
le mec il touche pas à mon ordi et je trouve cela un peu normal !
Pas vous ?
Vous plaisantez je pense .... ??? .... Citation :
Alors, une première idée vient à l'esprit, pourquoi ne pas favoriser la création d'associations dont la vocation serait justement d'accompagner ce " retour à l'emploi ". Que l'on se comprenne bien, il ne s'agit pas d'envisager la nieme création d'associations oeuvrant pour retrouver un emploi à un chômeur, mais d'intervenir quand ce chômeur a retrouvé un emploi !
Les associations sont nombreuses et sont habilités pour oeuvrer dans un domaine précis.
Un chômeur sera accompagné dans sa recherche d'emploi mais un travailleur est un homme libre que la société ne prive pas d'emploi.
S'il faut continuer à se faire fliquer même quand on n'est pas victime, autant se faire tatouer le code barre tout de suite.
Cela n'empèche pas que des travailleurs soient bien dans la merde, beaucoup pour des problèmes de logement inaccessibles.
cela concerne les nombreuses associations traitant de l'aide à l'accès au logement (dont, donc, Don Quichotte).
mais pas l'emploi.
Ne pas tout mélanger SVP.
Je sais que la CAF est friante de la sexualité de ses allocataires,
.... mais quand même :
Quand je fais réparer ma bagnole,
le mec il touche pas à mon ordi et je trouve cela un peu normal !
Pas vous ?
Pour situer un peu, l'auteur de l'article posté en lien juste au dessus:
Jean Michel Béhar
Doctorat ès Lettres : "Philosophie" (Université de Paris X) :"Epistémologie des sciences huamaines ; le cas particulier des sciences économiques".(1976) - 3° cycle de Sciences Economiques et 3° cycle de Mathématiques Appliquées - Licence de Droit- Diplôme de l'Ecole Pratique des Hautes Etudes-Diplôme du C.O.E.S.T
Il a enseigné à l'Université de Paris X (Nanterre) et Paris I (Panthéon -Sorbonne). Ancien expert au VIIème Plan, et représentant de la France à l'OCDE (Action 33). Il fut économiste de "Haut Niveau" au MATELT. - Service des Affaires Economiques et Internationales. Il intervient au Conseil général des Hauts-de-Seine comme chargé de mission auprès du Délégué à l’enseignement supérieur et à la recherche et il participe au lancement des pôles de compétitivité en Ile de France au côté de M. Cédric Goubet, sous la direction de M.le Préfet Claude Guéant. Il est désormais chargé de Mission à l’innovation auprès du Délégué à l’Innovation.
Il a traduit plusieurs ouvrages scientifiques qui lui ont valu d'être désigné comme Lauréat du Centre National du Livre en 1993:
-On Management - Henry Mintzberg - (1990) ; The good society de J.K. Galbraith (1996) ; A Strategy For the ECU. - Ernst & Young et Commission des Communautés Européennes(1991) ; Scale and Scope - Alfred Chandler Jr - (1991-1993) 3 tomes
Il est l'auteur notamment aux éditions du Seuil du "Guide des grandes entreprises - Ces groupes qui font la France" et d'un "Dictionnaire de l'économie". Il a réalisé également plusieurs oeuvres multimédia culturelles.
Il s'est engagé dans la grande aventure de la Diagonale presque dès ses débuts et il est aujourd'hui membre du bureau de la Diagonale.
Et on peut lire sur le site de <<la Diagonale>>:
PARIS (AFP) - 28 novembre 2007 — L'ancien socialiste Jean-Marie Bockel a lancé mercredi La Gauche moderne, parti "social-libéral européen", présenté comme un "pilier de gauche" de la majorité et encouragé par l'UMP à favoriser l'"ouverture" dès les municipales de 2008.
"Nous serons une force de proposition avant d'être une force d'exigence ou de critique", a assuré le secrétaire d'Etat à la Coopération, devant un parterre de ministres et parlementaires de la majorité venus le soutenir au Sénat.
Rama Yade (UMP), André Santini (NC), Christian Estrosi (UMP), Alain Marleix (UMP), se sont succédé à la tribune pour saluer l'émergence de ce nouveau parti rassemblant anciens socialistes et "sarkozystes de gauche".
et en résumé:
La Diagonale Pour un sarkozysme de gauche
Sur le site de Jean Michel Béhar :
Les municipales 2008
Les municipales 2008 représentent un enjeu majeur pour la France. Elles interviennent presqu'un an après une élection présidentielle qui a mobilisé les Français.
Afin de représenter plus complétement cette campagne, nous tenterons de faire ici , une sorte d'édition "collector", pour reprendre un terme à la mode , en ce sens que nous allons essayer de rassembler tout un ensemble d'info, d'affiches, de liens, de déclarations qui permettra de garder soit un souvenir, soit une page d'Histoire, d'un moment décisif de la politique au niveau local dans notre pays.
Et suivent, des textes de discours de Mr Sarkozy et de Mr Devedjian.
Jean Michel Béhar
Doctorat ès Lettres : "Philosophie" (Université de Paris X) :"Epistémologie des sciences huamaines ; le cas particulier des sciences économiques".(1976) - 3° cycle de Sciences Economiques et 3° cycle de Mathématiques Appliquées - Licence de Droit- Diplôme de l'Ecole Pratique des Hautes Etudes-Diplôme du C.O.E.S.T
Il a enseigné à l'Université de Paris X (Nanterre) et Paris I (Panthéon -Sorbonne). Ancien expert au VIIème Plan, et représentant de la France à l'OCDE (Action 33). Il fut économiste de "Haut Niveau" au MATELT. - Service des Affaires Economiques et Internationales. Il intervient au Conseil général des Hauts-de-Seine comme chargé de mission auprès du Délégué à l’enseignement supérieur et à la recherche et il participe au lancement des pôles de compétitivité en Ile de France au côté de M. Cédric Goubet, sous la direction de M.le Préfet Claude Guéant. Il est désormais chargé de Mission à l’innovation auprès du Délégué à l’Innovation.
Il a traduit plusieurs ouvrages scientifiques qui lui ont valu d'être désigné comme Lauréat du Centre National du Livre en 1993:
-On Management - Henry Mintzberg - (1990) ; The good society de J.K. Galbraith (1996) ; A Strategy For the ECU. - Ernst & Young et Commission des Communautés Européennes(1991) ; Scale and Scope - Alfred Chandler Jr - (1991-1993) 3 tomes
Il est l'auteur notamment aux éditions du Seuil du "Guide des grandes entreprises - Ces groupes qui font la France" et d'un "Dictionnaire de l'économie". Il a réalisé également plusieurs oeuvres multimédia culturelles.
Il s'est engagé dans la grande aventure de la Diagonale presque dès ses débuts et il est aujourd'hui membre du bureau de la Diagonale.
Et on peut lire sur le site de <<la Diagonale>>:
PARIS (AFP) - 28 novembre 2007 — L'ancien socialiste Jean-Marie Bockel a lancé mercredi La Gauche moderne, parti "social-libéral européen", présenté comme un "pilier de gauche" de la majorité et encouragé par l'UMP à favoriser l'"ouverture" dès les municipales de 2008.
"Nous serons une force de proposition avant d'être une force d'exigence ou de critique", a assuré le secrétaire d'Etat à la Coopération, devant un parterre de ministres et parlementaires de la majorité venus le soutenir au Sénat.
Rama Yade (UMP), André Santini (NC), Christian Estrosi (UMP), Alain Marleix (UMP), se sont succédé à la tribune pour saluer l'émergence de ce nouveau parti rassemblant anciens socialistes et "sarkozystes de gauche".
et en résumé:
La Diagonale Pour un sarkozysme de gauche
Sur le site de Jean Michel Béhar :
Les municipales 2008
Les municipales 2008 représentent un enjeu majeur pour la France. Elles interviennent presqu'un an après une élection présidentielle qui a mobilisé les Français.
Afin de représenter plus complétement cette campagne, nous tenterons de faire ici , une sorte d'édition "collector", pour reprendre un terme à la mode , en ce sens que nous allons essayer de rassembler tout un ensemble d'info, d'affiches, de liens, de déclarations qui permettra de garder soit un souvenir, soit une page d'Histoire, d'un moment décisif de la politique au niveau local dans notre pays.
Et suivent, des textes de discours de Mr Sarkozy et de Mr Devedjian.
Je crois que les concernés, ce n'est pas d'un sous-emploi qu'ils veulent mais un vrai emploi qui leur permette de vivre comme tout le monde. Enfin, comme ceux qui ont un emploi décent, payent leur impôts et vivent décemment.une grande parie de la population française qui est concernée et qui est donc impatiente de voir se concrétiser ce qu 'elle appelle de ses vœux depuis si longtemps sans aucune réponse des pouvoirs publics.
Moi je n'appelle pas de mes voeux un sous-emploi à la personne qu'on va me forcer à occuper pour que je puisse gagner 500 euros les bons mois.
Maladresse?On ne peut pas ignorer qu'une personne qui a connu des années de chômages ou de RMI représente, en quelque sorte, un rescapé de la vie lorsqu'il revient plus ou moins " groggy " au contact de ceux qui ont une vie dite " normale ". Cela est un point totalement négligé dans notre beau pays où fleurissent les associations d'aides aux drogués, aux anciens délinquants, mais curieusement où rien n'existe pour " supporter " ceux qui sont revenu de l'enfer de la " non-vie ".
Des associations d'aide, il y en plein comme des associations d'aide aux accidentés de la route. Mais le choix s'est fixé sur assoc' d'aide aux drogués et assoc' d'anciens délinquants.
Je n'ai pas compris le propos de toute cette prose (qui est truffée de mesquineries où tout le monde s'en prend pour son grade. Je ne vois pas l'intérêt de ces "piques")
Ou plutôt, il me vient une affreuse idée: ces associations chargées du suivi des anciens érémistes revenus par l'opération du saint esprit dans le monde de l'emploi (un bon nombre de érémistes dont je suis travaillent déja légalement mais continuent d'être érémistes) auraient pour but de s'assurer que le vertueux érémiste (priez pour lui) irait bien au boulot pour gagner ses 500 euros par mois (les meilleurs mois seulement) à occuper son emploi dégradé? Une sorte de police sociale en quelque sorte?
Ou plutôt, il me vient une affreuse idée: ces associations chargées du suivi des anciens érémistes revenus par l'opération du saint esprit dans le monde de l'emploi (un bon nombre de érémistes dont je suis travaillent déja légalement mais continuent d'être érémistes) auraient pour but de s'assurer que le vertueux érémiste (priez pour lui) irait bien au boulot pour gagner ses 500 euros par mois (les meilleurs mois seulement) à occuper son emploi dégradé? Une sorte de police sociale en quelque sorte?
Ce qui me gêne dans ce texte
On constate que la plupart d'entre eux ne conserveront pas cet emploi plus de deux ans. On essaye de cerner ici les raisons de cette " rechute " et de réfléchir à des solutions pour l'éviter.
c'est le mot "rechute". Pourquoi "rechute" ? Un ex-RMIste n'est pas un alcoolique ou héroinomane. Si il est licencié, ce n'est pas une rechute, ça s'appelle un licenciement.
Si la personne démissionne, ça s'appelle une démission. Si le premier job après une période de RMI est merdique, pourquoi on n'aurait pas le droit de démissionner? Et si ma gueule ne revient pas au boss, qu'il me licencie - mais ce n'est pas une rechute.
On n'a pas besoin d'avoir été au RMI pour être licencié ou démissioner après 2 années de travail. Ça peut arriver à tout le monde.
On constate que la plupart d'entre eux ne conserveront pas cet emploi plus de deux ans. On essaye de cerner ici les raisons de cette " rechute " et de réfléchir à des solutions pour l'éviter.
c'est le mot "rechute". Pourquoi "rechute" ? Un ex-RMIste n'est pas un alcoolique ou héroinomane. Si il est licencié, ce n'est pas une rechute, ça s'appelle un licenciement.
Si la personne démissionne, ça s'appelle une démission. Si le premier job après une période de RMI est merdique, pourquoi on n'aurait pas le droit de démissionner? Et si ma gueule ne revient pas au boss, qu'il me licencie - mais ce n'est pas une rechute.
On n'a pas besoin d'avoir été au RMI pour être licencié ou démissioner après 2 années de travail. Ça peut arriver à tout le monde.
Bonjour,
Bein tiens y'est marrant le mec ....
L'autre
il est sur son RSA de merde depuis deux ans,
maintenu juste au dessus du seuil de pauvreté durant 730 jours,
et ça fait 104 fois qu'il demande :
"ANPE, ma soeur ANPE, ne vois tu rien venir ?"
Et elle qui lui réponds 104 fois :
- "hélas ma soeur, je ne vois que RSA qui poudroie
et facture qui croissa".
Et y'en a pour s'étonner qu'on soit pas, con trois ans de suite ...?
En fait c'est tout cerné son truc ...
Y'a qu'à filer un boulot et une paie convenable ...
Bein tiens y'est marrant le mec ....
L'autre
il est sur son RSA de merde depuis deux ans,
maintenu juste au dessus du seuil de pauvreté durant 730 jours,
et ça fait 104 fois qu'il demande :
"ANPE, ma soeur ANPE, ne vois tu rien venir ?"
Et elle qui lui réponds 104 fois :
- "hélas ma soeur, je ne vois que RSA qui poudroie
et facture qui croissa".
Et y'en a pour s'étonner qu'on soit pas, con trois ans de suite ...?
En fait c'est tout cerné son truc ...
Y'a qu'à filer un boulot et une paie convenable ...
Je n'ai pas lu beaucoup plus loin, mais je pense que le vocabulaire, le choix des mots révèle des choses. La "rechute" fait penser à une maladie ou un comportement issu d'une supposée faiblesse ou manque de volonté. Or, je ne suis pas d'accord que ce soit tout naturellement l'ex-RMIste ou le RMAste qui serait "madade" ou "défaillant" ou risque de l'être. Mais ce langage semble sous-entendre que ce soit le cas. Et si c'était le monde du travail, ce travail en particulier, les rapports au travail, les conditions du travail, les conditions de vie, la société, le regard que l'on porte sur les chômeurs et sur les RMIstes, qui serai(en)t malade(s) ?
(D'ailleurs, la démission d'un travail démotivant, la décision de ne plus subir des conditions de vie ou de travail qui font souffrir, sans savoir ce qu'il adviendra, peut être un acte sain et sensé.)
Pourquoi partir d'une hypothèse qui semble aller de soi, qui n'est même plus perçue comme étant une hypothèse mais comme un fait, et exclure, bannir d'autres hypothèses? L'élément "faible" est supposé être la personne qui n'a pas de travail, qui a perdu "son" travail ou qui lâche son nouveau travail. Ce serait à exclure absolument qu'il puisse y avoir d'autres éléments défaillants que la personne qui ne fait que subir les conséquences des conditions de vie dans ce pays, dans cette entreprise, sur ce marché de travail ? Et si nous faisons une autre approche, si nous avons une autre conception ? Nous nous permettons d'émettre d'autres hypothèses et de refuser celle qu'une grande partie de la société et le gouvernement veut nous imposer.
(D'ailleurs, la démission d'un travail démotivant, la décision de ne plus subir des conditions de vie ou de travail qui font souffrir, sans savoir ce qu'il adviendra, peut être un acte sain et sensé.)
Pourquoi partir d'une hypothèse qui semble aller de soi, qui n'est même plus perçue comme étant une hypothèse mais comme un fait, et exclure, bannir d'autres hypothèses? L'élément "faible" est supposé être la personne qui n'a pas de travail, qui a perdu "son" travail ou qui lâche son nouveau travail. Ce serait à exclure absolument qu'il puisse y avoir d'autres éléments défaillants que la personne qui ne fait que subir les conséquences des conditions de vie dans ce pays, dans cette entreprise, sur ce marché de travail ? Et si nous faisons une autre approche, si nous avons une autre conception ? Nous nous permettons d'émettre d'autres hypothèses et de refuser celle qu'une grande partie de la société et le gouvernement veut nous imposer.
Puisqu'ils veulent savoir ce que j'en pense, continuons l'explication de texte:
Pourquoi cette distinction?
Dans le département pour lequel l'auteur a travaillé (travaille) et probablement dans bon nombre d'autre départements, il me semble qu'il est courant qu'il y ait une clause dans le contrat d'insertion passé entre le département et le demandeur du RMI qui engage ce dernier à s'inscrire sur les listes de demandeurs d'emploi de l'ANPE.
Et plus loin j'ai noté une incohérence:
L'auteur commence par nous expliquer que l'emploi retrouvé par un érémiste sera moins bien que l'emploi qu'il pouvait avoir occupé précédemment:
Le SMIC à temps plein est autour de 1000 euros net sauf erreur. Mais obtenir un plein temps payé au SMIC est devenu presque un luxe. La reprise d'emploi se fera avec des emplois à temps partiels subis et le plus grave est que commencer à exercer ces emplois condamne le travailleur à ne plus pouvoir faire autre chose. Il y a un risque important que cela va devenir l'horizon professionnel indépassable de celui-ci.
S'il y avait des emplois nombreux pourquoi les gouvernements successifs ont mis en place des systèmes de contrats aidés à temps partiels?
Et encore plus grave, le RSA va consacrer l'existence d'un marché parallèle de l'emploi, avec des sous-emplois (parce qu'ils génèrent des temps partiels subis, la déqualification et des salaires plancher) qui va devenir une nasse dans laquelle vont se débattre des millions de travailleurs sans pouvoir jamais sortir de la précarité et avoir une vie décente.
Pourquoi cette distinction?
Un érémiste serait quelqu'un qui n'a jamais travaillé, qui n'est pas chômeur?Notre ancien Rmiste, ou chômeur de longue durée
Dans le département pour lequel l'auteur a travaillé (travaille) et probablement dans bon nombre d'autre départements, il me semble qu'il est courant qu'il y ait une clause dans le contrat d'insertion passé entre le département et le demandeur du RMI qui engage ce dernier à s'inscrire sur les listes de demandeurs d'emploi de l'ANPE.
Et plus loin j'ai noté une incohérence:
L'auteur commence par nous expliquer que l'emploi retrouvé par un érémiste sera moins bien que l'emploi qu'il pouvait avoir occupé précédemment:
Et plus loin, il mentionne les problèmes de surendettement, qui sont effectivement un problème, on est bien d'accord:Mieux, dans la plupart des cas, ils ne retrouveront jamais une situation équivalente à celle qu'ils ont perdue.
Un érémiste qui retrouve un emploi à 1500 euros par mois ne doit pas être très représentatif.On ne devient pas Rmiste, ou chômeurs de longue durée, sans perdre pratiquement tous ses biens, et sans avoir fait quelques dettes hors de proportion avec ses nouveaux revenus. Comment peut-on rembourser les dettes de celui qui gagner 5000 euros par mois, lorsqu'on se retrouve avec un revenu de 1500 euros par mois.
Le SMIC à temps plein est autour de 1000 euros net sauf erreur. Mais obtenir un plein temps payé au SMIC est devenu presque un luxe. La reprise d'emploi se fera avec des emplois à temps partiels subis et le plus grave est que commencer à exercer ces emplois condamne le travailleur à ne plus pouvoir faire autre chose. Il y a un risque important que cela va devenir l'horizon professionnel indépassable de celui-ci.
S'il y avait des emplois nombreux pourquoi les gouvernements successifs ont mis en place des systèmes de contrats aidés à temps partiels?
Et encore plus grave, le RSA va consacrer l'existence d'un marché parallèle de l'emploi, avec des sous-emplois (parce qu'ils génèrent des temps partiels subis, la déqualification et des salaires plancher) qui va devenir une nasse dans laquelle vont se débattre des millions de travailleurs sans pouvoir jamais sortir de la précarité et avoir une vie décente.
L'autre
il est sur son RSA de merde depuis deux ans,
maintenu juste au dessus du seuil de pauvreté durant 730 jours,
et ça fait 104 fois qu'il demande :
"ANPE, ma soeur ANPE, ne vois tu rien venir ?"
Et elle qui lui réponds 104 fois :
- "hélas ma soeur, je ne vois que RSA qui poudroie
et facture qui croissa". (quote St Dumortier)
Justement, je suis dans un departement qui experimente le rsa, et, Anne ma soeur Anne n'a rien vu venir, ni au niveau des entrprises, ( la derniere usine est en train de demenager ses machines en chine)ni au niveau des individus;
On ne peut pas ignorer qu'une personne qui a connu des années de chômages ou de RMI représente, en quelque sorte, un rescapé de la vie lorsqu'il revient plus ou moins " groggy " au contact de ceux qui ont une vie dite " normale ". Cela est un point totalement négligé dans notre beau pays où fleurissent les associations d'aides aux drogués, aux anciens délinquants, mais curieusement où rien n'existe pour " supporter " ceux qui sont revenu de l'enfer de la " non-vie ".(quote Triste sir)
Par contre, j'ai aussi vu le demenagement du social et sa quasi disparition.
Donc, ce matin, j'ai vu sous ma fenetre un jeune dans la trentaine , fouiller dans les poubelles , et hier après midi, sur un pont en plein centre ville un sdf dormir en plein milieu et des gamines en train de rire.
Apres les avoir eng.... j'ai appelé le 115 et oh surprise , je tombe sur la police!
Pourqu'oi, parce qu'il n'y a plus de places d'hebergement!
Voilà la politique sociale!Pour sortir de la pauvreté!
Mais la question qui me préoccupe dans ce post est:
Si nous ne sommes pas employable, parce que discrimine , par l'age, par absence de formation, par éloignement du marché du travail, par absence de créations d'emplois,
NOUS N'ENTRERONS PAS DANS LE DISPOSITIF RSA! ( la preuve, malgré l'expérimentation, ici, il n'y a pas encore de cobayes)
Alors que deviendrons nous?
que feront_ils des gens inemployables comme nous?Dans quelle catégorie nous classerons t-ils, pour un peu qu'il reste encore des catégories. L'ASS est appelée à disparaitre et en suivant le RMI.
Mon tour pour aller fouiller dans les poubelles un dimanche matin, arrive-t_il?
Tiens, j'entends les cloches sonner pour la messe,! Je vais aller chercher mon chapeau pour mendier!
il est sur son RSA de merde depuis deux ans,
maintenu juste au dessus du seuil de pauvreté durant 730 jours,
et ça fait 104 fois qu'il demande :
"ANPE, ma soeur ANPE, ne vois tu rien venir ?"
Et elle qui lui réponds 104 fois :
- "hélas ma soeur, je ne vois que RSA qui poudroie
et facture qui croissa". (quote St Dumortier)
Justement, je suis dans un departement qui experimente le rsa, et, Anne ma soeur Anne n'a rien vu venir, ni au niveau des entrprises, ( la derniere usine est en train de demenager ses machines en chine)ni au niveau des individus;
On ne peut pas ignorer qu'une personne qui a connu des années de chômages ou de RMI représente, en quelque sorte, un rescapé de la vie lorsqu'il revient plus ou moins " groggy " au contact de ceux qui ont une vie dite " normale ". Cela est un point totalement négligé dans notre beau pays où fleurissent les associations d'aides aux drogués, aux anciens délinquants, mais curieusement où rien n'existe pour " supporter " ceux qui sont revenu de l'enfer de la " non-vie ".(quote Triste sir)
Par contre, j'ai aussi vu le demenagement du social et sa quasi disparition.
Donc, ce matin, j'ai vu sous ma fenetre un jeune dans la trentaine , fouiller dans les poubelles , et hier après midi, sur un pont en plein centre ville un sdf dormir en plein milieu et des gamines en train de rire.
Apres les avoir eng.... j'ai appelé le 115 et oh surprise , je tombe sur la police!
Pourqu'oi, parce qu'il n'y a plus de places d'hebergement!
Voilà la politique sociale!Pour sortir de la pauvreté!
Mais la question qui me préoccupe dans ce post est:
Si nous ne sommes pas employable, parce que discrimine , par l'age, par absence de formation, par éloignement du marché du travail, par absence de créations d'emplois,
NOUS N'ENTRERONS PAS DANS LE DISPOSITIF RSA! ( la preuve, malgré l'expérimentation, ici, il n'y a pas encore de cobayes)
Alors que deviendrons nous?
que feront_ils des gens inemployables comme nous?Dans quelle catégorie nous classerons t-ils, pour un peu qu'il reste encore des catégories. L'ASS est appelée à disparaitre et en suivant le RMI.
Mon tour pour aller fouiller dans les poubelles un dimanche matin, arrive-t_il?
Tiens, j'entends les cloches sonner pour la messe,! Je vais aller chercher mon chapeau pour mendier!

L'article veut dire que l'on a une tres grande probabilité de rechercher du travail apres une une période travaillée pour un RMIste ... parce qu'un RMIste tombe rarement direct sur un CDI. Déjà, lorsqu'il reprends un travail, c'est rare qu'on lui fasse confiance spontanémént dont CDD, intérim souvent en Contrat d'insertion pour des demande ponctuelle. Perso, dans le milieu pro, j'ai vu des anciens Rmistes faire le meme travail que moi avec un diplome équivalent au mien .... mais pour un SMIC alors que de mon coté je touchais presque 1500 euros. Le pretexte est que "l'on ne peux pas donner plus à des personnes en insertion qui ont plus souvent des pannes de reveil le matin et qui confondent jours de la semaine et week ends.". J'ai aussi entendu une RH dire que pour insérer un ancien Rmiste dans le monde "normal" il faut 2 à 3 ans et de nombreuses périodes de formation (confiance en soi, relooking, nouvel environnement de travail). J'ai aussi entendu qu'un Rmiste n'est pas forcément débile [ variantes :associal, caractériel, alcoolique ], mais qu'il a une forte probabilité de l'etre.
Moi je suis pour le RSA, à la condition d'une prise en compte des ressources humaines et financières du RMIste. Et surtout, qu'il ai droit à une véritable formation en adhéquation entre ses compétences et ses souhaits. Pas forcément son métier révé, mais au moins un travail qui lui convienne. Nous ne pourront pas tous les rendre maçons, agents d'entretien, employés de grande distribution ou assistant(e)s de vie.
Moi je suis pour le RSA, à la condition d'une prise en compte des ressources humaines et financières du RMIste. Et surtout, qu'il ai droit à une véritable formation en adhéquation entre ses compétences et ses souhaits. Pas forcément son métier révé, mais au moins un travail qui lui convienne. Nous ne pourront pas tous les rendre maçons, agents d'entretien, employés de grande distribution ou assistant(e)s de vie.