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ce qui me ft peur si on lit la loi c'est que ds 8 mois - j'ai plus de rmi
Je ne le pense pas.
Moi je pense qu'au bout d'un an (c'est à dire pour vous en Janvier prochain) votre RMI sera amputé de la totalité de votre salaire vous donnant l'impression de travailler pour des clous.
Mais l'année prochaine, en janvier, il se peut que le RSA change totalement la donne.
oui 130 euros net - oui je peux courir le risque que l'année prochaine le rsa y fasse qq chose de + positif - ms boff, je ne m'épanouis pas et j'y vs en reculant et ce me barbe, avoir le sentiment d'etre un larbin, ça a du mal à passer
et pour rajouter l'incompétence de ces services - ils m'ont demandé ma dernière fiche de paye et en retour j'ai reçu - vs travaillez + de 78 h vous pouvez prétendre à la prime pour l'emploi - alors que la fiche de salaire indique bien 10 h d'emploi...
merci pour vos conseils à tous - mais qd j'entends ce matin à france info, que se soulève le problème du financement du RSA... ns ne sommes pas sortis de l'auberge.
ils m'ont demandé ma dernière fiche de paye et en retour j'ai reçu - vs travaillez + de 78 h vous pouvez prétendre à la prime pour l'emploi - alors que la fiche de salaire indique bien 10 h d'emploi...
Il y a quelques années, j'avais fait un remplacement de quelques semaines, et ils ont trouvé le moyen de m'enlever 10 jours de congés payés ! donc de carence.
Depuis ce jour, je souligne en rouge, je surligne au truc fluo tout ce qui est important, particulièrement sur la fiche de paie : en gros en rouge le n° d'allocataire et le nombre d'heures travaillées avec les dates.
Cela parait bête, mais ça marche ou ils le font expres
Situation difficile que beaucoup de personnes connaissent.
Je me suis aperçu que pour un emploi de 30 h hebdo payé au smic soit 800 € nets + prime sur CA global équivalente à environ 100 euros par mois je percevrai en travaillant à 3/4 temps à peine 75 € de plus que mes assedics actuels (qui courent encore 8 mois) et pourtant je préférais travailler plutôt que rester sans rien faire et me morfondre dans l'attente d'un emploi (où je serai exploité sans nul doute mais ou je conserverai la fierté de me battre et de ne rien devoir à personne).
Je préférais travailler plutôt que rester sans rien faire...
Ne pas travailler (enfin, ne pas «avoir un emploi» même débile et sous-payé) ne signifie pas qu'on ne fait rien ! Le point commun de tous ceux qui tiennent ce raisonnement et préfèrent, par conséquent, aller se faire exploiter, c'est qu'ils n'ont pas appris à faire quelque chose en dehors de l'«emploi», ou qu'ils estiment que ce qu'ils font en dehors de l'«emploi» n'a aucune valeur. C'est dommage...
Superuser a raison : serenity tt comme moi : si ns continuons à accepter des emplois ds lesquels ns sommes exploités (horaire, cadence, salaire )tant qu'il y aura des gens comme ns - les offres proliféreront car il ya tjrs des "idiots" pour accepter et ces "idiots" font du tort aux autres.
Moi je bosse, pas parceque je veux travailler : mais parceque je peux nourrir et soigner mes animaux, c'est pour eux que je le fais - ms je ne suis pas trop perdante : simplement 40 euros que je perds sur mon rmi mais j'ai 90 euros de plus par mois.J'ai refusé 2 postes sur biarritz pour bosser à l'anpe - le principe : mi temps et salaire en dessous de la grille tarifaire syndicale - je ne suis pas formateur au 1er échelon - j'ai 20 ans d'expérience
c'est qu'ils n'ont pas appris à faire quelque chose en dehors de l'«emploi», ou qu'ils estiment que ce qu'ils font en dehors de l'«emploi» n'a aucune valeur. C'est dommage...
Et après on va nous raconter que les enseignants sont tous de dangereux gauchistes qui prônent des idées révolutionnaires.
S'ils sont marxistes ils approuvent aussi ce dogme, c'est bien pour cela que les syndicats et le patronat peuvent se retrouver sur des points précis.
Aucun ne remet en cause la croissance économique qui est considérée comme la solution à tout.
Mais la croissance, si on met de côté la finitude des ressources de notre planète, c'est aussi l'accroissement de l'exploitation des êtres humains.
(Cette croissance résulte bien souvent de gains de productivité, c'est à dire l'intensification du travail et de son cortège de souffrances physiques et morales pour les salariés qui subissent cette intensification)
