POLITIQUE
-
lobozo
Re: POLITIQUE
On connaissait le fantasme du RSAiste fraudeur qui roule en grosse berline, Le Parisien rajoute le jihadisme... 
hum, j'aurais peut-être intérêt à me raser ma barbe finalement 
hum, j'aurais peut-être intérêt à me raser ma barbe finalement
http://www.leparisien.fr/faits-divers/t ... 921758.phpToulouse : Un bien étrange train de vie
Officiellement, Mohamed Merah, 23 ans, est sans activité professionelle. Il est inscrit à Pôle emploi. Ses seuls revenus sont une allocation de revenu de solidarité active réservée aux jeunes. Il touche environ 500 € par mois car il a été apprenti en carrosserie pendant un an, avant d’être licencié et de reprendre une autre formation chez un second patron pour une durée de dix-huit mois.
Mais depuis le 23 octobre 2008, au lendemain de sa libération après un vol à l’arraché, il n’affiche plus aucune activité. Et pourtant le jeune jihadiste mène bon train. Cet écart entre ses ressources réelles et son quotidien a de quoi surprendre. Le tueur au scooter avait notamment l’habitude de louer des berlines au mois dans les services de location des différents concessionnaires automobiles de la région.
-
RaoulPiconBière
Re: POLITIQUE
un voisin a écrit :« je n'arrive pas à comprendre ce qui s'est passé. Pour moi, ça ne se passe qu'à la télé », lâche-t-elle, très nerveuse,
(Source)
La télé, des fois, ce serait pour de vrai ?
Re: POLITIQUE
Ce que l'on sait du patrimoine des candidats à la présidentielle
Diaporama => http://lexpansion.lexpress.fr/economie/ ... 89023.html
Très intéressant...
Diaporama => http://lexpansion.lexpress.fr/economie/ ... 89023.html
Très intéressant...
-
maguy
Re: POLITIQUE
Arf ! la bonne question !Un président doit-il être cultivé ?
Il a essayé de se faire injecter de la culture sous intraveineuse, à défaut d’infra-cérébreuse , mais c'est le premier président de la Vè à être si inculte, a-culturé et même culturophobe, tellement il hait ceux qui pensent par eux-mêmes plutôt que par les jt par lui inspirés ou imposés.
Pathétique ! Honte par rapport aux étrangers
Il fut un temps, il y a plus de 100 ans mais pas beaucoup plus, où le français représentait le siècle des lumières, les penseurs, les philosophes, où toutes les cours étrangères parlaient français avant même leur langue maternelle. L'anglais était réservé, avec quelque mépris aux marchands.
Certains s'y croient encore. Non seulement, l'anglais et le marchand ont triomphé, mais notre belle langue, notre culture sont carrément salies par ce triste personnage qui ne possède et ne représente rien que son inculture et sa vulgarité.
Quel exemple !
-
maguy
Re: POLITIQUE
Je n'ai peut-être pas la sensibilité de tout le monde car j'ai longtemps vécu à l'étranger, avec le poids que cela comporte = être française et parisienne (j'ai pas choisi).
Je portais sur mes frêles (à l'époque) épaules le poids d'être française parmi quelque mille collègues. Même un match de foot devenait histoire de nations (et je me fous du foot) quand j'arrivais au bureau le lendemain. Ben, oui, c'est comme ça. On accepte (ou on se marre) ou on reste chez soi.
J'ai vraiment la honte, viscérale. Même mes potes allemands n'osent plus me poser de questions
Je n'ai pas honte d'être française, j'ai honte que certains se disent français !
Je portais sur mes frêles (à l'époque) épaules le poids d'être française parmi quelque mille collègues. Même un match de foot devenait histoire de nations (et je me fous du foot) quand j'arrivais au bureau le lendemain. Ben, oui, c'est comme ça. On accepte (ou on se marre) ou on reste chez soi.
J'ai vraiment la honte, viscérale. Même mes potes allemands n'osent plus me poser de questions
Je n'ai pas honte d'être française, j'ai honte que certains se disent français !
-
RaoulPiconBière
Re: POLITIQUE
Midilibre a écrit :reconnaître la maîtrise de Nicolas Sarkozy pour ce qui concerne les terminologies rares
Pourtant, "Casse toi pauv'con" ,
c'est vachetement rare que ça terminologique dans la maîtrise.
-
maguy
Un zoli conte !
Moi, j'aime bien
Vu sur Mediapart
"Il était une fois un souverain fort sot et mal léché qui n’aimait rien tant que ripailler avec sa gentilhommerie et faire la giguedouille en assemblée. Sentant venir sa déchéance prochaine, il fit mander le Grand Chambellan ainsi que les fidèles conseillers et courtisans obséquieux de son ost, et leur tint à peu près ce langage.
- Je vous ai réuni en notre castel car d’aucuns me disent que notre peuple, ce ramassis d’imbéciles couards et crédules, ne m’aime plus, ne croit plus en moi et ne songe qu’à me détrôner. Que me faut-il donc faire pour échapper à cette disgrâce ?
- Sauf votre respect, Sire, il suffirait d’effrayer le maraud afin qu’il réclame bons soins et sainte protection de votre majesté. Pour ce faire, il suffirait de laisser courir le bruit que des hordes sarrasines escaladent déjà les fortifications de votre bon royaume, risqua le Grand Chambellan, chacal le plus matois de sa garde rapprochée.
- Que nenni, la roture ne songe qu’à bonne pitance, aumône fieffée et autres doulceurs émollientes de la fête, du rire et de la fraternité. Il ne se laissera pas prendre à aussi grossières manœuvres et balivernes, répondit le monarque plein de courroux.
- J’ai une autre idée, dit alors le chef de la garde prétorienne, un mien espion m’a rapporté que de lugubres individus préparent en secret arquebuses, échelles et trébuchets en leur gourbi des confins du royaume. Il suffirait de les assaillir et de les occire de la belle manière.
- Il n’en est pas question. Il est trop tôt. La chose est trop lointaine. Attendons plutôt que ma campagne de chasse commence. Si le sort est avec nous peut-être passeront-ils à l’acte. La glèbe en concevra une telle haine qu’un bon spectacle d’exécution publique la ravira et la précipitera sous la coupe bienveillante de son souverain. Rien de tel pour séduire rustres et manants ; rien de tel non plus pour fidéliser le vilain et lui redonner la fierté d’appartenir à ce qu’il croit être une identité. Nous, mes hommes et mes chiens sommes fin prêts pour la démonstration de force et de bravoure que notre peuple attend avec si haute ferveur.
- Fort bien ! Fort bien ! Quelle habile manœuvre pour envoûter la populace, s’écrièrent aussitôt en chœur les courtisans.
Le temps qui tant s’allonge passa donc sur les fêtes carillonnées du royaume, jusqu’à ce que d’infâmes assassins, encouragés par l’apparente niaiserie du roi, commettent force crimes et vilénies. Le roi put ainsi pourfendre les buveurs de sang dont il connaissait la tanière depuis des lustres, les estriller et rallier ainsi à lui les suffrages des manants éperdus de reconnaissance.
(Il est tellement évident que toute ressemblance entre ce récit et des faits ou personnages réels serait purement fortuite qu’il n’est point besoin de le préciser. Ceci est un conte de l’époque obscurantiste. Rien à voir avec nos temps modernes.)"
Vu sur Mediapart
"Il était une fois un souverain fort sot et mal léché qui n’aimait rien tant que ripailler avec sa gentilhommerie et faire la giguedouille en assemblée. Sentant venir sa déchéance prochaine, il fit mander le Grand Chambellan ainsi que les fidèles conseillers et courtisans obséquieux de son ost, et leur tint à peu près ce langage.
- Je vous ai réuni en notre castel car d’aucuns me disent que notre peuple, ce ramassis d’imbéciles couards et crédules, ne m’aime plus, ne croit plus en moi et ne songe qu’à me détrôner. Que me faut-il donc faire pour échapper à cette disgrâce ?
- Sauf votre respect, Sire, il suffirait d’effrayer le maraud afin qu’il réclame bons soins et sainte protection de votre majesté. Pour ce faire, il suffirait de laisser courir le bruit que des hordes sarrasines escaladent déjà les fortifications de votre bon royaume, risqua le Grand Chambellan, chacal le plus matois de sa garde rapprochée.
- Que nenni, la roture ne songe qu’à bonne pitance, aumône fieffée et autres doulceurs émollientes de la fête, du rire et de la fraternité. Il ne se laissera pas prendre à aussi grossières manœuvres et balivernes, répondit le monarque plein de courroux.
- J’ai une autre idée, dit alors le chef de la garde prétorienne, un mien espion m’a rapporté que de lugubres individus préparent en secret arquebuses, échelles et trébuchets en leur gourbi des confins du royaume. Il suffirait de les assaillir et de les occire de la belle manière.
- Il n’en est pas question. Il est trop tôt. La chose est trop lointaine. Attendons plutôt que ma campagne de chasse commence. Si le sort est avec nous peut-être passeront-ils à l’acte. La glèbe en concevra une telle haine qu’un bon spectacle d’exécution publique la ravira et la précipitera sous la coupe bienveillante de son souverain. Rien de tel pour séduire rustres et manants ; rien de tel non plus pour fidéliser le vilain et lui redonner la fierté d’appartenir à ce qu’il croit être une identité. Nous, mes hommes et mes chiens sommes fin prêts pour la démonstration de force et de bravoure que notre peuple attend avec si haute ferveur.
- Fort bien ! Fort bien ! Quelle habile manœuvre pour envoûter la populace, s’écrièrent aussitôt en chœur les courtisans.
Le temps qui tant s’allonge passa donc sur les fêtes carillonnées du royaume, jusqu’à ce que d’infâmes assassins, encouragés par l’apparente niaiserie du roi, commettent force crimes et vilénies. Le roi put ainsi pourfendre les buveurs de sang dont il connaissait la tanière depuis des lustres, les estriller et rallier ainsi à lui les suffrages des manants éperdus de reconnaissance.
(Il est tellement évident que toute ressemblance entre ce récit et des faits ou personnages réels serait purement fortuite qu’il n’est point besoin de le préciser. Ceci est un conte de l’époque obscurantiste. Rien à voir avec nos temps modernes.)"
-
Invité
Re: POLITIQUE
Ha ça ira...Laurence Parisot a remarqué que certains des manifestants pro-Mélenchon lors d'un récent rassemblement à la Bastille brandissaient des piques.
Elle a raison d'avoir peur de ne plus être du côté du manche.
Re: POLITIQUE
La pauvre... (je rigole pas, je l'aime bien)
-
tristesir
Re: POLITIQUE
Il y a quelques mois je l'avais vue qui sortait d'un grand café de ce même quartier à Montparnasse.
Elle n'est pas chanceuse, sa chute dans les sondages se double maintenant d'une vraie chute. Un acte manqué?
Elle n'est pas chanceuse, sa chute dans les sondages se double maintenant d'une vraie chute. Un acte manqué?
Re: POLITIQUE
Être de droite, c’est avoir peur
L’anthropologue Emmanuel Terray, qui signe «Penser à droite», a enquêté sur la tribu dont les valeurs triomphent depuis plus de 30 ans :
http://www.rue89.com/rue89-presidentiel ... eur-230692
L’anthropologue Emmanuel Terray, qui signe «Penser à droite», a enquêté sur la tribu dont les valeurs triomphent depuis plus de 30 ans :
http://www.rue89.com/rue89-presidentiel ... eur-230692