Bonjour à tous, je voulais vous dire qu'à 54 ans et après 16 mois de chomage j'ai enfin retrouvé un boulot. Il s'agit d'un cdd de 6 mois suivi d'un cdi si c'est concluant. Il faut dire que c'était mon 3e entretien en 16 mois et que j'y suis allée sans grand espoir, car j'ai réellement constaté la discrimination due à l'âge. Je crois que c'est mon expérience et ma disponibilité (pas d'enfants à charge) qui a fait la différence. Comme quoi il ne faut jamais perdre espoir. C'est arrivé à un moment où je commençais vraiment à désespérer et à ne plus y croire. Alors mon message à vous tous c'est que vous devez gardez espoir.
Je viendrais régulièrement sur votre site où j'ai trouvé plein de bons renseignements durant tous ces mois difficiles. Merci à tous.
J'ai trouvé un boulot...
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maguy
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surprise
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maguy
Surprise en a parlé dans ce file
En tout cas cela fait très plaisir, elle doit y être aujourd'hui : une pensée pour elle et on croise les doigts
En tout cas cela fait très plaisir, elle doit y être aujourd'hui : une pensée pour elle et on croise les doigts
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surprise
Je vous avais promis de vous donner de mes nouvelles. Voilà 4 semaines que je travaille et à plusieurs reprises et encore aujourd'hui j'étais en train de me demander si je n'allais pas tout arrêter. Je suis arrivée dans un service où la personne que je remplace est partie début décembre et donc depuis beaucoup de retard a été accumulé. On n'a pas le temps de me montrer correctement le travail, tout se fait à la va vite, les deux autres personnes sensées me former étant elles même complètement débordée. La hiérarchie ne veut pas renforcer l'équipe (deux personnes sont parties du service fin de l'année dernière) car il y a eu baisse du CA.
Je m'interroge donc si j'ai bien envie de rester et de continuer à travailler dans ces conditions. Vais-je tenir physiquement et nerveusement face à une telle pression ? je n'ai probablement plus la même énergie que j'avais il y a qq années. Quelle est la solution la plus sage. Je suis encore en mois d'essai. Je peux aussi m'arrêter à la fin de mon CDD fin juillet et ne pas signer le CDI s'ils me le proposent. Question : dans ce cas je retrouve mes assedics (droits restants d'environ 20 mois) ?
Je vais mettre le WE à profit pour analyser la situation. Mais tout arrêter et me retrouver à l'anpe m'inquiète aussi. Alors que faire.
Je vous remercie de m'avoir lue et vous souhaite un bon WE
Je m'interroge donc si j'ai bien envie de rester et de continuer à travailler dans ces conditions. Vais-je tenir physiquement et nerveusement face à une telle pression ? je n'ai probablement plus la même énergie que j'avais il y a qq années. Quelle est la solution la plus sage. Je suis encore en mois d'essai. Je peux aussi m'arrêter à la fin de mon CDD fin juillet et ne pas signer le CDI s'ils me le proposent. Question : dans ce cas je retrouve mes assedics (droits restants d'environ 20 mois) ?
Je vais mettre le WE à profit pour analyser la situation. Mais tout arrêter et me retrouver à l'anpe m'inquiète aussi. Alors que faire.
Je vous remercie de m'avoir lue et vous souhaite un bon WE
Donnez vous du temps
Ne prenez pas de décision dans la précipitation.
Si j'ai bien compris, votre "reprise d'activité" salariée est récente.
Quand on commence une nouvelle activité - et plus encore après une période de chômage - c'est souvent la galère : nouveaux collègues, nouvelles méthodes de travail, nouvelles pressions et contraintes…
Puis, on s'habitue si les choses ne sont pas trop éprouvantes à vivre.
Comptez quand même deux mois d'adaptation.
Si vous en avez la force, allez jusqu'à la fin de votre CDD, vous aurez alors tous les éléments en main pour juger de l'intérêt ou non de signer un CDI par la suite.
Pour la rupture d'une période d'essai, il vaut mieux vous "arranger" avec votre employeur pour qu'il en assume la responsabilité (ce sera plus simple pour retrouver vos droits à l'assurance-chômage).
L'idéal étant d'obtenir de sa part un courrier mettant fin à la période d'essai pour une raison "subjective" : "divergences de vues et/ou d'appréciation sur la manière d'exercer la mission confiée".
Rien de plus, ça suffit.
Mais je vous conseille quand même de patienter un peu.
Beaucoup de personnes ont vécu ce que vous vivez actuellement. Puis, les choses finissent quand même par s'arranger.
Pas toujours, c'est vrai, mais vous - GROS AVANTAGE - vous êtes en CDD jusqu'en juillet.
Yves - Un animateur du site
Si la période d'essai n'est pas concluante et/ou en fin de CDD, vous êtes reprise en ARE.
Si j'ai bien compris, votre "reprise d'activité" salariée est récente.
Quand on commence une nouvelle activité - et plus encore après une période de chômage - c'est souvent la galère : nouveaux collègues, nouvelles méthodes de travail, nouvelles pressions et contraintes…
Puis, on s'habitue si les choses ne sont pas trop éprouvantes à vivre.
Comptez quand même deux mois d'adaptation.
Si vous en avez la force, allez jusqu'à la fin de votre CDD, vous aurez alors tous les éléments en main pour juger de l'intérêt ou non de signer un CDI par la suite.
Pour la rupture d'une période d'essai, il vaut mieux vous "arranger" avec votre employeur pour qu'il en assume la responsabilité (ce sera plus simple pour retrouver vos droits à l'assurance-chômage).
L'idéal étant d'obtenir de sa part un courrier mettant fin à la période d'essai pour une raison "subjective" : "divergences de vues et/ou d'appréciation sur la manière d'exercer la mission confiée".
Rien de plus, ça suffit.
Mais je vous conseille quand même de patienter un peu.
Beaucoup de personnes ont vécu ce que vous vivez actuellement. Puis, les choses finissent quand même par s'arranger.
Pas toujours, c'est vrai, mais vous - GROS AVANTAGE - vous êtes en CDD jusqu'en juillet.
Yves - Un animateur du site
Si la période d'essai n'est pas concluante et/ou en fin de CDD, vous êtes reprise en ARE.
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Mallo
Laissez-vous encore quelques temps pour vous habituer à tout ...
Rebosser, ce n'est pas si simple qu'on peut le croire ... Il faut se réhabituer à tellement de choses ... Entre des collègues qu'on ne connait pas, un poste qu'on ne connait pas, une entreprise, etc ...
C'est loin d'être facile d'avoir ce genre de pression à nouveau ...
Rebosser, ce n'est pas si simple qu'on peut le croire ... Il faut se réhabituer à tellement de choses ... Entre des collègues qu'on ne connait pas, un poste qu'on ne connait pas, une entreprise, etc ...
C'est loin d'être facile d'avoir ce genre de pression à nouveau ...
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MarionB
Même remarque que les autres.
Laisse du temps passer. Tu es en CDD. Si dans 6 mois c'est toujours la galère, tu pourras partir sans avoir l'impression d'avoir abandonner. Tu ne seras pas dans l'obligation de démissionner, tu ne poiroteras pas 3 mois sans allocations, et en plus tu rallonges tes droits, ce qui n'est pas négligeables.
Dans tout mes boulots, les premiers mois ont été horribles, je n'avais qu'une envie : faire semblant d'aller aux toilettes pour me barrer discrètement (qui n'y a pas déjà pensé ?
), retrouver ma liberté.
Mais les choses vont en s'arrangeant. On développe des relations avec ses collègues, on intègre les méthodes de la boîte, donc on est plus "rapide" et plus à l'aise.
Courage, tu vas prendre le rythme.
Et de toute manière, un travail est un travail, pas une partie de plaisir, donc, a priori, il y aura toujours plein de trucs désagréables (attention, il y a quand même une limite).
De plus, les conditions que tu décris sont monnaies courantes : sous-effectif, absence de formation et de temps d'adaptation. Je crois que c'est partout pareil. Même s'il y a et mieux et pire.
Courage, chercher un emploi et dur, ne pas en avoir est dur, en avoir un est dur. Bref, on est mal barré.
Mais on garde le sourire ,
aller, une petite formation pour vous remonter le moral ?
Bon, d'accord, je sort.
Laisse du temps passer. Tu es en CDD. Si dans 6 mois c'est toujours la galère, tu pourras partir sans avoir l'impression d'avoir abandonner. Tu ne seras pas dans l'obligation de démissionner, tu ne poiroteras pas 3 mois sans allocations, et en plus tu rallonges tes droits, ce qui n'est pas négligeables.
Dans tout mes boulots, les premiers mois ont été horribles, je n'avais qu'une envie : faire semblant d'aller aux toilettes pour me barrer discrètement (qui n'y a pas déjà pensé ?
), retrouver ma liberté. Mais les choses vont en s'arrangeant. On développe des relations avec ses collègues, on intègre les méthodes de la boîte, donc on est plus "rapide" et plus à l'aise.
Courage, tu vas prendre le rythme.
Et de toute manière, un travail est un travail, pas une partie de plaisir, donc, a priori, il y aura toujours plein de trucs désagréables (attention, il y a quand même une limite).
De plus, les conditions que tu décris sont monnaies courantes : sous-effectif, absence de formation et de temps d'adaptation. Je crois que c'est partout pareil. Même s'il y a et mieux et pire.
Courage, chercher un emploi et dur, ne pas en avoir est dur, en avoir un est dur. Bref, on est mal barré.
Mais on garde le sourire
, aller, une petite formation pour vous remonter le moral ?
Bon, d'accord, je sort.
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maguy
J'espère que Surprise va mieux.
Le plus dur dans les CDD sont les très courts, 1 ou 2 semaines, où on est sensé tout apprendre par osmose, là on peut se sentir très nul
Bon, m'en fiche je ne m'investis plus dans une boite plus que nécessaire, fini ce temps, je fais le minimum syndical !
On avait surtout signalé à Surprise que le fait d'interrompre un CDD pouvait coûter très très cher
Alors, on serre les dents et le reste, on arrive, on part et on touche son chèque et ciao bonsoir
Le plus dur dans les CDD sont les très courts, 1 ou 2 semaines, où on est sensé tout apprendre par osmose, là on peut se sentir très nul
Bon, m'en fiche je ne m'investis plus dans une boite plus que nécessaire, fini ce temps, je fais le minimum syndical !
On avait surtout signalé à Surprise que le fait d'interrompre un CDD pouvait coûter très très cher
Alors, on serre les dents et le reste, on arrive, on part et on touche son chèque et ciao bonsoir
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surprise
Il y a deux semaines, lors d'un mauvais démarrage un lundi matin à 8h30 je leur ai dit que j'allais arrêter à la fin du CDD. Autant dire qu'après ça ils étaient bien réveillés, étaient un peu surpris, je leur ai expliqué que travailler de cette manière ne me convenait pas, et que par ailleurs, assistante de direction est bien plus intéressant qu'ass. ciale, poste où on prend des coups de tous les côtés. Je n'ai pas parlé du manque de formation, ni d'autres choses qui m'avaient poussées à cette décision car il faut tenir jusqu'en juillet et ils ne perdent rien pour attendre. Du coup ils ont déjà publié une annonce pour ma remplaçante, suis curieuse de voir comment ça se passera avec elle.
Quant au quotidien, au fil des jours on apprend des choses et on devient plus performante et plus rapide. Mais je n'ai aucun regret car je ne me voyais pas faire ce boulot sur le long terme. Je vois le côté positif, j'aurai à nouveau bossé 6 mois, donc plus facile après pour retrouver un autre poste, même en intérim ou CDD, ça ne me dérange pas, j'alternerai avec des périodes de chômage, et ça pourra peut-être ressembler à une retraite progressive... on verra, l'avenir nous le dira.
Depuis je vais beaucoup mieux, comme quoi il faut toujours dire les choses, et quand on ne se sent pas bien dans un boulot il ne faut pas persister. Je sais que c'est très dur de recommencer, mais j'ai bossé toute ma vie et à présent j'ai repris le rythme. Ce qui me fatigue le plus c'est les conditions de travail : bruit, chaleur excessive (28°), vieux bâtiment, pas d'oxygène, mauvais siège donc mal au dos, etc. et rajouter à cela un stress énorme de toutes part.
J'ai engagé également une VAE et je vais faire une formation pour Powerpoint et Access, et comme je suis trilingue je pense que je trouverai du boulot intéressant et assez bien payé, et comme dit même en intérim ou CDD.
Je vous tiendrai au courant
Merci pour votre soutien
Quant au quotidien, au fil des jours on apprend des choses et on devient plus performante et plus rapide. Mais je n'ai aucun regret car je ne me voyais pas faire ce boulot sur le long terme. Je vois le côté positif, j'aurai à nouveau bossé 6 mois, donc plus facile après pour retrouver un autre poste, même en intérim ou CDD, ça ne me dérange pas, j'alternerai avec des périodes de chômage, et ça pourra peut-être ressembler à une retraite progressive... on verra, l'avenir nous le dira.
Depuis je vais beaucoup mieux, comme quoi il faut toujours dire les choses, et quand on ne se sent pas bien dans un boulot il ne faut pas persister. Je sais que c'est très dur de recommencer, mais j'ai bossé toute ma vie et à présent j'ai repris le rythme. Ce qui me fatigue le plus c'est les conditions de travail : bruit, chaleur excessive (28°), vieux bâtiment, pas d'oxygène, mauvais siège donc mal au dos, etc. et rajouter à cela un stress énorme de toutes part.
J'ai engagé également une VAE et je vais faire une formation pour Powerpoint et Access, et comme je suis trilingue je pense que je trouverai du boulot intéressant et assez bien payé, et comme dit même en intérim ou CDD.
Je vous tiendrai au courant
Merci pour votre soutien
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surprise
bonsoir à tous,
J'avais promis de revenir régulièrement vous donner de mes nouvelles. Par rapport à mon message de mi-mars les choses n'ont guère évoluées, toujours autant de stress dû au sous-effectif, conditions de travail désastreuses, bref aucune amélioration. Je suis donc convaincue d'avoir pris la bonne décision qui est de ne pas accepter de CDI. Ma remplaçante est enfin arrivée le 19 mai (recrutée en CDI) Ils ont été obligés de faire un second recrutement car une première personne sélectionnée fin mars s'est désistée ! d'où cette arrivée tardive. Il me reste à présent à tenir encore deux mois, en principe jusqu'à fin juillet, mais comme en ce moment ils n'accordent pas de RTT, il va falloir tout prendre à la fin, ce qui me fera certainement arrêter juste après le 14 juillet.
Autre bonne nouvelle j'ai passé avec succès une VAE assistante de direction (2 personnes sur 6 ont été reçues) je vais donc pouvoir mentionner un niveau BTS sur mon CV. Mon objectif est maintenant d'obtenir de l'anpe une formation ACCESS pour être polyvalente et pour faire de l'intérim. Et puis on verra par la suite.
Dernière remarque : vous m'avez tous encouragés à essayer de continuer lorsque tout allait mal et je vous en remercie. Effectivement c'est extrèmement difficile de se remettre au travail après une longue interruption et à présent j'ai repris le rythme, mais je confirme il faut environ 3 mois pour se réhabituer.
A bientôt
J'avais promis de revenir régulièrement vous donner de mes nouvelles. Par rapport à mon message de mi-mars les choses n'ont guère évoluées, toujours autant de stress dû au sous-effectif, conditions de travail désastreuses, bref aucune amélioration. Je suis donc convaincue d'avoir pris la bonne décision qui est de ne pas accepter de CDI. Ma remplaçante est enfin arrivée le 19 mai (recrutée en CDI) Ils ont été obligés de faire un second recrutement car une première personne sélectionnée fin mars s'est désistée ! d'où cette arrivée tardive. Il me reste à présent à tenir encore deux mois, en principe jusqu'à fin juillet, mais comme en ce moment ils n'accordent pas de RTT, il va falloir tout prendre à la fin, ce qui me fera certainement arrêter juste après le 14 juillet.
Autre bonne nouvelle j'ai passé avec succès une VAE assistante de direction (2 personnes sur 6 ont été reçues) je vais donc pouvoir mentionner un niveau BTS sur mon CV. Mon objectif est maintenant d'obtenir de l'anpe une formation ACCESS pour être polyvalente et pour faire de l'intérim. Et puis on verra par la suite.
Dernière remarque : vous m'avez tous encouragés à essayer de continuer lorsque tout allait mal et je vous en remercie. Effectivement c'est extrèmement difficile de se remettre au travail après une longue interruption et à présent j'ai repris le rythme, mais je confirme il faut environ 3 mois pour se réhabituer.
A bientôt
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