Obtenir un emploi, un droit opposable ?
J'ai demandé de quelles manieres on pourrait developper le truc depuis nos lointaines et très arriérées provinces féodales.
On a dejà du mal à venir à l'Assemblée Générale d'actuchomage.
Mais si une souscription peut se mettre en place, ou si on peut organiser petitions, demande de rencontres avec les elus, blocage économique ou grève de la faim de tous les seniors de france, je veux bien participer , mais après qu'on m'est coupée le cou , la semaine prochaine ( je me fait opérer, je vais vous foutre la paix sur les forums quelque temps...)
On a dejà du mal à venir à l'Assemblée Générale d'actuchomage.
Mais si une souscription peut se mettre en place, ou si on peut organiser petitions, demande de rencontres avec les elus, blocage économique ou grève de la faim de tous les seniors de france, je veux bien participer , mais après qu'on m'est coupée le cou , la semaine prochaine ( je me fait opérer, je vais vous foutre la paix sur les forums quelque temps...)
Je repose la question
Têtue comme un breton !
Bertrand Xavier, hier soir dans l’émission de Chabot a réaffirmé qu’il n’était pas question de revenir sur l’âge légal de la retraite et que la priorité est l’emploi des + 50ans (voir le détail dans l’article en Actu d’Actuchomage)
Doit-on croire à sa sincérité ? question posée dans l’introduction de l’article de Sophie…
L’autre question que je me pose : Pouvons-nous faire en sorte que sa parole devienne un acte ?
Au regard de ce discours, je fais le lien entre les deux propositions d’actions soumises par
Gérard
et
Yves
, et je me demande si nous n’avons-nous pas là une occasion à saisir pour nous faire entendre et prendre collectivement part dans ce qui nous concerne ici? En tout les cas d’essayer de le faire?
rajout suite au post ci dessous de Yves et de Romain
Ok, ça marche pour moi
Bertrand Xavier, hier soir dans l’émission de Chabot a réaffirmé qu’il n’était pas question de revenir sur l’âge légal de la retraite et que la priorité est l’emploi des + 50ans (voir le détail dans l’article en Actu d’Actuchomage)
Doit-on croire à sa sincérité ? question posée dans l’introduction de l’article de Sophie…
L’autre question que je me pose : Pouvons-nous faire en sorte que sa parole devienne un acte ?
Au regard de ce discours, je fais le lien entre les deux propositions d’actions soumises par
Gérard
et
Yves
, et je me demande si nous n’avons-nous pas là une occasion à saisir pour nous faire entendre et prendre collectivement part dans ce qui nous concerne ici? En tout les cas d’essayer de le faire?

Ok, ça marche pour moi

Dernière modification par Pili le 15 févr. 2008, modifié 1 fois.
Incapacité d'agir et réagir
Aujourd'hui, nous sommes dans l'incapacité de mener une "action" collective digne de ce nom dans nos domaines.
Il est étonnant (et quelque peu affligeant) de constater que notre capacité de "réaction" est moindre qu'elle ne l'était il y a trois ans.
Pourtant, en trois ans, nous avons acquis une "certaine" légitimité, une certaine "reconnaissance" et un vrai "savoir-faire".
Fut un temps où, au travers de nos forums, nous pouvions envisager de "mener bataille", décision qui allait se traduire dans les faits, à l’instar des 4 procès que nous avons gagnés en 2007.
Aujourd'hui, alors que nous sommes de plus en plus nombreux (nous avons quadruplé notre audience et doublé le nombre de nos adhérents entre 2005 et 2008), nous ne pouvons envisager la moindre mobilisation collective, et j'entends par "collective" une action portée par 4, 5 ou 6 personnes.
Ceci est un vrai sujet d'interrogation… et même de préoccupation. Il l'est d'autant plus que les personnes qui réactivent et alimentent cette file de discussions - notamment Pili et moi - ne sont pas ou plus directement concernées, puisqu'elles sont "en activité". Quant à certains autres, comme Vincent (Mentor) et Gérard, ils étaient déjà très engagés dans nos précédentes actions (puisque ce sont eux qui ont porté nos plaintes contre les discriminations à l'embauche et gagné les 4 procès évoqués plus haut).
Quels enseignements devons-nous tirer de cette "désaffection" ?
1) La proposition (consistant à la reconnaissance juridique du "droit à obtenir un emploi") est-elle à ce point "mauvaise" ou "absurde" qu'elle ne mérite même pas d'être discutée ?
2) Les forums ne seraient-ils, en définitive, que des espaces "d'exorcisation" des tensions, mais pas de "construction" d'actions ?
3) Nos ami-e-s et camarades ont-ils encore la force de se mobiliser ?
Ou un peu des trois à la fois ?
Ici, nous avons milité pour faire entendre la voix des chômeurs et des précaires et nous y sommes par moments parvenus.
Aujourd'hui - notamment depuis l'élection de Nicolas Sarkozy, et alors qu'aucun problème n'a été réglé - nous brillons par notre absence.
Ainsi, portons-nous une responsabilité collective…
Nous nous contenterons donc d'un "service minimum"… en attendant une période plus propice.
Yves - Un animateur du site
Il est étonnant (et quelque peu affligeant) de constater que notre capacité de "réaction" est moindre qu'elle ne l'était il y a trois ans.
Pourtant, en trois ans, nous avons acquis une "certaine" légitimité, une certaine "reconnaissance" et un vrai "savoir-faire".
Fut un temps où, au travers de nos forums, nous pouvions envisager de "mener bataille", décision qui allait se traduire dans les faits, à l’instar des 4 procès que nous avons gagnés en 2007.
Aujourd'hui, alors que nous sommes de plus en plus nombreux (nous avons quadruplé notre audience et doublé le nombre de nos adhérents entre 2005 et 2008), nous ne pouvons envisager la moindre mobilisation collective, et j'entends par "collective" une action portée par 4, 5 ou 6 personnes.
Ceci est un vrai sujet d'interrogation… et même de préoccupation. Il l'est d'autant plus que les personnes qui réactivent et alimentent cette file de discussions - notamment Pili et moi - ne sont pas ou plus directement concernées, puisqu'elles sont "en activité". Quant à certains autres, comme Vincent (Mentor) et Gérard, ils étaient déjà très engagés dans nos précédentes actions (puisque ce sont eux qui ont porté nos plaintes contre les discriminations à l'embauche et gagné les 4 procès évoqués plus haut).
Quels enseignements devons-nous tirer de cette "désaffection" ?
1) La proposition (consistant à la reconnaissance juridique du "droit à obtenir un emploi") est-elle à ce point "mauvaise" ou "absurde" qu'elle ne mérite même pas d'être discutée ?
2) Les forums ne seraient-ils, en définitive, que des espaces "d'exorcisation" des tensions, mais pas de "construction" d'actions ?
3) Nos ami-e-s et camarades ont-ils encore la force de se mobiliser ?
Ou un peu des trois à la fois ?
Ici, nous avons milité pour faire entendre la voix des chômeurs et des précaires et nous y sommes par moments parvenus.
Aujourd'hui - notamment depuis l'élection de Nicolas Sarkozy, et alors qu'aucun problème n'a été réglé - nous brillons par notre absence.
Ainsi, portons-nous une responsabilité collective…
Nous nous contenterons donc d'un "service minimum"… en attendant une période plus propice.
Yves - Un animateur du site
Cyril nous écrit
Alors que je rédigeais ma précédente intervention, Cyril m'adressait le mail reproduit ci-dessous (drôle de coïncidence, puisqu'il s'agit du premier que je reçois depuis l'ouverture de cette file de discussions).
Bonjour,
Je viens de voir vos revendications, et vos intentions de lutte pour le droit au travail. Je serais pret a temoigner et a lutter avec vous, pour le droit des chomeurs d'acceder a un emploi et une formation.
J'ai 31 ans, je suis RMIste, en recherche d'emploi ou de formation, j'en connais un sacré rayon en la matiere pour avoir affectué bon nombre de demarches.
Ce combat de tous les jours me tient particulierement a coeur. Et je veux lutter a vos cotés, vaincre, contre ce que je considère l'inadmissible dans notre société.
Aussi je vous fait un copié/coller des reactions que j'ai laissé sur actu chomage (dans la rubrique "recrutement").
1er message:
Merci pour ce lien Pili.
Moi je serai pret a temoigner et a me battre, car j'ai des arguments a charge, plus qu'il n'en faut meme. Je me sens fort, sur de moi, je sens que la balle est dans notre camp, et que les employeurs n'auront a retorquer...que des aneries pour se defendre!
Je crois que les employeurs/organismes de formation francais confondent la selection et la discrimination: pour leur info, je leur rappelle que la dicrimination est un element qui exclue d'office un candidat a participer a une selection...
Moi j'irai meme plus loin dans mes demarches: je porterai plainte contre les organismes de formation francais! l'AFPA, le GRETA et le CNAM qui pratiquent la discrimination envers l'age, la situation sociale et l'experience professionnelle acquises.
Pour avoir essayé d'integrer ces 3 organismes de formation, en vain, je sais de quoi je parle. Je suis sur de mon coup.
Par contre, je reside en region PACA. Et mon boulot de patron ne me laisse guere de temps a vous accorder... Je rigole, je suis RMIste, mais en recherche active d'emploi.
Aussi je suppose que vous etes concentrés sur Paris, et que toutes vos actions se derouleront la bas?
2eme message:
Oupsss j'ai oublié de citer comme organisme de formation le CESI, organisme de formation que connaissent bien les informaticiens, qui pratique la discrimination envers l'age. Uniquement les moins de 26 ans SVP, alors que certaines de leurs formations sont aussi ouvertes aux adultes en contrat de professionalisation...
Mais il en existe bien d'autres comme ca des organismes de formation, auxquels j'ai eu affaire. Je vous cite que les plus connus.
Yen a il suffit juste de preciser qu'on est beneficiare du RMI et ca fait l'effet d'une bombe: "non non on prends pas", repondent t'ils d'un air affolé.
Je voudrai aussi me plaindre de la maniere dont est gerée le PRF et le financement des formations, au bon vouloir de ces monsieurs dames.
Je leur rappelle juste, que personne, non personne, n'a le droit de decider pour vous si vous pouvez ou pas, integrer une formation, sur des criteres vraiment tres flous de surcroit... J'exige la transparence quand a la maniere dont fonctionnent la region, la CAF, l'ANPE, et leur facon d'orienter les chomeurs, souvent a l'encontre de leur propre volonté!
Je sais, ca fait beaucoup, mais le jour ou la france filera dans le droit chemin, seulement la, on pourra parler d'integration et de baisse reelle du chomage.
Bonjour,
Je viens de voir vos revendications, et vos intentions de lutte pour le droit au travail. Je serais pret a temoigner et a lutter avec vous, pour le droit des chomeurs d'acceder a un emploi et une formation.
J'ai 31 ans, je suis RMIste, en recherche d'emploi ou de formation, j'en connais un sacré rayon en la matiere pour avoir affectué bon nombre de demarches.
Ce combat de tous les jours me tient particulierement a coeur. Et je veux lutter a vos cotés, vaincre, contre ce que je considère l'inadmissible dans notre société.
Aussi je vous fait un copié/coller des reactions que j'ai laissé sur actu chomage (dans la rubrique "recrutement").
1er message:
Merci pour ce lien Pili.
Moi je serai pret a temoigner et a me battre, car j'ai des arguments a charge, plus qu'il n'en faut meme. Je me sens fort, sur de moi, je sens que la balle est dans notre camp, et que les employeurs n'auront a retorquer...que des aneries pour se defendre!
Je crois que les employeurs/organismes de formation francais confondent la selection et la discrimination: pour leur info, je leur rappelle que la dicrimination est un element qui exclue d'office un candidat a participer a une selection...
Moi j'irai meme plus loin dans mes demarches: je porterai plainte contre les organismes de formation francais! l'AFPA, le GRETA et le CNAM qui pratiquent la discrimination envers l'age, la situation sociale et l'experience professionnelle acquises.
Pour avoir essayé d'integrer ces 3 organismes de formation, en vain, je sais de quoi je parle. Je suis sur de mon coup.
Par contre, je reside en region PACA. Et mon boulot de patron ne me laisse guere de temps a vous accorder... Je rigole, je suis RMIste, mais en recherche active d'emploi.
Aussi je suppose que vous etes concentrés sur Paris, et que toutes vos actions se derouleront la bas?
2eme message:
Oupsss j'ai oublié de citer comme organisme de formation le CESI, organisme de formation que connaissent bien les informaticiens, qui pratique la discrimination envers l'age. Uniquement les moins de 26 ans SVP, alors que certaines de leurs formations sont aussi ouvertes aux adultes en contrat de professionalisation...
Mais il en existe bien d'autres comme ca des organismes de formation, auxquels j'ai eu affaire. Je vous cite que les plus connus.
Yen a il suffit juste de preciser qu'on est beneficiare du RMI et ca fait l'effet d'une bombe: "non non on prends pas", repondent t'ils d'un air affolé.
Je voudrai aussi me plaindre de la maniere dont est gerée le PRF et le financement des formations, au bon vouloir de ces monsieurs dames.
Je leur rappelle juste, que personne, non personne, n'a le droit de decider pour vous si vous pouvez ou pas, integrer une formation, sur des criteres vraiment tres flous de surcroit... J'exige la transparence quand a la maniere dont fonctionnent la region, la CAF, l'ANPE, et leur facon d'orienter les chomeurs, souvent a l'encontre de leur propre volonté!
Je sais, ca fait beaucoup, mais le jour ou la france filera dans le droit chemin, seulement la, on pourra parler d'integration et de baisse reelle du chomage.
PILI, tu as posté à deux endroits, je ne m'y retrouve pas, je reponds 2 fois.
question est de savoir comment le faire? avant les municipales ou après? Devons nous y associer, s'il s'agit d'une plainte nationale des associations comme l'APEIS, AC , le MNCP, la Ligue des droits de L'Homme, et j'en passe.
S'ASSOCIERONT-elles à nous? On a tous connu les divergences entre associations pendant les mouvements de chomeurs?
Maintenant c'est aussi peut -etre un bon moyen de faire repartir les mouvement de chomeurs qui sont complètement sonnés.
Une plainte sur la non application de la constitution permettrait à la fois une action collective et individuelle, si chacun s'engage, parce les gens sont épuisées des actions traditionnelles de type pétitions , grève de la faim, médias et tuti quanti.
Reste aussi à savoir si un avocat pourrait accepter une action de ce type, en multipliant les aides juridictionnelles?
J'avais commencé une plainte en Conseil d'etat en 1998, par rapport à la non revalorisation du rmi, mais la cgt s'est invité au dessert.
_________________
question est de savoir comment le faire? avant les municipales ou après? Devons nous y associer, s'il s'agit d'une plainte nationale des associations comme l'APEIS, AC , le MNCP, la Ligue des droits de L'Homme, et j'en passe.
S'ASSOCIERONT-elles à nous? On a tous connu les divergences entre associations pendant les mouvements de chomeurs?
Maintenant c'est aussi peut -etre un bon moyen de faire repartir les mouvement de chomeurs qui sont complètement sonnés.
Une plainte sur la non application de la constitution permettrait à la fois une action collective et individuelle, si chacun s'engage, parce les gens sont épuisées des actions traditionnelles de type pétitions , grève de la faim, médias et tuti quanti.
Reste aussi à savoir si un avocat pourrait accepter une action de ce type, en multipliant les aides juridictionnelles?
J'avais commencé une plainte en Conseil d'etat en 1998, par rapport à la non revalorisation du rmi, mais la cgt s'est invité au dessert.
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La distance géographique n'est pas un problème
La distance géographique n'est pas un problème. La démarche envisagée consisterait à réunir un nombre "significatif" de chômeurs et précaires revendiquant le "droit d'obtenir un emploi" tel qu'il est prévu dans l'alinéa 5 du Préambule de la Constitution.
À cette revendication peut - bien évidemment et fort logiquement - se greffer celle d'obtenir une formation digne de ce nom (ce qui correspond au témoignage de Cyril).
Mais une telle démarche est inenvisageable à deux, trois ou quatre personnes.
Le seul moyen de la crédibiliser est de réunir un nombre de chômeurs/précaires qui pourraient être les "ambassadeurs" de cette revendication dans les grandes régions de France. Une vingtaine serait l'idéal.
Mais si nous arrivions déjà à être une dizaine à vouloir mener (tenter) cette bataille, ce serait déjà une première étape.
Alors, comptons nos forces : Cyril, Romain, Gérard, Vincent… Qui d'autre ?
Pili et Yves pour la coordination (puisque, "salariés" nous ne pouvons porter la revendication "d'obtenir un emploi" ou une formation).
Yves
À cette revendication peut - bien évidemment et fort logiquement - se greffer celle d'obtenir une formation digne de ce nom (ce qui correspond au témoignage de Cyril).
Mais une telle démarche est inenvisageable à deux, trois ou quatre personnes.
Le seul moyen de la crédibiliser est de réunir un nombre de chômeurs/précaires qui pourraient être les "ambassadeurs" de cette revendication dans les grandes régions de France. Une vingtaine serait l'idéal.
Mais si nous arrivions déjà à être une dizaine à vouloir mener (tenter) cette bataille, ce serait déjà une première étape.
Alors, comptons nos forces : Cyril, Romain, Gérard, Vincent… Qui d'autre ?
Pili et Yves pour la coordination (puisque, "salariés" nous ne pouvons porter la revendication "d'obtenir un emploi" ou une formation).
Yves
Pour répondre à Romain
Nous pourrons en effet réunir autour de notre action les collectifs et associations de chômeurs intéressés.
Mais avant, il faut l'initier par nous-mêmes, comme je l'ai expliqué plus haut.
Pour l'avocat, il ne FAUT PAS ENTRER dans des considérations financières.
Si une démarche vraiment collective est initiée, nous trouverons les moyens de la financer.
Quand j'ai été impliqué dans l'affaire Radiateur qui m'a conduit devant le Tribunal correctionnel de Saint-Nazaire, il nous a fallu UNE SEMAINE - une toute petite semaine - pour réunir de quoi assurer ma défense : 1.500 euros.
Les chômeurs et précaires qui s'impliqueront dans une telle démarche n'auront PAS UN SOU À DÉBOURSER.
C'est un préalable.
Par ailleurs, l'association a les moyens de payer les premières consultations juridiques. Encore faut-il que cette démarche corresponde à une dynamique collective.
Mais avant, il faut l'initier par nous-mêmes, comme je l'ai expliqué plus haut.
Pour l'avocat, il ne FAUT PAS ENTRER dans des considérations financières.
Si une démarche vraiment collective est initiée, nous trouverons les moyens de la financer.
Quand j'ai été impliqué dans l'affaire Radiateur qui m'a conduit devant le Tribunal correctionnel de Saint-Nazaire, il nous a fallu UNE SEMAINE - une toute petite semaine - pour réunir de quoi assurer ma défense : 1.500 euros.
Les chômeurs et précaires qui s'impliqueront dans une telle démarche n'auront PAS UN SOU À DÉBOURSER.
C'est un préalable.
Par ailleurs, l'association a les moyens de payer les premières consultations juridiques. Encore faut-il que cette démarche corresponde à une dynamique collective.
Dernière modification par Yves le 15 févr. 2008, modifié 1 fois.
Je sais qu'on trouve toujours les moyens, une fois une action mise en route.
Le probleme actuel c'est de faire bouger les gens. Je dois aller voir les gens d'Ac de ma ville, parce qu'ils ont demandé aux candidats des listes municipales ce qu'on comptait faire pour leur local menacé d'expulsion.
Je veux bien commencer à en parler.Surtout que je suis sur une liste , c'est le moment .
Le probleme actuel c'est de faire bouger les gens. Je dois aller voir les gens d'Ac de ma ville, parce qu'ils ont demandé aux candidats des listes municipales ce qu'on comptait faire pour leur local menacé d'expulsion.
Je veux bien commencer à en parler.Surtout que je suis sur une liste , c'est le moment .
Tu peux toujours…
Tu peux toujours en parler…
Mais si, avec 7.000 visiteurs/jour, 4.500 inscrits à notre newsletter, 200 adhérents actifs… nous ne trouvons pas par nous-mêmes une dizaine de courageux combattants, il serait étonnant de les trouver en dehors de nos murs.
Mais, nous ne sommes pas pressés non plus. En moins de deux heures aujourd'hui, les choses ont plus évolué qu'en une semaine.
Et nous parlerons de cette action lors de notre AG du 1er mars qui devrait réunir une vingtaine de personnes.
Faut laisser les autres réagir… et agir, le cas échéant.
Mais si, avec 7.000 visiteurs/jour, 4.500 inscrits à notre newsletter, 200 adhérents actifs… nous ne trouvons pas par nous-mêmes une dizaine de courageux combattants, il serait étonnant de les trouver en dehors de nos murs.
Mais, nous ne sommes pas pressés non plus. En moins de deux heures aujourd'hui, les choses ont plus évolué qu'en une semaine.
Et nous parlerons de cette action lors de notre AG du 1er mars qui devrait réunir une vingtaine de personnes.
Faut laisser les autres réagir… et agir, le cas échéant.