Tout aussi "spectaculaire" que l'info dénichée par Sophie:
Les anglo-saxons ont le trainspotting (manie qui consiste entre autres, à surveiller que les trains arrivent à l'heure en notant méticuleusement leur heure d'arrivée), nous en France nous avons ça
future première dame de France !
-
maguy
-
tristesir
-
maguy
Le "Black Hole" Sarkozy
Maguy ne regarde plus les JT et j'abonde dans son sens. Moi-même, je n'allume plus la télé depuis deux mois (sauf pour regarder «7 jours au Groland», sur Canal+, qui me renvoie aux années Hara-Kiri et à l’esprit provoc’ du professeur Choron et de sa bande de pochtrons).
Je crains qu'il soit en effet inutile d'épiloguer des heures sur ce qui se passe aujourd’hui en France. Sarkozy a fait mieux que gagner la bataille électorale au printemps dernier. Toute l'actualité nationale est aujourd'hui focalisée sur son emploi du temps ; chaque semaine notre Président nous nourrit de ses aventures, dans tous les registres de sa vie professionnelle et de sa vie privée. Les Français consomment du Sarkozy, bouffent du Sarkozy jusqu'à plus faim, et semblent en redemander… même si nombre d'entre eux en font une indigestion.
Nous sommes face à un pouvoir qui détient tous les leviers : politiques, économiques, médiatiques… et même people. En cela, reconnaissons à Sarkozy une puissance de frappe qui - franchement - dépasse l'entendement. Plus il en fait, plus on en parle - en bien ou en mal qu'importe -, et plus on en parle, plus il en fait. L’opinion semble lobotomisée ! Il en ressort une stupéfiante impuissance de tous les acteurs de la scène politique et sociale. À se demander aujourd'hui à quoi sert l'opposition, à quoi servent les syndicats, à quoi servent les personnalités qu'on avait l'habitude de voir (et d'entendre) il y a moins d’un an.
On a le sentiment d'être dans un pays dirigé par un parti unique… je dirais même par un HOMME UNIQUE. En cela, une fois encore, reconnaissons que Sarkozy a imposé une hégémonie plus redoutable qu'on pouvait l’envisager. Tous les analystes, tous les réseaux militants, tous ses détracteurs… ont sous-estimé sa capacité à phagocyter la société dans son ensemble.
Sarkozy est une sorte de trou noir, un «Black Hole» astronomique, qui attire à lui toutes les lumières et les absorbe. Et ici comme ailleurs, nous sommes incapables de sortir de cette spirale d’absorption qui draine toutes les attentions sur ce que dit, sur ce que fait, sur ce que pense le Président. Le malaise est profond. Nous le mesurons.
Car Sarkozy ne nous laisse pas le choix. S'opposer à sa politique place ses détracteurs à la marge, tant leurs propos, leurs réactions, leurs arguments ne trouvent pour ainsi dire aucun écho dans l'opinion qui - globalement - semble marcher comme un seul homme à sa suite. Cet étouffoir conduit celles et ceux qui espèrent encore exister sur le plan politique ou social, au silence. Ne rien dire, c'est éviter d'être étouffé, d’être emprisonné et, finalement, marginalisé.
À notre petit niveau, sur les sites que nous éditons (Actuchomage et Rénovation-démocratique), nous mesurons le désarroi de celles et ceux que l'hégémonie sarkoziste accable. Toutes les revendications émises, tous les débats et discussions qu'on voudrait ouvrir, n'aboutissent à rien, pas même à quelques échanges cinglants par médias interposés. Et quand une polémique s'engage - timidement - elle est aussitôt balayée par une nouvelle actualité qui dispersera les rares poches de contestation. Diabolique !
Car Sarkozy va réussir son pari, en imposant la stratégie qu'il a élaborée avant d'entrer en campagne électorale : individualiser les parcours (y compris ceux des fonctionnaires) pour étouffer toute capacité de recours collectif. La réforme des régimes spéciaux et les négociations sur le pouvoir d'achat dans la Fonction publique, sont les dernières passes d'arme «offertes» aux syndicats… avant leur mise au pas définitive.
Demain, chacun d'entre nous, chômeur, précaire, salarié, fonctionnaire, et plus encore commerçant, profession libérale, retraité… aura à défendre seul ses intérêts, ses droits, son pouvoir d'achat… sans aucune possibilité de les voir progresser autrement que sur le plan individuel.
Sarkozy, par son accaparement personnel du pouvoir, a imposé sa méthode, en l'appliquant à chacun de nous, sans distinction de statut professionnel ou social. D’ici peu, chaque Française et chaque Français devra se débrouiller seul pour se faire entendre, se faire respecter… et plus encore exister.
Des millions d'individus n'ont pas cette «culture de l’autodéfense individuelle» - notamment celles et tous ceux qui ont un «parcours de gauche» ; ils s'en trouvent profondément déstabilisés, déboussolés. Pour autant, il ne faudrait pas croire que seuls les «femmes et les hommes de gauche» sont confrontés à cette déstructuration de leurs repères. C'est toute la société qui est remodelée par cette «individualisation». Prenez le cas des cafetiers débitants de tabac, une frange de la population plutôt favorable à Sarkozy, même eux n'obtiendront aucune dérogation à l'application de l'interdiction généralisée de fumer dans leurs établissements.
La France vit une période de mutation plus profonde encore qu'on l'imagine. Nous n'allons pas vers un système à «l'américaine», contrairement à ce qu’avancent certains. Aux USA, la puissance de mobilisation des communautés d'intérêt, des lobbies ethniques, religieux, syndicaux, consuméristes ou d'affaires, reste extrêmement importante, dans un système ultralibérale qui doit composer avec ces forces «collectives» souvent puissantes et organisées. Des contre-pouvoirs qu'on ne trouve qu’à l’état embryonnaire en France.
Non, Sarkozy construit un système très spécifique. Il s'appuie pour cela sur la déstructuration des dynamiques collectives qui, au fil des siècles, avaient surpassé l'individualisme traditionnel des Français. Et, depuis quelques mois, ces dynamiques s’étiolent d'une manière fulgurante.
Que restera-t-il ? C'est la question qui se pose aujourd'hui et se posera plus encore demain. Pour le moment, nous ne pouvons que constater et déplorer les premiers dégâts. Mais, l’impuissance de ce constat nous place dans l'inconfortable posture de la passivité, ce qui renforce un peu plus le «Black Hole» Sarkozy… qui nous absorbera toutes et tous.
Je crains qu'il soit en effet inutile d'épiloguer des heures sur ce qui se passe aujourd’hui en France. Sarkozy a fait mieux que gagner la bataille électorale au printemps dernier. Toute l'actualité nationale est aujourd'hui focalisée sur son emploi du temps ; chaque semaine notre Président nous nourrit de ses aventures, dans tous les registres de sa vie professionnelle et de sa vie privée. Les Français consomment du Sarkozy, bouffent du Sarkozy jusqu'à plus faim, et semblent en redemander… même si nombre d'entre eux en font une indigestion.
Nous sommes face à un pouvoir qui détient tous les leviers : politiques, économiques, médiatiques… et même people. En cela, reconnaissons à Sarkozy une puissance de frappe qui - franchement - dépasse l'entendement. Plus il en fait, plus on en parle - en bien ou en mal qu'importe -, et plus on en parle, plus il en fait. L’opinion semble lobotomisée ! Il en ressort une stupéfiante impuissance de tous les acteurs de la scène politique et sociale. À se demander aujourd'hui à quoi sert l'opposition, à quoi servent les syndicats, à quoi servent les personnalités qu'on avait l'habitude de voir (et d'entendre) il y a moins d’un an.
On a le sentiment d'être dans un pays dirigé par un parti unique… je dirais même par un HOMME UNIQUE. En cela, une fois encore, reconnaissons que Sarkozy a imposé une hégémonie plus redoutable qu'on pouvait l’envisager. Tous les analystes, tous les réseaux militants, tous ses détracteurs… ont sous-estimé sa capacité à phagocyter la société dans son ensemble.
Sarkozy est une sorte de trou noir, un «Black Hole» astronomique, qui attire à lui toutes les lumières et les absorbe. Et ici comme ailleurs, nous sommes incapables de sortir de cette spirale d’absorption qui draine toutes les attentions sur ce que dit, sur ce que fait, sur ce que pense le Président. Le malaise est profond. Nous le mesurons.
Car Sarkozy ne nous laisse pas le choix. S'opposer à sa politique place ses détracteurs à la marge, tant leurs propos, leurs réactions, leurs arguments ne trouvent pour ainsi dire aucun écho dans l'opinion qui - globalement - semble marcher comme un seul homme à sa suite. Cet étouffoir conduit celles et ceux qui espèrent encore exister sur le plan politique ou social, au silence. Ne rien dire, c'est éviter d'être étouffé, d’être emprisonné et, finalement, marginalisé.
À notre petit niveau, sur les sites que nous éditons (Actuchomage et Rénovation-démocratique), nous mesurons le désarroi de celles et ceux que l'hégémonie sarkoziste accable. Toutes les revendications émises, tous les débats et discussions qu'on voudrait ouvrir, n'aboutissent à rien, pas même à quelques échanges cinglants par médias interposés. Et quand une polémique s'engage - timidement - elle est aussitôt balayée par une nouvelle actualité qui dispersera les rares poches de contestation. Diabolique !
Car Sarkozy va réussir son pari, en imposant la stratégie qu'il a élaborée avant d'entrer en campagne électorale : individualiser les parcours (y compris ceux des fonctionnaires) pour étouffer toute capacité de recours collectif. La réforme des régimes spéciaux et les négociations sur le pouvoir d'achat dans la Fonction publique, sont les dernières passes d'arme «offertes» aux syndicats… avant leur mise au pas définitive.
Demain, chacun d'entre nous, chômeur, précaire, salarié, fonctionnaire, et plus encore commerçant, profession libérale, retraité… aura à défendre seul ses intérêts, ses droits, son pouvoir d'achat… sans aucune possibilité de les voir progresser autrement que sur le plan individuel.
Sarkozy, par son accaparement personnel du pouvoir, a imposé sa méthode, en l'appliquant à chacun de nous, sans distinction de statut professionnel ou social. D’ici peu, chaque Française et chaque Français devra se débrouiller seul pour se faire entendre, se faire respecter… et plus encore exister.
Des millions d'individus n'ont pas cette «culture de l’autodéfense individuelle» - notamment celles et tous ceux qui ont un «parcours de gauche» ; ils s'en trouvent profondément déstabilisés, déboussolés. Pour autant, il ne faudrait pas croire que seuls les «femmes et les hommes de gauche» sont confrontés à cette déstructuration de leurs repères. C'est toute la société qui est remodelée par cette «individualisation». Prenez le cas des cafetiers débitants de tabac, une frange de la population plutôt favorable à Sarkozy, même eux n'obtiendront aucune dérogation à l'application de l'interdiction généralisée de fumer dans leurs établissements.
La France vit une période de mutation plus profonde encore qu'on l'imagine. Nous n'allons pas vers un système à «l'américaine», contrairement à ce qu’avancent certains. Aux USA, la puissance de mobilisation des communautés d'intérêt, des lobbies ethniques, religieux, syndicaux, consuméristes ou d'affaires, reste extrêmement importante, dans un système ultralibérale qui doit composer avec ces forces «collectives» souvent puissantes et organisées. Des contre-pouvoirs qu'on ne trouve qu’à l’état embryonnaire en France.
Non, Sarkozy construit un système très spécifique. Il s'appuie pour cela sur la déstructuration des dynamiques collectives qui, au fil des siècles, avaient surpassé l'individualisme traditionnel des Français. Et, depuis quelques mois, ces dynamiques s’étiolent d'une manière fulgurante.
Que restera-t-il ? C'est la question qui se pose aujourd'hui et se posera plus encore demain. Pour le moment, nous ne pouvons que constater et déplorer les premiers dégâts. Mais, l’impuissance de ce constat nous place dans l'inconfortable posture de la passivité, ce qui renforce un peu plus le «Black Hole» Sarkozy… qui nous absorbera toutes et tous.
c'est le vide
« Le président de la République est volontariste, hyperactif, déterminé, mais seul. Il se revendique l'unique inspirateur, l'unique acteur, l'unique responsable. C'est institutionnellement contestable, et en définitive, malgré les apparences, assez inefficace », estime le député UMP "villepiniste" François Goulard, qui se demande si le quinquennat de Nicolas Sarkozy ne sera pas « autre chose qu'une suite d'annonces tonitruantes et de demi-réformes présentées comme des révolutions. »
http://www.lemonde.fr/web/depeches/0,14 ... -37,0.html
http://www.lemonde.fr/web/depeches/0,14 ... -37,0.html
-
tristesir
-
maguy
J'ai revu récemment un docu sur Staline, il y a des ressemblances troublantes.
Staline a eu une attaque dans son bureau. Il est resté 12 heures paralysé, mais conscient.
Personne n'a osé entrer dans son bureau ou appeler un médecin tellement il était craint. Il a agonisé longtemps et est mort seul.
La justice a parfois de ces détours...
Yves a raison, non seulement les Français sont lobotomisés, mais ils sont assommés, K.O.
Certains commencent à râler, surtout devant la hausse de prix, les franchises médicales et le reste.
Mais cela reste encore individuel.
Staline a eu une attaque dans son bureau. Il est resté 12 heures paralysé, mais conscient.
Personne n'a osé entrer dans son bureau ou appeler un médecin tellement il était craint. Il a agonisé longtemps et est mort seul.
La justice a parfois de ces détours...
Yves a raison, non seulement les Français sont lobotomisés, mais ils sont assommés, K.O.
Certains commencent à râler, surtout devant la hausse de prix, les franchises médicales et le reste.
Mais cela reste encore individuel.
-
romain23
Personne n'a osé entrer dans son bureau ou appeler un médecin tellement il était craint. Il a agonisé longtemps et est mort seul.
bonsoir,
Non, staline se savait malade depuis longtemps. Il avait une médecin à son chevet, qu'il avait auparavant requisitionné en l'obligeant à quitter son poste à Moscou, avant de la renvoyer dans la ville interdite, en Siberie. Comme par hasard, son cuisinier a eu un fils qui a engendré un president russe . Staline savait qu'il allait mourir et a preferé rester seul, compte tenu du systeme KGB russe. Par contre, il est vrai que personne n'a voulu faire la toilette mortuaire et qu'il s'etait souillé, et, comme il était complètement recroquevillé et raide, ils l'ont laissé comme ça!
Ne me demander pas mes sources, j'ai des amis russes.
Pour en revenir à notre actuel president, j'ai plutot l'impression d'un destin à la Kennedy, c'est à dire la fin selon les lois de la vendetta de ces milieux _là, finances internationales et tutti quanti.........
Parce que qu'4 ans comme ça.............DUr DUR .
Au moins, on va economiser sur l'achat de télé.
bonsoir,
Non, staline se savait malade depuis longtemps. Il avait une médecin à son chevet, qu'il avait auparavant requisitionné en l'obligeant à quitter son poste à Moscou, avant de la renvoyer dans la ville interdite, en Siberie. Comme par hasard, son cuisinier a eu un fils qui a engendré un president russe . Staline savait qu'il allait mourir et a preferé rester seul, compte tenu du systeme KGB russe. Par contre, il est vrai que personne n'a voulu faire la toilette mortuaire et qu'il s'etait souillé, et, comme il était complètement recroquevillé et raide, ils l'ont laissé comme ça!
Ne me demander pas mes sources, j'ai des amis russes.
Pour en revenir à notre actuel president, j'ai plutot l'impression d'un destin à la Kennedy, c'est à dire la fin selon les lois de la vendetta de ces milieux _là, finances internationales et tutti quanti.........
Parce que qu'4 ans comme ça.............DUr DUR .
Au moins, on va economiser sur l'achat de télé.
-
maguy
Mes sources étaient la chaine "toute l'histoire" avec documents filmés et témoignages de survivants.
Effectivement on l'a laissé baigner dans... mais personne n'a osé entrer dans le bureau. Ensuite, il a été momifié (empaillé ?) avant que Kroutchev (ortho
) ne débranche lorsque ses crimes monstrueux ont été mis à jour.
J'appelle cela un culte de la personnalité, il veut sans doute se faire déifier de son vivant
Qui aura 30 deniers ????
Je vous copie un petit article du Canard de la semaine dernière
"De mal empire
Trouvez quel hyper-dirigeant de la France et omni-sauveur de la patrie se cache donc sous ce portrait :
"il ne reste pas un moment tranquille ; il sent autour de lui avec effroi la solitude et les ténèbres ; ceux qui ont peur la nuit chantent, lui, il se remue, il fait rage, il touche à tout, il court après les projets ; ne pouvant créer, il décrète ; il cherche à donner le change sur sa nullité ; c'est le mouvement perpétuel ; mais hélas ! cette roue tourne à vide."
L'auteur s'appelle Victor Hugo et sa cible est ici... Louis Bonaparte, alias Napoleon III, ainsi croqué dans "Napoleon le petit" (Actes Sud). A méditer au moment où le ministre Estrosi s'agite pour faire revenir en France les cendres de l'empereur et de son épouse Eugénie... Le rapatriement de Napoleon le petit prochaine mission humanitaire de Sarkosy le grand ?"
Comme quoi ce cher Victor reste d'actualité.
J'ai récemment relu un texte de Zola s'adressant à la presse, c'est ... troublant.
Effectivement on l'a laissé baigner dans... mais personne n'a osé entrer dans le bureau. Ensuite, il a été momifié (empaillé ?) avant que Kroutchev (ortho
) ne débranche lorsque ses crimes monstrueux ont été mis à jour.Responsable, mais pas coupable, hein ?Il se revendique l'unique inspirateur, l'unique acteur, l'unique responsable
J'appelle cela un culte de la personnalité, il veut sans doute se faire déifier de son vivant
Qui aura 30 deniers ????
Je vous copie un petit article du Canard de la semaine dernière
"De mal empire
Trouvez quel hyper-dirigeant de la France et omni-sauveur de la patrie se cache donc sous ce portrait :
"il ne reste pas un moment tranquille ; il sent autour de lui avec effroi la solitude et les ténèbres ; ceux qui ont peur la nuit chantent, lui, il se remue, il fait rage, il touche à tout, il court après les projets ; ne pouvant créer, il décrète ; il cherche à donner le change sur sa nullité ; c'est le mouvement perpétuel ; mais hélas ! cette roue tourne à vide."
L'auteur s'appelle Victor Hugo et sa cible est ici... Louis Bonaparte, alias Napoleon III, ainsi croqué dans "Napoleon le petit" (Actes Sud). A méditer au moment où le ministre Estrosi s'agite pour faire revenir en France les cendres de l'empereur et de son épouse Eugénie... Le rapatriement de Napoleon le petit prochaine mission humanitaire de Sarkosy le grand ?"
Comme quoi ce cher Victor reste d'actualité.
J'ai récemment relu un texte de Zola s'adressant à la presse, c'est ... troublant.
-
romain23
Ne pas oublier le probleme de la scientologie.Dans la scientologie se retrouvent melés la certitude d'un état supérieur possible de L'Homme,la référence à des découvertes scientifiques et à des nouvelles techniques qui permettraient ces transformations humaines, ici et maintenant.Bien hiérarchisée et disciplinée ,elle controle ses membres efficacement.Elle fait espérer à ses membres l'accès à des stades supérieurs, jamais atteints.
La barre à atteindre est ainsi placée toujours plus haut, et, est de plus en plus couteuse à un niveau matériel.
Si l'on analyse bien, l'environnement dans lequel ,il évolue, cela ressemble fortement aux symptomes dégagés par cette doctrine, ainsi que les relations qu'elle nouent.
De la folie..................
La barre à atteindre est ainsi placée toujours plus haut, et, est de plus en plus couteuse à un niveau matériel.
Si l'on analyse bien, l'environnement dans lequel ,il évolue, cela ressemble fortement aux symptomes dégagés par cette doctrine, ainsi que les relations qu'elle nouent.
De la folie..................
-
maguy
Je viens de voir un article qui traduit bien ce que j'éprouve devant ce Barnum indigne.
Le rêve puéril d’un Mickey de Neuilly
Une sorte de dégoût. Non, pas une sorte : un dégoût, un vrai. Sans l’ami Faber, « c’est pour dire » serait KO. Lui aussi, le Dédé a du mal, d’ailleurs, du bout de son crayon pourtant bien affûté ; de la peine, le mot n’est pas trop fort. Comme si la souffrance du monde ne suffisait pas à terrasser ce qu’on nomme l’actualité. Non, elle s’en nourrit, avide, goulue. Voilà donc le Spectacle, le Spectacle de tout et du « tout à l’ego » comme dit Régis Debray, la voilà cette obscénité du paraître et du pognon – le showbiz pour tout dire – portant l’injure à son sommet
l'article complet
Le rapprochement de Gavroche avec la racaille est bien vu !
Le rêve puéril d’un Mickey de Neuilly
Une sorte de dégoût. Non, pas une sorte : un dégoût, un vrai. Sans l’ami Faber, « c’est pour dire » serait KO. Lui aussi, le Dédé a du mal, d’ailleurs, du bout de son crayon pourtant bien affûté ; de la peine, le mot n’est pas trop fort. Comme si la souffrance du monde ne suffisait pas à terrasser ce qu’on nomme l’actualité. Non, elle s’en nourrit, avide, goulue. Voilà donc le Spectacle, le Spectacle de tout et du « tout à l’ego » comme dit Régis Debray, la voilà cette obscénité du paraître et du pognon – le showbiz pour tout dire – portant l’injure à son sommet
l'article complet
Le rapprochement de Gavroche avec la racaille est bien vu !
Ooooooooh !
Ooooooooooooooooooooh !
Enfin, SuperUser, vous vous égarez ma chère !
Vous savez bien qu'à cœur vaillant, rien d'impossible !
Mais c'est vrai qu'entre l'emploi du temps de l'un et celui de l'autre, ils devront faire leurs petites affaires dans les salons Business des aéroports, entre deux vols.
Enfin, SuperUser, vous vous égarez ma chère !
Vous savez bien qu'à cœur vaillant, rien d'impossible !
Mais c'est vrai qu'entre l'emploi du temps de l'un et celui de l'autre, ils devront faire leurs petites affaires dans les salons Business des aéroports, entre deux vols.