Policier depuis 1998, l’homme a été recalé au concours d’officier de police. Parce que, selon lui, il est d’origine marocaine. Il a saisi la Halde, la Haute autorité de lutte contre les discriminations.
.../...
L’affaire n’est pas si commune : qu’un fonctionnaire, qui plus est policier, s’estime victime de discrimination. Mais manifestement, les questions posées lors de l’entretien ont franchi la ligne jaune. “Faites-vous le ramadan ?” “Votre femme porte-t-elle le voile ?” “Votre avis sur la corruption des fonctionnaires de police marocains ?” Un entretien “hors du commun”, juge le candidat : “est-ce qu’on a demandé aux autres s’ils fêtaient Noël ou la Toussaint, et ce qu’ils pensaient de la discrimination positive ?"
(...)
Abdeljalel El Haddioui a eu 4/20 à l’épreuve, une note éliminatoire. Pourtant, aux six autres épreuves, il était largement au-dessus de la moyenne. Il lui aurait même suffi d’un 8,6 pour être reçu.
Beaucoup (tous?) de concours de la fonction publique prévoient un entretien avec un jury de 3 personnes.
Le jury est souverain dans sa notation: s'il a décidé de vous éliminer pour des raisons qui n'ont rien à voir avec vos compétences, il peut le faire sans avoir aucune justification à donner.
Un policier saisi la HALDE
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romain23
"un entrtien hors du commun"
Dans la plupart des concours de ce type, meme si les notes théoriques sont brillantes, c'est souvent à l'entretien que l'on abat le candidat!
Mon medecin me l'avait signifié ,il y a quelques annees, lorsque j'avais obtenu la premiere partie du concours ANPE ,de conseiller devant 400 pers, j'ai ete arrive en deuxieme partie, et, bien sur, comme je ne suis pas politiquement respectable, et, que j'ai un franc-parler ,je me suis fait sacquer à l'entretien avec 9 sur 20. J'ai aussi vécu cela avec les concours des conseils genéraux.
,
Mon médecin me disait qu'il en est ainsi, aussi dans les écoles d'infirmieres, où, malgré le besoin, quand on veut sacquer les gens, c'est encore et toujours à l'entretien que cela se fait.
L'entretien n'est pas une donnée scientifique , et aller faire verifier ce qui à été reellement dit.
De plus, cet agent de police est dans une donnée veritablement schizophrène ,parce qu'il est lui_meme dans une position de discrimination, et, il est chargé de discrisminer des gens en les ramenant à la frontiére.
De plus, actuellement on demande aux fonctionnaires de se durcir pour ramener un maximun de gens à la frontière
Ils avaient peur peut-etre qu'il joue les agents doubles!
Dans la plupart des concours de ce type, meme si les notes théoriques sont brillantes, c'est souvent à l'entretien que l'on abat le candidat!
Mon medecin me l'avait signifié ,il y a quelques annees, lorsque j'avais obtenu la premiere partie du concours ANPE ,de conseiller devant 400 pers, j'ai ete arrive en deuxieme partie, et, bien sur, comme je ne suis pas politiquement respectable, et, que j'ai un franc-parler ,je me suis fait sacquer à l'entretien avec 9 sur 20. J'ai aussi vécu cela avec les concours des conseils genéraux.
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Mon médecin me disait qu'il en est ainsi, aussi dans les écoles d'infirmieres, où, malgré le besoin, quand on veut sacquer les gens, c'est encore et toujours à l'entretien que cela se fait.
L'entretien n'est pas une donnée scientifique , et aller faire verifier ce qui à été reellement dit.
De plus, cet agent de police est dans une donnée veritablement schizophrène ,parce qu'il est lui_meme dans une position de discrimination, et, il est chargé de discrisminer des gens en les ramenant à la frontiére.
De plus, actuellement on demande aux fonctionnaires de se durcir pour ramener un maximun de gens à la frontière
Ils avaient peur peut-etre qu'il joue les agents doubles!
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tristesir
Je ne sais pas si ce policier aura gain de cause mais ce qui est sûr c'est qu'aux prochains concours les personnes qui y siègeront seront plus prudentes.
Les questions hors de propos discriminantes disparaiteront mais à la fin le jury notera le candidat comme il le souhaite: je doute que les discriminations disparaiteront pour autant, elles seront seulement un peu plus discrètes.
(Par ailleurs, je suis convaincu, c'est un ressenti personnel, que la discrimination sur l'âge sévit activement dans ces entretiens)
Les questions hors de propos discriminantes disparaiteront mais à la fin le jury notera le candidat comme il le souhaite: je doute que les discriminations disparaiteront pour autant, elles seront seulement un peu plus discrètes.
(Par ailleurs, je suis convaincu, c'est un ressenti personnel, que la discrimination sur l'âge sévit activement dans ces entretiens)
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romain23
discrimination sur l'âge sévit activement dans ces entretiens)
La difficulté ,c'est que la HALDE ne tient pas compte du critère d'age quand il n'est pas reellement mentionné.Tout est sous-jacent et difficile à demontrer.
dans le temps, je me disais qu'il fallait baisser sa petite culotte, aujourd'hui, ce n'est meme plus le cas. Je crois que la seule solution, c'est d'avoir une carte bien placée,et, encore?
La difficulté ,c'est que la HALDE ne tient pas compte du critère d'age quand il n'est pas reellement mentionné.Tout est sous-jacent et difficile à demontrer.
dans le temps, je me disais qu'il fallait baisser sa petite culotte, aujourd'hui, ce n'est meme plus le cas. Je crois que la seule solution, c'est d'avoir une carte bien placée,et, encore?
La carte dans la cullote, peut-être ? 
Plus sérieusement, que la Halde tienne compte ou non des discriminations, ça n'a strictement aucune importance : 96 % de nos plaintes pour discrimination par l'âge ont été classées sans suite, alors que la Halde avait "jugé" que les délits étaient clairement constitués.
Comme il était prévisible, le système judiciaire se tamponne de cette Haute Autorité...
L'épithète, à lui seul, a suffi à coller des boutons à tous les juges d'instruction de France et de Navarre !
Plus sérieusement, que la Halde tienne compte ou non des discriminations, ça n'a strictement aucune importance : 96 % de nos plaintes pour discrimination par l'âge ont été classées sans suite, alors que la Halde avait "jugé" que les délits étaient clairement constitués.
Comme il était prévisible, le système judiciaire se tamponne de cette Haute Autorité...
L'épithète, à lui seul, a suffi à coller des boutons à tous les juges d'instruction de France et de Navarre !