Le RSA arrive à grands pas
Bonjour,
L'actualité du RSA :
Citation :
Martin Hirsch précise le calendrier de la généralisation du RSA
A l'issue de la conférence sur l'emploi et le pouvoir d'achat qui s'est tenue mardi 23 octobre, Martin Hirsch a annoncé la mise en place d'un groupe de travail chargé de la généralisation du revenu de solidarité active (RSA), qui "consultera les partenaires sociaux, associations et collectivités territoriales", dans le but d'une mise en oeuvre effective du dispositif "d'ici à la fin de l'année 2008", a-t-il expliqué.
Source : A.S.H
Citation :
Calendrier :
- 20 juin 2007 : présentation du RSA au Conseil des ministres
- 10 juillet 2007 : installation du Comité d’évaluation national des expérimentations du RSA
- du 10 au 13 juillet 2007 : discussion du projet de loi à l’Assemblée nationale
- 30 septembre 2007 : date limite d’inscription pour les départements volontaires à l’expérimentation du RSA
- fin 2008 : généralisation du dispositif à l’ensemble du pays.
Source : Premier minitriste.gouv
L'actualité du RSA :
Citation :
Martin Hirsch précise le calendrier de la généralisation du RSA
A l'issue de la conférence sur l'emploi et le pouvoir d'achat qui s'est tenue mardi 23 octobre, Martin Hirsch a annoncé la mise en place d'un groupe de travail chargé de la généralisation du revenu de solidarité active (RSA), qui "consultera les partenaires sociaux, associations et collectivités territoriales", dans le but d'une mise en oeuvre effective du dispositif "d'ici à la fin de l'année 2008", a-t-il expliqué.
Source : A.S.H
Citation :
Calendrier :
- 20 juin 2007 : présentation du RSA au Conseil des ministres
- 10 juillet 2007 : installation du Comité d’évaluation national des expérimentations du RSA
- du 10 au 13 juillet 2007 : discussion du projet de loi à l’Assemblée nationale
- 30 septembre 2007 : date limite d’inscription pour les départements volontaires à l’expérimentation du RSA
- fin 2008 : généralisation du dispositif à l’ensemble du pays.
Source : Premier minitriste.gouv
Dans l'attente de la mise en oeuvre d'un "revenu de solidarité active" aujourd'hui au stade de l'expérimentation, "j'annonce dès aujourd'hui que la prime de Noël sera à nouveau versée cette année", a dit le président de la République.
Bientot le père Noel va se transformer en père fouettard pour contraindre à accepter de travailler pour un sous-salaire et très certainement à temps très partiel, dans un emploi non choisi ceux qui seront élligibles aux RSA et pour les empêcher de mourir de faim , l'Etat et les Conseils généraux, bons princes, leur verseront une aumône à la place d'un vrai emploi choisi, à temps complet et payé décemment.
Bientot le père Noel va se transformer en père fouettard pour contraindre à accepter de travailler pour un sous-salaire et très certainement à temps très partiel, dans un emploi non choisi ceux qui seront élligibles aux RSA et pour les empêcher de mourir de faim , l'Etat et les Conseils généraux, bons princes, leur verseront une aumône à la place d'un vrai emploi choisi, à temps complet et payé décemment.
Vu et recopié
du Canard Enchainé du mercredi 21 novembre
Nouveau Grenelle pour le Charity-Hirsch business
Le 23 novembre, le haut- commissaire aux Solidarités actives et ex-président d'Emmaüs, Martin Hirsch, sortira de ses bureaux haussmanniens -qu'il a modestement équipés de meubles achetés chez Emmaüs et livrés le 17 ooctobre devant les caméras de TF1 - pour lancer depuis Grenoble, son "Grenelle de l'insertion". Pile-poil après les grèves. Un timing idéal pour redorer le blason moyennemet social de Sarko.
RAS ou RSA ?
Au menu de ce Grenelle, prévu pour durer jusqu'en mai, la création d'un "contrat unique d'insertion". L'objectif est de simplifier le fratras des contrats aidés (type CES) subventionnés par l'Etat pour remettre les chômeurs dans le circuit de l'emploi. Une chic idée. mais pour le moment, c'est surtout la di-te : après un pic ces deux dernières anées, Bercy prévoit de financer 25% de contrats aidés en moins l'an prochain ! Un rien gêné, Martin Hirsch s'en est benoîtement expliqué, le 6 novembre, devant les députés de la commission des Finances : "En 2007, le contexte était différent. On était en période électorale." sous-entendu : il fallait bien dégonfler les chiffres du chômage : Désarmant.
Heureusement, Martin Hirsch a une autre corde à son arbalète sociale : le revenu de solidarité active (RSA). Son idée ? Permettre aux RMIstes qui retrouvent quelques heures de boulot par semaine de cumuler un bout de RMI, une allocation logement et un complément de revenus (le RSA) pour dépasser le seuil de pauvreté, soit 800 euros par mois. Alléchant, à condition que les moyens suivent. Pour 2008, l'Etat prévoit de verser 35 millions aux quarante départements qui expériementeront le système. "Cela ne couvrira pas la moitié de la facture" s'inquiète le président socialiste de l'Assemblée des départements de France, Claudy Lebreton.
L'autre risque est d'enfermer ls bénéiciaires dans des p'tits boulots précaires. En mai 2005, un rapport d'étude du Sénat avertissait déjà : "le soutien très important apporté par (le RSA) dès les premières heures d'activité fait craindre des pressions à la baisse sur les salaires et un renforcement du recours par les entreprises à des emplois à temps partiel." Auteur du rapport, la trop méconnue Valérie Létard, actuelle secrétaire d'Etat à la solidarité ! Laquelle ne moufte plus sur le sujet, so-so-solidarité gouvernementale oblige...
Prestissimo
Pour limiter les effets pervers du RSA, il était prévu de l'expérimenter pendant trois ans. Mais Hirsch annonce déjà sa généralisation, fin 2008, façon Speedy Sarko ! "C'est aberrant, on ne va rien évaluer du tout" s'inquiète Gilbert Lagouanelle, responsable au Secours catholique. "Le risque, c'est que le gouvernement mette le paquet sur les personnes qui sont proches du seuil des 800 euros, pour afficher très vite une baisse de la pauvreté en oubliant ceux qui sont les plus éloignées du monde du travail" estime Bruno Tardieu, délégué national d'ATD Quart Monde. Et ne parlons pas de toutes les mesures qui vont à l'encontre de l'insertion, comme les franchises médicales... N'en parlons pas, en effet. Sur ce point, Hirsch a déjà demandé aux associations de "changer de disque"... Rendez-vous au "Grommelle" de l'insertion...
Isabelle Barré

Nouveau Grenelle pour le Charity-Hirsch business
Le 23 novembre, le haut- commissaire aux Solidarités actives et ex-président d'Emmaüs, Martin Hirsch, sortira de ses bureaux haussmanniens -qu'il a modestement équipés de meubles achetés chez Emmaüs et livrés le 17 ooctobre devant les caméras de TF1 - pour lancer depuis Grenoble, son "Grenelle de l'insertion". Pile-poil après les grèves. Un timing idéal pour redorer le blason moyennemet social de Sarko.
RAS ou RSA ?
Au menu de ce Grenelle, prévu pour durer jusqu'en mai, la création d'un "contrat unique d'insertion". L'objectif est de simplifier le fratras des contrats aidés (type CES) subventionnés par l'Etat pour remettre les chômeurs dans le circuit de l'emploi. Une chic idée. mais pour le moment, c'est surtout la di-te : après un pic ces deux dernières anées, Bercy prévoit de financer 25% de contrats aidés en moins l'an prochain ! Un rien gêné, Martin Hirsch s'en est benoîtement expliqué, le 6 novembre, devant les députés de la commission des Finances : "En 2007, le contexte était différent. On était en période électorale." sous-entendu : il fallait bien dégonfler les chiffres du chômage : Désarmant.
Heureusement, Martin Hirsch a une autre corde à son arbalète sociale : le revenu de solidarité active (RSA). Son idée ? Permettre aux RMIstes qui retrouvent quelques heures de boulot par semaine de cumuler un bout de RMI, une allocation logement et un complément de revenus (le RSA) pour dépasser le seuil de pauvreté, soit 800 euros par mois. Alléchant, à condition que les moyens suivent. Pour 2008, l'Etat prévoit de verser 35 millions aux quarante départements qui expériementeront le système. "Cela ne couvrira pas la moitié de la facture" s'inquiète le président socialiste de l'Assemblée des départements de France, Claudy Lebreton.
L'autre risque est d'enfermer ls bénéiciaires dans des p'tits boulots précaires. En mai 2005, un rapport d'étude du Sénat avertissait déjà : "le soutien très important apporté par (le RSA) dès les premières heures d'activité fait craindre des pressions à la baisse sur les salaires et un renforcement du recours par les entreprises à des emplois à temps partiel." Auteur du rapport, la trop méconnue Valérie Létard, actuelle secrétaire d'Etat à la solidarité ! Laquelle ne moufte plus sur le sujet, so-so-solidarité gouvernementale oblige...
Prestissimo
Pour limiter les effets pervers du RSA, il était prévu de l'expérimenter pendant trois ans. Mais Hirsch annonce déjà sa généralisation, fin 2008, façon Speedy Sarko ! "C'est aberrant, on ne va rien évaluer du tout" s'inquiète Gilbert Lagouanelle, responsable au Secours catholique. "Le risque, c'est que le gouvernement mette le paquet sur les personnes qui sont proches du seuil des 800 euros, pour afficher très vite une baisse de la pauvreté en oubliant ceux qui sont les plus éloignées du monde du travail" estime Bruno Tardieu, délégué national d'ATD Quart Monde. Et ne parlons pas de toutes les mesures qui vont à l'encontre de l'insertion, comme les franchises médicales... N'en parlons pas, en effet. Sur ce point, Hirsch a déjà demandé aux associations de "changer de disque"... Rendez-vous au "Grommelle" de l'insertion...
Isabelle Barré
J'ai essayé de trouver trace du rapport écrit par Valerie Létard dans lequelle on pourrait lire:
"le soutien très important apporté par (le RSA) dès les premières heures d'activité fait craindre des pressions à la baisse sur les salaires et un renforcement du recours par les entreprises à des emplois à temps partiel."
J'ai cherché sur le blog de cette dernière, mais je n'ai pas réussi à trouver la source du texte précédant.
"le soutien très important apporté par (le RSA) dès les premières heures d'activité fait craindre des pressions à la baisse sur les salaires et un renforcement du recours par les entreprises à des emplois à temps partiel."
J'ai cherché sur le blog de cette dernière, mais je n'ai pas réussi à trouver la source du texte précédant.
Bonjour,
Minima sociaux : mieux concilier équité et reprise d'activité
Rapport d'information n° 334 (2004-2005) de Mme Valérie LÉTARD, fait au nom de la commission des affaires sociales,
déposé le 11 mai 2005

Minima sociaux : mieux concilier équité et reprise d'activité
Rapport d'information n° 334 (2004-2005) de Mme Valérie LÉTARD, fait au nom de la commission des affaires sociales,
déposé le 11 mai 2005

St-Dumortier: Merci
Elle a bien écrit ce qui est mentionné dans le "canard"
et on peut aussi y lire:
PS: le lien sur ce rapport apparait aussi sur le blog de cette élue
Elle a bien écrit ce qui est mentionné dans le "canard"
et on peut aussi y lire:
N'est ce pas seulement quelques dizaines de millions qui sont alloués au projet d'expérimentation du RSA pour tester...sur 40 départements?Les simulations effectuées par la DREES pour la commission Hirsch situent la création du RSA dans une fourchette de coût ex ante allant de 6 à 8 milliards d'euros. A ce coût brut, il conviendrait toutefois de retrancher les économies réalisées au titre de la suppression de l'intéressement (400 millions d'euros) et de la prime pour l'emploi (2,4 milliards d'euros).
PS: le lien sur ce rapport apparait aussi sur le blog de cette élue

Sauf que du coté entreprises, c'est plus juteux! dans mon departement, comme par hasard, c' est tout l'ouest du departement qui est expérimental pour le rsa. Parce qu'à l'ouest s'installe des entreprises, declarées en zone franche, que de surcroit s'y on ajoute la main d'oeuvre, payée uniquement par le rsa, et, qu'en plus, toutes les aides de la région ( on a Brice Hortefeux comme conseiller régional) pour la création d'entreprises leur sont versées, c'est Business, Business!
Et encore un budget pour le conseil general qui va pouvoir faire encore plus de routes!
Et encore un budget pour le conseil general qui va pouvoir faire encore plus de routes!

Moins tu veux dire?Et encore un budget pour le conseil general qui va pouvoir faire encore plus de routes!
Dans l'expérimentation du RSA, il est prévu que la charge financière soit à moitié pour le département et à moitié pour l'Etat.
(note bien que dans la liste des départements qui expérimentent pour le moment le RSA, il n'y a pas les Hauts de Seine, le département le plus riche de France et administré anciennement par Sarkozy Himself et actuellement par Devedjian)
On verra si les départements (et l'Etat) vont réellement mettre la main à la poche pour généraliser le RSA ou si ce truc va encore se terminer en pantalonnade...comme toujours, quand il s'agit de résoudre les problèmes de pauvreté sans s'attaquer à la source de la pauvreté: la concentration de la richesse dans de moins en moins de mains.
L'histoire des 50 dernières années le montre, plus de richesses sont produites plus le phénomène de sa concentration s'amplifie.
C'est exactement le contraire de ce que racontent Nicolas Sarkozy et Parisot qui prétendent qu'ils faut produire plus pour que les gens obtiennent une plus grosse part du gateau.
A condition que, comme pour le RMI, l'Etat n'oublie pas de verser son obole.Dans l'expérimentation du RSA, il est prévu que la charge financière soit à moitié pour le département et à moitié pour l'Etat
On peut même remonter plus loin au 19ème siècle. Lors de la forte industrialisation concentrée dans les villes, il y eut une forte migration rurale qui a conduit à une paupérisation inimaginable, pourtant il y avait à peu près le plein-emploi, et comme le rêve Parisot et consorts, 12 heures par jour, y compris les enfants et après de longues luttes, le dimanche pour que la plèbe puisse aller à la messe...L'histoire des 50 dernières années le montre, plus de richesses sont produites plus le phénomène de sa concentration s'amplifie
Moins tu veux dire?
Bonsoir,
Depuis la decentralisation du RMI aux Conseils Généraux, il est clair que le controle de légalité, n'est plus ou moins bien appliqué. Donc, je veux dire que l'argent, logiquement attribué au social dans certains departements, peut servir à faire autre chose que des budgets sociaux. Par exemple, la part attribué a des postes de sociaux est inexistante ( des fois qu'ils controlleraient le budget du departement, sait_on jamais), il n'y a plus d'aide sociale, et encore moins de prevention!
Donc, le benefice produit par le RSA peut servir au budget d'equipement du departement! Qui va controller? Je viens dejà d'un departement où il y a eu des detournements de fonds par un chef d'entreprise qui etait vice
president du conseil general.Et, à l'epoque ,il n'y avait ni decentralisation du RMI et le controle de légalité existait encore!
Donc, encore une fois encore , les rsa vont servir à remplir les caisses des Conseils Généraux.Si certains départements sont candidats à l'experimentation, ce n'est pas un hasard.Ils ont besoin des subventions.ET, cet argent ne reviendra pas aux rmistes. Comme d'hab!
Bonsoir,
Depuis la decentralisation du RMI aux Conseils Généraux, il est clair que le controle de légalité, n'est plus ou moins bien appliqué. Donc, je veux dire que l'argent, logiquement attribué au social dans certains departements, peut servir à faire autre chose que des budgets sociaux. Par exemple, la part attribué a des postes de sociaux est inexistante ( des fois qu'ils controlleraient le budget du departement, sait_on jamais), il n'y a plus d'aide sociale, et encore moins de prevention!
Donc, le benefice produit par le RSA peut servir au budget d'equipement du departement! Qui va controller? Je viens dejà d'un departement où il y a eu des detournements de fonds par un chef d'entreprise qui etait vice
president du conseil general.Et, à l'epoque ,il n'y avait ni decentralisation du RMI et le controle de légalité existait encore!
Donc, encore une fois encore , les rsa vont servir à remplir les caisses des Conseils Généraux.Si certains départements sont candidats à l'experimentation, ce n'est pas un hasard.Ils ont besoin des subventions.ET, cet argent ne reviendra pas aux rmistes. Comme d'hab!
Aujourd'hui Mercredi 9 Juillet, Mr Hirsch organise une conférence de concertation réunissant les associations et des élus locaux à propos du RSA.
Cela donne lieu à un article dans libé.
Un extrait:
Autre question à trancher : le montant de l’allocation versée au titre du revenu de solidarité active. Pour une personne seule travaillant à mi-temps, il faudra choisir entre une allocation de 189 euros par mois ou une plus généreuse de 214 euros. Cet argent s’ajoute aux 514 euros de revenus du travail et à un forfait logement de 50 euros.
Quid des droits connexes des allocataires du RMI ?
Les allocataires du RMI sont dispensés de taxe d’habitation et de redevance audiovisuelle. Ils touchent une prime de Noël. Le texte soumis à la conférence de concertation suggère la suppression de ces droits. Ce qui reviendrait à reprendre d’une main une partie de l’argent donné de l’autre par le RSA.
Vous étiez pauvre sans emploi? Avec le RSA vous le serez toujours mais en ayant un emploi. Cool non
?
Blagues à part, même des boulots d'esclaves , ils n'en auront pas pour tout le monde.
Cela donne lieu à un article dans libé.
Un extrait:
Autre question à trancher : le montant de l’allocation versée au titre du revenu de solidarité active. Pour une personne seule travaillant à mi-temps, il faudra choisir entre une allocation de 189 euros par mois ou une plus généreuse de 214 euros. Cet argent s’ajoute aux 514 euros de revenus du travail et à un forfait logement de 50 euros.
Quid des droits connexes des allocataires du RMI ?
Les allocataires du RMI sont dispensés de taxe d’habitation et de redevance audiovisuelle. Ils touchent une prime de Noël. Le texte soumis à la conférence de concertation suggère la suppression de ces droits. Ce qui reviendrait à reprendre d’une main une partie de l’argent donné de l’autre par le RSA.
Vous étiez pauvre sans emploi? Avec le RSA vous le serez toujours mais en ayant un emploi. Cool non

Blagues à part, même des boulots d'esclaves , ils n'en auront pas pour tout le monde.
Effectivement, tout cela reste soigneusement sous le seuil de pauvreté!
Donc, non seulement le travail en protège plus du tout de la pauvreté (alors, à quoi sert-il, franchement?), mais cette paupérisation des classes laborieuse est institutionnalisée par le RSA, lequel, je le rapelle, a été vendu comme devant faire sortir les travailleurs pauvres de la pauvreté!

Donc, non seulement le travail en protège plus du tout de la pauvreté (alors, à quoi sert-il, franchement?), mais cette paupérisation des classes laborieuse est institutionnalisée par le RSA, lequel, je le rapelle, a été vendu comme devant faire sortir les travailleurs pauvres de la pauvreté!
Et tout cela est conforté par les paroles de Sarkokarcher 1er qui a dit dernièrement à des pauvres ouvriers smicards, je le cite :Monolecte a écrit :Effectivement, tout cela reste soigneusement sous le seuil de pauvreté!![]()
Donc, non seulement le travail en protège plus du tout de la pauvreté (alors, à quoi sert-il, franchement?), mais cette paupérisation des classes laborieuse est institutionnalisée par le RSA, lequel, je le rapelle, a été vendu comme devant faire sortir les travailleurs pauvres de la pauvreté!
"Moi, je sais bien qu'avec le SMIC ...............on vit pas ".............et il se permet de rajouter :
"Je me doute bien qu'ici, quand on a fait sa journée et qu'on rentre chez soi crevé, on doit se dire : il ne me reste pas grand chose à la fin du mois..voire rien du tout !!!
et de conclure tout guilleret comme le gosse arrogant qu'il est :
"14 mois après, même pas fatigué "
Toujours aussi con ce plouc !