Dati déterminée à faire la peau aux plus pauvres!
Dati déterminée à faire la peau aux plus pauvres!
Le complexe de la pauvre qui renie, voire assassine le milieu d'où elle vient
L'esclave aux services de ses maitres!
L'esclave aux services de ses maitres!
Plutot Promotion Canapé! Non! Je sais , je ne devrais pas dire cela, moi qui était dans les luttes feministes dans les années 70, mais elle me sort par les trous de nez.
Nos avocats sont toujours en grève de la faim, depuis mardi, retranchés dans la salle du conseil de l'ordre. Ce ne sont pourtant pas des Purs Povres! ILs attendent la rachida.
Nos avocats sont toujours en grève de la faim, depuis mardi, retranchés dans la salle du conseil de l'ordre. Ce ne sont pourtant pas des Purs Povres! ILs attendent la rachida.
Elle ferait mieux de s'intéresser à la nature profonde de celui qu'elle sert si promptement : elle aurait de quoi flipper grave!
Franchise sur l'aide juridictionnelle
Ce que l'on oublie de dire surtout dans la presse nationale, c'est que si les montants de dotation à l'aide juridictionnelle ont explosé en quelques années, ce n'est pas la faute des justiciables.
Mme le Garde des Sceaux, ayant été juge d'instruction, devrait le savoir.
La dotation de l'aide juridictionnelle a explosé parce que l'accès à la justice est long, compliqué et coûteux d'une part, et parce que de plus en plus de procédures judiciaires nécessitent le recours au ministère d'avocat d'autre part. (Soit dit en passant, cette dérive entraîne d'autres conséquences, mais ce n'est pas le sujet).
Simultanément et sur la période de référence, le niveau de vie en France a beaucoup baissé ou s'est maintenu tant bien que mal - ce qui n'a pas empêché le renchérissement non contrôlé de bon nombre de services et de produits.
Les Français qui tiennent un avocat en permanence au bout de leur ligne téléphonique sont les mêmes que ceux qui se font soigner dans des cliniques privées.
On appelle cela le régime des privilèges (au sens étymologique : "lois privées"). Et évidemment, ce régime s'applique indistinctement à tous les Français, sous l'égide du principe républicain d'égalité.
Avoir un besoin impératif d'un spécialiste est une chose. Pouvoir le payer en est une autre !
Mme le Garde des Sceaux, ayant été juge d'instruction, devrait le savoir.
La dotation de l'aide juridictionnelle a explosé parce que l'accès à la justice est long, compliqué et coûteux d'une part, et parce que de plus en plus de procédures judiciaires nécessitent le recours au ministère d'avocat d'autre part. (Soit dit en passant, cette dérive entraîne d'autres conséquences, mais ce n'est pas le sujet).
Simultanément et sur la période de référence, le niveau de vie en France a beaucoup baissé ou s'est maintenu tant bien que mal - ce qui n'a pas empêché le renchérissement non contrôlé de bon nombre de services et de produits.
Les Français qui tiennent un avocat en permanence au bout de leur ligne téléphonique sont les mêmes que ceux qui se font soigner dans des cliniques privées.
On appelle cela le régime des privilèges (au sens étymologique : "lois privées"). Et évidemment, ce régime s'applique indistinctement à tous les Français, sous l'égide du principe républicain d'égalité.
Avoir un besoin impératif d'un spécialiste est une chose. Pouvoir le payer en est une autre !
une "maladresse" de plus ?
Elle serait revenue sur ses propos, expliquant que «Ce n'est pas une proposition du gouvernement. C'est une proposition qui est contenue dans ce rapport» et qu'elle regarderait «d'ici la fin de l'année» le dossier de l'aide juridictionnelle.
Arnaud Montebourg a pris acte de cette mise au point : «Nous avons compris que c'est un projet auquel le gouvernement a pensé et qu'il ne met pas en œuvre», a-t-il dit.
Partie remise ?
Arnaud Montebourg a pris acte de cette mise au point : «Nous avons compris que c'est un projet auquel le gouvernement a pensé et qu'il ne met pas en œuvre», a-t-il dit.
Partie remise ?
Ne serait-ce pas plutot parce que le tribunal de ST TROPEZ est aussi dans la liste des fermetures, et, que là , ça s'est manifesteé par lettre et menace de refus electoral?
En tout ca, je ne sais meme p as si elle sait ce qu"elle fait la rachida?
Ex: ici, elle menace de fermer Montluçon, les avocats font la grève de la faim.Alors, elle rouvre Montluçon, et, elle ferme MOULIN, (j'etais à MOULINS ce matin, manif ,blocage de la ville, et, grève de la faim)Donc, elle rouvre Moulins, mais ferme Vichy. On attends donc, qu'elle rouvre Vichy, si Vichy fait la grève de la faim. Mais, alors; elle fermera MONtluçon.Elle a du trop regarder l'histoire sans fin, quand elle était petite.
En tout ca, je ne sais meme p as si elle sait ce qu"elle fait la rachida?
Ex: ici, elle menace de fermer Montluçon, les avocats font la grève de la faim.Alors, elle rouvre Montluçon, et, elle ferme MOULIN, (j'etais à MOULINS ce matin, manif ,blocage de la ville, et, grève de la faim)Donc, elle rouvre Moulins, mais ferme Vichy. On attends donc, qu'elle rouvre Vichy, si Vichy fait la grève de la faim. Mais, alors; elle fermera MONtluçon.Elle a du trop regarder l'histoire sans fin, quand elle était petite.
Elle vient de se faire huer à Lyon et doit aller en Corse dans la foulée.
Réforme de la carte judiciaire: Rachida Dati accueillie par des huées à Lyon
300 à 400 personnes ont manifesté vendredi matin devant l'Ecole nationale du Trésor public à Lyon où la garde des Sceaux Rachida Dati est venue présenter la réforme de la carte judiciaire pour les ressorts des cours d'appel de Lyon, Grenoble, Chambéry et Riom (Puy-de-Dôme).
A son arrivée, la ministre de la Justice a évité la manifestation, sa voiture s'engouffrant directement dans la cour de l'établissement sous les huées des manifestants. Parmi les protestataires, essentiellement des avocats, des personnels de la justice et quelques élus qui attendaient la ministre depuis une heure dans le froid. Certains portaient des panneaux hostiles à Mme Dati.
"C'est la Dati +ktature+", "La Rachida +titude+, c'est le mépris" ou encore "Dati passe, les tribunaux trépassent", pouvait-on lire sur les pancartes. La ministre de la Justice recevra une délégation syndicale après sa rencontre avec les magistrats, qui était en cours vendredi vers 12H00. Un point-presse clôturera cette réunion.
Plus tôt dans la matinée, Rachida Dati avait également présenté aux élus locaux et régionaux de son projet de réforme de la carte judiciaire pour les régions Rhône-Alpes et Auvergne.
Au lendemain de l'adoption par l'Assemblée nationale du Budget du ministère de la justice, la ministre Rachida Dati se rend à Lyon pour y présenter la réforme de la carte judiciaire concernant les cours d'appel de Chambéry, Grenoble, Lyon et Riom. Elle est ensuite attendue en Corse pour y présenter la nouvelle carte judiciaire de la cour d'appel de Bastia.
Les députés ont adopté jeudi par 136 voix contre 81 le projet de budget du ministère de la Justice mais les débats ont été monopolisés par la polémique sur la réforme de la carte judiciaire lancée par Rachida Dati, critiquée jusque dans les rangs de sa majorité. Interpellé sur tous les bancs de l'hémicycle sur les inquiétudes nées de ses projets de suppression de tribunaux, le garde des Sceaux a davantage dû s'expliquer sur sa refonte de la carte des juridictions que sur ses crédits pour 2008 (6,5 milliards d'euros, + 4,5%).
En outre, la ministre a failli provoquer une nouvelle polémique en évoquant une "piste" de réforme de l'aide juridictionnelle, prévoyant une "franchise" dont s'acquitteraient les justiciables qui n'ont pas les moyens de se payer un avocat. Il s'agit d'une proposition d'un rapport sénatorial remis en octobre et non d'un projet du gouvernement, a vite précisé Mme Dati alors que l'opposition brandissait la menace d'une nouvelle "taxe sur les victimes".
"Mme la ministre, vous resterez celle qui aura laissé des déserts judiciaires dans le monde rural", a lancé Mme Dati le socialiste Arnaud Montebourg qui a multiplié les prises de paroles contre les fermetures "à la hâche" d'environ deux cents tribunaux d'instance sur quelque 470, là où sont traités les litiges de la vie quotidienne (endettement, tutelle). "Ce sont les territoires ruraux et les citoyens les plus modestes qui paient le prix de cette contre-réforme", a ajouté le député de Saône-et-Loire. "Une justice de proximité est une justice proche du citoyen dans tous les sens du terme", a insisté le député communiste Michel Vaxès.
La colère persistante sur le terrain se traduit par des manifestations quotidiennes, des blocages de tribunaux, des grèves d'avocats voire grèves de la faim, jusqu'à la journée d'action prévue le 29 novembre chez les magistrats et fonctionnaires de justice.
Info vue sur le portail Orange
Je ne sais pas si les Corses dont le sang-froid est légendaire vont se contenter de jeter des tomates
Réforme de la carte judiciaire: Rachida Dati accueillie par des huées à Lyon
300 à 400 personnes ont manifesté vendredi matin devant l'Ecole nationale du Trésor public à Lyon où la garde des Sceaux Rachida Dati est venue présenter la réforme de la carte judiciaire pour les ressorts des cours d'appel de Lyon, Grenoble, Chambéry et Riom (Puy-de-Dôme).
A son arrivée, la ministre de la Justice a évité la manifestation, sa voiture s'engouffrant directement dans la cour de l'établissement sous les huées des manifestants. Parmi les protestataires, essentiellement des avocats, des personnels de la justice et quelques élus qui attendaient la ministre depuis une heure dans le froid. Certains portaient des panneaux hostiles à Mme Dati.
"C'est la Dati +ktature+", "La Rachida +titude+, c'est le mépris" ou encore "Dati passe, les tribunaux trépassent", pouvait-on lire sur les pancartes. La ministre de la Justice recevra une délégation syndicale après sa rencontre avec les magistrats, qui était en cours vendredi vers 12H00. Un point-presse clôturera cette réunion.
Plus tôt dans la matinée, Rachida Dati avait également présenté aux élus locaux et régionaux de son projet de réforme de la carte judiciaire pour les régions Rhône-Alpes et Auvergne.
Au lendemain de l'adoption par l'Assemblée nationale du Budget du ministère de la justice, la ministre Rachida Dati se rend à Lyon pour y présenter la réforme de la carte judiciaire concernant les cours d'appel de Chambéry, Grenoble, Lyon et Riom. Elle est ensuite attendue en Corse pour y présenter la nouvelle carte judiciaire de la cour d'appel de Bastia.
Les députés ont adopté jeudi par 136 voix contre 81 le projet de budget du ministère de la Justice mais les débats ont été monopolisés par la polémique sur la réforme de la carte judiciaire lancée par Rachida Dati, critiquée jusque dans les rangs de sa majorité. Interpellé sur tous les bancs de l'hémicycle sur les inquiétudes nées de ses projets de suppression de tribunaux, le garde des Sceaux a davantage dû s'expliquer sur sa refonte de la carte des juridictions que sur ses crédits pour 2008 (6,5 milliards d'euros, + 4,5%).
En outre, la ministre a failli provoquer une nouvelle polémique en évoquant une "piste" de réforme de l'aide juridictionnelle, prévoyant une "franchise" dont s'acquitteraient les justiciables qui n'ont pas les moyens de se payer un avocat. Il s'agit d'une proposition d'un rapport sénatorial remis en octobre et non d'un projet du gouvernement, a vite précisé Mme Dati alors que l'opposition brandissait la menace d'une nouvelle "taxe sur les victimes".
"Mme la ministre, vous resterez celle qui aura laissé des déserts judiciaires dans le monde rural", a lancé Mme Dati le socialiste Arnaud Montebourg qui a multiplié les prises de paroles contre les fermetures "à la hâche" d'environ deux cents tribunaux d'instance sur quelque 470, là où sont traités les litiges de la vie quotidienne (endettement, tutelle). "Ce sont les territoires ruraux et les citoyens les plus modestes qui paient le prix de cette contre-réforme", a ajouté le député de Saône-et-Loire. "Une justice de proximité est une justice proche du citoyen dans tous les sens du terme", a insisté le député communiste Michel Vaxès.
La colère persistante sur le terrain se traduit par des manifestations quotidiennes, des blocages de tribunaux, des grèves d'avocats voire grèves de la faim, jusqu'à la journée d'action prévue le 29 novembre chez les magistrats et fonctionnaires de justice.
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Je ne sais pas si les Corses dont le sang-froid est légendaire vont se contenter de jeter des tomates

tiens, c'est une femme alors c'est une taspé. Si c'était un homme ce serait un opportuniste ambitieux.Monolecte a écrit :Tasspé!![]()
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Je dirais qu'elle est une opportuniste ambitieuse, zélée. Elle a du cran et du bagout, certes, mais elle semble renier son milieu pour s'adapter à un panier de crabes où les coups bas sont légions. Ca peut lui retomber dessus, tout comme pour son petit mentor hyperactif (qui se repose un peu pour cause de greve ?)
Je viens seulement de comprendreMonolecte a écrit :
Tasspé!


Ben oui c'en est une je trouve, et surement zélée dans la bêtise et les effets d'annonces à l'image de son petit président, brouillonne, dossiers non préparés, bref incompétente

Et avoir du cran entourée d'une meute de gardes du corps, mmmmouais

Un bon billet chez maitre eolas
Le coup de la référence à la taxe hospitalière serait assez cocasse, si ce n'était pas si grave
Le coup de la référence à la taxe hospitalière serait assez cocasse, si ce n'était pas si grave
