Born in the USA
Re: USA: chômeurs s'abstenir
Au côté des très classiques "Joyeux anniversaire ou "Sincères condoléances", le fabricant de cartes de vœux Hallmarks colle à l'actualité américaine et vient de sortir une ligne de cartes dédiées... au chômage.
"Ne pense pas que tu viens de perdre ton boulot", affirme une de ces cartes qui, quand on l'ouvre, ajoute : "Pense que c'est une pause entre deux imbéciles de patrons".
"C'est dur de dire quelque chose à un moment délicat comme celui-là", affirme une autre carte montrant une file d'attente devant un bureau de chômage, et qui ajoute à l'intérieur : "Que penses-tu de : “C'est moi qui paye !”".
"Ce ne seront pas les cartes les plus vendues, mais elles occupent une niche qui peut être utile à certains", affirme le service de presse de Hallmark. Le premier fabricant américain de cartes précise que la maison a "toujours créé des cartes portant des messages d'encouragement" et que "l'humour est plus important maintenant que jamais".
http://www.lesechos.fr/culture-loisirs/ ... 224977.php
"Ne pense pas que tu viens de perdre ton boulot", affirme une de ces cartes qui, quand on l'ouvre, ajoute : "Pense que c'est une pause entre deux imbéciles de patrons".
"C'est dur de dire quelque chose à un moment délicat comme celui-là", affirme une autre carte montrant une file d'attente devant un bureau de chômage, et qui ajoute à l'intérieur : "Que penses-tu de : “C'est moi qui paye !”".
"Ce ne seront pas les cartes les plus vendues, mais elles occupent une niche qui peut être utile à certains", affirme le service de presse de Hallmark. Le premier fabricant américain de cartes précise que la maison a "toujours créé des cartes portant des messages d'encouragement" et que "l'humour est plus important maintenant que jamais".
http://www.lesechos.fr/culture-loisirs/ ... 224977.php
Re: USA: chômeurs s'abstenir
Je me demande si ce fabricant de cartes offre aux salariés qu'elle vire ce type de cartes?"Pense que c'est une pause entre deux imbéciles de patrons".

Faillite à Wall Street
http://www.boursorama.com/forum-bnp-par ... 13191622-1Victime de la dette européenne, un grand nom de Wall Street dépose le bilan
MF Global, l'un des plus grands noms du courtage aux Etats-Unis, a déposé le bilan lundi, devenant ainsi le premier gros groupe de Wall Street victime de la crise de la dette européenne, sur laquelle il avait massivement parié. Le conseil d'administration du groupe l'a placé sous la protection de la loi des faillites afin de "protéger ses actifs", indique un communiqué des autorités boursières. Selon le dossier du dépôt de bilan déposé devant un tribunal new-yorkais, il possédait au 30 septembre 41 milliards de dollars d'actifs et 39,7 milliards de passif, ce qui en fait la huitième plus grosse faillite aux Etats-Unis depuis 1980.
MF Global, l'un des premiers courtiers en matières premières et produits dérivés dans le monde, était dans une position très difficile en raison des pertes plus lourdes que prévu annoncées la semaine dernière.
Dites-donc, les Européens, c'est pas bien de refiler ses "microbes" à l'Oncle Sam!

Résumons: A cause de la crise de la dette en Europe, classement des faillites des banques:
1er: Dexia (frano-belge)
2ème:MF Global (usa)
Qui sera lui suivante???

comme un boomerang
Quand Barack Obama fustigeait récemment l'UE incapable de sortir de "sa" crise, il craignait un retour de bâton qui ne s'est pas fait attendre.
C'est l'histoire de l'arroseur arrosé. Les USA ont inventé l'ultralibéralisme et l'endettement, puis ils nous ont refilé leur crise des subprimes. Faut pas qu'il s'étonnent que la crise qu'ils ont exportée leur revienne à la face. J'en avais parlé ici.
C'est l'histoire de l'arroseur arrosé. Les USA ont inventé l'ultralibéralisme et l'endettement, puis ils nous ont refilé leur crise des subprimes. Faut pas qu'il s'étonnent que la crise qu'ils ont exportée leur revienne à la face. J'en avais parlé ici.
Re: Faillite à Wall Street
Le courtier MF Global aurait enfreint les règles :
http://lexpansion.lexpress.fr/entrepris ... 68286.html
Le New York Times avait révélé lundi soir que les régulateurs financiers avaient lancé une enquête après avoir découvert ce week-end un trou d'environ 700 millions de dollars dans les comptes de MF Global. Selon le Wall Street Journal, la maison de courtage a reconnu auprès des régulateurs fédéraux avoir détourné les sommes déposées sur les comptes de ses clients, ce qui est interdit par la régulation.
http://lexpansion.lexpress.fr/entrepris ... 68286.html
Le New York Times avait révélé lundi soir que les régulateurs financiers avaient lancé une enquête après avoir découvert ce week-end un trou d'environ 700 millions de dollars dans les comptes de MF Global. Selon le Wall Street Journal, la maison de courtage a reconnu auprès des régulateurs fédéraux avoir détourné les sommes déposées sur les comptes de ses clients, ce qui est interdit par la régulation.
Chomsky : sur le suicide économique de l'Amérique
Extrait :
article complet et sourceIl s’agit du décryptage de l’entretien télévisé avec Noam Chomsky réalisé par Laura Flanders pour Free Speech TV le 24 avril 2012, à l’occasion de la parution de Occupy, titre de l’auteur dans la série des opuscules activistes des éditions Zuccotti Park Press (éditions alternatives de l’association sans profit Adelante Alliance, pour l’éducation et la défense des immigrants, basée à Brooklyn). Où Chomsky parle de « Occupy Wall Street, d’anarchisme, du travail » — syndicalisme, autonomie ouvrière, statut des moyens de production — « du racisme, du pouvoir d’entreprise (Corporate Power) et de la guerre des classes » principalement aux États-Unis mais pas seulement, sans manquer d’évoquer aussi, en passant, le « suicide » européen...
Re: Born in the USA
Mitt Romney, roi de l'entourloupe fiscale
Estimée à 250 millions de dollars, la fortune du candidat républicain a fait l'objet d'une vaste enquête du magazine Vanity Fair révélant une habileté peu commune au contournement fiscal : comptes off-shore, maquillage de comptes...
Déjà en janvier, l’ancien gouverneur du Massachussets avait été contraint comme les autres candidats républicains de publier ses feuilles d'impôts sur son site Internet, révélant alors qu'il ne payait que 15% de ses revenus au fisc, soit largement moins que la moyenne des salariés américains.
Détenteur d'une fortune estimée entre 190 et 250 millions de dollars, sorte de «Tapie à l'américaine», pilleur d’entreprises en difficulté (ou non) ayant bâti sa fortune sur le dos des milliers de salariés licenciés, pionnier des délocalisations, Mitt Romney, âgé de 64 ans, à la tête d’un fonds d’investissement (Bain Capital, troisième fonds LBO mondial qui rachète des entreprises du monde entier par ce biais) a déclaré des revenus de 21,7 millions de dollars pour 2010 et de 20,9 millions pour 2011. Au total pour ces deux années-là, Mitt Romney a donné 7 millions de dollars à des œuvres de charité — pour l'essentiel à l'Eglise mormone, dont il est membre — et payé 6,2 millions de dollars d'impôts fédéraux. Les 3 millions de dollars de contributions versées en 2010 représentent un taux d'imposition de 13,9% et les 3,2 millions de dollars payés l'an dernier un taux de 15,4%. Il profite ainsi en particulier, comme de nombreux Américains aisés, de niches fiscales instaurées en 2001 et 2003 sous l'égide de l'ancien président républicain George W. Bush.
La chaîne ABC avait révélé en avril que Romney aurait investi des millions de dollars sur une douzaine de comptes off-shore aux Iles Caïman quand il était à la tête du Bain Capital, de 1980 à 1999. Cette semaine, le magazine Vanity Fair en a remis une couche en allant jeter un œil dans les comptes obscurs du candidat républicain. Officiellement en retrait de ce fonds d’investissement, l'article de Vanity Fair détaille ainsi comment Mitt Romney continue d'avoir des intérêts personnels dans au moins 12 des 138 fonds gérés par Bain Capital aux îles Caïmans, ce qui contredit les affirmations de l'intéressé. Par ailleurs, de tels investissements sont tenus secrets, rendant du coup l'évaluation du montant réel des biens du candidat tout simplement impossible. Vanity Fair avance le chiffre «d’au moins 30 millions de dollars».
Mitt Romney dispose aussi d'un compte en banque en Suisse, fort de 3 millions de dollars selon sa feuille d'impôt 2010, ainsi que d'autres intérêts dans des paradis fiscaux comme les Bermudes, selon le magazine.
http://www.marianne2.fr/Mitt-Romney-roi ... 20430.html
Estimée à 250 millions de dollars, la fortune du candidat républicain a fait l'objet d'une vaste enquête du magazine Vanity Fair révélant une habileté peu commune au contournement fiscal : comptes off-shore, maquillage de comptes...
Déjà en janvier, l’ancien gouverneur du Massachussets avait été contraint comme les autres candidats républicains de publier ses feuilles d'impôts sur son site Internet, révélant alors qu'il ne payait que 15% de ses revenus au fisc, soit largement moins que la moyenne des salariés américains.
Détenteur d'une fortune estimée entre 190 et 250 millions de dollars, sorte de «Tapie à l'américaine», pilleur d’entreprises en difficulté (ou non) ayant bâti sa fortune sur le dos des milliers de salariés licenciés, pionnier des délocalisations, Mitt Romney, âgé de 64 ans, à la tête d’un fonds d’investissement (Bain Capital, troisième fonds LBO mondial qui rachète des entreprises du monde entier par ce biais) a déclaré des revenus de 21,7 millions de dollars pour 2010 et de 20,9 millions pour 2011. Au total pour ces deux années-là, Mitt Romney a donné 7 millions de dollars à des œuvres de charité — pour l'essentiel à l'Eglise mormone, dont il est membre — et payé 6,2 millions de dollars d'impôts fédéraux. Les 3 millions de dollars de contributions versées en 2010 représentent un taux d'imposition de 13,9% et les 3,2 millions de dollars payés l'an dernier un taux de 15,4%. Il profite ainsi en particulier, comme de nombreux Américains aisés, de niches fiscales instaurées en 2001 et 2003 sous l'égide de l'ancien président républicain George W. Bush.
La chaîne ABC avait révélé en avril que Romney aurait investi des millions de dollars sur une douzaine de comptes off-shore aux Iles Caïman quand il était à la tête du Bain Capital, de 1980 à 1999. Cette semaine, le magazine Vanity Fair en a remis une couche en allant jeter un œil dans les comptes obscurs du candidat républicain. Officiellement en retrait de ce fonds d’investissement, l'article de Vanity Fair détaille ainsi comment Mitt Romney continue d'avoir des intérêts personnels dans au moins 12 des 138 fonds gérés par Bain Capital aux îles Caïmans, ce qui contredit les affirmations de l'intéressé. Par ailleurs, de tels investissements sont tenus secrets, rendant du coup l'évaluation du montant réel des biens du candidat tout simplement impossible. Vanity Fair avance le chiffre «d’au moins 30 millions de dollars».
Mitt Romney dispose aussi d'un compte en banque en Suisse, fort de 3 millions de dollars selon sa feuille d'impôt 2010, ainsi que d'autres intérêts dans des paradis fiscaux comme les Bermudes, selon le magazine.
http://www.marianne2.fr/Mitt-Romney-roi ... 20430.html
Re: Born in the USA
Ca fait peut-être beaucoup de pensions alimentaires ?Mitt Romney a donné 7 millions de dollars à des œuvres de charité — pour l'essentiel à l'Eglise mormone, dont il est membre
Et si c'était ça le rêve américain ? Je suis sûre qu'un tas de gens trouvent formidable d'être aussi riche et de détourner des sommes faramineuses au fisc. Il doit en exister un paquet qui aimerait truander ainsi, c'est plus vendeur que les bons alimentaires donnés aux pauvres sur leurs impôts.
Ils sont fous, ces Américains !
Un parachute de 44 millions de dollars après… une journée de travail
Quand Duke Energy annonce sa fusion avec Progress Energy l'année dernière pour former l'un des plus gros fournisseurs d'électricité aux Etats-Unis (14,5 milliards de dollars de chiffre d'affaires en 2011), les deux entreprises se mettent d'accord sur le futur management : le président exécutif de Progress Energy, Bill Johnson, serait le directeur exécutif de la nouvelle entité. Le 27 juin, Bill Johnson signe donc un contrat de trois ans à la tête de Duke Energy.
La fusion entrant en vigueur le 2 juillet 2012, Bill Johnson devient le nouveau président-directeur général de Duke Energy. Mais, surprise, le 3 juillet 2012 à minuit, Bill Johnson "démissionne". Et, surprise encore, le tout juste nouvel ex-PDG de Duke Energy repart avec un joli pactole : le conseil d'administration de l'entreprise a décidé de lui accorder un parachute doré de près 44,4 millions de dollars (36 millions d'euros) pour… "son travail et ses efforts". Cela inclus, entre autre, 7,4 millions de dollars d'indemnités + un bonus de près de 1,4 millions dollars + 1,5 millions de dollars de "sommes forfaitaires".
Si on considère que Bill Johnson a travaillé huit heures en tant que PDG de Duke Energy, alors son salaire horaire serait de 5,5 millions de dollars (4,5 millions d'euros). Soit 765.000 fois le salaire minimum en cours au Etats-Unis, qui est actuellement de 7,25 dollars (5.89 euros) par heure. Pour la petite histoire, beaucoup de journalistes américains doutent de la "démission" de Bill Johnson et parlent de licenciement.
http://www.latribune.fr/actualites/econ ... avail.html
Quand Duke Energy annonce sa fusion avec Progress Energy l'année dernière pour former l'un des plus gros fournisseurs d'électricité aux Etats-Unis (14,5 milliards de dollars de chiffre d'affaires en 2011), les deux entreprises se mettent d'accord sur le futur management : le président exécutif de Progress Energy, Bill Johnson, serait le directeur exécutif de la nouvelle entité. Le 27 juin, Bill Johnson signe donc un contrat de trois ans à la tête de Duke Energy.
La fusion entrant en vigueur le 2 juillet 2012, Bill Johnson devient le nouveau président-directeur général de Duke Energy. Mais, surprise, le 3 juillet 2012 à minuit, Bill Johnson "démissionne". Et, surprise encore, le tout juste nouvel ex-PDG de Duke Energy repart avec un joli pactole : le conseil d'administration de l'entreprise a décidé de lui accorder un parachute doré de près 44,4 millions de dollars (36 millions d'euros) pour… "son travail et ses efforts". Cela inclus, entre autre, 7,4 millions de dollars d'indemnités + un bonus de près de 1,4 millions dollars + 1,5 millions de dollars de "sommes forfaitaires".
Si on considère que Bill Johnson a travaillé huit heures en tant que PDG de Duke Energy, alors son salaire horaire serait de 5,5 millions de dollars (4,5 millions d'euros). Soit 765.000 fois le salaire minimum en cours au Etats-Unis, qui est actuellement de 7,25 dollars (5.89 euros) par heure. Pour la petite histoire, beaucoup de journalistes américains doutent de la "démission" de Bill Johnson et parlent de licenciement.
http://www.latribune.fr/actualites/econ ... avail.html
Re: Born in the USA
Un candidat qui fait la nique au FISC, je comprends maintenant pourquoi il est en train de faire son retard sur ObamaEstimée à 250 millions de dollars, la fortune du candidat républicain a fait l'objet d'une vaste enquête du magazine Vanity Fair révélant une habileté peu commune au contournement fiscal : comptes off-shore, maquillage de comptes...

Romney à nouveau rattrapé par Bain Capital
Mitt Romney promet de "remettre l'Amérique au travail", mais dans l'Illinois, les salariés d'une usine automobile implorent le candidat républicain à la Maison Blanche d'empêcher Bain Capital, le fonds d'investissement qu'il a fondé, de délocaliser en Chine...
Rachetée par Bain Capital en janvier 2011, l'usine de la petite ville de Freeport, dans le nord des Etats-Unis, est en train de fermer et Tom Gaulrapp, 33 ans d'expérience, se sent humilié d'avoir à former des ingénieurs chinois appelés à le remplacer. "Comment le candidat républicain peut-il promettre de créer 12 millions d'emplois quand il n'a qu'à passer un appel au fonds qu'il a quitté à la fin des années 1990 pour en sauver 170 ?", s'interroge-t-il. "Ce qu'on attend, c'est un miracle", lâche-t-il, dépité. "On aimerait que Mitt Romney vienne à Freeport, qu'il voie ce que ça fait à cette ville et qu'il contacte ses amis à la tête de Bain Capital" pour les faire revenir sur leur décision. […] Le maire de cette ville en crise de 26.000 habitants est amer, lui aussi. "On ne peut pas continuer à délocaliser des emplois et maintenir l'existence de la classe moyenne", se désole-t-il.
http://www.lemonde.fr/elections-america ... 29254.html
On rappelle que pour Mitt Romney, 47% des Américains sont des "assistés" et des "bons-à-rien"...
Rachetée par Bain Capital en janvier 2011, l'usine de la petite ville de Freeport, dans le nord des Etats-Unis, est en train de fermer et Tom Gaulrapp, 33 ans d'expérience, se sent humilié d'avoir à former des ingénieurs chinois appelés à le remplacer. "Comment le candidat républicain peut-il promettre de créer 12 millions d'emplois quand il n'a qu'à passer un appel au fonds qu'il a quitté à la fin des années 1990 pour en sauver 170 ?", s'interroge-t-il. "Ce qu'on attend, c'est un miracle", lâche-t-il, dépité. "On aimerait que Mitt Romney vienne à Freeport, qu'il voie ce que ça fait à cette ville et qu'il contacte ses amis à la tête de Bain Capital" pour les faire revenir sur leur décision. […] Le maire de cette ville en crise de 26.000 habitants est amer, lui aussi. "On ne peut pas continuer à délocaliser des emplois et maintenir l'existence de la classe moyenne", se désole-t-il.
http://www.lemonde.fr/elections-america ... 29254.html
On rappelle que pour Mitt Romney, 47% des Américains sont des "assistés" et des "bons-à-rien"...
Re: Born in the USA
Tiens, tiens... mot pour mot les paroles de l'ex il y a 5 ans. Z'auraient le même con-seiller ? Attention, il porte malheurMitt Romney promet de "remettre l'Amérique au travail",

Re: Born in the USA
Pas grand chose a esperer de celui la, pas plus que de Oblabla (prix nobel de la paix) d'ailleurs... Vu le merdier dans lequel se trouvent les etats unis (et le reste du monde), les gens conscients n'ont surtout pas envie du fauteuil...
Pour la strategie marketing qui devrait lui permettre (selon son point de vue) de gagner les elections, au point ou nous en sommes je ne vois rien de choquant, depuis le droit de vote tous ceux qui ont ete elus ont du proceder de la meme maniere, a mon avis il n'y en a pas d'autre...
Pour la strategie marketing qui devrait lui permettre (selon son point de vue) de gagner les elections, au point ou nous en sommes je ne vois rien de choquant, depuis le droit de vote tous ceux qui ont ete elus ont du proceder de la meme maniere, a mon avis il n'y en a pas d'autre...
Re: Born in the USA
On récompense ceux qui envahissent et colonisent des pays étrangers et tuent des civils innocents, quel progrès !pas plus que de Oblabla (prix nobel de la paix)

Au fait, promesse de campagne, a-t-il fermé Guantanamo ? Je ne crois pas.
Aucune illusion à se faire, ce sont les grosses firmes qui financent leurs campagnes (je crois me souvenir du chiffre d'UN milliard de $ !) en donnant dans les deux râteliers. Les candidats leur doivent un retour d'ascenseur.