bonjour
j'ai une question qui ne trouve pas sa reponse:une personne embauchee en cdi intermittent par un groupement d'employeur (agriculture),travaillant 10 mois sur 12,et donc avec une suspension du contrat pendant 2 mois ,peut elle beneficier des assedics?
assedic et cdi intermittent (agricole)
Avant d'avoir l'avis de St Dumortier, il me semble que tout CDI qui ne soit pas à temps plein ou présente un caractère hors normes (à temps très partiel, de "mission" ou "intermittent") est à éviter car il recèle des pièges.
Le statut même de CDI indique qu'il n'y a pas d'interruption de travail, donc pas de chômage.
Je me souviens d'une émission Tv où il était question de personnes s'étant fait arnaquer par un prestataire de la grande distribution : elles étaient embauchées en CDI et étaient catapultées à la demande dans divers magasins, soit pour mettre en place des têtes de gondoles, soit pour faire la promo de certains produits... Elles étaient en CDI mais bossaient en discontinu, selon le bon vouloir de leur employeur. Du fait de la discontinuité de leur travail, étant rémunérées à la "mission", certaines d'entre elles n'arrivaient même pas à gagner le Smic !
L'une d'entre elles, en conflit avec cet employeur, ne se voyait plus confier aucune tâche : elle restait salariée de l'entreprise, donc pas au chômage, mais chez elle et sans salaire. La seule solution pour elle était de démissionner.
Je me demande dans quelle mesure ce type de CDI est légal : il faudrait poser la question à l'inspection du travail.
Le statut même de CDI indique qu'il n'y a pas d'interruption de travail, donc pas de chômage.
Je me souviens d'une émission Tv où il était question de personnes s'étant fait arnaquer par un prestataire de la grande distribution : elles étaient embauchées en CDI et étaient catapultées à la demande dans divers magasins, soit pour mettre en place des têtes de gondoles, soit pour faire la promo de certains produits... Elles étaient en CDI mais bossaient en discontinu, selon le bon vouloir de leur employeur. Du fait de la discontinuité de leur travail, étant rémunérées à la "mission", certaines d'entre elles n'arrivaient même pas à gagner le Smic !
L'une d'entre elles, en conflit avec cet employeur, ne se voyait plus confier aucune tâche : elle restait salariée de l'entreprise, donc pas au chômage, mais chez elle et sans salaire. La seule solution pour elle était de démissionner.
Je me demande dans quelle mesure ce type de CDI est légal : il faudrait poser la question à l'inspection du travail.