CE SOIR, une grande bouffée d'oxygene!
CE SOIR,une grande bouffée d'oxygene!
OUF.Les français sont un peuple intelligent d'apres Arnaud Montebourg.En tout cas, on respire un peu.
ON ETAIT EN APNEE.
La TVA SOCIALE AURA ETE FINALEMENT UTILE.
ON ETAIT EN APNEE.
La TVA SOCIALE AURA ETE FINALEMENT UTILE.
Double victoire...
pour Sarkozy.
Dimanche soir il a reussi à obtenir une majorité pour nous asséner sa politique anti sociale et...
à se débarasser de Juppé.
Je me demande s'il faut se réjouir du départ de Juppé du gouvernement
Je me demande si ce dernier va continuer à faire du vélo
Dimanche soir il a reussi à obtenir une majorité pour nous asséner sa politique anti sociale et...
à se débarasser de Juppé.
Je me demande s'il faut se réjouir du départ de Juppé du gouvernement

Je me demande si ce dernier va continuer à faire du vélo

Ms au gouvernement ils st en majorité, ainsi qu'à l'assemblée, ns sommes tjrs perdants et vs croyez que cela va les gêner pour augmenter la tva, donner l'aumône aux smicards - mais vs rêvez. "Napoléon" sarkozy va mener sa barque et ns sommes partis pour 5 ans - les français ont la mémoire courte et sont maso - et c..s, ns savions ts que rien ne changerait par rapport à chirac. La france aux riches.
Certes, mais…
Entre un tsunami bleu et une majorité absolue UMP, je préfère la seconde option.
Il faut voir le bon côté des choses. Il n'aura pas fallu attendre deux mois avant que les Françaises et Français se ressaisissent… un peu.
L'éviction d'Alain Juppé est une grande victoire démocratique (au regard de son passé politique entaché). C'est également une grande victoire contre le cumul des mandats et des responsabilités souvent incompatibles dont il était coutumier (maire de Bordeaux, Président de la collectivité de communes, député, ministre, président ou trésorier de parti politique…).
C’est aussi une victoire pour la cause écologique, parce que Juppé dans ses habits verts, pardon mais il n’était franchement pas crédible !
C'est enfin un désaveu pour Fillon et Borloo (sur les sujets du SMIC et de la TVA sociale), mais aussi pour Sarkozy qui orchestre le tout.
Entre le 10 juin (premier tour) et 17 juin, "les mouches ont changé d'âne", comme disent les rugbymen.
La gauche plurielle et le MoDem étaient au fond du trou. Aujourd'hui, c'est le gouvernement dans son ensemble qui est sanctionné.
Reste qu'il bénéficie d'une majorité ABSOLUE à l'Assemblée. Mais ça, ça ne change pas grand-chose : il l'avait déjà en 2002.
Il faut voir le bon côté des choses. Il n'aura pas fallu attendre deux mois avant que les Françaises et Français se ressaisissent… un peu.
L'éviction d'Alain Juppé est une grande victoire démocratique (au regard de son passé politique entaché). C'est également une grande victoire contre le cumul des mandats et des responsabilités souvent incompatibles dont il était coutumier (maire de Bordeaux, Président de la collectivité de communes, député, ministre, président ou trésorier de parti politique…).
C’est aussi une victoire pour la cause écologique, parce que Juppé dans ses habits verts, pardon mais il n’était franchement pas crédible !
C'est enfin un désaveu pour Fillon et Borloo (sur les sujets du SMIC et de la TVA sociale), mais aussi pour Sarkozy qui orchestre le tout.
Entre le 10 juin (premier tour) et 17 juin, "les mouches ont changé d'âne", comme disent les rugbymen.
La gauche plurielle et le MoDem étaient au fond du trou. Aujourd'hui, c'est le gouvernement dans son ensemble qui est sanctionné.
Reste qu'il bénéficie d'une majorité ABSOLUE à l'Assemblée. Mais ça, ça ne change pas grand-chose : il l'avait déjà en 2002.
Nicolas Sarkozy est contraint de revoir sa stratégie
LE MONDE | 18.06.07 | 09h14 • Mis à jour le 18.06.07 | 10h51
Nicolas Sarkozy et François Fillon disposeront d'une "majorité claire" à défaut de la "majorité large" qu'ils réclamaient.
Avec 314 sièges – contre 185 sièges au PS – l'UMP n'aura même pas besoin du soutien des 22 centristes ralliés avant le premier tour ou après au panache de M. Sarkozy. Pour la quatrième fois en un mois et demi, les électeurs ont placé la droite en tête. Pour la première fois depuis vingt-cinq ans, une majorité se succède à elle-même. Mais… Mais il flotte sur la victoire de la droite, au second tour des élections législatives, dimanche 17 juin, un parfum de contre-performance.
Mais la vague bleue annoncée par les sondages s'est heurtée à une digue rose plus solide que prévue.
Mais le président de la République et son premier ministre réalisent une moins bonne performance, au total, que Jacques Chirac et Jean-Pierre Raffarin, qui, en juin 2002, disposaient de 359 députés de l'UMP (et apparentés).
Mais le numéro deux du gouvernement, Alain Juppé, est battu en Gironde. Une défaite qui a entraîné l'annonce de sa démission immédiate de son poste de ministre d'Etat à l'écologie, au développement et à l'aménagement durable.
A cette victoire sans triomphe, les explications ne manquent pas. Dès avant la publication des résultats, dimanche soir, les poids lourds de l'UMP, réunis dans le bureau de M. Fillon, ont pointé "la démobilisation" de l'électorat qui, après avoir touché la gauche au premier tour, aurait frappé la droite au second. Mais l'Elysée et Matignon ont souhaité concentrer leur message sur trois points : le gouvernement dispose d'une majorité claire ; la main reste tendue en direction de la gauche et du centre ; l'œuvre de réforme peut commencer.
A la sortie de cette réunion, un député résumait l'état d'esprit général : "Si on nous avait dit il y a six mois que Nicolas Sarkozy serait élu et qu'il disposerait d'une majorité, on aurait signé des quatre mains."
BÉVUES
Pourtant, le cœur n'y est pas. Cet enthousiasme forcé évite pour l'instant d'analyser davantage ce succès en demi-teinte. Il permet à la majorité de différer un droit d'inventaire sur les premiers pas du gouvernement marqués par quelques bévues : celle d'Eric Woerth, ministre du budget, annonçant que la déductibilité d'une part des intérêts d'emprunts pour l'achat de la résidence principale prenait effet à partir du 6 mai, alors que M. Sarkozy souhaitait l'étendre à tous les emprunts en cours ; celle de M. Borloo, ministre de l'économie, des finances et de l'emploi, qui, en réponse à Laurent Fabius au soir du premier tour, concédait que le gouvernement considérait comme "envisageable" une hausse de la TVA pour financer les dépenses sociales. Ces deux déclarations ont obligé l'Elysée à intervenir. "On ne gagne pas une élection en augmentant les impôts", pestait un conseiller de M. Sarkozy. A chaque fois, la gauche a pu retrouver son unité pour dénoncer les "promesses non tenues" du candidat.
Pour le chef de l'Etat, la situation au soir du 17 juin est donc beaucoup plus compliquée qu'il ne se l'imaginait. Il doit d'abord trouver une solution au remplacement d'Alain Juppé, qui, par son passé politique et sa stature internationale, avait donné du poids et de la consistance à ce ministère inédit. La défaite de l'ancien premier ministre constitue probablement une des plus mauvaises nouvelles de la soirée pour M. Sarkozy.
L'ouverture à gauche ne se présente pas non plus sous les meilleurs auspices. Avec un PS laminé, MM. Sarkozy et Fillon auraient trouvé sans trop de difficultés quelques personnalités estampillées de gauche pour venir enrichir le casting du gouvernement après les arrivées de Bernard Kouchner, Jean-Pierre Jouyet, Martin Hirsch et Eric Besson. Face à un PS requinqué par une défaite moins lourde que prévue, les candidats seront-ils aussi nombreux ? Du pavillon de la Lanterne, dans le parc du château de Versailles, où il a suivi, comme la semaine dernière, la soirée électorale en relation constante avec son directeur de cabinet, Claude Guéant, M. Sarkozy a pu prendre la mesure de l'avertissement que lui ont adressé les Français après l'avoir porté au pouvoir il y a six semaines. Techniquement, aucune des réformes qu'il a promises ne peut être remise en cause par le scrutin du 17 juin. Mais politiquement ? La rupture qui a fait le succès de sa campagne a séduit comme slogan. En tant que programme, elle doit faire ses preuves. Après six mois de campagne intensive, le chef de l'Etat devrait intervenir dans le milieu de la semaine avant de se rendre au sommet européen de Bruxelles. Pour lui, l'heure des explications et de la pédagogie n'est pas encore passée.
Philippe Ridet
Je demande à voir !superuser a écrit :Juppé battu, démissionne !!! Moi, je bande

Mais je ne suis pas encore rassuré à 100%. À quel point Sarkozy pourrait-il être sans gêne et refuser la démission de Juppé?
Je me pose une autre question: Cette histoire de TVA "maladroitement" mise sur la scène médiatique, est-ce que cela aurait pu être un calcul de la part de Sarkozy, dans le sens qu'il se serait dit que si il y a trop de "bleus" dans le parlement, le risque d'un renversement de la situation en 2012 serait plus grand, et il aurait plus de chances de rester jusqu'en 2017 si plus d'adversaires politiques sont présents ? Normalement Sarkozy est un calculateur redoutable. Ou est-ce que ce calcul serait trop tordu ou incohérent ?
Monolecte :
Plus d'info :
Diety :
C'est fabius qui a interpellé en plublic et en direct Borloo au soir du 1er tour des législative et Borloo a été coincé et les média aussi!..une façon de faire assez efficace!
cela a aussi montré que le gouvernement en place ne connait pas si bien que cela ses dossiers..."du copier/coller de la politique allemande
Et puis sarko peut calculer quelques coups d'avance..mais tout de même...
Par contre, il faudrait vérifier : mais l'échec de Juppé était très probable compte tenu de l'avancée de la gauche sur le territoire de Bordeaux dans les différentes éléctions précedentes...et cela je pense que sarko et ceux qui veulent en finir avec les Chiraquiens le savaient...
je partage ton avis, il y a un formidable enjeu autour du traité, à voir comment l'opposition parlementaire va se comporter et demander que le contenu soit soumis directement au réferedumMais ils no'nt pas la majorité des 2/3... donc, pour les révisions constitutionnelles et le mini-traité, c'est dans le Fion!
Plus d'info :
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L'UMP devra faire des alliances
pour réformer la Constitution
NOUVELOBS.COM | 18.06.2007 | 17:19
Toute révision constitutionnelle devant être votée à la majorité des trois cinquièmes par le Parlement, l'UMP sera contrainte de nouer des alliances pour parvenir à réformer la Constitution.
Le Parlement en Congrès à Versailles (c) Reuters
La victoire de l'UMP aux législatives n'ayant pas atteint l'ampleur prévue par les instituts de sondage, le parti majoritaire, s'il veut parvenir à réformer la Constitution, sera contraint de nouer des alliances, au-delà le Nouveau centre.
Toute révision constitutionnelle doit être votée à la majorité des trois cinquièmes par le Parlement réuni en Congrès ou adoptée par référendum.
Si le renfort des anciens UDF du Nouveau centre et de quelques divers droite ou autres non inscrits peut être assuré au parti majoritaire, à s'en tenir à ceux qui en auront l'étiquette, l'UMP comptera 318 membres à l'Assemblée nationale et 155 au Sénat où elle a perdu la majorité absolue lors du renouvellement triennal de 2004, soit un total de 473 voix.
C'est loin de 545 voix nécessaires au Congrès, où siègent 908 députés et sénateurs, pour les trois cinquièmes des suffrages.
Diety :
...d'après les infos, Fillon a remis la démission de son gouvernement ( le gouvernement est collectivement responsable...donc dés lors que la démission d'un ministre est accepté par le 1erministre, c'est tout le gourvernement qui démissionne) ( donc 1er remaniement minsiteriel!) et Sarko lui a demandé de le proposer une autre composition!Mais je ne suis pas encore rassuré à 100%. À quel point Sarkozy pourrait-il être sans gêne et refuser la démission de Juppé?
pourquoi maladroitement?Je me pose une autre question: Cette histoire de TVA "maladroitement" mise sur la scène médiatique
C'est fabius qui a interpellé en plublic et en direct Borloo au soir du 1er tour des législative et Borloo a été coincé et les média aussi!..une façon de faire assez efficace!
cela a aussi montré que le gouvernement en place ne connait pas si bien que cela ses dossiers..."du copier/coller de la politique allemande

Et puis sarko peut calculer quelques coups d'avance..mais tout de même...
Par contre, il faudrait vérifier : mais l'échec de Juppé était très probable compte tenu de l'avancée de la gauche sur le territoire de Bordeaux dans les différentes éléctions précedentes...et cela je pense que sarko et ceux qui veulent en finir avec les Chiraquiens le savaient...
Normalement Sarkozy est un calculateur redoutable.
Bonsoir Diety,
Certes un calculateur redoutable...je connais très très bien les pervers narcissiques pour avoir partagé la vie de l'un d'entre eux quelques années de ma vie...
Mais l'analyse que tu viens de faire, je ne pense pas que sarko soit assez intelligent pour la faire lui...
Bonne soirée
Bonsoir Diety,
Certes un calculateur redoutable...je connais très très bien les pervers narcissiques pour avoir partagé la vie de l'un d'entre eux quelques années de ma vie...
Mais l'analyse que tu viens de faire, je ne pense pas que sarko soit assez intelligent pour la faire lui...

Bonne soirée

Bonsoir,
Merci pour vos avis zalou et Pili .
Bonne soirée
Je ne connaissais pas cela. Intéressant ! Donc au moins cette fois-ci le 1er ministre n'a pas fait que de la figuration.Pili a écrit :...d'après les infos, Fillon a remis la démission de son gouvernement ( le gouvernement est collectivement responsable...donc dés lors que la démission d'un ministre est accepté par le 1erministre, c'est tout le gourvernement qui démissionne)
Merci pour vos avis zalou et Pili .
Bonne soirée
