(article de la fin 2004)C'est l'histoire d'une taxe de 2 milliards d'euros, payée par les clients à la caisse des grandes surfaces au moment où sévissait la crise de la vache folle, et que Bercy doit aujourd'hui rembourser... aux grandes surfaces!
Source
Le scandale de la taxe d'équarissage
Le scandale de la taxe d'équarissage
C'est inouï que ce type puisse prétendre diriger la France !Pourquoi une telle erreur ? Nicolas Sarkozy a d'abord négocié avec la grande distribution au moment où celle-ci pensait recevoir la manne de la taxe. Avant, une fois l'accord signé, de suspendre le remboursement et d'éviter le scandale d'une taxe acquittée deux fois par les consommateurs ! Car c'est bien de cela qu'il s'agit : au moment où la grande distribution communique sur le commerce équitable et les prix prétendument bas, ces 2 milliards payés par les consommateurs à la caisse des supermarchés vont l'être à nouveau par les consommateurs contribuables pour « rembourser » aux distributeurs une taxe qui, au final, ne leur a jamais rien coûté !
L'incompétence de Sarkozy en devient indécente !
L'auteur de l'article que j ai cité a ecrit deux livres, un dans laquelle il critique la grande distribution, hallucinant, il denonce les pratiques des "marges arrières" et la position oligarchique des centrales d'achat de la grande distribution et la pression insensée exercée par ses dernieres sur les PME qui pousse à la délocalisation, à amplifier les pratiques anti-sociales des entreprises.
Il a aussi écrit un autre livre , un plaider-critique du "commerce équitable".
D'ailleurs, je me demande si à son corps défendant ce livre n'est pas en fait une critique virulente du "commerce équitable" .
Il a aussi écrit un autre livre , un plaider-critique du "commerce équitable".
D'ailleurs, je me demande si à son corps défendant ce livre n'est pas en fait une critique virulente du "commerce équitable" .

le "commerce équitable" est l'équivalent du bio-ethanol pour les probleme de carburant, des radards automatiques pour les probleme de vitesses, etc... ce sont des solutions à "l'efficacité bridées" mises en places uniquement pour faire croire à une volonté d'avancer.Il a aussi écrit un autre livre , un plaider-critique du "commerce équitable".
D'ailleurs, je me demande si à son corps défendant ce livre n'est pas en fait une critique virulente du "commerce équitable" .
les solutions qui rapporte seront toujours priviligiées aux solutions qui regles les problemes d'un coup.
et puis faut le faire à l'heure d'aujourd'hui d'associer le mot "équitable" au mot "commerce"
Ca serait intéressant à condition que l'on me démontre pourquoi le commerce équitable serait une arnaque.le "commerce équitable" est l'équivalent du bio-ethanol pour les probleme de carburant, des radards automatiques pour les probleme de vitesses, etc... ce sont des solutions à "l'efficacité bridées" mises en places uniquement pour faire croire à une volonté d'avancer.
Je ne peux, pour ma part, condamner une action sans savoir pourquoi elle ne serait que de la poudre aux yeux qui ne profiterait qu'aux distributeurs et intermédiaires alors qu'il me semble que le but est justement tout le contraire.
J'attends donc des explications pour me faire un jugement approprié.
Les arguments en faveur du "commerce équitable" ont été largement développés. Notre propos n'est donc pas ici de les rappeler mais, de développer un contre argumentaire à ce commerce dit " équitable ". La capacité à accepter la critique, à recevoir la contradiction, à engager un débat, sont le gage d'une démarche évolutive.
1 - Le commerce " équitable" est inéquitable. En effet, pour qu'un échange soit réellement équitable, les conditions de protection sociale et de rémunération des individus qui produisent devraient être identiques à celles des personnes qui consomment.
Exemple : selon le site MaxHavelaar, http://www.maxhavelaarfrance.org/, au prix actuel, il faut trois cents ans à un Manuel, producteur local en Colombie, pour gagner 15 000 euros (environ la rémunération moyenne annuelle chez nous) .Manuel reçoit, au nom du commerce équitable, d'après les chiffres fournis par Max Havelaar, 3 fois plus que ce que lui donne le marché*, il ne lui faudra donc plus, au prix du marché équitable que. . . cent ans ! Pour être vraiment équitable, le prix du paquet de café (de 250g, dans l'exemple Max Havelaar) devrait être acheté 100 fois plus cher - 19 euros - et être vendu à Pierre, en France - 21,8 euros. Pierre ne le paye aujourd'hui que. . . 2,35 euros. Ce commerce est donc simplement "moins inéquitable ".
Les coûts d'importation, de torréfaction et de distribution restent, eux, quasiment identiques.
* Selon la revue Silence, l'excédent de revenu par rapport à un producteur "classique "est de 4 euros par mois .
2 - Le commerce équitable favorise la concurrence déloyale
Exemple : Marie fabrique des chapeaux sur le plateau du Larzac. Elle les vend sur le marché à Millau*. Sur ce même marché, Jacques propose des chapeaux estampillés "commerce équitable" moitié moins cher que ceux de Marie. L'association qui importe les chapeaux vendus par Jacques ne paye pas, comme tous les commerçants, le transport à son coût réel: le kérosène des avions et le gasoil des bateaux n'est pas taxé. Cette association de commerce équitable profite aussi, dans une moindre mesure que le commerce classique certes, des faibles rémunérations et de l'absence de protection sociale des pays producteurs et jouent sur la force de l'euro. Enfin, Jacques n'est pas payé : salarié du Crédit Lyonnais, il occupe son temps libre en faisant du bénévolat pour cette association. Résultat : Jacques met en faillite l'activité de Marie, avec d'autant plus de force qu'il le fait avec la meilleure conscience possible, sûr de contribuer à un monde meilleur.
* Exemple réel.
3 - Le commerce équitable ne tient pas compte des coûts écologiques
Exemple : Patricia achète une "banane équitable* ". Elle la paye 1 euro. Patricia pense ne manger qu'un fruit tropical alors qu'elle consomme aussi du kérosène, énergie nécessaire pour acheminer le fruit du Costa Rica jusqu'à chez elle**. Ce kérosène n'étant pas taxé, le coût de l'impact écologique du transport n'est pas pris en compte dans son achat. Et la peau de la banane ? Celle-ci est perdue pour le sol du Costa Rica qu'elle aurait du enrichir en compostant !***
* Max Havelaar importe aussi par exemple du miel ou du riz, produits que l'on trouve dans nos régions.
** Max Havelaar importe des dictatures zimbabwéenne et kényanne vers la Suisse, des fleurs " commerce équitable ". Ces fleurs sont réfrigérées et acheminées en avion pour rester fraîches ! La culture des fleurs se fait sous serre avec force produits toxiques comme les pesticides, qui sont connus pour provoquer des évanouissements chez les ouvriers ,des allergies, des eczémas, des affections respiratoires, des travails ont dénoncées par les ONG. (Source revue Silence n° 274, p. 24)
*** Ce sont ainsi d'énormes quantités d'humus qui sont perdues pour les pays producteurs.
4 - Le commerce équitable favorise l'appauvrissement de la biodiversité
Exemple : Patricia est en train de finir de manger sa banane "commerce équitable ". Elle a aussi acheté un pamplemousse, une orange, et. . . une pomme. La diversité de sa corbeille de fruits étant à l'échelle du globe, Patricia néglige alors la biodiversité locale. Alors que sa région comptait cinquante espèces de pomme voici vingt ans, il n'en demeure plus que cinq aujourd'hui.
5 - Le commerce équitable accompagne la "déculturation " de la production
Exemple : Quand Michel va en Inde, il est heureux de trouver une culture différente de la sienne, enraciné dans son milieu. L'habillement fait partie intégrante de cette diversité des cultures et cette diversité culturelle fait la richesse de la Terre. Toute la production fait ainsi partie de la culture vivante des peuples*. Azimuts, entreprise d'habillement issu du " commerce équitable », importe en France des vêtements de style tropicaux. Imaginons la tête du Népalais qui, en arrivant à Paris, se trouve face à des personnes habillées en . . . habitant des tropiques. Gageons qu'il repart aussitôt, déçu. L'idéologie dominante mène au renoncement à sa propre culture.
* Le terme " exception culturelle" limitant la culture aux arts et à notre seul pays, constitue, à cet égard, un scandale.
6 - Le commerce équitable nous éloigne de l'essentiel : re-localiser l'économie
Exemple : Loba est paysan en Côte d'Ivoire. Il cultivait son champ pour se nourrir et alimenter son village (culture vivrière) puis, son gouvernement l'a obligé à produire des fèves de cacao pour les exporter en France (culture de rapport). Loba est alors devenu dépendant du cours mondial du cacao, alors que, grâce aux bénéfices réalisés en vendant les fèves, la Côte d'Ivoire a pu acheter des avions de chasse à la France. Malheureusement, le cours du cacao ayant beaucoup baissé, Loba se trouve au bord de la famine. Grâce au commerce équitable, Loba a un peu moins faim(il reçoit maintenant juste assez d'argent pour acheter la nourriture. . . qu'il produisait avant) et la Côte d'Ivoire peut continuer à acheter des tanks à la France. Mais le retour à l'autosuffisance alimentaire s'est à nouveau éloigné. . . et Loba ne connaît toujours pas le goût du chocolat : un produit réservé pour les riches occidentaux.
7 - Max Havelaar cautionne la grande distribution
Exemple : Monsieur et Madame Grandval avaient un peu mauvaise conscience en se rendant en voiture à Auchan le samedi. Ils savaient que, d'une part, cela ne favorise pas leur coopérative, les paysans au marché ou encore les commerces de proximité, et que, d'autre part, ils faisaient tourner la grande distribution avec toutes ses conséquences : déshumanisation, impact écologique (automobile obligatoire pour y aller, transport routier, flux tendus, agriculture intensive), mal économie, etc. Ils savaient aussi très bien que ce type de distribution dans les pays riches est la cause de bien des maux dans les pays du Sud. Désormais, grâce au paquet de café Max Havelaar* qu'ils déposent à la fin de leurs courses dans leur charriot plein à ras bord, ils ont maintenant en plus bonne conscience. Auchan s'est en effet servi de cet argument en y axant une large partie de sa communication**. Avec cinq produits labellisés "commerce équitable", on peut accéder aux 120 000 produits non labellisés d'un grand magasin en toute bonne conscience !
* Ainsi, Max Havelaar ne cesse de se réjoui rd'être distribué dans un nombre croissantde grandes surfaces. A cause de celles-ci, entre 1966 et1998, selon l'INSEE, la France a perdu 17 800 boulangeries-pâtisseries (44%), 73 800épiceries (84%), 3500 fromageries (76 %), 1 300 librairies, 4700 commerces de chaussures (50 %), 4 300 quincailleries (46 %),etc.
** En Suisse, depuis mars 2003, le thé, le chocolat chaud et sept cafés Max Havelaar sont vendus dans les MacDonald's. "Pour Max Havelaar, cette opération répond à sa vocation d'élargissement du marché pour les produits du commerce équitable pour que toujours plus de producteurs du Sud aient accès au commerce équitable. . . Si on peut concéder que MacDo puisse bénéficier d'une meilleure image à travers ce projet, Max Havelaar ne labellisepar pour autant la firme MacDonald's. Ceci constitue un nouveau concept, c'est aussi un projet pilote de MacDo Suisse. En cas de succès, ce projet pourrait être étendu au plan européen." Didier Deriaz, Max Havelaar Suisse. Le logo Max Havelaar apparaît sur les 139magasins suisse MacDo à côté de la photo des produit MacDo labellisés sur tous les menus, les tables, au-dessus des comptoirs, à l'extérieur. "Si MacDonald's en France fait ce choix, nous n'avons pasà le refuser." Victor Ferrera, directeur de Max Havelaar France. Source : Politis 12/06/03.
8 - Le commerce équitable cautionne la mondialisation
Exemple : Renée est une vielle militante écologiste. Elle se bat depuis cinquante ans pour les cultures vivrières et contre les cultures de rapport. Elle ferraille contre l'uniformisation du monde, contre la volonté de l'Occident d'étendre son anticulture marchande au reste de la planète, contre le " commerce " des pays riches. Pour elle, le commerce équitable est une véritable catastrophe. En effet, comment combattre encore la mondialisation si on lui pose des pastilles vertes, des "labels éthiques", si on cautionne ce système si fondamentalement destructeur qui détruit la nature et opprime une multitude d'humains sur la planète* ? Comment alors amener une critique constructive qui remette en cause les problèmes à leurs racines et non une fausse contestation qui n'a pour conséquence que de renforcer ce système ?
* Dans la lettre de Max Havelaar La tasse de Max, l'organisation se félicite de sa présence et d'être écouté au. . . forum économique de Davos. " Quant à Porto Alegre, on ne prêche plus contre la mondialisation mais pour une autre mondialisation. " La Tasse deMax,n° 12, mars 2003.
9 - Le commerce équitable est une forme du néocolonialisme*
Exemple : Patrick arrive à la retraite. Après avoir passé sa vie à polluer la planète dans une grande entreprise de chimie, il se dit qu'il pourrait occuper sa retraite en faisant quelque chose " pour les autres ", et notamment pour ces pauvres noirs. En plus, le commerce équitable lui permettra de joindre l'utile à l'agréable en voyageant à travers le monde.
Nathalie, elle, a 29 ans. Elle ne veut pas travailler dans une multinationale classique. Elle choisit donc de travailler chez Max Havelaar. Ainsi, elle a tous les avantages d'une entreprise classique plus l'éthique. Et, comme Patrick, elle adore les aéroports.
Patrick et Nathalie sont, sans vouloir l'accepter, la version actuelle de nos anciens missionnaires. Ceux-ci apportaient une caution morale au vol des ressources naturelles et à l'esclavage des pays du Sud. Avant de vouloir " faire le bien", Patrick et Nathalie ne se sont pas demandé comment d'abord " ne pas nuire ". Ainsi, tous les deux continuent, avec les 1 % de la planète les plus riches, à prendre l'avion ou bien encore à aller aux sports d'hiver, sans se poser sérieusement de question sur les conséquences qu'impliquent leur mode de vie. Dans leur station de ski respectives, très fiers, Patrick et Nathalie parlent à leurs amis de ces paysans andins qui sont " si gentils". Ils ne dédaignent pas de temps en temps "faire la morale" et pousser un coup de gueule contre ce monde" qui va si mal".
* " Qui dit commerce équitable dit développement. " La tasse de Max, n° 12, mars 2003
10 - Le commerce équitable participe à l'idéologie de la soumission
Exemple : Thierry milite dans une association de commerce équitable depuis dix-sept ans (son salaire représente10 fois celui de Loba en Côte-d'Ivoire). Il connaît bien les objections au commerce équitable des militants écologistes radicaux, comme Renée. Mais Thierry travaille et ne veut pas remettre en cause toutes ses longues années de labeur acharné. Au lieu de prendre en compte des remarques de ses contradicteurs, il choisit de les insulter : " Vous voulez que chacun reste chez soi ! ?", etc. Thierry ne cesse de parler de " réalisme" de "stratégie " et de " pédagogie".Thierry finit par être le meilleur allié de la soumission au " réalisme économique". Sans forcément s'en rendre compte, Thierry a fait passer dans son échelle des valeurs les lois de l'économie avant le principe moral et le système se nourrit d'abord de toutes les fausses contestations qui légitiment le primat de l'économie. C'est le retour à la case départ.
Bruno Clémentin et Vincent Cheynet
Commerce équitable
Les critiques sont absurbes par rapport aux bienfaits du système.
Aller dire que les producteurs dans leur pays d'origine devraient avoir les mêmes revenus et avantages sociaux que les pays consommateurs, est ridicule.
Ce système commence par permettre d'abord l'autonomie alimentaire, ensuite le surplus produit améliore le niveau de vie des producteurs.
Et rien que celà c'est déjà le début d'un mieux être.
J'ai assisté hier à un débat sur le sujet sur la chaine LCP.
les seules critiques étaient le point de vue écologique.
Même si les productions sont à 99% en méthodes bio, il a bien été entendu que les transports internationaux n'étaient acceptables que pour des produits qui ne sont pas cultivables dans les pays de destination (produits tropicaux : café, cacao ...), car il était hors de question de mettre des produits qui peuvent être en concurrence avec des productions possibles localement : on ne devrait jamais voir de pommes du commerce équitable
Aller dire que les producteurs dans leur pays d'origine devraient avoir les mêmes revenus et avantages sociaux que les pays consommateurs, est ridicule.
Ce système commence par permettre d'abord l'autonomie alimentaire, ensuite le surplus produit améliore le niveau de vie des producteurs.
Et rien que celà c'est déjà le début d'un mieux être.
J'ai assisté hier à un débat sur le sujet sur la chaine LCP.
les seules critiques étaient le point de vue écologique.
Même si les productions sont à 99% en méthodes bio, il a bien été entendu que les transports internationaux n'étaient acceptables que pour des produits qui ne sont pas cultivables dans les pays de destination (produits tropicaux : café, cacao ...), car il était hors de question de mettre des produits qui peuvent être en concurrence avec des productions possibles localement : on ne devrait jamais voir de pommes du commerce équitable

Pour rester dans l'absurde, l'histoire du pot de yaourt postée par Eschyle.
Pourquoi ridicule? Parce que s'ils les avaient tu ne pourrais plus acheter, par exemple, une tv, un lecteur dvd pour une somme dérisoire?Aller dire que les producteurs dans leur pays d'origine devraient avoir les mêmes revenus et avantages sociaux que les pays consommateurs, est ridicule.
Tu te trompes lourdement !!Ce système commence par permettre d'abord l'autonomie alimentaire, ensuite le surplus produit améliore le niveau de vie des producteurs.
Le but c'est de les faire produire une matière première qui en géneral ne se mange pas, ou ne permet pas de se nourrir normalement: coton, café, chocolat...et que ces gens consomment les produits (pour se nourrir) fabriqués en Europe ou aux USA (qui eux sont financés à grands coups d'aides publiques et permettent d'être très concurrentiels par rapport à la production locale, exemple les poulets importés d'Europe et qui inonde certains pays d'Afrique) avec le maigre salaire obtenu en travaillant pour des produits qui ne leur servent à rien pour avoir une auto suffisance alimentaire.
Sans compter, que le prix de ces matières premières est largement controlé par les occidentaux, ces dernières années le prix du café, du chocolat etc. se sont écroulés et les salaires qui vont avec aussi au grand bénéfice des quelques multinationales qui transforment ces matieres premieres et qui inondent le monde entier de leur production.
(Des régions entières sont forcées de se specialiser dans un type de production non vivrière et elles sont mises en concurrence pour que la surproduction fasse s'écrouler le prix de ces produits)
Commerce équitable
Ca c'est vraiment tout mélanger !!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Parceque justement le commerce équitable c'est pour rétablir les déséquilibre des superpuissances multinationales et que certaines personnes osent les défier pour répartir autrement les profits et les flux.
C'est facile de tout critiquer, de mettre le doute sur toutes les meilleures intentions de ceux qui ont le courage d'agir, pas seulement d'émettre des avis.
Pour certain c'est un filon à exploiter, pour les grandes surfaces une récupération hypocrite de plus : et alors !
Cela n'en est pas moins une démarche honorable et respectable pour ces pionniers.
Faites mieux avec votre baguette magique, allez-y, puisque vous pensez que l'on peut supprimer les multinationales du jour au lendemain et de tous les peuples du monde peuvent aussi bénéficier tout de suite des mêmes avantages sociaux que ceux de notre pays.
Parceque justement le commerce équitable c'est pour rétablir les déséquilibre des superpuissances multinationales et que certaines personnes osent les défier pour répartir autrement les profits et les flux.
C'est facile de tout critiquer, de mettre le doute sur toutes les meilleures intentions de ceux qui ont le courage d'agir, pas seulement d'émettre des avis.
Pour certain c'est un filon à exploiter, pour les grandes surfaces une récupération hypocrite de plus : et alors !
Cela n'en est pas moins une démarche honorable et respectable pour ces pionniers.
Faites mieux avec votre baguette magique, allez-y, puisque vous pensez que l'on peut supprimer les multinationales du jour au lendemain et de tous les peuples du monde peuvent aussi bénéficier tout de suite des mêmes avantages sociaux que ceux de notre pays.
Parceque justement le commerce équitable c'est pour rétablir les déséquilibre des superpuissances multinationales et que certaines personnes osent les défier pour répartir autrement les profits et les flux.
Je n'ai fait que contester quelques points, qui me semblaient être inexacts, dans tes propos, rien de plus
Les industriels qui importent des produits étiquetés équitables importent, bien souvent aussi, des produits de même nature mais qui sont inéquitables.
Je ne pretends pas qu ils les melangent mais simplement que le commerce dit "équitable" n'est qu'un commerce de niche qui permet à certains consommateurs de remplir leur caddy avec un tas de produits purement inéquitables et de "purifier" leurs achats en ajoutant au dessus un paquet de café ou une tablette de chocolat étiquetée "équitable".
Je doute que le grande distribution ait l'envie qu'un vrai commerce équitable de masse voit le jour.
"Ecolo", "equitable" c'est à la suite de la grande mode des produits sans colorants (mais toujours aussi chimiques) qu on a connu au debut des annees 80 (fin des annees 70?).
Drôle d'affirmation, ça me fait penser à "Allez directement en prison sans passer par la case départ".1 - Le commerce " équitable" est inéquitable. En effet, pour qu'un échange soit réellement équitable, les conditions de protection sociale et de rémunération des individus qui produisent devraient être identiques à celles des personnes qui consomment.
Et si le but, justement, était d'aboutir aux mêmes conditions de protection sociale que nous ?
Nous, non plus, on est pas passé du Moyen-Age directement au XXIe siècle.
En plus, je pense qu'il ne faut pas mésestimer la politique du réajustement structurel de la FMI dans certain pays.
Déjà, à ce niveau, on peut se rendre compte de la légèreté de l'analyse.
Et je ne fais que commencer, je crains le pire...