La droite repart en guerre contre le RSA
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Invité
Re: La droite repart en guerre contre le RSA
Merci pour le lien, Naejim, cet article est excellent.
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RaoulPiconBière
Re: La droite repart en guerre contre le RSA
Cet article serait excellent si son auteur était capable de percevoir ceci :alternatives economiques a écrit :Et comme d’habitude c’est le Président de la République lui-même qui donne le signal du départ. Ce n’est plus depuis Grenoble, mais depuis Issoire.
Celui-ci a en effet déclaré “C’est un problème de justice, de justice sociale envers les salariés et les ouvriers qui travaillent dur que de s’assurer que celui qui est au chômage et qui a des allocations grâce à la solidarité nationale fera tous ses efforts pour accepter une offre d’emploi, pour accepter une formation pour s’en sortir “
Passons sur l’à-peu-près qui transforme les allocations chômage en produit de la solidarité nationale, alors qu’elles sont d’abord le produit d’une politique assurantielle, permise par le paiement de cotisations par les salariés et leurs employeurs, et les confond allègrement avec les allocations de solidarité, qui n’interviennent que de façon subsidiaire.
Le Président de la République a très précisément ciblé les titulaires de l'ASS et du rSa Socle (en tout ou en partie).
Prendre M Sarkozy et M Buisson pour des cons est pure vanité.
PS :
OK : Je sais je suis qu'un sale rabat-joie qui chipote sur les mots.
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RaoulPiconBière
Re: La droite repart en guerre contre le RSA
En revanche, la proposition de loi du député LANG mentionne bien les chômeurs de plus de 6 mois sans autres précisions. Pour cela elle est inaplicable telle que demandée.
Il s'agirait donc bien d'un montage de communication
pour une loi qui n'est pas destinée à voir le jour et qui est sabotée par avance.
Il s'agirait donc bien d'un montage de communication
pour une loi qui n'est pas destinée à voir le jour et qui est sabotée par avance.
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Invité
Re: La droite repart en guerre contre le RSA
C'est la panique à l'UMP quand même. La semaine prochaine, proposition de loi pour fermer les frontières, et dans quinze jours proposition de retour au Franc ? Ou démarchage à domicile chez les électeurs du FN ?
Le chef n'arrête pas de dégringoler dans les sondages, que faire, que faire ?
Le chef n'arrête pas de dégringoler dans les sondages, que faire, que faire ?
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RaoulPiconBière
Re: La droite repart en guerre contre le RSA
En plus ce con nous fait une démo où il se plante à l'identique de ce dont il se moque :Passons sur l’à-peu-près qui transforme les allocations chômage en produit de la solidarité nationale, alors qu’elles sont d’abord le produit d’une politique assurantielle, permise par le paiement de cotisations par les salariés et leurs employeurs, et les confond allègrement avec les allocations de solidarité, qui n’interviennent que de façon subsidiaire.
Effectivement ce sont des : "indemnités (d'assurance) chômage" et non des "allocations chômage" dont il faut parler.
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RaoulPiconBière
Re: La droite repart en guerre contre le RSA
Remarque, je me demande ce qu'il serait pret à partager en échange d'un mail avec ce post plein de savoir ....
Croyez vous qu'il placerait un lien Actuchômage sur son site dans "Mes savoirs préférés" ....
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maguy
Re: La droite repart en guerre contre le RSA
Et l'espace Schengen ?La semaine prochaine, proposition de loi pour fermer les frontières,
Je me marre, avec tous les douaniers qu'ils ont dû recycler
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Invité
Re: La droite repart en guerre contre le RSA
Maguy, c'était juste une fiction de ma part.La semaine prochaine, proposition de loi pour fermer les frontières,
Et l'espace Schengen ?
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RaoulPiconBière
Mea Culpa
La nuit portant conseil,
je me ferais donc remarquer à moi même que je tombe dans le même piège que notre ami rédacteur de Alternatives Economiques.
Je les prends pour des cons comme ils prennent sarkozy et buisson pour des cons.
C'est grande vanité de ma part.
Donc,
c'est en en toute connaissance de cause et en parfaite maitrise du vocabulaire que cet article a été écrit, validé et publié.
Je présente mes excuses.
je me ferais donc remarquer à moi même que je tombe dans le même piège que notre ami rédacteur de Alternatives Economiques.
Je les prends pour des cons comme ils prennent sarkozy et buisson pour des cons.
C'est grande vanité de ma part.
Donc,
c'est en en toute connaissance de cause et en parfaite maitrise du vocabulaire que cet article a été écrit, validé et publié.
Je présente mes excuses.
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romain23
Re: La droite repart en guerre contre le RSA
semaine prochaine, proposition de loi pour fermer les frontières, et dans quinze jours proposition de retour au Franc ? Ou démarchage à domicile chez les électeurs du FN ?(Serabeth)
Non, mais nos maitres vont jusqu'au bout dans la stratégie du choc: ils proposent d'arreter l'aide alimentaire fournie par l'Europe aux restaux du coeur et autres banques alimentaires. Les surplus de la Pac qui étaient fournis aux restaux pour redistribuer aux plus pauvres, est desormais terminé!
Decidement, "nos maitres" ont bien decidé de faire " crever "les plus pauvres, au profit du NOM.
Non, mais nos maitres vont jusqu'au bout dans la stratégie du choc: ils proposent d'arreter l'aide alimentaire fournie par l'Europe aux restaux du coeur et autres banques alimentaires. Les surplus de la Pac qui étaient fournis aux restaux pour redistribuer aux plus pauvres, est desormais terminé!
Decidement, "nos maitres" ont bien decidé de faire " crever "les plus pauvres, au profit du NOM.
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maguy
Re: La droite repart en guerre contre le RSA
Supprimer les aides aux restos et aux autres assoc juste avant une élection, c'est plus que casse-g...
Il faut se souvenir, que contrairement à l'Histoire revisitée et réécrite, ce sont pas les philosophes qui ont inspiré la Révolution mais surtout la guerre des farines
Il faut se souvenir, que contrairement à l'Histoire revisitée et réécrite, ce sont pas les philosophes qui ont inspiré la Révolution mais surtout la guerre des farines
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romain23
Re: La droite repart en guerre contre le RSA
Supprimer les aides aux restos et aux autres assoc juste avant une élection, c'est plus que casse-g...(Maguy)
La decision ne vient pas du gouvernement français, mais des technocrates de bruxelles.
C'est une Info de FR2 ce matin, qui, byzarrement n'est pas réapparu, ni sur France -info, ni ailleurs!
Encore un truc qui va passer sous silence! De toute façon, les restaus du coeur n'avaient dejà plus grand chose à distribuer!
Y aller pour une carotte par personne, c'est fou!
J'ai toujours pensé que comme pour le tele C.... , ce devrait etre à l'Etat de prendre en charge, mais je suis trop idealiste!
La decision ne vient pas du gouvernement français, mais des technocrates de bruxelles.
C'est une Info de FR2 ce matin, qui, byzarrement n'est pas réapparu, ni sur France -info, ni ailleurs!
Encore un truc qui va passer sous silence! De toute façon, les restaus du coeur n'avaient dejà plus grand chose à distribuer!
Y aller pour une carotte par personne, c'est fou!
J'ai toujours pensé que comme pour le tele C.... , ce devrait etre à l'Etat de prendre en charge, mais je suis trop idealiste!
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Mona
Re: La droite repart en guerre contre le RSA
Petit copié/collé d'un article trouvé sur MSN ci-dessous.
le gouvernement veut lutter contre le travail au noir. Bien, mais alors il faut que ce gouvernement supprime les contrats "aidés" c'est du travail au noir puisque les employeurs qui utilisent ces contrats ne payent pas les cotisations sociales
AFP, Mise a jour : 15 avril 2011
Le travail au noir, une fraude qui pénalise lourdement les caisses de la Sécu
Si les fraudes aux allocations défraient souvent la chronique, le travail dissimulé est la fraude sociale qui pénalise le plus lourdement les caisses exsangues de la Sécurité sociale, justifiant le déploiement de nouvelles parades par les pouvoirs publics.
D
AFP/Archives
Le préjudice financier lié au travail au noir, l'un des thèmes du déplacement vendredi à Rennes du ministre du Travail, Xavier Bertrand, est difficile à déterminer. Selon un rapport du Conseil des prélèvements obligatoires de 2007, le manque à gagner pourrait se situer entre 6,2 et 12,4 milliards d'euros par an.
En comparaison, le montant des fraudes aux différentes prestations versées par le régime général de la Sécurité sociale est plus généralement évalué entre 2 et 3 milliards d'euros (Cour des comptes, 2010).
"Le travail dissimulé reste le sujet le plus lourd en termes financiers et d'enjeu global pour la protection sociale", avait expliqué le directeur de la Sécurité sociale, Dominique Libault, fin octobre devant la Mission d'évaluation et de contrôle des lois de financement de la Sécurité sociale (MECSS).
En plus des cotisations non versées, le travail au noir peut déclencher par ricochet le versement de prestations sociales indues pour les personnes qui n'ont pas déclaré leurs ressources illégales.
Les Français feraient-ils preuve d'une certaine indulgence face à ce phénomène? "Si les ateliers clandestins sont unanimement dénoncés, le travail dissimulé chez les particuliers ou certains employeurs bénéficie encore d'une tolérance forte", a jugé M. Libault, plaidant pour plus de pédagogie.
Face à l'enjeu, le gouvernement a accentué ces dernières années les contrôles et les sanctions. Un plan national lancé en 2010 cible l'agriculture, le BTP, la restauration, les services aux entreprises et le monde du spectacle, des secteurs où le travail dissimulé est particulièrement développé.
De nouveaux outils ont aussi été créés: pénalités pour les employeurs quand survient un accident du travail, échange d'informations entre agents des différents organismes ou encore habilitation des agents de Pôle Emploi pour verbaliser les infractions à l'assurance chômage et au travail dissimulé.
Les premiers résultats sont là: en 2010, les redressements mis en recouvrement après des contrôles ont atteint le niveau record de 185 millions d'euros, soit une hausse de 40% par rapport à l'année précédente.
Mais ce motant reste modeste par rapport à la dizaine de milliards d'euros de fraude estimée.
M. Bertrand veut donc accélérer le mouvement, en fixant des objectifs chiffrés aux contrôleurs, a expliqué son entourage à l'AFP. Pour 2011, il a, par exemple, fixé la barre des procès verbaux à dresser à 10.000 et celle des redressements à plus de 190 millions d'euros.
Et une batterie de nouvelles mesures est en cours d'adoption, par le biais notamment du projet de loi sur l'immigration, le travail au noir étant aussi pour le gouvernement un facteur d'immigration clandestine.
Il prévoit par exemple de nouvelles sanctions administratives, en écartant les entreprises fraudeuses d'appels d'offre publics. Les entreprises seront par ailleurs plus systématiquement sanctionnées, financièrement et pénalement, quand leurs sous-traitants emploient des clandestins.
Pour mettre en musique ces dispositifs qui s'accumulent, le gouvernement fonde beaucoup d'espoir sur les CODAF, de nouvelles commissions qui réunissent régulièrement dans chaque département tous les acteurs de la lutte contre la fraude.
le gouvernement veut lutter contre le travail au noir. Bien, mais alors il faut que ce gouvernement supprime les contrats "aidés" c'est du travail au noir puisque les employeurs qui utilisent ces contrats ne payent pas les cotisations sociales
AFP, Mise a jour : 15 avril 2011
Le travail au noir, une fraude qui pénalise lourdement les caisses de la Sécu
Si les fraudes aux allocations défraient souvent la chronique, le travail dissimulé est la fraude sociale qui pénalise le plus lourdement les caisses exsangues de la Sécurité sociale, justifiant le déploiement de nouvelles parades par les pouvoirs publics.
D
AFP/Archives
Le préjudice financier lié au travail au noir, l'un des thèmes du déplacement vendredi à Rennes du ministre du Travail, Xavier Bertrand, est difficile à déterminer. Selon un rapport du Conseil des prélèvements obligatoires de 2007, le manque à gagner pourrait se situer entre 6,2 et 12,4 milliards d'euros par an.
En comparaison, le montant des fraudes aux différentes prestations versées par le régime général de la Sécurité sociale est plus généralement évalué entre 2 et 3 milliards d'euros (Cour des comptes, 2010).
"Le travail dissimulé reste le sujet le plus lourd en termes financiers et d'enjeu global pour la protection sociale", avait expliqué le directeur de la Sécurité sociale, Dominique Libault, fin octobre devant la Mission d'évaluation et de contrôle des lois de financement de la Sécurité sociale (MECSS).
En plus des cotisations non versées, le travail au noir peut déclencher par ricochet le versement de prestations sociales indues pour les personnes qui n'ont pas déclaré leurs ressources illégales.
Les Français feraient-ils preuve d'une certaine indulgence face à ce phénomène? "Si les ateliers clandestins sont unanimement dénoncés, le travail dissimulé chez les particuliers ou certains employeurs bénéficie encore d'une tolérance forte", a jugé M. Libault, plaidant pour plus de pédagogie.
Face à l'enjeu, le gouvernement a accentué ces dernières années les contrôles et les sanctions. Un plan national lancé en 2010 cible l'agriculture, le BTP, la restauration, les services aux entreprises et le monde du spectacle, des secteurs où le travail dissimulé est particulièrement développé.
De nouveaux outils ont aussi été créés: pénalités pour les employeurs quand survient un accident du travail, échange d'informations entre agents des différents organismes ou encore habilitation des agents de Pôle Emploi pour verbaliser les infractions à l'assurance chômage et au travail dissimulé.
Les premiers résultats sont là: en 2010, les redressements mis en recouvrement après des contrôles ont atteint le niveau record de 185 millions d'euros, soit une hausse de 40% par rapport à l'année précédente.
Mais ce motant reste modeste par rapport à la dizaine de milliards d'euros de fraude estimée.
M. Bertrand veut donc accélérer le mouvement, en fixant des objectifs chiffrés aux contrôleurs, a expliqué son entourage à l'AFP. Pour 2011, il a, par exemple, fixé la barre des procès verbaux à dresser à 10.000 et celle des redressements à plus de 190 millions d'euros.
Et une batterie de nouvelles mesures est en cours d'adoption, par le biais notamment du projet de loi sur l'immigration, le travail au noir étant aussi pour le gouvernement un facteur d'immigration clandestine.
Il prévoit par exemple de nouvelles sanctions administratives, en écartant les entreprises fraudeuses d'appels d'offre publics. Les entreprises seront par ailleurs plus systématiquement sanctionnées, financièrement et pénalement, quand leurs sous-traitants emploient des clandestins.
Pour mettre en musique ces dispositifs qui s'accumulent, le gouvernement fonde beaucoup d'espoir sur les CODAF, de nouvelles commissions qui réunissent régulièrement dans chaque département tous les acteurs de la lutte contre la fraude.