Il était une fois...un roi !
Rions un peu !
Conte de François MOREL sur France Inter...
"A chacun de faire sa part..."
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monique24
détournement biblique ou matrix reloaded ad nauseam
La curiosité était sa plus grande qualité parmi celles que ses lectures avaient développées.
La curiosité lui dit : « alors, le Patron a dit : « tu ne discuteras pas mes décisions et tu ne poseras pas de questions à la con? »
Elle répondit : « Nous pouvons poser toutes les questions pour faire notre boulot de la manière la plus rentable pour l’entreprise. Mais pour ce qui est de mettre le cadre en question, le Patron a dit : « Tu n’interrogeras pas, tu n’essaieras pas de mettre du sens, sous peine de mort ».
La curiosité répliqua : « Pas du tout, tu ne mourras pas ! mais le Patron sait que, le jour où tu interrogeras, tes yeux s’ouvriront et tu seras comme libre, connaissant les tenants et les aboutissants. »
Elle vit que la curiosité était bonne à vivre et à penser, et qu’elle était, cette curiosité, désirable pour acquérir le discernement. Elle prit sa curiosité et posa des questions. Elle en donna aussi à ses collègues, qui étaient avec elle, et ils pensèrent. Alors leurs yeux à tous s’ouvrirent et ils connurent qu’ils étaient esclaves ; ils écrivirent leurs connaissances et se firent solidaires les uns des autres.
Ils entendirent le pas du Patron Dominus qui faisait du golf à la brise du jour, et ils se cachèrent parmi les postes de travail.
Le Patron Dominus les appela : « Où êtes-vous ? » dit-il.
« Nous avons entendu ton pas dans l’entreprise, répondirent-ils, nous avons eu peur parce que nous sommes esclaves et nous nous sommes cachés. »
Il reprit : « Et qui vous a appris que vous étiez esclaves ? Vous avez donc écouté votre instinct de vie que je vous avais interdit d’écouter ! Ils répondirent : « C’est celle que tu as embauchée prés de nous qui nous a parlé, et nous avons écouté ! »
Le Patron Pouvoir dit à la femme : « Qu’as tu fait là ? » Et la femme répondit : « C’est la curiosité qui m’a réveillée, et je l’ai écouté ! »
Alors le Patron Dominus dit à la Curiosité :
«Parce que tu as fait cela, maudite sois-tu entre toutes les qualités et tous ces sauvages qui ne pensent qu’à vivre.
Tu te crisperas dans les estomacs et tu leur feras des cancers tous les jours de leur vie. Je mettrai une hostilité entre toi et la femme, entre ton lignage et le sien. Tu seras refoulée dans sa tête et tu ne l’atteindras que par lapsus.
A la femme, il dit :
« Je multiplierai les peines de ta créativité, dans la peine, tu seras méprisée. Ta curiosité te poussera vers la peur et elle dominera sur toi. »
Aux collègues, il dit :
« Parce que vous avez écouté votre instinct de vie et que vous avez trouvé la curiosité que je vous avais interdit d’utiliser, maudit soit le sol à cause de vous.
A force de souffrir, vous le polluerez tous les jours de votre vie.
Il produira pour vous maladies et infections et vous mangerez vos doigts jusqu’au coudes. A la sueur de vos angoisses vous passerez vos nuits jusqu’à ce que le grand infarctus vous frappe. Car vous êtes esclaves et vous resterez en servitude. »
Les collègues appelèrent la femme « Liberté » parce qu’elle fut mère de tous les vivants.
Le Patron Dominus fit aux collègues et à la femme des classes sociales et les y soumit.
Puis le Patron Dominus dit : « Pour qui elle se prend cette femme, pour connaître les tenants et les aboutissants ! Qu’elle n’étende pas maintenant son savoir, ne cueille plus les fruits de sa connaissance, ne se nourrisse plus de liberté et ne vive que pour trinquer !
Et le Patron Dominus la renvoya de l’entreprise pour pointer au Pôle emploi d’où elle avait été tirée. Il bannit la femme et posta devant l’entreprise des Privilèges et la flamme de l’Hypnose Collective, pour garder intact le chemin de la Hiérarchie.
Il y eu un soir, y aura t-il un matin ?
La curiosité lui dit : « alors, le Patron a dit : « tu ne discuteras pas mes décisions et tu ne poseras pas de questions à la con? »
Elle répondit : « Nous pouvons poser toutes les questions pour faire notre boulot de la manière la plus rentable pour l’entreprise. Mais pour ce qui est de mettre le cadre en question, le Patron a dit : « Tu n’interrogeras pas, tu n’essaieras pas de mettre du sens, sous peine de mort ».
La curiosité répliqua : « Pas du tout, tu ne mourras pas ! mais le Patron sait que, le jour où tu interrogeras, tes yeux s’ouvriront et tu seras comme libre, connaissant les tenants et les aboutissants. »
Elle vit que la curiosité était bonne à vivre et à penser, et qu’elle était, cette curiosité, désirable pour acquérir le discernement. Elle prit sa curiosité et posa des questions. Elle en donna aussi à ses collègues, qui étaient avec elle, et ils pensèrent. Alors leurs yeux à tous s’ouvrirent et ils connurent qu’ils étaient esclaves ; ils écrivirent leurs connaissances et se firent solidaires les uns des autres.
Ils entendirent le pas du Patron Dominus qui faisait du golf à la brise du jour, et ils se cachèrent parmi les postes de travail.
Le Patron Dominus les appela : « Où êtes-vous ? » dit-il.
« Nous avons entendu ton pas dans l’entreprise, répondirent-ils, nous avons eu peur parce que nous sommes esclaves et nous nous sommes cachés. »
Il reprit : « Et qui vous a appris que vous étiez esclaves ? Vous avez donc écouté votre instinct de vie que je vous avais interdit d’écouter ! Ils répondirent : « C’est celle que tu as embauchée prés de nous qui nous a parlé, et nous avons écouté ! »
Le Patron Pouvoir dit à la femme : « Qu’as tu fait là ? » Et la femme répondit : « C’est la curiosité qui m’a réveillée, et je l’ai écouté ! »
Alors le Patron Dominus dit à la Curiosité :
«Parce que tu as fait cela, maudite sois-tu entre toutes les qualités et tous ces sauvages qui ne pensent qu’à vivre.
Tu te crisperas dans les estomacs et tu leur feras des cancers tous les jours de leur vie. Je mettrai une hostilité entre toi et la femme, entre ton lignage et le sien. Tu seras refoulée dans sa tête et tu ne l’atteindras que par lapsus.
A la femme, il dit :
« Je multiplierai les peines de ta créativité, dans la peine, tu seras méprisée. Ta curiosité te poussera vers la peur et elle dominera sur toi. »
Aux collègues, il dit :
« Parce que vous avez écouté votre instinct de vie et que vous avez trouvé la curiosité que je vous avais interdit d’utiliser, maudit soit le sol à cause de vous.
A force de souffrir, vous le polluerez tous les jours de votre vie.
Il produira pour vous maladies et infections et vous mangerez vos doigts jusqu’au coudes. A la sueur de vos angoisses vous passerez vos nuits jusqu’à ce que le grand infarctus vous frappe. Car vous êtes esclaves et vous resterez en servitude. »
Les collègues appelèrent la femme « Liberté » parce qu’elle fut mère de tous les vivants.
Le Patron Dominus fit aux collègues et à la femme des classes sociales et les y soumit.
Puis le Patron Dominus dit : « Pour qui elle se prend cette femme, pour connaître les tenants et les aboutissants ! Qu’elle n’étende pas maintenant son savoir, ne cueille plus les fruits de sa connaissance, ne se nourrisse plus de liberté et ne vive que pour trinquer !
Et le Patron Dominus la renvoya de l’entreprise pour pointer au Pôle emploi d’où elle avait été tirée. Il bannit la femme et posta devant l’entreprise des Privilèges et la flamme de l’Hypnose Collective, pour garder intact le chemin de la Hiérarchie.
Il y eu un soir, y aura t-il un matin ?
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SAM57
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tristesir
Re: Rions un peu !
Un pessimiste et un optimiste sont en grande discussion.
Le pessimiste: Cela ne peut pas être pire.
L'optimiste: mais si, mais si.
Le pessimiste: Cela ne peut pas être pire.
L'optimiste: mais si, mais si.
