POLITIQUE
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Le vrai défaut de DSK, ce n'est pas son silence, c'est la politique qu'il mène au FMI !
On est donc averti du double-jeu auquel vont se livrer les deux candidats. D'une part, Nicolas Sarkozy promet sur la scène internationale de « moraliser le capitalisme » et s'attaque aux droits des travailleurs une fois revenu sur le territoire national. D’autre part, DSK affame les peuples de toute l'Europe mais promettrait l'inverse pour la France.
http://www.marianne2.fr/Le-vrai-defaut- ... 02149.html
On est donc averti du double-jeu auquel vont se livrer les deux candidats. D'une part, Nicolas Sarkozy promet sur la scène internationale de « moraliser le capitalisme » et s'attaque aux droits des travailleurs une fois revenu sur le territoire national. D’autre part, DSK affame les peuples de toute l'Europe mais promettrait l'inverse pour la France.
http://www.marianne2.fr/Le-vrai-defaut- ... 02149.html
Re: POLITIQUE
Le 1er vrai problème de dsk, à mon avis, est qu'il est totalement silencieux. On ne l'a pas revu ou entendu depuis des années !
Le deuxième vrai problème : L'O.R.T.F. le sort de son placard ***** Grand Luxe comme ça en disant : "Voyez ! Voici l'autre candidat !"
Seulement, il y a un hic : les primaires socialistes n'ont même pas eu lieu et rien ne dit qu'il sera candidat ou même élu par ces même primaires.
Comment peuvent ils donc dire que DSK est une alternative puisqu'à part qu'il est parti, on ne sait plus rien de lui ?
DSK me fait poser une autre question. Au F.M.I., il a une bonne place, il est extrêmement bien payer. A-t'il vraiment envi de revenir en France ?
Le deuxième vrai problème : L'O.R.T.F. le sort de son placard ***** Grand Luxe comme ça en disant : "Voyez ! Voici l'autre candidat !"
Seulement, il y a un hic : les primaires socialistes n'ont même pas eu lieu et rien ne dit qu'il sera candidat ou même élu par ces même primaires.
Comment peuvent ils donc dire que DSK est une alternative puisqu'à part qu'il est parti, on ne sait plus rien de lui ?
DSK me fait poser une autre question. Au F.M.I., il a une bonne place, il est extrêmement bien payer. A-t'il vraiment envi de revenir en France ?
Re: POLITIQUE
Pourquoi nous parlez-vous uniquement de ces deux candidats de droite ? N'y-a-t-il pas d'autre alternative envisageable pour les Français ???
Re: POLITIQUE
Il ne fait que suivre ses prédécesseurs, et il ne se contente pas d'affamer l'Europe... C'est l'archétype du banquier qui fait et défait les gouvernements au gré des intérêts de quelques uns.D’autre part, DSK affame les peuples de toute l'Europe mais promettrait l'inverse pour la France.
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Ce n'est pas aux chômeurs de payer la crise de Martine Billard, Christian Gauthier, Sakina Faouzi et Mathieu Agostini
... Cette situation est déjà inadmissible, et le patronat cherche à creuser encore les inégalités de partage des richesses en poursuivant son entreprise de déconstruction du modèle social français, au profit de la seule rémunération du capital. ...
http://www.lepartidegauche.fr/editos/ar ... ayer-crise
... Cette situation est déjà inadmissible, et le patronat cherche à creuser encore les inégalités de partage des richesses en poursuivant son entreprise de déconstruction du modèle social français, au profit de la seule rémunération du capital. ...
http://www.lepartidegauche.fr/editos/ar ... ayer-crise
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DIMANCHE 06 FÉVRIER 2011, Déclarations en conclusion du congres de gauche unitaire :
Retrouvez les interventions de Marie-George Buffet, Christian Picquet et Jean-Luc Mélenchon :
http://www.lepartidegauche.fr/editos/ac ... e-unitaire
Retrouvez les interventions de Marie-George Buffet, Christian Picquet et Jean-Luc Mélenchon :
http://www.lepartidegauche.fr/editos/ac ... e-unitaire
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Les États Généraux du Renouveau à Grenoble les 28-29-30 janvier 2011.
Jean-Luc Mélenchon et Jean-François Kahn
http://www.dailymotion.com/video/xgt9mm ... from=embed
La morale naturelle est donnée à l'homme avec sa nature raisonnable comme loi de liberté,non point comme un lot d'idées morales innées,mais,comme une faculté de comprendre et comme une loi de l'action libre à dégager par l'intelligence de l'être même de l'homme et du monde. Bernard Häring
Jean-Luc Mélenchon et Jean-François Kahn
http://www.dailymotion.com/video/xgt9mm ... from=embed
La morale naturelle est donnée à l'homme avec sa nature raisonnable comme loi de liberté,non point comme un lot d'idées morales innées,mais,comme une faculté de comprendre et comme une loi de l'action libre à dégager par l'intelligence de l'être même de l'homme et du monde. Bernard Häring
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La démocratie perd la boule !
Culture, société, sport... Le soir est grand ouvert avec Pierre-Louis Basse. Sans œillères. Et sans formatage.
Ses invités :
Le grand débat du soir : La démocratie perd la boule !
Bernard Stiegler, philosophe auteur de Ce qui fait que la vie vaut la peine d'être vécue chez Flammarion
Philippe Geluck, illustrateur de BD belge, auteur de Le chat acte XVI chez Casterman
Michael Foessel, maître de conférences en philosophie à l'université de Bourgogne, auteur de Etat de vigilance. Critique de la banalité sécuritaire aux éditions Le bord de l'eau
Alexandre Lacroix, rédacteur en chef de Philosophie Magazine
Marie-Noëlle Lienemann, députée Européenne Socialiste, Vice-présidente de la Région Nord-Pas de Calais
Patrice Bollon, journaliste, écrivain, auteur de Le manuel du contemporain au Seuil
Trésor, rappeur
http://www.europe1.fr/MediaCenter/Emiss ... -!-386495/
Culture, société, sport... Le soir est grand ouvert avec Pierre-Louis Basse. Sans œillères. Et sans formatage.
Ses invités :
Le grand débat du soir : La démocratie perd la boule !
Bernard Stiegler, philosophe auteur de Ce qui fait que la vie vaut la peine d'être vécue chez Flammarion
Philippe Geluck, illustrateur de BD belge, auteur de Le chat acte XVI chez Casterman
Michael Foessel, maître de conférences en philosophie à l'université de Bourgogne, auteur de Etat de vigilance. Critique de la banalité sécuritaire aux éditions Le bord de l'eau
Alexandre Lacroix, rédacteur en chef de Philosophie Magazine
Marie-Noëlle Lienemann, députée Européenne Socialiste, Vice-présidente de la Région Nord-Pas de Calais
Patrice Bollon, journaliste, écrivain, auteur de Le manuel du contemporain au Seuil
Trésor, rappeur
http://www.europe1.fr/MediaCenter/Emiss ... -!-386495/
Re: POLITIQUE
Journal d'un jeune fasciste
Un documentaire à (re)voir encore quelques jours sur Arte+7.
Ça fait réfléchir.
Un documentaire à (re)voir encore quelques jours sur Arte+7.
Ça fait réfléchir.
Re: POLITIQUE
Chercher l'erreurDIMANCHE 06 FÉVRIER 2011, Déclarations en conclusion du congres de gauche unitaire :
Retrouvez les interventions de Marie-George Buffet, Christian Picquet et Jean-Luc Mélenchon

Re: POLITIQUE
Débat Mélenchon, Marine Le Pen sur BFMTV (à 8h30 du matin ! lundi 14 février)
http://www.bfmtv.com/video-infos-actual ... ie-939571/
http://www.bfmtv.com/video-infos-actual ... ie-939510/
Tout simplement hallucinant !
http://www.bfmtv.com/video-infos-actual ... ie-939571/
http://www.bfmtv.com/video-infos-actual ... ie-939510/
Tout simplement hallucinant !
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Entrée au Nouveau Parti anticapitaliste (NPA) à sa fondation, en février 2009, Leïla Chaibi, militante du collectif de précaires l'Appel et la Pioche, quitte la formation d'Olivier Besancenot dimanche et rejoint le Parti de gauche (PG) de Jean-Luc Mélenchon comme «secrétaire nationale à l'abolition du précariat».
... Ce n'est qu'une question de divergences sur la stratégie électorale...
Non. Au départ, le NPA devait prendre le meilleur du mouvement social. Mais on a essayé de nous formater, de nous transformer en militant de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR). Par exemple, le domaine de la précarité a été pris de manière secondaire. Pour les anciens de la LCR, la révolution partira des usines, pas des précaires au chômage, en stages ou en CDD. Pourtant, ...
http://www.lepartidegauche.fr/editos/ac ... vitationr-
... Ce n'est qu'une question de divergences sur la stratégie électorale...
Non. Au départ, le NPA devait prendre le meilleur du mouvement social. Mais on a essayé de nous formater, de nous transformer en militant de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR). Par exemple, le domaine de la précarité a été pris de manière secondaire. Pour les anciens de la LCR, la révolution partira des usines, pas des précaires au chômage, en stages ou en CDD. Pourtant, ...
http://www.lepartidegauche.fr/editos/ac ... vitationr-
Re: POLITIQUE
Je comprends que Leïla quitte le NPA. On s'est retrouvés à militer assez souvent aussi bien dans le collectif droits nouveaux qu'au sein du NPA.
Comme elle j'ai rejoint le NPA lors du processus de fondation.
La suite est plus intéressante. C'est vrai qu'un certain nombre de militants de l'ex-LCR ont la croyance que la révolution partira uniquement des entreprises.
Il y a une explication à cette croyance même si cette explication doit être relativisée.
Le cadre d'une entreprise permet de structurer collectivement les gens qui y travaillent. Elle cite la révolution tunisienne et indique que le processus a démarré suite au suicide d'un sans-emploi pauvre mais elle oublie de dire que , sauf erreur, il y avait un syndicat de travailleurs qui a permis d'amplifier et de structurer la lutte. Mais par ailleurs, Il ne faut pas surestimer les collectifs de travailleurs dans les entreprises car ils sont souvent atomisés. C'est fini l'époque où tu avais une entreprise avec des centaines de gens qui travaillaient sur le même site dans quelques ateliers. Les salariés sont de plus en souvent isolés sur leur lieu de travail.
En outre, les précaires , les chômeurs sont assimilés au lupen-prolétariat (sous-prolétariat): ils sont vus par les militants révolutionnaires comme des gens peu fiables et qui pourraient se ranger du côté de la bourgeoisie en cas de révolution.
Mais surtout, je pense qu'un certain nombre de gens (même au sein de l'extrême gauche) ne comprennent pas ce qu'est devenu le "marché de l'emploi", ils n'arrivent pas à prendre en compte que beaucoup de salariés n'appartiennent plus au salariat mais à un sous-groupe qui devient de plus en nombreux: le précariat.
C'est la zone grise entre le groupe des salariés qui travaillent à plein-temps ou presque et le groupe de ceux qui n'ont pas de travail du tout.
Les patrons, aidés par le gouvernement mangent la "banane" par les deux bouts et il ne restera plus, à peu de choses près, qu'un seul groupe : le précariat.
Il faut bien reconnaître aussi que les précaires ne se bousculent pas (il est vrai que la précarité mobilise beaucoup d'énergie psychique) pour lutter aussi bien sur le plan politique que dans d'autres secteurs (associatifs, voire syndicaux)
Et je doute qu'il faille se reposer seulement sur des salariés à plein temps pour une prise de conscience de la situation et un travail syndical/associatif/politique sur le sujet.
«secrétaire nationale à l'abolition du précariat», sympa comme titre, mais les titres seuls ne vont rien changer.
A la question, "Ce n'est qu'une question de divergences sur la stratégie électorale", l'article lui fait répondre non.
Je pense qu'il faut comprendre que le non veut dire que ce n'est pas seulement une question de divergences sur la stratégie électorale mais ca l'est tout de même aussi.
Par delà les questions de précarité il y a la question aussi importante qui est: quelle société voulons-nous vraiment et la réponse à cette question ne peut être donnée ni par les salariés seuls, ni par les sans emploi, ni par les précaires, c'est le problème de tous ces gens (le mien aussi) !
Comme elle j'ai rejoint le NPA lors du processus de fondation.
Personne n'a essayé de me formater, et je ne l'ai jamais été.Ce n'est qu'une question de divergences sur la stratégie électorale...
Non. Au départ, le NPA devait prendre le meilleur du mouvement social. Mais on a essayé de nous formater, de nous transformer en militant de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR). Par exemple, le domaine de la précarité a été pris de manière secondaire. Pour les anciens de la LCR, la révolution partira des usines, pas des précaires au chômage, en stages ou en CDD. Pourtant,
La suite est plus intéressante. C'est vrai qu'un certain nombre de militants de l'ex-LCR ont la croyance que la révolution partira uniquement des entreprises.
Il y a une explication à cette croyance même si cette explication doit être relativisée.
Le cadre d'une entreprise permet de structurer collectivement les gens qui y travaillent. Elle cite la révolution tunisienne et indique que le processus a démarré suite au suicide d'un sans-emploi pauvre mais elle oublie de dire que , sauf erreur, il y avait un syndicat de travailleurs qui a permis d'amplifier et de structurer la lutte. Mais par ailleurs, Il ne faut pas surestimer les collectifs de travailleurs dans les entreprises car ils sont souvent atomisés. C'est fini l'époque où tu avais une entreprise avec des centaines de gens qui travaillaient sur le même site dans quelques ateliers. Les salariés sont de plus en souvent isolés sur leur lieu de travail.
En outre, les précaires , les chômeurs sont assimilés au lupen-prolétariat (sous-prolétariat): ils sont vus par les militants révolutionnaires comme des gens peu fiables et qui pourraient se ranger du côté de la bourgeoisie en cas de révolution.
Mais surtout, je pense qu'un certain nombre de gens (même au sein de l'extrême gauche) ne comprennent pas ce qu'est devenu le "marché de l'emploi", ils n'arrivent pas à prendre en compte que beaucoup de salariés n'appartiennent plus au salariat mais à un sous-groupe qui devient de plus en nombreux: le précariat.
C'est la zone grise entre le groupe des salariés qui travaillent à plein-temps ou presque et le groupe de ceux qui n'ont pas de travail du tout.
Les patrons, aidés par le gouvernement mangent la "banane" par les deux bouts et il ne restera plus, à peu de choses près, qu'un seul groupe : le précariat.
Il faut bien reconnaître aussi que les précaires ne se bousculent pas (il est vrai que la précarité mobilise beaucoup d'énergie psychique) pour lutter aussi bien sur le plan politique que dans d'autres secteurs (associatifs, voire syndicaux)
Et je doute qu'il faille se reposer seulement sur des salariés à plein temps pour une prise de conscience de la situation et un travail syndical/associatif/politique sur le sujet.
«secrétaire nationale à l'abolition du précariat», sympa comme titre, mais les titres seuls ne vont rien changer.
A la question, "Ce n'est qu'une question de divergences sur la stratégie électorale", l'article lui fait répondre non.
Je pense qu'il faut comprendre que le non veut dire que ce n'est pas seulement une question de divergences sur la stratégie électorale mais ca l'est tout de même aussi.
Par delà les questions de précarité il y a la question aussi importante qui est: quelle société voulons-nous vraiment et la réponse à cette question ne peut être donnée ni par les salariés seuls, ni par les sans emploi, ni par les précaires, c'est le problème de tous ces gens (le mien aussi) !
Re: POLITIQUE
Heu, excuse moi, mais sur quelle base peut on affirmer pareille ineptie????En outre, les précaires , les chômeurs sont assimilés au lupen-prolétariat (sous-prolétariat): ils sont vus par les militants révolutionnaires comme des gens peu fiables et qui pourraient se ranger du côté de la bourgeoisie en cas de révolution.
Par l'interprétation de cette phrase, il faut avoir un travail, pour un être un révolutionnaire fiable?????