Parcours de retour à l'emploi. Un lien intéressant.
Parcours de retour à l'emploi. Un lien intéressant.
http://info.assedic.fr/unijuridis/trava ... 200620.pdf
voici une adresse riche en renseignements sur ce qui attend les allocataires,uniquement?,en are.
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voici une adresse riche en renseignements sur ce qui attend les allocataires,uniquement?,en are.
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Merci pour le lien…
Merci pour ce lien vers un volumineux PDF, mais quel en est l'intérêt ?
pour les allocatires en are,pour le mement?,puisqu'il s'ait d'une convention anpe/assedics sur le suivi des demandeurs d'emploi en are.....il est mis en place des parcours ,qui,semblent ils s'apparentent plus a un veritable controle de la recherche d'emploi deguisee.la notion d'"autonomie "a bon dos ,dans une economie peu creatrice d'emplois.je suis moi meme en ass;et là,semble t il rien.le suivi mensuel,oui....
zavez bien dit retour a l'emploi
lien le figaro du jour ,bien sur et on appreciera le ...sur la base du volontariat ainsi que le tiers ayant des problemes pathologiques
de la a dire ...!!

Huit cents RMistes du Rhône recrutés pour faire les vendanges en Beaujolais Frédéric Poignard . Publié le 06 septembre 2006Actualisé le 06 septembre 2006 : 07h53
| Rubrique FranceDans ce département, le conseil général multiplie les actions pour aider ses 35 000 RMistes à reprendre pied dans le monde du travail.
POUR LA DEUXIÈME année consécutive, 800 RMIstes du Rhône ont pris depuis hier le chemin des vignes du Beaujolais pour participer aux vendanges. Une initiative prise l'an dernier par le président du conseil général Michel Mercier (UDF) en partenariat avec l'Union interprofessionnelle des vins du beaujolais et l'ANPE au regard du nombre grandissant d'allocataires et de la difficulté pour les viticulteurs à trouver des bras.
Quelque 50 000 vendangeurs sont attendus. 80% d'entre eux sont nourris et logés et perçoivent un salaire journalier de 52 euros. Les RMistes pourront cumuler ce salaire avec leur allocation. «C'est une opération symbolique et très temporaire, mais elle permet de rappeler la valeur du travail qui confère davantage de revenu», explique Michel Mercier.
Mises en place en mai, les opérations de recrutement, sur la base du volontariat, ont été d'autant facilitées que les RMistes du Rhône sont désormais en contact avec un référent chargé de suivre leur parcours d'insertion. «On ne fait pas de miracle, mais nos allocataires voient ainsi qu'ils ne sont pas abandonnés et sont mieux pris en charge», se félicite Michel Mercier.
Toute une gamme de contrats aidés
L'accompagnement de l'insertion ne se limite pas à la seule opération vendanges. Sur les 35 000 allocataires que compte actuellement le département, un millier sort chaque mois du dispositif grâce à la mise en place de toute une gamme de contrats aidés.
Le Rhône est un des départements qui a initié le plus grand nombre de RMA (revenu minimum d'activité) et celui qui a développé le plus d'actions spécifiques de réinsertion. Au début de l'été, une centaine de RMistes a été recrutée par Kéolis, société gestionnaire des transports en commun lyonnais. Avec l'ANPE, un atelier de formation à la création d'entreprise accompagne quelques dizaines d'allocataires. Une centaine de futures assistantes maternelles sont en en formation. Cent vingt-deux candidatures ont été retenues pour pourvoir des postes vacants de TOS dans les collèges.
Dernière action en date, Michel Mercier vient de signer une vingtaine de contrats pour accompagner des collégiens handicapés. L'avantage est triple : non seulement les RMistes se réinsèrent dans la vie active et perçoivent une rémunération, mais l'opération est source d'économie pour le conseil général qui finançait le transport par taxi.
Le recrutement n'est toutefois pas simple et le conseil général peine à sélectionner ces accompagnateurs, souligne Michel Mercier. Parmi les 34 900 allocataires, un nombre toujours très élevé, un tiers souffre de problèmes pathologiques. Et le nombre de nouveaux dossiers de RMI reste équivalent au nombre de sorties mensuelles favorisées par les aides. «Ce qui démontre que la reprise de l'emploi n'a pas encore touché ceux qui en sont les plus éloignés», constate Michel Mercier.
lien le figaro du jour ,bien sur et on appreciera le ...sur la base du volontariat ainsi que le tiers ayant des problemes pathologiques

de la a dire ...!!

Moi, je fais stage sur stage non rémunérés lol ...
Il y a dans le mag alter eco une photo d'un homme avec une plancarte où est écrit : les gens ont besoin d'un vrai travail non un workfare : un travail d'insertion ( bon je ne sais si c'est la traduction exacte ) ainsi cela traduit le fait qu'aux states les personnes percevant une aide sociale doivent faire des heures d'activité non rémunérée
maintenant il va falloir me dire pourquoi ils n'ont pas mis un chomeur français sur la photo parce que je ne vois pas trop la différence entre les states et la france ... enfin on n'est pas deja dans cette situation d'apres alter eco moi pourtant je croyais qu'on l'était deja
Il y a dans le mag alter eco une photo d'un homme avec une plancarte où est écrit : les gens ont besoin d'un vrai travail non un workfare : un travail d'insertion ( bon je ne sais si c'est la traduction exacte ) ainsi cela traduit le fait qu'aux states les personnes percevant une aide sociale doivent faire des heures d'activité non rémunérée
maintenant il va falloir me dire pourquoi ils n'ont pas mis un chomeur français sur la photo parce que je ne vois pas trop la différence entre les states et la france ... enfin on n'est pas deja dans cette situation d'apres alter eco moi pourtant je croyais qu'on l'était deja
Workfare ?
Travail d'insertion ou travail d'occupation du temps ? Mes cousins à NYC me disent qu'on parque les gens X heures par jour dans des endroits clos, pour des "occupations" plus ou moins utiles... quand on leur en donne. Ceci dans le seul but avoué de "keep 'em off the street", donc pour les fliquer afin qu'ils ne fassent pas de conneries.gaia a écrit :Moi, je fais stage sur stage non rémunérés lol ...
Il y a dans le mag alter eco une photo d'un homme avec une plancarte où est écrit : les gens ont besoin d'un vrai travail non un workfare : un travail d'insertion ( bon je ne sais si c'est la traduction exacte ) ainsi cela traduit le fait qu'aux states les personnes percevant une aide sociale doivent faire des heures d'activité non rémunérée
Qui dit mieux ? SCO ? Ou encore un autre lapin que va nous sortir de son chapeau un des chantres de la reprise et de la baisse du chômage.
Un lien intéressant - et pas très rassurant...
Viendra-t-on de l'entretien mensuel à l'entretien toutes les deux semaines? Pourquoi pas venir tous les jours à l'ANPE ou à l'ASSEDIC pour faire des entretiens. Ou après chaque coup de téléphone à une entreprise, en va voir son conseiller pour lui raconter son coup de fil. Comme ça tout le monde est bien occupé.
J'ai compté 10 fois le mot "renforcé", et dans le mot renforcer est le mot forcer.
Je crains qu'ils vont s'exciter comme ça jusqu'aux élections...
Je lis "proposer" ou "préconiser" et j'entends "obliger". C'est tout un art de choisir des mots bien pour des truc moins bien. Dans les mots "proposer" et "préconiser" il y a par définition la liberté de suivre ou pas la proposition ou la préconisation. Qu'en est-il à l'ANPE ou à l'ASSEDIC? Y a-t-il des sanctions si on ne suit pas les "propositions"? Si c'est le cas alors ayez l'obligeance d'appeler les "propositions" des obligations, et le chat un chat.Il s’agit de proposer aux allocataires concernés un accès simple et rapide aux services de l’ANPE avec des contacts alternés et coordonnées de l’Assédic et de l’ANPE tous les 15 jours en moyenne : · l’Assédic procède à des examens de suivi de la recherche d’emploi, à compter de l’IDE, à J+15 (contact téléphonique dit « de mobilisation en vue de confirmer notamment les principes de coordination du suivi ANPE-Assédic dans le cadre du parcours préconisé dans le PPAE), J+30 et J+60 (entretiens physiques de suivi) a minima,...
Viendra-t-on de l'entretien mensuel à l'entretien toutes les deux semaines? Pourquoi pas venir tous les jours à l'ANPE ou à l'ASSEDIC pour faire des entretiens. Ou après chaque coup de téléphone à une entreprise, en va voir son conseiller pour lui raconter son coup de fil. Comme ça tout le monde est bien occupé.
J'ai compté 10 fois le mot "renforcé", et dans le mot renforcer est le mot forcer.
Je crains qu'ils vont s'exciter comme ça jusqu'aux élections...