pour que vous rigoliez bien a fond ,je vous donne la suiteAprès le boulot, je me défoule et je respire enfin !"
De plus en plus de dirigeants pratiquent un sport de combat. Radical pour évacuer le stress, développer sa force et trouver l'harmonie. Autant d'atouts pour votre vie professionnelle.
Corine Moriou | Mis à jour le 08/11/2005
Imprimer Envoyer par e-mail Ajouter aux favoris Réagir
Plus de cent vingt appels téléphoniques par jour. Le métier d'agent de stars fait rêver, mais on peut y laisser sa santé. « Sans le karaté, j'aurais craqué, lance Serena Bonnefoy, dirigeante de B Agency.
Après avoir salué le sensei (le maître), je peux enfin me défouler. C'est un excellent exutoire pour transformer tout le stress de la journée en une énergie positive. »
Cette jeune chef d'entreprise pratique le karaté depuis un an. Elle fréquente quatre fois par semaine un dojo et y a même entraîné son mari, Nicolas, qui lui aussi a créé sa société. A 22 heures, totalement régénérés, les Bonnefoy retournent parfois au bureau pour boucler un dernier dossier. « Plus qu'un sport, c'est une thérapie », avoue Serena. Et il semble que cette executive woman soit sur la bonne voie, celle de « la force tranquille ». « Si un concurrent vient sur mon territoire, je sais parer l'attaque et répliquer.
Mentalement, je révise mes "katas" (mouvements codifiés répétés à l'entraînement) et, d'un simple geste, je peux calmer la situation. »

et le lien ,on ne peut plus bateauDirigeants et cadres sont de plus en plus nombreux à s'inscrire à des cours de kendo, kung-fu ou jujitsu... Des disciplines jusqu'ici moins connues, comme le viet vo dao, d'origine vietnamienne, ou la capoeira, un art martial brésilien qui se danse, ont désormais leurs adeptes. Fondateur de Stimulus, un cabinet de conseil sur le stress professionnel, Patrick Légeron, psychiatre, n'est pas surpris par cet engouement pour les arts martiaux (de Mars, dieu de la guerre) : « A la différence des pays nordiques ou anglo-saxons, la France est un pays où le consensus est difficile. En pleine guerre économique, l'agressivité est devenue un mode d'expression institutionnalisé inscrit dans notre culture.
Les sports de combat canalisent le stress, développent le contrôle et la confiance en soi. Les chefs d'entreprise qui les pratiquent sont mieux équipés pour riposter face à l'adversité. » Yves Moritz, président du groupe de presse Cofimo 2, témoigne : « J'ai contre moi tous ceux qui voudraient faire la même chose, ceux qui voudraient faire le contraire et ceux qui ne font rien. Le judo m'a armé pour me battre et gagner contre les concurrents, car cette discipline enseigne comment bouger vite. C'est ainsi que j'ai saisi des opportunités professionnelles plus rapidement que d'autres, notamment lors du rachat de journaux. Mais le judo enseigne aussi une éthique, les coups à ne jamais porter à son adversaire. C'est ce code d'honneur qui m'a aussi guidé dans ma vie professionnelle. » Même dans des situations extrêmes, les judokas n'enfreignent pas cette règle. « Au Soudan, en plein désert, un policier qui avait bu m'a pointé une kalachnikov sur le ventre pendant six heures, raconte Philippe Bourseiller, 47 ans, un photographe indépendant qui parcourt la planète. Ma pratique du judo m'a permis d'intérioriser ma peur et d'amener l'autre à lâcher son fusil, uniquement au son de ma voix, car nous n'avions pas de langue commune. »
Et Roland Brunner, psychanalyste, de commenter : « Seuls les faibles sont agressifs et violents. Etre fort mentalement et physiquement, c'est savoir ne pas se servir de sa force

bon pour vous rassurer ,les gentils chomeurs ,on y parle que de karaté ,judo et autres mignonneries




la banlieue a encore de l'avance avec le kravmaga et la boxe thai

non ,ce qui chouette ,c'est qu'on va pouvoir enfin avoir des confrontations salariales sympa



quand je vous dis que le monde de l'entreprise est parfois d'un drole

ah si ,encore plus drole



ben voyons ,faut etre psy pour sortir des conneries pareilles ; a faire mourir de rire un apprenti commando russe ou n'importes quel taulard francais d'ailleursEt Roland Brunner, psychanalyste, de commenter : « Seuls les faibles sont agressifs et violents

allez patron ,en garde et surtout fait nous le cri qui tue
