30.000 employés "vie scolaire" vont épauler les di
30.000 employés "vie scolaire" vont épauler les di
Quelque 30.000 personnes ont été recrutés, en "emplois vie scolaire" (EVS), pour épauler les directeurs d'écoles dans leurs tâches, dès la rentrée, a déclaré lundi un conseiller du ministre de l'Education nationale, lors d'un déplacement à Longueau (Somme).
"Les trois quarts des écoles ont demandé le recrutement d'un EVS, soit 41.000 établissements sur 52.000, et 30.000 contrats ont été signés", a précisé le conseiller devant la presse, après une visite de l'école Paul Baroux du village de Longueau.
"D'autres écoles peuvent encore le demander", a-t-il ajouté.
Pour obtenir cet emploi de 20 heures par semaine sur 10 mois, il faut signer un "contrat d'avenir" destiné prioritairement aux personnes relevant du RMI. Les recutements se font en liaison avec l'ANPE.
Le protocole d'accord signé en mai avec le syndicat des enseignants SE-Unsa, pour sortir de la grève administrative menée depuis 1999 par les directeurs, prévoyait notamment "une revalorisation de 20% de l'indemnité de direction, une décharge immédiate d'un jour par semaine pour tous les directeurs d'écoles de quatre classes et la possibilité de recruter un EVS", selon le ministère.
Quelque 2.000 contrats EVS doivent être réservés à l'assistance aux élèves handicapés.
Le ministre de l'Education nationale Gilles de Robien s'était rendu à Longueau, pour la rentrée anticipée dans une école pratiquant "la semaine de quatre jours et demi"
© AFP.
"Les trois quarts des écoles ont demandé le recrutement d'un EVS, soit 41.000 établissements sur 52.000, et 30.000 contrats ont été signés", a précisé le conseiller devant la presse, après une visite de l'école Paul Baroux du village de Longueau.
"D'autres écoles peuvent encore le demander", a-t-il ajouté.
Pour obtenir cet emploi de 20 heures par semaine sur 10 mois, il faut signer un "contrat d'avenir" destiné prioritairement aux personnes relevant du RMI. Les recutements se font en liaison avec l'ANPE.
Le protocole d'accord signé en mai avec le syndicat des enseignants SE-Unsa, pour sortir de la grève administrative menée depuis 1999 par les directeurs, prévoyait notamment "une revalorisation de 20% de l'indemnité de direction, une décharge immédiate d'un jour par semaine pour tous les directeurs d'écoles de quatre classes et la possibilité de recruter un EVS", selon le ministère.
Quelque 2.000 contrats EVS doivent être réservés à l'assistance aux élèves handicapés.
Le ministre de l'Education nationale Gilles de Robien s'était rendu à Longueau, pour la rentrée anticipée dans une école pratiquant "la semaine de quatre jours et demi"
© AFP.
Petite erreur cher Avenir, les "emplois vie scolaire" en fait assistance administrative au directeur, en contrat d'avenir de concerne pas les "rémistes" parce que géré par les conseils généraux (du moins dans ma région, et surement partout, je vais vérifier) mais les ASS, API et AAH.
En plus ce sont de réels contrats au rabais (déjà le contrat d'avenir normal, hien
) mais comme je te l'expliquais sur un autre fil, ils ne feront que 10 mois (pas d'indemnisation à l'issue) et ne comporteront aucune formation ou accompagnement en parrallèle. 
En plus ce sont de réels contrats au rabais (déjà le contrat d'avenir normal, hien


C'est de cette façon qu'ils comptent sortir de la misère les assujetis RMI,ASS?Pour obtenir cet emploi de 20 heures par semaine sur 10 mois
En quoi ca va les aider à retrouver un emploi après puisque de toute facon cette experience professionnelle tout le monde s en fout? Pas de formation pendant?
C'est honteux !

20/35*986 c'est à peu près 563 euros net
je suppose que je ne suis pas loin du salaire consenti?
(986 euros c'est un smic à temps complet net si je me souviens bien)
Pourquoi pas des postes à 35 heures plutôt?
C'est pas le but, Tristesir !C'est de cette façon qu'ils comptent sortir de la misère les assujetis RMI,ASS?

N'oublie pas l'objectif du gouvernement... faire baisser le taux de chômage donc faut partager le temps de travail par des contrats précaires à mi-temps pour donner un maximum d'emplois.
Baisse du chômage garanti !
Souviens-toi du NAIRP (Non Accelarating Inflation Rate of Précarity) qui succède au NAIRU.
C'est déjà pratiqué aux Etats-Unis ce qui explique leur faible taux de chômage.
J'ai retrouvé le texte que j'avais pioché dans un autre forum au moment de la mobilisation contre le CPE :
Y'avait le NAIRU... maintenant y'a le NAIRP !!!
Je ne le sais que trop bien mais il me semble nécessaire de traduire ce qui se cache derrière ce genre d'annonces qui trompent ceux qui n'auront pas à vivre avec le salaire misérable donné comme une aumôme aux assujettis au RMI, ASS qui les occuperont.N'oublie pas l'objectif du gouvernement... faire baisser le taux de chômage donc faut partager le temps de travail par des contrats précaires à mi-temps pour donner un maximum d'emplois.
D'ailleurs, ces emplois leur sont réservés, un peu comme on réserve une punition ou un châtiment à celui (ou celle) qui a fauté. Tu n'as pas d'emploi tu es un pêcheur voire limite délinquant on va te remettre dans le droit chemin mais il faudra que tu passes d'abord par le purgatoire sous la houlette de l'ANPE, le grand temple du travail

Si tu savais le nombre de conn...ries que balancent les journaleux... C'est impressionnantj'ai juste fait un copier coller de l'info AFP et pour qu'on puisse en débattre sur ce sujet

A titre d'exemple au moment de la renégociation de la convention Unedic/ANPE/Etat un journaliste a affirmé, sur Europe 1, pour justifier le dossier unique (DUDE) que l'ANPE n'avait pas acces au dossier allocation des demandeurs. Hors ça fais 13 ans que j'y ai acces... Et c'est juste un exemple
Les agences de presse - Reuters, AFP, AP… - diffusent des infos brutes : les journalistes s'en emparent et sont censés les compléter, les étoffer, bref faire un travail de fond sur l'information à partir de ces dépêches. Or on s'aperçoit que, de plus en plus, la presse reprend et publie les dépêches sans les avoir retravaillées ou enrichies.
C'est ainsi que sur le web, rares sont les articles qui vont au-délà de l'info et offrent un minimum d'analyse : tout le reste n'est que copié-collé.
Pire : aux JT, sauf rares exceptions, il ne s'agit même plus de faire le perroquet de dépêches mais de les réduire encore plus !
C'est ainsi que sur le web, rares sont les articles qui vont au-délà de l'info et offrent un minimum d'analyse : tout le reste n'est que copié-collé.
Pire : aux JT, sauf rares exceptions, il ne s'agit même plus de faire le perroquet de dépêches mais de les réduire encore plus !