Le nettoyage continue en prévision de 2007
Le nettoyage continue en prévision de 2007
En même temps que nos ennuis (affaire radiateur) et ceux de Bellaciao, d'autres espaces de liberté sont ciblés, attaqués, diminués chaque jour en prévision des "événements" de 2007 : Voici une info éditée sur le site où figurent les archives de l'émission là-bas si j'y suis (France Inter -D.Mermet)
" Contrairement à ce qu’avait annoncé le nouveau directeur de France Inter, l’émission de Daniel Mermet «Là-bas si j’y suis» ne figurerait pas dans la grille à la rentrée de septembre.
Actuellement programmée à 17 heures avec une excellente audience (500 000 auditeurs) «Là-bas» serait programmée à 15 heures ce qui lui ferait perdre plus de 50% de ses auditeurs, la tranche horaire de 15 heures étant traditionnellement beaucoup moins écoutée quelle que soit la radio considérée.
Là-bas si j’y suis n’est pas une émission neutre et cette relégation n’est pas neutre, surtout au lendemain de mobilisations sociales et au seuil d’une année électorale.
Faut-il rappeler que l’actuel président de Radio France Jean-Paul Cluzel, Inspecteur général des finances, longtemps collaborateur de Jacques Chirac, intime d’Alain Juppé et récemment reconverti au sarkozysme n’a pas fait mystère, dans un entretien au Figaro Magazine, de ses idées « de droite, catholiques et libérales ».
Depuis son arrivée marquée par une brutale reprise en main provoquant le départ de personnalités emblématiques comme Pierre Bouteiller et Jean-Luc Hees, c’est près de 400 000 auditeurs qui ont quitté France Inter en moins de deux ans.
Ainsi avec la campagne pour le référendum sur la constitution européenne du 29 mai 2005 où la tranche «7/9» s’est distinguée par un soutien déchaîné et sans contrepartie au OUI, c’est environ 250 000 auditeurs qui ont quitté l’antenne et ne sont pas revenus. Dans le même temps « Là-bas si j’y suis » gagnait 45 000 nouveaux auditeurs.
Le 2 mai à la surprise générale, Frédéric Schlessinger, un nouveau directeur a été nommé à la tête de la station. Inconnu de France Inter qu’il reconnaît ne pas connaître d’avantage, cet ancien responsable du pôle radio du groupe Lagardère s’empresse de couper quelques têtes parmi les plus chères aux auditeurs. Le dernier en date étant Alain Rey une des voix les plus aimées d’Inter.
Mais n’en doutons pas les auditeurs seront sans doute consolés par l’arrivée de M.O.F. (Marc Olivier Fogiel).
Et tout cela dans quel but ? Sauver France Inter en faisant remonter par tous les moyens le chiffre des sondages d’audience.
Ces chiffres sont éminemment discutables et l’on ne fait pas de la radio avec des chiffres. Or même si l’on accepte d’entrer dans cette logique, pourquoi pénaliser « Là-bas » dont le très bon taux d’audience est un des rares en augmentation alors que plusieurs émissions qui ont perdu des auditeurs sont maintenues ?
Ces incohérences ne peuvent dissimuler une volonté politique et idéologique très claire de casser « Là-bas si j’y suis » avant d’en débarrasser la grille de France Inter.
Nous devons nous opposer vigoureusement à ces manipulations. Financée par la redevance, Radio France est un bien public, « la plus grande école de la République » et l’un des seuls espaces médiatiques en France qui n’ait pas pour but de vendre du temps de cerveau humain disponible aux annonceurs.
Cette relégation ne concerne pas seulement Daniel Mermet et l’équipe de Là-bas, c’est un mépris pour ceux qui depuis des années écoutent cette émission et peuvent simplement s’y faire une image différente du monde « à l’écoute de la différence ».
Mépris aussi et avant tout pour ceux dont les voix, ici et ailleurs, de charniers en chantiers, de souffrances en résistances, seraient encore un peu plus étouffées."
Limoges, le 16 juin 2006 à 21h
Texte visible sur :
http://www.la-bas.org/mot.php3?id_mot=153
" Contrairement à ce qu’avait annoncé le nouveau directeur de France Inter, l’émission de Daniel Mermet «Là-bas si j’y suis» ne figurerait pas dans la grille à la rentrée de septembre.
Actuellement programmée à 17 heures avec une excellente audience (500 000 auditeurs) «Là-bas» serait programmée à 15 heures ce qui lui ferait perdre plus de 50% de ses auditeurs, la tranche horaire de 15 heures étant traditionnellement beaucoup moins écoutée quelle que soit la radio considérée.
Là-bas si j’y suis n’est pas une émission neutre et cette relégation n’est pas neutre, surtout au lendemain de mobilisations sociales et au seuil d’une année électorale.
Faut-il rappeler que l’actuel président de Radio France Jean-Paul Cluzel, Inspecteur général des finances, longtemps collaborateur de Jacques Chirac, intime d’Alain Juppé et récemment reconverti au sarkozysme n’a pas fait mystère, dans un entretien au Figaro Magazine, de ses idées « de droite, catholiques et libérales ».
Depuis son arrivée marquée par une brutale reprise en main provoquant le départ de personnalités emblématiques comme Pierre Bouteiller et Jean-Luc Hees, c’est près de 400 000 auditeurs qui ont quitté France Inter en moins de deux ans.
Ainsi avec la campagne pour le référendum sur la constitution européenne du 29 mai 2005 où la tranche «7/9» s’est distinguée par un soutien déchaîné et sans contrepartie au OUI, c’est environ 250 000 auditeurs qui ont quitté l’antenne et ne sont pas revenus. Dans le même temps « Là-bas si j’y suis » gagnait 45 000 nouveaux auditeurs.
Le 2 mai à la surprise générale, Frédéric Schlessinger, un nouveau directeur a été nommé à la tête de la station. Inconnu de France Inter qu’il reconnaît ne pas connaître d’avantage, cet ancien responsable du pôle radio du groupe Lagardère s’empresse de couper quelques têtes parmi les plus chères aux auditeurs. Le dernier en date étant Alain Rey une des voix les plus aimées d’Inter.
Mais n’en doutons pas les auditeurs seront sans doute consolés par l’arrivée de M.O.F. (Marc Olivier Fogiel).
Et tout cela dans quel but ? Sauver France Inter en faisant remonter par tous les moyens le chiffre des sondages d’audience.
Ces chiffres sont éminemment discutables et l’on ne fait pas de la radio avec des chiffres. Or même si l’on accepte d’entrer dans cette logique, pourquoi pénaliser « Là-bas » dont le très bon taux d’audience est un des rares en augmentation alors que plusieurs émissions qui ont perdu des auditeurs sont maintenues ?
Ces incohérences ne peuvent dissimuler une volonté politique et idéologique très claire de casser « Là-bas si j’y suis » avant d’en débarrasser la grille de France Inter.
Nous devons nous opposer vigoureusement à ces manipulations. Financée par la redevance, Radio France est un bien public, « la plus grande école de la République » et l’un des seuls espaces médiatiques en France qui n’ait pas pour but de vendre du temps de cerveau humain disponible aux annonceurs.
Cette relégation ne concerne pas seulement Daniel Mermet et l’équipe de Là-bas, c’est un mépris pour ceux qui depuis des années écoutent cette émission et peuvent simplement s’y faire une image différente du monde « à l’écoute de la différence ».
Mépris aussi et avant tout pour ceux dont les voix, ici et ailleurs, de charniers en chantiers, de souffrances en résistances, seraient encore un peu plus étouffées."
Limoges, le 16 juin 2006 à 21h
Texte visible sur :
http://www.la-bas.org/mot.php3?id_mot=153
ah ,ouai ,va etre en concurrence avec brigitte lahaie qui parle cul sur RMC a cet heure la ,enfin je suis mauvaise langue la ,elle scrute la sexualité des francais et comme ya du boulot ,son emission marche d'enferplus de 50% de ses auditeurs, la tranche horaire de 15 heures étant traditionnellement beaucoup moins écoutée quelle que soit la radio considérée.

pour le reste ,le pere mermet avait eu quelques soucis prud'hommaux ,il me semble ,mais bon je suis encore mauvaise langue car j'en ignore le fond exact

a part ca , son emission a souvent ete sublime d'humanité

Chasse à la dissidence !
Tous les rendez-vous dissidents (émissions, magazines, sites Web, blogs…) sont dans le collimateur.
Le rouleau compresseur de l'uniformisation et du nivellement (par le bas, ça va de soi) roule à plein régime.
Hors de question (cette fois) de faire de l'ombre à l’establishment politique, médiatique et… économique (comme ce fut le cas en mai 2005).
Mermet (France Inter) incarne un des rares îlots de résistance… du service public qui est de plus en plus au service des intérêts privés (augmentation de la pub sur France Inter, pour ne parler que de ça).
Sur le Web, la chasse aux "sorcières" a commencé avec en ligne de mire Bellaciao… et Actuchomage.
Mais, contrairement aux idées reçues, les voix dissidentes (y compris sur le Web) sont rares, donc il est facile pour les autorités de les "fixer"… et de les sanctionner au premier écart.
Aujourd'hui, 63 millions de Français ont le choix… de fermer leurs gueules.
Aujourd'hui, 63 millions de Français ont le choix… entre Sarkozy et Royal.
Le rouleau compresseur de l'uniformisation et du nivellement (par le bas, ça va de soi) roule à plein régime.
Hors de question (cette fois) de faire de l'ombre à l’establishment politique, médiatique et… économique (comme ce fut le cas en mai 2005).
Mermet (France Inter) incarne un des rares îlots de résistance… du service public qui est de plus en plus au service des intérêts privés (augmentation de la pub sur France Inter, pour ne parler que de ça).
Sur le Web, la chasse aux "sorcières" a commencé avec en ligne de mire Bellaciao… et Actuchomage.
Mais, contrairement aux idées reçues, les voix dissidentes (y compris sur le Web) sont rares, donc il est facile pour les autorités de les "fixer"… et de les sanctionner au premier écart.
Aujourd'hui, 63 millions de Français ont le choix… de fermer leurs gueules.
Aujourd'hui, 63 millions de Français ont le choix… entre Sarkozy et Royal.
Dernière modification par Yves le 28 août 2006, modifié 1 fois.
Bien résumé, Yves, malheureusement...Aujourd'hui, 63 millions de Français ont le choix… de fermer leurs gueules.
Aujourd'hui, 63 millions de Français ont le choix… entre Sarkozy et Royal.

Tristesir, lit d'abord ça avant de sortir

Dans leur immense majorité, les gens continuent à avoir une confiance aveugle dans ceux qui les guident (droit dans le mur, mais ça, nous ne sommes que quelques éclairés à en avoir conscience) les notables en tout genre : élus, hommes de loi, financiers, médecins...
Ils continuent à s'en remettre à d'autres dans les domaines fondamentaux de leur vie, à gober n'importe quoi puisque "ça vient d'en haut, de ceux qui savent mieux", à se laisser bercer et endormir chacun enfermés dans leur chez soi bien gardé au milieu duquel trône non plus le veau d'or mais la TV, le dieu des temps modernes qu'ils idolâtrent.
Ce sont des éternels enfants, des éternels mineurs, passés par la moulinette de l'éducation où on leur a bourré le mou de connaissances théoriques en évitant la plupart du temps d'éveiller les consciences : On leur a appris à ne pas bouger durant de longues heures, à se taire, à obéir aux professeurs pour récolter un semblant de reconnaissance, on leur a appris à ne surtout pas être eux-mêmes, à se couler dans le moule de l'uniformité. Ce conditionnement a duré des années, celles de l’enfance, celles on l’on est le plus malléable.
Une fois sortis de leur scolarité, ces éternels enfants sont si vulnérables et perdus qu'ils cherchent ce qu'ils ont toujours connus : de nouveaux maîtres. Ils entrent alors dans "le monde de l'entreprise" et retrouvent leurs repères avec soulagement. Le chef est là, celui qui va décider pour eux, les guider, leur dire quoi faire et comment faire...Ils peuvent à nouveau se mettre en mode automatique. On peut les traiter comme de la m-----, leur manquer du plus élémentaire respect, attenter à leur dignité humaine, ils ne bougeront plus. Le maître a droit de vie et de mort sur eux, c'est imprimé dans leur cervelle depuis que petits enfants, ils tremblaient de toute leur vulnérabilité et ne songeaient qu'à survivre face à cet adulte grand et fort qui les écrasait de son autorité.
Cet instinct de survie se réactive automatiquement devant toute autorité, même si l’autorité d’aujourd’hui n’est représentée que par un chefaillon de leur corpulence, voire moins corpulent qu’eux, même s’il a leur âge, voire s’il est plus jeune qu’eux…Les réflexes ont été bien ancrés, depuis la plus tendre enfance, et pour cela pas besoin de leur mettre un Alien dans la nuque, comme dans les film de SF…
Leur vie se déroule ainsi, ils acceptent l’autorité d’où qu’elle vienne, ployant l’échine pour quelques centaines d’euro mensuels, afin de s’acheter le bonheur-modèle tant vanté par les maîtres, et relayés abondamment par l’idole TV : une maison, quatre murs et un toit acheté des fortunes à crédit (sur 20, 30 ans voire plus, en cas de pépin les enfants prendront la suite pour honorer les paiements), une ou deux voitures elles aussi achetées à crédit, quelques offrandes sont faites à dieu-TV, on l’équipe de lecteurs en tout genre, voire de projecteurs…
Notre éternel enfant s’enchaîne ainsi pour des années, consent alors à être débiteur à vie de sa banque, de sociétés de crédits anonymes et froides qui guettent tout faux pas, tout impayé, pour l’entraîner tels de monstrueuses créatures sous-marines vers les abysses.
Sentant le danger rôder autour de lui, notre éternel enfant s’accroche à son travail, subit parfois le pire sans protester car il est le témoin de scènes difficiles dans son entreprise : Vagues de plans sociaux qui l’ont pour l’instant épargné, collègues poussés à la démission par des mois de harcèlement, exploitation à coup de promesse puis disparition soudaines de flots d’intérimaires pourtant valeureux. A l’extérieur de son entreprise il voit le fleurissement des contrats précaires et la jeunesse en colère dans les rues, le harcèlement des chômeurs par les institutions sommées de les faire disparaître (à défaut de leur trouver du boulot), les expulsions et la traque de sans-papiers jusque dans les écoles, etc…
Il a si peur devant cette violence qu’il ne peut réagir, qu’il reste assommé, tétanisé, s’accrochant tel un arapède à ses bouts de rocher ; son boulot, sa maison, sa voiture, sa famille.
Autour de lui des pans entiers de société sont pris dans les eaux furibondes du néo-capitalisme, il voit des gens se débattre courageusement, flotter puis couler et disparaître de sa vue, de son univers proche. Il serait bien tenté de leur envoyer une main, une perche, mais il a si peur d’être entraîné à son tour qu’il préfère détourner les yeux et s’agripper de toutes ses forces. Beaucoup de ses collègues ont disparu, on ne les revoit plus, devenus chômeurs, ils s’enferment chez eux et se cachent…et la vie continue, l’entreprise continue de tourner, alors on les oublie petit à petit. Il faut dire que les cadences ont tellement augmenté depuis ces départs non remplacés qu’on fait le boulot de 3 ou 4 personnes, alors on a plus guère le temps de réfléchir, et encore moins de protester.
On tient !
Il rentre le soir chez soi laminé, tel un zombi, reprendre quelques forces, honorer quelques heures dieu-TV qui va lui occuper le cerveau et lui donner un semblant de bonheur factice, puis il va se coucher pour être en forme le lendemain pour une nouvelle journée de travail.
Ses enfants grandissent, ils ne bossent pas à l’école et lorsqu’il leur en fait la remarque ils disent désabusés « si c’est pour finir chômeur ça sert à rien… » Il sait pas trop quoi leur dire, lui-même ne sait plus trop qui il est, ce qu’il faut faire, il a un peu honte d’être un survivant dans ce cataclysme économique, alors donner des conseils à d’autres, il se sent pas. Du haut de son rocher il ne voit plus que quelques personnes comme lui, hommes et femmes, épuisées, blafards et qui bouffent leur vie à essayer de la gagner, résistant à la violence incroyable des vagues toujours plus hautes.
Tout autour c’est la désolation, il y a une mer pleine de requins…Faut pas lâcher le rocher… Faut pas saigner pour ne pas les attirer…C’est tout ce qu’il sait et c’est devenu son objectif premier, le seul.
Ses gosses ? Ils feront comme lui, y’a pas le choix, c’est comme ça…
meme si j'adhere globalement au constat qui dresse le portrait meticuleux de la masse gelatineuse
je rappellerai quand meme que les prisons sont pleines a craquer ,sans compter que ce filet la ne raclant que les fonds de l'ocean social ,des que le poisson a grossi quelque peu ,il gagne le large
que st tropez aussi est plein de gens dont le quotidien est bien loin de ce constat .
oublions les zones intermediaires ou se situe des milliers de gens !!!
si la constante ,c'est que tout ces gens ne votent pas ,pour des motifs differents d'ailleurs .
ce serait donc ,ceux qui ont le pouvoir de choisir leur vie ,les votants ,qui s'enfermeraient eux meme a double tour


je rappellerai quand meme que les prisons sont pleines a craquer ,sans compter que ce filet la ne raclant que les fonds de l'ocean social ,des que le poisson a grossi quelque peu ,il gagne le large



que st tropez aussi est plein de gens dont le quotidien est bien loin de ce constat .
oublions les zones intermediaires ou se situe des milliers de gens !!!
si la constante ,c'est que tout ces gens ne votent pas ,pour des motifs differents d'ailleurs .
ce serait donc ,ceux qui ont le pouvoir de choisir leur vie ,les votants ,qui s'enfermeraient eux meme a double tour

et puis en matiere de nettoyage ,va quand meme falloir qui se leve tot le matin vu la tache
allez ,petit passage en revue des troupes


allez ,petit passage en revue des troupes

les visibles en plushttp://etienne.chouard.free.fr/Euro...
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115 http://communaute.hautetfort.com/co...

Si en plus tu leur facilite le boulot Chris !!
Rengaine ta liste avant qu'il ne soit trop tard...
Pour museler tout ce monde là il suffit de créer des jurisprudences et c'est ce qu'ils font en s'en prenant actuellement à des sites comme actu et bellaciao. Il suffit de se montrer sevères 2 ou 3 fois pour que les autres se calment, pensent-ils...
MAIS CA NE MARCHERA PAS !!!!
Ceci dit, plus haut, la masse gélatineuse (j'adore, je vais garder ce titre...) est quand même la plus importante en nombre comparés aux détenus et aux nababs de St Trop : Ces milliers, ces millions de gens sont ceux qui, s'ils cessent de flipper seulement pour eux-même et se réveillent, peuvent faire basculer tout le reste.
J'ai aussi oublié de dire, dans ce récit, qu'on pouvait voir au loin une petite île accueillante et qui bravait les flots, un village gaulois ? non, mais presque!.. celui des actuchômeurs !!


Rengaine ta liste avant qu'il ne soit trop tard...
Pour museler tout ce monde là il suffit de créer des jurisprudences et c'est ce qu'ils font en s'en prenant actuellement à des sites comme actu et bellaciao. Il suffit de se montrer sevères 2 ou 3 fois pour que les autres se calment, pensent-ils...
MAIS CA NE MARCHERA PAS !!!!


Ceci dit, plus haut, la masse gélatineuse (j'adore, je vais garder ce titre...) est quand même la plus importante en nombre comparés aux détenus et aux nababs de St Trop : Ces milliers, ces millions de gens sont ceux qui, s'ils cessent de flipper seulement pour eux-même et se réveillent, peuvent faire basculer tout le reste.
J'ai aussi oublié de dire, dans ce récit, qu'on pouvait voir au loin une petite île accueillante et qui bravait les flots, un village gaulois ? non, mais presque!.. celui des actuchômeurs !!

rendons a cesar ce qui .....c'est pas de moi ,mais de superUCeci dit, plus haut, la masse gélatineuse (j'adore

en fait ,je l'ai copiée sur ..bellaciaoSi en plus tu leur facilite le boulot Chris

c'etait en fait en remerciement pour la solidarité de leur affaire

exact ,ce serait debile , un site fermé = un site ouvert le lendemain comme une societé fermée= reouverture idem !!!MAIS CA NE MARCHERA PAS !!!!
de plus ,ils savent tres bien que ca ne ferait que repousser l'internet vers l'underground des serveurs a petaouchnock


ils ont deja donné avec les communautés de hackers autrefois

avec ses heros comme dans ..lost ,derniere saisonJ'ai aussi oublié de dire, dans ce récit, qu'on pouvait voir au loin une petite île accueillante et qui bravait les flots, un village gaulois ? non, mais presque!.. celui des actuchômeurs !!

J'avais déjà parlé de la valse aux adieux dans les médias de tous ceux qui gènent... dans un silence assourdissant...
Heureusement que Jean-Pierre Elkabbach est là pour rétablir la vérité !
La presse est libre et indépendante grâce aux grands groupes financiers qui lui permettent d'exister... qu'il nous explique !

La presse est libre et indépendante grâce aux grands groupes financiers qui lui permettent d'exister... qu'il nous explique !

C'est vraiment trop injuste de douter ainsi de l'intégrité des médias !Indépendance des médias : Elkabbach répond à Bayrou
Le président d'Europe 1, propriété de Lagardère, conseille au candidat UDF "de tourner sept fois la langue dans la bouche". Ce dernier avait mis en doute l'indépendance des médias.
Suite

Il n'a pas eu besoin d'intervenir directement, il a nommé"Nous ne pourrions jamais être fiers d'être inféodés aux ordres de tel ou tel. Cette station est le fleuron du groupe. Je vous rassure : Arnaud Lagardère n'a jamais cherché à intervenir".
Elkabbach.
Nommé conseiller spécial pour la stratégie des médias du groupe en 1990 par Jean-Luc Lagardère, il devient le 8 avril 2005 directeur général de l'antenne d’Europe 1 et Administrateur de Lagardère Active Broadcast, tout en conservant son émission matinale.
Depuis décembre 1999, il est président de Public Sénat, où il anime Bibliothèque Médicis, une émission littéraire.
En 2005, il est nommé président d'Europe 1 par Arnaud Lagardère, président du directoire d’EADS et de Lagardère Media.
(...)
Source
Par contre, quand ça ne va pas dans le sens du poil... ça hérisse dur dans les rangs de l'UMP.



Le congé de Béatrice Schönberg inquiète des députés
Une cinquantaine de députés UMP protestent contre le fait que la journaliste Béatrice Schönberg, épouse du ministre Jean-Louis Borloo, se mette prochainement "en congé" du journal de France 2 pour la durée de la campagne électorale.
Dans une lettre adressée vendredi au P-DG du groupe France Télévisions, Patrick de Carolis, ils écrivent que "cette annonce sans précédent est le résultat d'une campagne menée depuis un an par l'un des syndicats de la chaîne dans la grande tradition stalinienne des procès politiques de l'après-guerre".
Pour Lionel Luca, député des Alpes-Maritimes, à l'origine de cette initiative, et ses collègues, "on ne voit pas bien en quoi le fait d'être marié avec un ministre, ou un homme politique quel qu'il soit, devrait être suspect au point de remettre en question son honnêteté professionnelle".
Les 52 députés signataires de l'appel rappellent que Christine Ockrent, compagne de l'ancien ministre socialiste Bernard Kouchner, continuera à animer son émission sur France 3.
Ils estiment que cela "laisse une impression désagréable d'un 'deux poids, deux mesures' incompatible avec la nécessaire impartialité d'une chaîne publique".
Ils demandent que "l'honneur professionnel de Mme Béatrice Schönberg et de tous les journalistes qui n'ont pas la 'chance' d'être célibataire, soit respecté".
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