Fabienne Brutus le 10 juin à Nantes
Zoiseau : ta citation sur le respect ferait presque rire si dans tes posts ne transparaissait pas tant de mépris...
Je ne te connais pas, mais à te lire je t'imagine : des hurluberlus de ton espèce j'en vois tous les jours, qui font honte à notre métier, qui croient tout savoir, qui polémiquent dans le vide, qui ont toujours raison, qui parlent pour ne rien dire.
Je ne me donnerais plus la peine de te répondre, ça me dérangerais de finir par être tenté par la méchanceté, c'est pas mon truc, je te laisse ça.
Allez, bon vol ! Et va lâcher ton guano sous d'autres horizons.
On a besoin d'échange, de dialogue, d'espoir - pas de mépris et de cynisme.
Je ne te connais pas, mais à te lire je t'imagine : des hurluberlus de ton espèce j'en vois tous les jours, qui font honte à notre métier, qui croient tout savoir, qui polémiquent dans le vide, qui ont toujours raison, qui parlent pour ne rien dire.
Je ne me donnerais plus la peine de te répondre, ça me dérangerais de finir par être tenté par la méchanceté, c'est pas mon truc, je te laisse ça.
Allez, bon vol ! Et va lâcher ton guano sous d'autres horizons.
On a besoin d'échange, de dialogue, d'espoir - pas de mépris et de cynisme.
Seulement 40% des DE sauf erreur recoivent une allocation calculée sur leur salaires les autres recoivent l'ASS (RMI) ou rien du tout si j ai bien tout compris.Après lecture de ce livre, combien de lecteurs ont pensé : "faut arrêter l'assistanat, j'me crève le cul à aller bosser pour permettre à 20% de chomeurs de se la couler douce"
Se la couler douce pour grosso modo 400 euros par mois peu de gens sont candidats volontairement.
Cela permet à peine de payer le budget cigarettes de certains.
J'aimerais savoir ce que cela fait de "distribuer" principalement du boulot à temps partiel payé à coup de lance pierre tout en sachant que "l'heureux" bénéficiaire restera scandaleusement pauvre?
Je ne me donnerais plus la peine de te répondre, ça me dérangerais de finir par être tenté par la méchanceté, c'est pas mon truc, je te laisse ça.
Allez, bon vol ! Et va lâcher ton guano sous d'autres horizons.
On a besoin d'échange, de dialogue, d'espoir - pas de mépris et de cynisme.



Le monde merveilleux que tu souhaites voir jour ne ferait donc place à la démocratie et à la liberté de pensée

Ha, je suis déssssus

Ha ouhais ! J'y avait pas pensé ! : l'espoir, c'est dire aux demandeurs d'emploi, "rassurez-vous, il n'y a pas d'emploi pour tout le monde. Allez courage".

Marco-Esteban, tu peux continuer, à réagir à mes post, si tu en a envie car je suis pour la liberté et le respect de chacun.
Je revendique les citatons ci-dessous sans idéologie, discours ni baratin - juste parfois avec une touche de cynisme .
Ce discours est parfait pour faire accepter à un DE un pauvre contrat à temps partiel payé misérablementHa ouhais ! J'y avait pas pensé ! : l'espoir, c'est dire aux demandeurs d'emploi, "rassurez-vous, il n'y a pas d'emploi pour tout le monde. Allez courage"

Je suis sûr que ca pourrait marcher très bien sur les DE en fin de droits, <<ceux qui se la coulent douce>> le plus longtemps

Bonjour,
Je suis accepteur d'emploi.
Je n'attends pas d'un agent anpe qu'il m'apporte de l'espoir.
Comment le pourrait il ? Comment pourrait-il seulement le cerner, l'entrevoir ?
J'attends en revanche qu'il "réponde à" mon espoir.
Celui là est le même que chacun et c'est bien de recevoir échange et dialogue.
Si cet échange et ce dialogue existait, alors je serai reçu pour ce que je suis: quelqu'un qui n'a pas besoin qu'on lui apporte de l'espoir. (et même si j'en ai besoin, c'est pas sur une convocation et un interlocuteur aléatoire que je compter pour le retrouver.)
moi: "merci ça va ....y'a moyen de causer et d'agir sérieux
plutôt que de me faire cavaler comme un ?... ?désespéré?"
Je suis accepteur d'emploi.
Je n'attends pas d'un agent anpe qu'il m'apporte de l'espoir.
Comment le pourrait il ? Comment pourrait-il seulement le cerner, l'entrevoir ?
J'attends en revanche qu'il "réponde à" mon espoir.
Celui là est le même que chacun et c'est bien de recevoir échange et dialogue.
Si cet échange et ce dialogue existait, alors je serai reçu pour ce que je suis: quelqu'un qui n'a pas besoin qu'on lui apporte de l'espoir. (et même si j'en ai besoin, c'est pas sur une convocation et un interlocuteur aléatoire que je compter pour le retrouver.)
moi: "merci ça va ....y'a moyen de causer et d'agir sérieux
plutôt que de me faire cavaler comme un ?... ?désespéré?"

Vu que l'emploi est rare (on est quelques uns ici à ne plus avoir eu d'emploi décent depuis 2001) tu les trouves où tes emplois à temps complets?Non, si je le repère, j'interviens avant qu'il soit en fin de droit pour qu'il se bouge et trouve un emploi à temps plein avant d'avoir le couteau sous la gorge
Désolé, mais il y a une forte probabilité dans ce cas pour qu'un emploi moins stable soit la clé d'entrée
Un trou de 5 ans dans un cv, ça se voit et ça fige les employeurs ! ( quand ils ont les yeux exorbités et la langue qui pend, c'est qu'ils ne sont pas receptifs !)
Après 2 ans de "sacrifice" (cdd, intérim), la situation peut changer.
Et puis il arrive souvent qu'un emploi précaire soit péreinisé après quelques mois.

Un trou de 5 ans dans un cv, ça se voit et ça fige les employeurs ! ( quand ils ont les yeux exorbités et la langue qui pend, c'est qu'ils ne sont pas receptifs !)
Après 2 ans de "sacrifice" (cdd, intérim), la situation peut changer.
Et puis il arrive souvent qu'un emploi précaire soit péreinisé après quelques mois.
Comme si, il fallait ce prétexte pour fourguer de l'emploi à temps partiel payé une misère.Désolé, mais il y a une forte probabilité dans ce cas pour qu'un emploi moins stable soit la clé d'entrée
J'ai oublié de preciser que j ai plus de 40 ans.
Alors j ai gagné le droit de travailler 5 heures par jour au smic?
Ce genre de sacrifice on va me le demander jusqu'à ce que je crève.Après 2 ans de "sacrifice" (cdd, intérim), la situation peut changer.
Et puis il arrive souvent qu'un emploi précaire soit péreinisé après quelques mois.
Zoizeau tu es comme une sorte de médecin qui distribue des "remèdes" sans t'interesser aux conséquences il me semble.
A quoi sert il de travailler et se laisser déposséder de sa vie si c'est pour rester miséreux?
Parce que le travail rend libre?
Zoiseau : bien sûr que je suis pour le fait que chacun s'exprime comme il veut.
mais je n'aime pas du tout la condescendance et l'auto-satisfaction avec laquelle tu imposes ton point de vue en rabaissant celui des autres.
relis toi : tu caricatures et tourne au ridicule les propos des
autres.
à aucun moment je n'ai écrit quoi que ce soit qui se rapproche
du discours que tu me prêtes, à l'égard du demandeur d'emploi.
Mais la réalité du marché de l'emploi c'est quand même qu'il n'y a pas assez d'emplois pour tous les chômeurs, quoi que tu puisses dire.
Et puis, moi je ne dis jamais au public qu'"il se bouge" : certains en effet ne sont plus très actifs, mais vu leur vécu, et souvent leur historique avec l'ANPE, il est clair qu'il n'ont plus la motivation et le dynamisme nécessaire. Dans ce cas je les aide, avec les outils rares que nous avons, mais aussi par l'écoute, en prenant directement contact avec les employeurs, en vendant leurs compétences, en allant parfois même chez l'employeur avec eux. J'essaie de faire ce que je peux, ça ne marche pas toujours, loin de là.
Mais l'accompagnement connait ses limites : pour chaque demandeur que l'on aide à se placer, il y en a 50 autres qui avaient aussi postulé sur l'offre et qui n'auront pas le poste.
Mais tout de même, en ayant conscience des réalités du marché de l'emploi, il y a parfois moyen de faire quelque chose, même si ce n'est qu'une goutte d'eau dans l'océan.
Des collègues qui disent au public "il faudrait vous bouger" j'en ai : je récupère souvent les demandeurs d'emploi après l'entretien, en larmes dans mon bureau, ou je les recroise dans la rue, à la sortie de chez leur médecin qui les a mis sous anti-dépresseur. Le discours qui consiste à dire qu'il faut les secouer pour qu'ils se redynamisent serait réaliste s'il y avait assez d'emploi pour tout le monde et si vraiment le chômeur ne voulait pas bosser : personnellement j'ai rarement vu des demandeurs d'emploi qui ne veulent pas bosser, désolé.
Et il ne s'agit pas de pleurer avec eux ni de jouer les mère Térésa, alors STP garde tes propos moqueurs pour toi.
Continue à t'exprimer, tu peux toujours utiliser ton énergie à écrire de longues phrases qui ne font que te procurer de l'auto-satisfaction. mais des collègues qui tiennent ton discours, j'en ai plus qu'il n'en faut, et ce sont souvent ceux dont le public se plaint et qu'il demande à ne plus revoir !
Ce que je reproche à l'établissement ne se base pas sur une appréciation subjective : dans l'agence où je bosse j'avais les meilleurs résultats en accompagnement, je faisais jusqu'à la moitié des placements en CDI pour toute l'agence (une agence d'une quarantaine de conseillers). La direction a finit par me reprocher de passer trop de temps sur l'accompagnement, prétextant que d'autres tâches ne seraient alors pas effectuées, sans en citer aucune (parce que tout le reste du boulot était correctement fait, sauf que je ne suis pas un adepte de la radiation et je n'ai quasiment jamais lancé de procédure de radiation, ça a dû m'arriver une fois en dix ans).
Non, la réalité c'est que ce n'est pas le placement qui intéresse l'établissement, mais bien la sortie du fichier, et c'est beaucoup plus productif de faire de la répression et de radier en peu de temps de nombreux demandeurs, que de prendre du temps pour en placer quelques uns.
C'est ma réalité au quotidien que je décris, et pas une série de fantasmes dont tu vas pouvoir rire en les tournant au ridicule dans ton prochain post.
Et en ce qui concerne le suivi mensuel, il faut savoir que l'établissement s'est engagé - et a écrit - que chaque conseiller aurait une demi journée par mois pour 10 demandeurs d'emploi à suivre mensuellement. J'ai près de 150 demandeurs à suivre et 7 demi journées par mois : cherchez l'erreur. Et si je m'en plains à mon supérieur hiérarchique, il m'octroiera une petite demi journée supplémentaire en attendant des ronds de jambe et des baise mains.
Non, décidemment, l'établissement n'est pas seulement irréaliste par rapport à la réalité du marché de l'emploi, mais aussi et surtout méprisant vis à vis du public que de ses agents.
Et quoi que tu répondes Zoiseau, garde ton cynisme - si tu prends tes posts pour de l'humour c'est raté.
tes réponses bateau sur la bonne posture à avoir vis à vis du demandeur d'emploi c'est exactement le discours de l'établissement, mais c'est une bonne dose de brassage de vent, et inutile de dire que c'est stérile. mais si tu es satisfait de toi en rentrant après le boulot, tant mieux pour toi.
mais je n'aime pas du tout la condescendance et l'auto-satisfaction avec laquelle tu imposes ton point de vue en rabaissant celui des autres.
relis toi : tu caricatures et tourne au ridicule les propos des
autres.
à aucun moment je n'ai écrit quoi que ce soit qui se rapproche
du discours que tu me prêtes, à l'égard du demandeur d'emploi.
Mais la réalité du marché de l'emploi c'est quand même qu'il n'y a pas assez d'emplois pour tous les chômeurs, quoi que tu puisses dire.
Et puis, moi je ne dis jamais au public qu'"il se bouge" : certains en effet ne sont plus très actifs, mais vu leur vécu, et souvent leur historique avec l'ANPE, il est clair qu'il n'ont plus la motivation et le dynamisme nécessaire. Dans ce cas je les aide, avec les outils rares que nous avons, mais aussi par l'écoute, en prenant directement contact avec les employeurs, en vendant leurs compétences, en allant parfois même chez l'employeur avec eux. J'essaie de faire ce que je peux, ça ne marche pas toujours, loin de là.
Mais l'accompagnement connait ses limites : pour chaque demandeur que l'on aide à se placer, il y en a 50 autres qui avaient aussi postulé sur l'offre et qui n'auront pas le poste.
Mais tout de même, en ayant conscience des réalités du marché de l'emploi, il y a parfois moyen de faire quelque chose, même si ce n'est qu'une goutte d'eau dans l'océan.
Des collègues qui disent au public "il faudrait vous bouger" j'en ai : je récupère souvent les demandeurs d'emploi après l'entretien, en larmes dans mon bureau, ou je les recroise dans la rue, à la sortie de chez leur médecin qui les a mis sous anti-dépresseur. Le discours qui consiste à dire qu'il faut les secouer pour qu'ils se redynamisent serait réaliste s'il y avait assez d'emploi pour tout le monde et si vraiment le chômeur ne voulait pas bosser : personnellement j'ai rarement vu des demandeurs d'emploi qui ne veulent pas bosser, désolé.
Et il ne s'agit pas de pleurer avec eux ni de jouer les mère Térésa, alors STP garde tes propos moqueurs pour toi.
Continue à t'exprimer, tu peux toujours utiliser ton énergie à écrire de longues phrases qui ne font que te procurer de l'auto-satisfaction. mais des collègues qui tiennent ton discours, j'en ai plus qu'il n'en faut, et ce sont souvent ceux dont le public se plaint et qu'il demande à ne plus revoir !
Ce que je reproche à l'établissement ne se base pas sur une appréciation subjective : dans l'agence où je bosse j'avais les meilleurs résultats en accompagnement, je faisais jusqu'à la moitié des placements en CDI pour toute l'agence (une agence d'une quarantaine de conseillers). La direction a finit par me reprocher de passer trop de temps sur l'accompagnement, prétextant que d'autres tâches ne seraient alors pas effectuées, sans en citer aucune (parce que tout le reste du boulot était correctement fait, sauf que je ne suis pas un adepte de la radiation et je n'ai quasiment jamais lancé de procédure de radiation, ça a dû m'arriver une fois en dix ans).
Non, la réalité c'est que ce n'est pas le placement qui intéresse l'établissement, mais bien la sortie du fichier, et c'est beaucoup plus productif de faire de la répression et de radier en peu de temps de nombreux demandeurs, que de prendre du temps pour en placer quelques uns.
C'est ma réalité au quotidien que je décris, et pas une série de fantasmes dont tu vas pouvoir rire en les tournant au ridicule dans ton prochain post.
Et en ce qui concerne le suivi mensuel, il faut savoir que l'établissement s'est engagé - et a écrit - que chaque conseiller aurait une demi journée par mois pour 10 demandeurs d'emploi à suivre mensuellement. J'ai près de 150 demandeurs à suivre et 7 demi journées par mois : cherchez l'erreur. Et si je m'en plains à mon supérieur hiérarchique, il m'octroiera une petite demi journée supplémentaire en attendant des ronds de jambe et des baise mains.
Non, décidemment, l'établissement n'est pas seulement irréaliste par rapport à la réalité du marché de l'emploi, mais aussi et surtout méprisant vis à vis du public que de ses agents.
Et quoi que tu répondes Zoiseau, garde ton cynisme - si tu prends tes posts pour de l'humour c'est raté.
tes réponses bateau sur la bonne posture à avoir vis à vis du demandeur d'emploi c'est exactement le discours de l'établissement, mais c'est une bonne dose de brassage de vent, et inutile de dire que c'est stérile. mais si tu es satisfait de toi en rentrant après le boulot, tant mieux pour toi.
Dans mon CV, il n'y a pas de trou : j'ai bossé pour des associations - dont la mienne - depuis mon licenciement, j'ai comblé le "trou" avec ça et il y avait de quoi dire. Alors, comment ça se fait que ça non plus ça ne marche pas ???droite rutabaga a écrit :Un trou de 5 ans dans un cv, ça se voit et ça fige les employeurs !
Zoiseau, tu me fais trop penser à ton collègue Albouy-Guidicelli.
Souvent mais pas toujoursContinue à t'exprimer, tu peux toujours utiliser ton énergie à écrire de longues phrases qui ne font que te procurer de l'auto-satisfaction. mais des collègues qui tiennent ton discours, j'en ai plus qu'il n'en faut, et ce sont souvent ceux dont le public se plaint et qu'il demande à ne plus revoir !

Je suis plutôt bien apprécié des demandeurs d'emploi et des entreprises. Bizarre bizarre !
J'les bouscule quand il faut qu'il bouge mais je les soutiens quand ils ont besoin d'être soutenus. Je bouscule aussi les entreprises quand il faut qu'elles bougent ...
Je ne sais pas si vous me croirez mais plusieures fois des chomeurs m'ont "remercié" de les avoir "bousculés".
Remuer quand c'est justifié et necessaire vaut mieux que chuter et ramasser.

Mais attention, il est bien évident que je ne suis pas aussi direct "le bougez-vous", très peu pour moi.
C'est ça : vends-nous du bonheur ! Tu es le Arthur de l'ANPE, en direct live d'Actuchomage !!!zoizeau a écrit :Faire naître l'espoir, rechercher des solutions pour y répondre. Ca me va !
Si en plus la solution réponds à l'espoir, c'est Top bonheur
Bizarre bizarre ! Tu viens ici, je sais pas... pour te rassurer ??? Pour te vanter, je sais pas... derrière toute vantardise il y a un manque d'assurance.zoizeau a écrit :Je suis plutôt bien apprécié des demandeurs d'emploi et des entreprises. Bizarre bizarre !
Bousculator !!!! Sacré toi ! Tes paroles "tempérées" à ce sujet me semblent suspectes, vu comment le mépris distille dans tes contributions sur ce forum.Je ne sais pas si vous me croirez mais plusieures fois des chomeurs m'ont "remercié" de les avoir "bousculés".
(Le mépris est aussi l'arme favorite de ceux qui n'ont pas tout à fait confiance en eux, et je ne suis pas la seule ici à l'avoir ressenti)
Exemple de mépris :
SACRIFICE. Déjà rien que ça : ce mot judéo chrétien. Un truc valable quand on a vingt ans => faut faire tes preuves, faut en chier.zoizau a écrit :Après 2 ans de "sacrifice" (cdd, intérim), la situation peut changer.
Je m'y suis pliée docilement dès l'âge de 18 ans (mes parents me l'avaient appris), pour me faire "ma place au soleil". Et à 39 ans on m'a dégagée, et à 44 il faut que je recommence ???? Non, non et non.
Ça me fait penser à l'employeur qui te dit sans arrêt qu'il faut que tu fasses tes preuves année après année pour "mériter" ton augmentation ou un statut d'agent de maîtrise au bout de dix ans de maison (j'ai donné aussi…), quand tu as fait plein d'heures sup' mon payées, pris des tas d'initiatives, qu'on t'a collé du boulot sur le dos parce qu'on savait que tu allais le faire et pas l'autre qui est mieux payé que toi mais qui n'en branle pas une. Pffffffff
PLUS MAINTENANT. On est tombés dans l'ère du jetable et du tout rentable.zoizau a écrit :Et puis il arrive souvent qu'un emploi précaire soit pérennisé après quelques mois.
Zoizeau, réveille-toi !!!
Et de conclure :
OUI. Dire la vérité, c'est franchement ce qu'il y a de meiux => c'est même une question de dignité et de respect, et c'est valable pour les adultes comme pour les enfants.zoizau a écrit :L'espoir, c'est dire aux demandeurs d'emploi, "rassurez-vous, il n'y a pas d'emploi pour tout le monde. Allez courage".
Tu nous prends pour des gosses qui croient au père Noël ?
Et tu te prends pour un adulte responsable ?
Je te conseille d'étudier l'analyse transactionnelle, et pas seulement dans son aspect "communication" qui n'est que son dévoiement pratique à des fins souvent commerciales, mais dans ses fondements : "adulte", "parent", "enfant", les trois états où l'on peut se trouver tout au long d'une journée, mais où il s'avère que ceux qui se prennent la plupart du temps pour des "parents" sont des "enfants" qui ne sont pas sortis du tout de leur état.