Pour que les chiffres soient plus juste il faudrait prendre en compte les categories 1, 2 et 3 c'est à dire :
Catégorie 1 : Chômeurs immédiatement disponibles, cherchant un emploi à plein temps et à durée indéterminée (CDI)
Catégorie 2 : Chômeurs immédiatement disponibles, cherchant un CDI à temps partiel
Catégorie 3 : Chômeurs immédiatement disponibles, cherchant un emploi à durée déterminée (CDD), temporaire ou saisonnier
Nous ne voyons pas pourquoi seule la catégorie 1 est prise en compte !!!!! car les autres catégories sont des demandeurs d'emplois comme les autres !!! non ??? A moins que chercher un emploi à temps partiel soit juste une occupation
"SELON LA POLICE" (travail.gouv.fr)
Les demandeurs d'emploi de catégorie 1 sont les personnes inscrites à l'ANPE déclarant être à la recherche d'un emploi à temps plein et à durée indéterminée, ayant éventuellement exercé une activité occasionnelle ou réduite d'au plus de 78 heures dans le mois. MDR
Les "adhérents" CRP (convention de reclassement Personnalisée) comptabilisés comme "stagiaires de la formation professionnelle"! Alors que la consigne pour les conseillers CRP est le retour rapide à l'emploi sans formation ou a titre vraiment exceptionnel
Les personnes en CAE (contrat d'accompagnement dans l'emploi) en catégorie 5, non comptabilisées
Tous les demandeurs d'emploi en formation, "basculés en catégorie 4, elle non plus pas comptabilisée.
Et tous les demandeurs d'emploi des catégories 1, 2 et 3 qui s'ils ont travaillé plus de 78 heures dans un mois, sont respectivement basculés en catégorie 6, 7 et 8....Bien entendu oubliées dans les chiffres du chômage.
L’iFRAP l’a déjà dit plusieurs fois : la RATP n’est pas une entreprise comme les autres. Avec 2 milliards de subventions publiques, 24 milliards de retraites non-provisonnées, 4 milliards de dettes, et avec seulement 40% des recettes provenant directement du trafic, n’importe quelle entreprise aurait déposé le bilan. Plus grave encore, aucun effort n’a été fait pour améliorer la situation de la RATP et on continue à la considérer comme un simple bureau de vacances. Une preuve supplémentaire vient d’être donnée par la nomination à sa tête de Pierre Mongin, le directeur de cabinet du Premier ministre. A part d’être énarque et ancien préfet, que sait Pierre Mongin de l’entreprise ? A-t-il la moindre expérience ou quelques connaissances pour pouvoir réformer une entreprise ? Aucune. Alors, vive les vacances à la tête de la RATP !
L'auteur de l'article doit estimer que le prix du ticket de métro et de celui de la carte orange à Paris ne sont pas assez chers.
et:
Par souci social, à force de vouloir assurer la sécurité de l’emploi à tous, les Français sont les travailleurs les plus angoissés d’Europe et ils craignent l’économie libérale. Les premières victimes de notre marché de l’emploi très rigide sont les jeunes et les non-qualifiés.
Par souci social, on veut partager le travail et on s’aperçoit ensuite que les 35 heures ne créent pas d’emplois, mais qu’elles excluent de fait les salariés les moins productifs.
Par souci social, on veut partager le capital et on augmente lourdement les impôts. Nombreux sont alors les entrepreneurs et les investisseurs qui partent à l’étranger, ce qui est une menace pour l’emploi des plus fragiles.
Par souci social, on veut lutter contre les inégalités et on pousse jusqu’au bout la logique de l’État providence en créant un système où les revenus du travail diffèrent peu des revenus de l’assistance, ce qui est finalement profondément injuste. Etouffée par ces non-sens, la société française et les entreprises souffrent. Trois entrepreneurs talentueux, Jean-Michel Fourgous, René Hans et Goeffroy Roux de Bézieux ont témoigné pour l’iFRAP au colloque "Existe-t-il encore un modèle social français ?" du mal que font ces erreurs à la France.
Par définition, une assistance n'est pas un revenu.
Les seuls revenus de l'assistance sont donc les revenus perçus par ceux qui font métier de l'assistance.
De là à penser que les professionnels de l'assistance ne travaillent pas, c'est un pas que franchit bien allègrement l'auteur du texte.
Même moi, je n'oserai pas l'affirmer.
Au lieu de faire de la promotion :
- pour un site médiocre qui cherche à se faire un peu de fric par la publicité,
- et surtout pour une officine ultra-libérale,
allez plutôt voir des études sérieuses et documentée sur le chômage et l'emploi, en France et dans quelques autres pays.
Pour une détermination concrète et argumentée de l'importance du chômage, allez lire ceci : Chômage officiel et chômage réel en 2005 http://travail-chomage.site.voila.fr/ch ... el2005.htm (et aussi en 1996 pour comparer),
Et vous aurez à la rentrée un suivi trimestriel (depuis fin 2004) de l'emploi, du chômage, des emplois aidés (secteurs privé et public), des stages et formations, du chômage caché (dispenses de recherche d'emploi, conventions de reclassement personnalisé, préretraites), du temps partiel.
L'INSEE, la DARES (ministère du travail), l'ANPE, le Code du travail, la CNAF, l'OCDE, etc...
Eschyle a le mérite d'analyser les tenants & aboutissants du chômage en France et en Europe, tout en faisant parler les chiffres officiels. C'est une démarche intelligente et constructive.
quand on revendique que l'on a soit disant le meilleur site sur le chômage au moins site tes sources sur TON site Eschyle!!!!!
Eschyle cite les sources sur sa page web mais il faut avoir le courage d'aller sur ses pages web et aller lire le bas des pages
Le gloubiboulga entretiendrait il la flemmingite aigüe?