http://perso.orange.fr/crashdehabsheim



Pour autant que je me souvienne, il s'est crashé après décollage et il aurait perdu un réacteur, c'est sur qu'il ne devait pas être plein gaz; quoique le pilote avait essayé ( je crois comme le pilote du CONCORDE de ROISSY )un retour pour atterrisssage en urgence auquel cas il devait utiliser la puissance qui lui était possible d'obtenir.l avion s est il ecrasé au decollage (reservoir plein donc) ou en phase d'atterissage (reservoir vide)?
SourceLes causes de l'accident étaient à peu près connues: le moteur no3 s'était enflammé, suivi du moteur no 5; une procédure d'atterrissage d'urgence avait été entamée, que le commandant Yitzhak Fuchs ne put mener à bien, ses deux moteurs s'étant détachés de l'aile.
La violence de l'explosion fut énorme, le Boeing trancha en deux une barre d'immeubles et "un lac de feu" se répandit aussitôt. Les ampoules des réverbères fondirent dans un rayon de plusieurs centaines de mètres, l'avion n'avait pu se débarrasser des 71 tonnes de kérosène qui étaient dans ses réservoirs.
Un avion c'est grand. Les pirates de l air, peu nombreux, avec seulement des cutters n avaient pas les moyens de veiller à ce genre de détails.Des pirates auraient pris le contrôle des avions et pendant ce temps les passagers téléphonaient à leurs amis et familles pour raconter les faits, en général quant vous êtes braqué vous ne vous livrez pas à des initiatives de ce genre.
Le 747 n'a que quatre réacteurs.Les causes de l'accident étaient à peu près connues: le moteur no3 s'était enflammé, suivi du moteur no 5; une procédure d'atterrissage d'urgence avait été entamée
c'est ce qui fut raconté dés le début: qui a pu vérifier !Les pirates de l air, peu nombreux, avec seulement des cutters
Donc les appels telephoniques seraient des faux?Par ailleurs, n'est-il pas possible de prendre le contrôle d'un appareil depuis l'extérieur et contre la volonté du pilote
Source1992: El Al jumbo crashes in Amsterdam
An Israeli Boeing 747 cargo plane has crashed in the outskirts of Amsterdam in the Netherlands, setting two blocks of flats on fire and killing dozens of people.
The El Al jumbo jet came down shortly after take-off, at 1830 local time, spilling burning fuel over a wide area in the suburb of Bijlmereer, to the south of the city.
Amsterdam city officials say 50 flats in the nine-storey blocks were hit directly by the falling plane. Nearly 40 bodies have been recovered so far.
The pilot sent an emergency distress signal ten minutes after taking off for Tel Aviv in Israel. He reported two of the plane's four engines had failed.
Burning buildings
It looks as though he had turned back to attempt an emergency landing when the plane came down.
All four crew were killed instantly.
Police fear up to 200 people may have been killed on the ground.
The plane was carrying 114 tons of cargo on a flight from New York to Tel Aviv via Amsterdam, which burst into flames when it hit the ground.
Hundreds of ambulances headed to the scene of the burning buildings. Helicopters helped fly some of the injured to a burns unit at Beverwijk, 25 miles (40km) to the west.
A former soldier who lived nearby said he heard a big bang and ran outside to see the building torn apart.
"People were jumping from the seventh-floor balcony in panic. I saved some, but there were many more still trapped inside their homes. It was hopeless," he said.
Reports from Jerusalem said there were no signs of a terrorist attack on the aircraft.
Queen Beatrix of the Netherlands has sent her sympathies to the victims and their families.
Israeli prime minister Yitzhak Rabin has sent his condolences to his Dutch counterpart, Ruud Lubbers.
et:Le pilote a envoyé un signal de détresse 10 minutes après avoir décollé pour Tel Aviv en Israel. Il a rapporté que deux des quatre moteurs ne fonctionnaient pas.
Un ancien soldat qui vivait à coté a dit avoir entendu une enorme détonation and s'est précipité dehors pour voir l'immeuble déchiré en deux.
ISRAËL-PALESTINE : LA FACTION DE CHENEY LANCE UNE OPÉRATION D’ARRIÈRE-GARDE
La dernière série d’opérations militaires israéliennes contre les Palestiniens doit être considérée comme une tentative du vice-Président américain Dick Cheney et du ministre américain de la Défense Donald Rumsfeld d’augmenter encore le chaos dans la région, afin de mieux entraver les efforts internationaux visant à sortir du bourbier irakien et à empêcher une attaque contre l’Iran. Leur instrument de prédilection est le président du Parti israélien Likoud, Benjamin Netanyahou, que Cheney et Rumsfeld ont rencontré dans la plus grande discrétion lors de sa visite dans le Colorado les 17 et 18 juin pour une conférence de l’American Enterprise Institute.
L’attaque brutale dans la bande de Gaza et l’arrestation de soixante-quatre députés du Hamas, dont cinq ministres du gouvernement, font partie du plan pour écraser le Hamas et détruire l’Autorité nationale palestinienne. Ce plan existait bien avant l’arrivée au pouvoir du Premier ministre Ehoud Olmert et le rapt du soldat israélien Gilad Shalit servit seulement de détonateur prévisible. Selon des rapports de presse israéliens, Olmert a pris la décision sans consulter son propre gouvernement.
Le rôle de Benjamin Netanyahou est clair. Après son retour des Etats-Unis, il a rencontré Ehoud Olmert. Quelques heures après l’enlèvement du jeune soldat, il rédigeait une tribune libre dans Yediot Ahronot, offrant tout son soutien au gouvernement si celui-ci décidait de déployer en représailles toute la puissance militaire israélienne pour « convaincre l’ennemi que nous sommes sérieux ». Après le lancement de l’attaque, Netanyahou s’est entretenu à nouveau avec Olmert pour lui exprimer son soutien.
Une source haut placée dans la communauté du renseignement nous a confié qu’Israël pourrait riposter contre la Syrie sous forme d’une tentative d’assassinat de Khaled Meshal, le dirigeant intransigeant du Hamas résidant à Damas. « Cheney ne pouvant pas faire accepter une attaque américaine contre la Syrie maintenant, il compte donc sur les Israéliens pour le faire. » Des F 16 israéliens ont déjà survolé le palais présidentiel de Damas, créant un boom sonique alors qu’Assad discutait avec le président égyptien Hosni Moubarak des possibilités d’obtenir la libération du soldat israélien détenu par des Palestiniens.
Si Olmert considérait vraiment la vie de l’otage israélien comme prioritaire, il aurait saisi l’occasion pour procéder à un échange de prisonniers, en vue de favoriser la paix, comme le suggérait l’Israélien Uzi Benziman dans le Ha’aretz du 28 juin. Dans la région, les échanges de prisonniers politiques sont courants, le dernier remontant à la libération en 2004 de quatre cents Palestiniens par Sharon en échange d’un Israélien détenu par le Hezbollah.
Quelques heures avant l’attaque israélienne, le dialogue national entre factions palestiniennes, notamment le Hamas et le Fatah du Premier ministre Abou Mazen, avait convenu d’accepter le « document des prisonniers » soutenant une solution de deux Etats - soit la reconnaissance de fait d’Israël par le Hamas. Ce document a été rédigé par un dirigeant fort respecté du Fatah emprisonné en Israël, Marouan Barghouti, et par Abdul Khaleq Natsche, un dirigeant du Hamas également emprisonné.
Le jour de l’attaque, Akiva Eldar, chroniqueur du Ha’aretz, a fait une proposition audacieuse, suggérant que si Ehoud Olmert recherchait vraiment la paix, il devrait « offrir d’échanger Shalit contre les signataires du Document des Prisonniers, Marouan Barghouti du Fatah et Abdul Khaleq Natsche du Hamas. Leur libération porterait un coup dur à Khaled Meshal, qui est prêt à combattre les enfants juifs jusqu’à la dernière goutte de sang des enfants palestiniens. »
Sous le titre « Le gouvernement a perdu raison », le Ha’aretz écrivait que le gouvernement Olmert devrait « se satisfaire des menaces déjà faites, libérer les hommes politiques du Hamas qui sont détenus et ouvrir les négociations. Il s’agit d’assurer le retour d’un soldat et non de changer le paysage politique du Moyen-Orient. »
Après plusieurs jours d’opérations militaires vaines, des sources dans les Forces de défense israéliennes, qui ont dû payer le prix de la politique d’Olmert, ont laissé filtrer à la presse que celles-ci seraient prêtes à soutenir un échange de prisonniers, y compris la libération des députés du Hamas et des autres détenus en vertu de l’« Ordonnance sur la prévention du terrorisme », dès lors qu’ils « n’ont pas de sang sur les mains ».
Source
Dick Cheney lance une nouvelle guerre au Proche Orient
mardi 18 juillet 2006.
Jamais nous n’avons été si près d’une embrasement général au Proche et au Moyen Orient. Après avoir ouvert un premier front contre le gouvernement du Hamas à Gaza, le vice-président états-unien, Dick Cheney, vient d’ouvrir le deuxième front d’une offensive meurtrière régionale, cette fois-ci contre les Hezbollah au Liban. L’ouverture d’un troisième front contre la Syrie, prélude à une offensive générale contre l’Iran, pourrait suivre, menée soit par des Israéliens agissant pour le compte des Etats-Unis, soit par des forces états-uniennes elles-mêmes.
Comme nous l’avons documenté, cette nouvelle guerre a été planifiée au cours d’une rencontre secrète entre Cheney, le ministre de la Défense états-unien Donald Rumsfeld, et l’ancien ministre israélien Benjamin Netanyahou, au cours d’une conférence organisée par l’American Entreprise Institute (AEI) a Beaver Creek, Colorado, les 17 et 18 juin.
L’assaut militaire israélien était déjà prêt pour être lancé à la fin de l’été, prévoyant qu’un incident à la frontière serait utilisé comme prétexte à une attaque de grande envergure sur le Liban. Des sources Proche-orientales proches des services de renseignements ont rapporté à l’EIR que les soldats de Tsahal ont été capturés par le Hezbollah alors qu’ils patrouillaient bien à l’intérieur des frontières du Liban.
Comme on pouvait s’y attendre, face aux raids massifs de bombes et d’artillerie, les Hezbollah ont riposté en lançant des missiles à courte portée contre des villes du Nord d’Israël, y compris Haifa. Le 15 juin, les Hezbollah ont tiré un missile sur une corvette Saar 5 de la marine israélienne, coulant presque le bateau qui faisait partie du blocus naval israélien contre le Liban. Les israéliens entendent détruire les capacités militaires des Hezbollah, à commencer par ses missiles à courte portée basés au sud Liban. Les Hezbollah disposent de milliers de ces missiles qu’ils pourraient déployer contre Israël en cas d’attaque contre la Syrie ou l’Iran.
Meir Pa’il, un colonel israélien à la retraite et historien militaire a confirmé à l’EIR que du point de vue militaire, Israël chercherait probablement à occuper le sud Liban jusqu’à hauteur du fleuve Litanie. Cependant, il pense qu’Israël serait incapable de soutenir aujourd’hui une offensive terrestre au Liban, comme celle de 1982, ou même une occupation permanente de la vieille « zone de sécurité » d’où l’Etat hébreu s’est retiré en 2000. Bien que doutant que la Syrie offre un prétexte à Israël pour une attaque, Pa’il craint que si un tel prétexte se présentait une attaque ne serait pas exclue. « Le problème est que la direction israélienne ne pense qu’en termes militaires » alors que le vrai problème est « politique ». Il faut construire une paix avec les voisins arabes, a déclaré Pa’il qui est membre du parti pro-paix Meretz-Yahad.
Commentant la situation, l’économiste et homme politique américain Lyndon LaRouche, président du Comité d’action politique, LPAC, du Parti démocrate américain, s’en est pris durement à la passivité des Sénateurs américains, comme autant de Neville Chamberlains, face à une situation « où nous allons vers une crise comparable, au minimum, à celles qui ont provoqué les deux guerres mondiales du siècle dernier. » Il a dénoncé dans les termes les plus sévères les bombardements massifs des populations civiles par les israéliens sous prétexte de mettre fin à la popularité des Hezbollahs dans ces zones. Jacques Chirac qui a toujours pris à cœur la défense du Liban, a envoyé Dominique de Villepin sur place pour obtenir un cessez le feu et le rétablissement de la souveraineté du Liban en invoquant la récente résolution 1559 de l’ONU, qui a permis d’obtenir le retrait de la Syrie. Le président Français a une dernière chance, avant la fin de son mandat, pour agir positivement et courageusement pour changer le cours de l’histoire dans cette partie du monde.
Source
Bof... j'vois pas pourquoi !A la place de Victorine j'aurais choisi une autre source.
Etasuniens et terrorisme... |
26 décembre 2005
Mes chers amis, connaissez-vous messieurs Orlando Bosch et L.Posada Carriles...?
Ces tristes individus sont des terroristes et la justice de leur pays les a condamné à des peines infamantes de nature criminelle.
Ainsi, Bosch a été reconnu coupable de l'organisation d'un attentat à la bombe en 1976 causant le crash d'un DC-8 de la ligne cubaine et faisant 73 victimes innocentes,
Carriles, lui, arrêté en 1976 au Vénézuléa, emprisonné à San Juan de los Morros, évadé en 1985 avec l'aide de puissants "amis"; admis publiquement être responsable des attentats perpétrés à la Havane, finalement arrêté en 2000 au Venezuela alors qu'il préparait un attentat contre Fidel Castro, bénéficia de l'hospitalité de Bush en personne après une grâce pour "raisons humanitaires" accordée par la présidente du Panama 2 jours avant la fin de son mandat, rapatrié sur le champs aux USA en mars 2005, où il est aujourd'hui soumis à aucune procédure judiciaire, protégé par l'administration bush qui refuse de l'extrader vers le Venezuela demandeur d'extradition; coule ainsi des jours heureux aux USA dans la plus parfaite quiétude....
Ah elle est belle, la lutte mondiale engagée par les USA contre le terrorisme mondial...!
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