...et continuer de verser son petit pourcentage à l'UMP.pour que les Bettencourt puissent accroître leur profits.
Grève et manifestion du mardi 12 octobre
Re: Grève et manifestion du mardi 12 octobre
Grève et manifestion du mardi 12 octobre
Ille-et-Vilaine
RENNES Avenue Janvier 11H00
FOUGERES Sous Préfecture 17H30
REDON Sous Préfecture 17H00
ST MALO Ancienne Gare 11H00
VITRE Place de la Gare 17H30
RENNES Avenue Janvier 11H00
FOUGERES Sous Préfecture 17H30
REDON Sous Préfecture 17H00
ST MALO Ancienne Gare 11H00
VITRE Place de la Gare 17H30
Re: Grève et manifestion du mardi 12 octobre
Merci ! Je note...
Re: Grève et manifestion du mardi 12 octobre
Y'a bon à Besançon.
Les lycéens sont imprévisibles et ne manquent malgré tout pas de conscience. Ils sont 500 à 600 (3 lycées) à être dans la rue en ce moment même. Pourquoi ? Parce que comme vient de me le dire l'un d'entre eux : " Je ne veux pas bosser jusqu'à 80 balais".
Faites le savoir.
Les lycéens sont imprévisibles et ne manquent malgré tout pas de conscience. Ils sont 500 à 600 (3 lycées) à être dans la rue en ce moment même. Pourquoi ? Parce que comme vient de me le dire l'un d'entre eux : " Je ne veux pas bosser jusqu'à 80 balais".
Faites le savoir.
Re: Grève et manifestion du mardi 12 octobre
http://cgt-egp-dreux.over-blog.com/arti ... 51415.htmlAppel des 500 SYNDICALISTES:CGT, SOLIDAIRES, FSU, FO, CFDT, CDTM, CTU, LAB, STC
lancent un appel Ensemble pour le retrait du projet de loi sur les retraites et pour nos revendications Il faut maintenant un mouvement reconductible et bloquer leur système économique
Après le Parlement, le Sénat va voter la loi de contre-réforme des retraites qui all...onge le nombre d’années de travail pour toutes et tous et pénalise plus encore les salarié-e-s aux carrières discontinues, les femmes et celles et ceux exposé-e-s aux métiers pénibles. Cette réforme n’a comme objectif que de faire des économies sur le dos des travailleurs/ses tout en sapant les bases de notre système de retraites par répartition pour le livrer aux assurances et aux banques.
Le travail d’explications mené depuis des mois, l’unité d’action syndicale, les millions de manifestant-e-s lors des mobilisations de mai, juin, septembre et du 2 octobre, ont créé un rapport de force qui montre que les salarié-e-s peuvent gagner et imposer au gouvernement le retrait de son projet de loi. Malgré de désaveu massif, ce gouvernement noyé dans les magouilles et les dérives racistes refuse de retirer son projet, tentant d’imposer une défaite et un recul majeurs au mouvement social.
Les jours qui viennent sont décisifs. De partout la colère et la volonté de se mobiliser montent. Nos revendications sur les salaires, les conditions de travail, l’emploi, s’ajoutent partout à notre refus de ce recul social.
Syndicalistes CGT, SOLIDAIRES, FSU, FO, CFDT, CDTM, CTU, LAB, STC nous mettons tout en œuvre pour que, dès maintenant, se développe un mouvement interprofessionnel d’ampleur dans tout le pays : la grève générale, reconductible, le blocage de l’économie par celles et ceux qui la font tourner mais n’en profitent pas, sont à l’ordre du jour.
C’est maintenant qu’il faut y aller, pour gagner
(cet appel circule par ailleurs sur des listes de diffusion depuis quelques jours)
Re: Grève et manifestion du mardi 12 octobre
A Paris, départ à 13h30 de Montparnasse en direction de Bastille.
Plus d'infos à venir sur notre point de ralliement (qui, a priori, sera à 13h30 côté rue de Rennes).
Plus d'infos à venir sur notre point de ralliement (qui, a priori, sera à 13h30 côté rue de Rennes).

Re: Grève et manifestion du mardi 12 octobre
Retraites : nouvelle journée de manifestations le samedi 16 octobre
Les syndicats ont annoncé vendredi qu'ils appelaient à une nouvelle journée de manifestations dans toute la France, le samedi 16 octobre contre le projet de réforme des retraites.
"Les organisations syndicales décident d'ores et déjà d'un nouveau rendez-vous de manifestations permettant la convergence des mobilisations interprofessionnelles et intergénérationnelles le samedi 16 octobre 2010", selon un communiqué diffusé à l'issue de la réunion de l'intersyndicale, au siège de l'Unsa à Bagnolet (Seine-Saint-Denis) et signé par six des huit organisations de l'intersyndiale (CGT, CFDT, CFTC, FSU, Solidaires et Unsa).
Les syndicats ont annoncé vendredi qu'ils appelaient à une nouvelle journée de manifestations dans toute la France, le samedi 16 octobre contre le projet de réforme des retraites.
"Les organisations syndicales décident d'ores et déjà d'un nouveau rendez-vous de manifestations permettant la convergence des mobilisations interprofessionnelles et intergénérationnelles le samedi 16 octobre 2010", selon un communiqué diffusé à l'issue de la réunion de l'intersyndicale, au siège de l'Unsa à Bagnolet (Seine-Saint-Denis) et signé par six des huit organisations de l'intersyndiale (CGT, CFDT, CFTC, FSU, Solidaires et Unsa).
Chérèque et Thibault ont baissé les armes
Les syndicats et le piège de la grève reconductible
Dans le combat qu’il mène contre la réforme des retraites de Nicolas Sarkozy, il y a un piège que Bernard Thibault veut à tout prix contourner, c’est celui de la radicalisation. Une radicalisation, par nature incontrôlable, qui conduirait les salariés, auprès desquels la CGT veut reconquérir crédibilité et légitimité, dans une impasse en leur faisant croire qu’elle pourrait venir à bout de l’inflexibilité du chef de l’Etat. Jusqu’à présent, le secrétaire général de la CGT a résisté aux pressions d’une partie de sa base en faveur d’une exigence de retrait pur et simple de la réforme ou d’un appel à multiplier les grèves reconductibles.
Déjà, en novembre 2007, M. Thibault avait gagné ses galons de syndicaliste réformiste lors de la réforme des régimes spéciaux qui avait permis à M. Sarkozy de généraliser la règle des quarante ans de cotisation pour bénéficier d’une retraite à taux plein. La grève reconductible lancée à la SNCF, directement visée, n’avait duré que neuf jours, et M. Thibault, se positionnant alors en pivot du compromis, avait négocié avec l’Elysée de solides contreparties salariales à l’allongement de la durée de cotisation.
A quatre jours du 12 octobre, sixième journée nationale d’action depuis le 27 mai, M. Thibault n’a pu empêcher de voir fleurir les appels à des grèves reconductibles à partir du 13 octobre : SNCF, RATP et transports urbains, marins, ports et docks, énergie, chimie, France Télévisions, etc. Ils émanent de secteurs de la CGT où la gauche du PS et l’extrême gauche - Parti communiste, Parti de gauche, Nouveau Parti anticapitaliste - conservent une réelle influence.
M. Thibault ne s’exprime pas comme son homologue de la CFDT, François Chérèque, mais il n’est pas loin de partager son avis quand ce dernier affirme que "ceux qui veulent radicaliser le mouvement, appeler à la grève générale, souvent veulent rentrer dans une démarche politique, d’opposition globale avec le gouvernement". "On a une force tranquille, utilisons cette force", avait ajouté M. Chérèque. Dans la bataille sur les retraites, et c’est une grande différence avec la réforme de 2003, M. Thibault privilégie dans un même élan son alliance préférentielle avec la CFDT et le soutien, qui ne se dément toujours pas, de l’opinion publique.
Le leader de la CGT n’en démord pas : la priorité des syndicats est de "contribuer à un élargissement" de la mobilisation de l’opinion publique et non de se replier sur des grèves reconductibles. "Qui dit mouvement social dit multiples formes", a rappelé M. Thibault, le 4 octobre, à l’issue d’une réunion de toutes les fédérations de la CGT. Et il a insisté sur la règle de base qui doit présider à toute grève reconductible : "Le principe d’arrêts de travail doit être discuté partout", à travers des assemblées générales et des consultations des salariés.
A ce stade, les grèves reconductibles annoncées sont très incertaines. Il s’agit de préavis, obligatoires dans le secteur public alors que le secteur privé en est dispensé, qui permettent de couvrir juridiquement les salariés qui souhaiteraient continuer la grève au-delà du 12 octobre. La difficulté est que, dans les entreprises publiques, où les régimes spéciaux ne sont concernés par la réforme qu’à compter du 1er janvier 2017 - au lieu du 1er juillet 2011 pour tous les autres -, le taux de grévistes a diminué, notamment à la SNCF et à la RATP, à chaque mobilisation nationale. La base suivra-t-elle à la SNCF alors qu’elle a déjà observé, en avril, deux semaines de grève reconductible sur la réforme du fret sans aucun résultat à l’arrivée ? La perspective de nouvelles pertes de salaire va peser. "Nous entendons, a observé M. Thibault, tous ceux qui nous disent qu’ils ne peuvent pas cumuler un grand nombre de jours de grève."
Le piège des grèves reconductibles est qu’elles risquent d’être vite impopulaires, même si la loi sur le service minimum rend impossible la répétition des grandes grèves de la SNCF de 1986-1987 (29 jours de paralysie) et de 1995 (trois semaines). Non seulement le soutien de l’opinion pourrait s’éroder, surtout si la locomotive des transports publics est la seule en panne, mais, aux yeux de certains syndicalistes, M. Sarkozy pourrait trouver son compte dans une épreuve de force qui lui permettrait de mieux afficher, vis-à-vis de son électorat, son inflexibilité. L’arme de la grève reconductible ressemble à un revolver sans munitions.
Le pari des syndicats est de ne pas sortir bredouilles de leur bras de fer avec M. Sarkozy qui, le 7 octobre, a lâché un peu de lest aux mères de famille. Vendredi 8 octobre, face à un calendrier serré, l’intersyndicale devrait fixer de nouvelles manifestations au samedi 16 octobre. Le Sénat votera entre le 15 et le 19 octobre. "Quand la commission mixte paritaire aura tranché, on n’aura plus de marges pour des concessions, note un syndicaliste. Il ne restera que le vote définitif de l’Assemblée nationale mais, là, une poursuite de la mobilisation sera sans effet." Les syndicats guettent tout geste à "mettre à l’actif de la mobilisation", mais ils sont sans illusions : la réforme passera. "Un gouvernement, quel qu’il soit, qui ignore à ce point un mouvement social se condamne pour les prochaines échéances électorales", a averti M. Thibault dans L’Humanité du 4 octobre. A dix-huit mois de la présidentielle, le combat syndical va ainsi se déporter de plus en plus sur le terrain politique.
Dans le combat qu’il mène contre la réforme des retraites de Nicolas Sarkozy, il y a un piège que Bernard Thibault veut à tout prix contourner, c’est celui de la radicalisation. Une radicalisation, par nature incontrôlable, qui conduirait les salariés, auprès desquels la CGT veut reconquérir crédibilité et légitimité, dans une impasse en leur faisant croire qu’elle pourrait venir à bout de l’inflexibilité du chef de l’Etat. Jusqu’à présent, le secrétaire général de la CGT a résisté aux pressions d’une partie de sa base en faveur d’une exigence de retrait pur et simple de la réforme ou d’un appel à multiplier les grèves reconductibles.
Déjà, en novembre 2007, M. Thibault avait gagné ses galons de syndicaliste réformiste lors de la réforme des régimes spéciaux qui avait permis à M. Sarkozy de généraliser la règle des quarante ans de cotisation pour bénéficier d’une retraite à taux plein. La grève reconductible lancée à la SNCF, directement visée, n’avait duré que neuf jours, et M. Thibault, se positionnant alors en pivot du compromis, avait négocié avec l’Elysée de solides contreparties salariales à l’allongement de la durée de cotisation.
A quatre jours du 12 octobre, sixième journée nationale d’action depuis le 27 mai, M. Thibault n’a pu empêcher de voir fleurir les appels à des grèves reconductibles à partir du 13 octobre : SNCF, RATP et transports urbains, marins, ports et docks, énergie, chimie, France Télévisions, etc. Ils émanent de secteurs de la CGT où la gauche du PS et l’extrême gauche - Parti communiste, Parti de gauche, Nouveau Parti anticapitaliste - conservent une réelle influence.
M. Thibault ne s’exprime pas comme son homologue de la CFDT, François Chérèque, mais il n’est pas loin de partager son avis quand ce dernier affirme que "ceux qui veulent radicaliser le mouvement, appeler à la grève générale, souvent veulent rentrer dans une démarche politique, d’opposition globale avec le gouvernement". "On a une force tranquille, utilisons cette force", avait ajouté M. Chérèque. Dans la bataille sur les retraites, et c’est une grande différence avec la réforme de 2003, M. Thibault privilégie dans un même élan son alliance préférentielle avec la CFDT et le soutien, qui ne se dément toujours pas, de l’opinion publique.
Le leader de la CGT n’en démord pas : la priorité des syndicats est de "contribuer à un élargissement" de la mobilisation de l’opinion publique et non de se replier sur des grèves reconductibles. "Qui dit mouvement social dit multiples formes", a rappelé M. Thibault, le 4 octobre, à l’issue d’une réunion de toutes les fédérations de la CGT. Et il a insisté sur la règle de base qui doit présider à toute grève reconductible : "Le principe d’arrêts de travail doit être discuté partout", à travers des assemblées générales et des consultations des salariés.
A ce stade, les grèves reconductibles annoncées sont très incertaines. Il s’agit de préavis, obligatoires dans le secteur public alors que le secteur privé en est dispensé, qui permettent de couvrir juridiquement les salariés qui souhaiteraient continuer la grève au-delà du 12 octobre. La difficulté est que, dans les entreprises publiques, où les régimes spéciaux ne sont concernés par la réforme qu’à compter du 1er janvier 2017 - au lieu du 1er juillet 2011 pour tous les autres -, le taux de grévistes a diminué, notamment à la SNCF et à la RATP, à chaque mobilisation nationale. La base suivra-t-elle à la SNCF alors qu’elle a déjà observé, en avril, deux semaines de grève reconductible sur la réforme du fret sans aucun résultat à l’arrivée ? La perspective de nouvelles pertes de salaire va peser. "Nous entendons, a observé M. Thibault, tous ceux qui nous disent qu’ils ne peuvent pas cumuler un grand nombre de jours de grève."
Le piège des grèves reconductibles est qu’elles risquent d’être vite impopulaires, même si la loi sur le service minimum rend impossible la répétition des grandes grèves de la SNCF de 1986-1987 (29 jours de paralysie) et de 1995 (trois semaines). Non seulement le soutien de l’opinion pourrait s’éroder, surtout si la locomotive des transports publics est la seule en panne, mais, aux yeux de certains syndicalistes, M. Sarkozy pourrait trouver son compte dans une épreuve de force qui lui permettrait de mieux afficher, vis-à-vis de son électorat, son inflexibilité. L’arme de la grève reconductible ressemble à un revolver sans munitions.
Le pari des syndicats est de ne pas sortir bredouilles de leur bras de fer avec M. Sarkozy qui, le 7 octobre, a lâché un peu de lest aux mères de famille. Vendredi 8 octobre, face à un calendrier serré, l’intersyndicale devrait fixer de nouvelles manifestations au samedi 16 octobre. Le Sénat votera entre le 15 et le 19 octobre. "Quand la commission mixte paritaire aura tranché, on n’aura plus de marges pour des concessions, note un syndicaliste. Il ne restera que le vote définitif de l’Assemblée nationale mais, là, une poursuite de la mobilisation sera sans effet." Les syndicats guettent tout geste à "mettre à l’actif de la mobilisation", mais ils sont sans illusions : la réforme passera. "Un gouvernement, quel qu’il soit, qui ignore à ce point un mouvement social se condamne pour les prochaines échéances électorales", a averti M. Thibault dans L’Humanité du 4 octobre. A dix-huit mois de la présidentielle, le combat syndical va ainsi se déporter de plus en plus sur le terrain politique.
Re:
Il est dommage que ce texte ne soit pas sourcé. J'aimerais bien savoir quel est le c.....d qui l'a écrit.
Oui, on sait que les dirigeants syndicaux ménagent la chèvre et le chou. Quant à dire que "les grèves reconductibles risquent d’être vite impopulaires" ou que "la grève reconductible ressemble à un revolver sans munitions" et affirmer que "la réforme passera", c'est de la propagande pure et simple.
Oui, on sait que les dirigeants syndicaux ménagent la chèvre et le chou. Quant à dire que "les grèves reconductibles risquent d’être vite impopulaires" ou que "la grève reconductible ressemble à un revolver sans munitions" et affirmer que "la réforme passera", c'est de la propagande pure et simple.
Re: Grève et manifestion du mardi 12 octobre
ca vient du Monde:superuser a écrit :Il est dommage que ce texte ne soit pas sourcé. J'aimerais bien savoir quel est le c.....d qui l'a écrit.
http://www.lemonde.fr/idees/article/201 ... _3232.html

Re: Grève et manifestion du mardi 12 octobre
à carcassonne, les lycées sont remontés comme des pendules. 3 bahuts bloqués.
je suis fière y'a mon grand fiston qui s'active pour la 1ere fois
et son discours n'est pas QUE énervé, en plus
je suis fière y'a mon grand fiston qui s'active pour la 1ere fois

et son discours n'est pas QUE énervé, en plus

Re: Grève et manifestion du mardi 12 octobre
C'est la grande trouille du gouvernement : que les étudiants et lycéens manifestent. Il faut reconnaitre qu'au delà de la retraite, ils sont beaucoup à souffrir des classes surchargées, des profs manquants, etc.
Et surtout : ils sont très bien organisés en général, se souvenir de la bataille anti-cpe.
Alors bravo aux fistons et fistonnes, ils seront peut-être plus actifs !
Et surtout : ils sont très bien organisés en général, se souvenir de la bataille anti-cpe.
Alors bravo aux fistons et fistonnes, ils seront peut-être plus actifs !
Re: Grève et manifestion du mardi 12 octobre
Intervention d'Olivier Besancenot à la gare de Lyon
http://www.dailymotion.com/video/xf4etd ... from=embed
http://www.dailymotion.com/video/xf4etd ... from=embed
Re: Grève et manifestion du mardi 12 octobre
http://www.sudouest.fr/2010/10/07/refor ... 3-2277.phpRéforme des retraites : près de 1000 lycéens manifestent dans les rues d'Auch
Je sens qu'on va avoir un déferlement de liens sur des vidéos où apparait Jacques Généreuxntervention d'Olivier Besancenot à la gare de Lyon

PS:
Percutant comme souvent O.B.