toute la résistance passive à ce système réside dans comment contourner les obligations du rsaiste! et franchement ne pas être radié du système est le parcours du combattant
alors oui pour résister vivons cachés

Il est clair que ce système nous oblige, pour continuer à s'en extraire et à se préserver, à la clandestinité.cécile8 a écrit :alors oui pour résister vivons cachés
La comparaison va bien plus loin qu'on imagine.Un peu comme les poulets élevés en batterie, de la simple viande sur pattes, juste bonne à produire toujours plus et après : au broyeur
Comme disait le regretté Coluche "quand vous avez raqué pendant 30 ans, les ruines sont à vous !" ou quelque chose d'approchant.Combien de gens remboursent pendant 25 ans une maison très bas de gamme, qui est bonne à refaire de fond en comble au bout de ce temps ?
L'argent c'est de la dette. Les banques fabriquent de l'argent avec les dettes qu'elles détiennent. Ce qui fait qu'ils comptent les richesses que les gens vont produire dans le futur et pas seulement ce qui est produit dans le présent.mais pousser les gens à s'endetter c'est le plus sûr moyen de leur faire accepter n'importe quelles conditions de travail et de salaire.
M'enfin, Tristesir, il ne faut pas faire cela toi-même ! Dimanche je suis tombée sur une émission à la télé où l'on voyait une bonne femme (moins de 40 ans) qui faisait venir une "woman-organizer" (enfin si j'ai bien compris), pour lui ranger ses placards. La pauvre femme était submergée par son désordre, figurez-vous. Et elle a payé 350€ pour qu'une autre bonne femme vienne une seule matinée vider, trier et remettre le bazar bien ordonné dans les quelques placards de l'appartement.En ce moment, je suis en train de faire un peu de vide chez moi.
C'est fou la quantité de cochonneries qu'on entasse chez soi en 40 ans
Je n'aime pas beaucoup que d'autres mettent les mains dans mes affaires.Sois moderne : fait appel à un spécialiste
c'est vrai, je suis d'accord, on peut parler de résistance passive, d'autres l'exécutent dans le silence et il est sûrement temps que les idées se propagent , moi la première suis capable de saouler mon entourage pour le mener jusqu'à la conscience du scandale, mais tout est dans l'art de bien le faire, ce qui n'est pas évident tous les jours et pour tous,(car les gens pauvres harcelés par ce système sont plus facilement déprimés) face à des sceptiques (difficile de croire qu'on entube des pauvres)ou des convaincus! il faut vraiment faire comprendre l'ignominie du truc, c'est comme les retraites,dans le sens où il y a une contamination d'un raisonnement arithmétique sur lequel les politiques ont bien conditionné les gens (pour les retraites je fais référence à l'explication de Bernard Friot ) Pour le rsa= vos impôts, des profiteurs, des fainéants, de l'argent non mérité, assistanat, idiot de base qui ne sait rien faire et pauvre mec(ou meuf) et limite ce sont eux qui ont niqué vos retraites et vidé les caisses de l"état!superuser a écrit :Il est clair que ce système nous oblige, pour continuer à s'en extraire et à se préserver, à la clandestinité.cécile8 a écrit :alors oui pour résister vivons cachés
Mais la diffusion au grand jour des idées alternatives qui le condamnent est indispensable pour faire évoluer les mentalités.
Il faut donc se prêter à un double jeu.
C'est pour cela que parler de résistance est adapté. Les résistants mènent d'abord un combat silencieux. Mais leur activité clandestine n'a de sens que si elle est contagieuse. Et pour être contagieuse, il faut que ses idées se propagent au plus grand nombre.
Si on n'est pas philosophes comme Guillaume Paoli ou André Gorz qui développent officiellement ces idées dans leurs ouvrages, on peut aussi le faire "clandestinement", par le biais de romans ou de témoignages anonymes.
En même temps, on ne fait pas d'omelette sans casser des œufs. Nombre de résistants sont morts pour leur cause.
"En cinq ans, affirme-t-il, j'ai bossé une semaine, au black, pour rendre service à un pote qui a sa propre boîte. Mais je n'ai plus envie, pour l'instant en tout cas. Je ne veux vraiment pas bosser."